Salutations, voilà ma présentation.
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Informations IRL
Muhuhu, petit voyeur. Allons allons, retourne voir ta voisine nue sous la douche. Parce que oui, on est nu sous la douche.
>> Mahach
Pseudonyme : Mahach Age: 29 ans Sexe : Homme Race : Humain Métier : Dealer, Esclavagiste Groupe : pirate But : Se faire un nom dans la drogue et l'esclavagisme, en vivre. Recherche aussi le coutelas antique de ses récits de quand il était gosse. Cherche inconsciemment des nouvelles de sa soeur. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Le fruit des bubulles. :3 Équipements : Ses poings, son cerveau dérangé, un pistolet et sa machette. Codes du règlement (2) : Parrain : Non Ce compte est-il un DC ? : Non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Personne |
>> Physique C'est le noir complet mais une voix résonne. - Oh oh ! Réveille toi ! Réveille toi j'te dis ! Tu reçois un violent coups sur le sommet du crâne, ce qui te ramène à la réalité et tu entrouvres les yeux, mais restes aveuglé par la lumière qui inonde enfin ta vision. - Ah ! Voilà ! Tu sens que tu es bâillonné et pieds et poings liés. Tu es capturé, assis sur une chaise. Devant toi, un homme fait nerveusement les cents pas. Son apparence est négligée, ses habits sous troués et déchirés, le style est récent, parfait pour la survie. La peau de l'homme qui se tient devant toi est dorée par le soleil, la transpiration due à la moiteur de l'air fait ressortir ses muscles saillants. Il porte des bracelets, un collier, des bandanas autour de ses bras, un marcel rouge sale, troué et déchiré, des sangles blanches autour de son torse, un jean et des baskets, usés. Le style sauvage typique. Tes yeux s'habituent à la lumière et tu peux enfin voir son visage, le regarder dans les yeux. Tu remarques qu'il a beaucoup de cicatrices, dont une qui part de sa paupière gauche et remonte dans le côté de son crâne. Il est rasé mais les cheveux ont repoussé depuis quelques jours déjà, il porte une crête. Il a des boucles d'oreilles aussi. Il porte un maquillage noir autour des yeux, mais il n'est plus très net et ne fait plus qu'enfoncer ses yeux dans les orbites. D'ailleurs son regard est aussi froid que perçant. - Quoi ? Qu'est ce que t'as ? J'aime pas ta façon d'me r'garder ! Pourquoi tu viens m'voir ? Hein ? Hmm ? On t'a d'mandé de m'espionner ? C'est ça ? Il te donne un violent taqué au front. Tu sens qu'il est fort et qu'il ne plaisante pas. Sa voix et ses gestes sont rythmés par sa nervosité. Il ne tient pas en place, fait de grands gestes, parle et marche vite et siffle en plein milieu de ses phrases. - MAIS T'ES TARE ?! TU VEUX QUE J'T'OUVRE EN DEUX ? *sifflement pour imiter le couteau qui ouvre ton torse* Okay, okay ... Okay, j'me calme. Bizarrement, il peut avoir la voix aussi douce que rude, et même quand il parait souriant ou agréable, ce n'est jamais pour toi. C'est comme s'il se répondait à des questions qu'il se posait dans sa tête. >> Psychologie - En fait, j'parie qu't'as la rage. T'as la rage, ça s'voit. T'as l'droit d'avoir la rage. Mais tu penses qu'y a que les sauvages pour faire c'que j'fais ! Hein ? Ouais ! J'sais qu'tu t'dis qu'chuis qu'un putain d'sauvage ! Tu penses que l'homme qui est en face de toi est fou. Il arrive à lire dans tes pensées mais il est fou. Son esprit est en constante ébullition, il vit à 200 à l'heure. - Mais ça, c'est d'la faute des gens comme toi, tu vois. Des gens qui s'croient bien pensant et au d'ssus des autres. Ouais, des gens comme toi qui méprise le monde, vous méprisez tous ceux qui ne vous ressemblent pas. Chez moi, on appelle ça du racisme ! Il continue de faire les cents pas mais s'arrête pile en face de toi pour imager ses propos. - Ouais, j'sais. Je sais qu'un des votres qui est raciste, ça passe, vous avez le "pouvoir" mais qu'un "sauvage" se rebelle ça vous parait intolérable. Hein ? PUTAIN, REPONDS MOI ! REPONDS MOI ! Il envoie sa chaise s'écraser en brindille contre le mur d'un simple coup de pied brutal en arrière. - Ah oui, tu peux pas m'répondre, t'es bâillonné. Regarde moi, REGARDE MOI ! Me lâche pas des yeux ! J'veux voir ta haine dans tes putains d'z'yeux ! Tu confirmes sa folie et elle te parait bien plus grande encore. Tu constates également qu'il est très impulsif et qu'il s'enflamme très vite, et d'ailleurs, il peut se contrôler et regagner son calme tout aussi rapidement. - J'peux pas blairer des gens comme toi. Mais y'a deux solutions. Soit j'me rebelle, soit j'rentre dans leurs rangs. Solution Un : les vieux, une balle dans l'crane, *claquement de langue*. Les plus jeunes, j'les capture. Parfois j'les tue quand j'peux rien en tirer *siffle quand il approche son pistolet de ta tête, puis claquement de langue pour à nouveau imiter la balle tirée* Mais toi tu vaux bien plus. Ouais, ouais ... Donc j'vais prendre cet escargophone, on va appeler tes gentils parents qui vont m'graisser la patte pour qu'j'te laisse en vie. Entre temps, tu s'ras vendu en esclave. J'me f'rai pas autant d'maille avec eux mais c'est d'jà. Donc on fait comme j'ai dis, un seul mot de travers et ... *claquement de langue* Toi aussi tu te mets à penser dans tous les sens, mais un éclair de lucidité te fait dire avec raison que sa réaction et sa vision du monde découle d'un moment important de sa vie. >> Biographie - Ah. Ouais. Au fait. J't'ai d'jà donné ma définition du mot "folie" ? Nan parce que tout l'monde pense que chuis cinglé. C'est faux. C'est putain de faux, mec ! Tu sais, j'ai grandi dans un village paisible avec mes parents et ma soeur. Goa ? Le Grey Terminal ? Tu connais ? Les pauvres, les riches, on s'bouffait entre nous. Même entre pauvres. Les riches aussi mec ! Mais on était que les rej'tons d'une grande ville de nobles mais on s'en foutait. C'était pas la fête tout les jours mais on n'avait pas à s'plaindre. Dans d'autres quartiers, les bandits faisaient la loi. Mais ici, certains d'la Milice s'entendaient bien avec nous. D'ailleurs le chef du coin m'aimait bien. Y'avait bien une bande de fauteurs de troubles qui voulaient mettre la main sur la direction de not' village mais on les cont'nait. Et puis un jour ils en ont eu marre. Ils ont décidé d'nous vendre aux riches d'la ville, y'avait une épidémie parmi leurs bonniches. Alors ils ont capturé nos femmes, butés certains d'entre nous si on résistait, et ils les ont vendues ! Ma soeur en f'sait partie. Mes parents ont même pas bronché ! Tous les jours j'essayais de r'trouver ma soeur ! TOUS LES JOURS, PUTAIN ! Le chef de la Milice m'empêchait à cause de son boulot. Il m'disait qu'j'allais dev'nir fou à faire tout les jours la même chose dans l'espoir d'y arriver un jour. Mais j'le croyais pas. Mais ... un matin, j'parvenais à rentrer dans la ville. Une alarme à t'en bousiller les oreilles hurlait dans tous les beaux quartiers, pis une fille qui courraient à s'en déchirer les cuisses. C'était ma soeur. Elle était en guenilles, j'en ai chialé. Mais pire. Elle avait donné un putain d'coup d'poing dans la tronche d'un sale noble. Il a fallu qu'ce soit un des plus important. On a réussi à rentrer chez nous avant qu'la caserne entière d'la Milice déboule. Le chef nous a laissé passé sans même un merci d'la part d'mes parents. Rien. RIEN ! On a commencé à fuir mais on vite été rattrapé. Les soldats débarquaient chez nous. Le village avait prit les armes pour se défendre d'eux, mais de nous aussi. Ouais, c'était l'heure de la chasse. Dans le Grey Terminal, on aime la Milice, mais quand ils ont une balle entre les deux yeux. *sifflement, claquement de langue* On chasse le gibier, mais on n'aime pas qu'il traine sur nos terres. Mes parents les premiers ont succombé à l'attaque qui visait à r'trouver la fille et nous mater. Ils commençaient enfin m'appeler à l'aide, comme si ça devait leur écorcher la gueule de reconnaitre que j'pouvais les sauver. J'les ai laissé dans leur merde. Ma soeur m'en a voulu alors que dix putains de minutes avant, j'lui avais sauvé la vie ! On avait réussi à s'cacher grâce à c'te foutu chef d'la Milice qui avait encore eu pitié d'nous. *sifflement* Direction un autre quartier. Et au Grey T, on n'aime pas les p'tits nouveaux. Les étrangers bouffent le pain qu'tu gagnes. Ma soeur passait son temps à m'chuchoter des plaintes. Mais quoi ? Elle était en vie putain ! Elle me d'mandait toujours plus ! On peut jamais compter sur ceux qu'on aime. Faut toujours les satisfaire. Qui est ce qu'il l'avait sauvée ? Eux ou moi ? MOI OU EUX ? Alors j'me suis barré. Ma soeur ? J'm'en balance. J'ai gardé cette putain d'rage au fond de moi à m'en déchiqu'ter les tripes et aujourd'hui, j'fais pareil avec eux. Vous d'venez mes choses, mes esclaves. Il pointe le canon de son arme sur toi. - J'm'en fous d'savoir qu'ça résoudra rien mais depuis j'm'amuse comme un p'tit fou. Fou, ouais. Comme le disait l'chef. Il avait raison dans l'fond quand j'vois tous les débiles qu'essaient d'me coincer. Ils s'disent : "Demain, j'y arriverai. Non, sérieux, pitié, demain, ouais, demain, j'y arriverai". Mais ça m'embête. T'as tout foutu en l'air. J'étais bien avec toi. J'voulais t'faire couiner d'vant tes parents pour qu'la prime soit plus grosse mais chais pas, j'ai voulu discuter avec toi. Mais t'en as profité pour défaire tes liens alors tire toi. BARRE-TOI ! J'te laisse 30 putain de secondes ! Oh, t'as d'la merde dans le crâne ou quoi ? Chuis sur qu'tes proches auraient pas payé ! On peut jamais compter sur eux ! D't'façon, si c'est pas moi qui t'tues, ce s'ra ce putain de monde ! >> Test RP [size=11]- Quel est le putain d'enfoiré qui a fait une putain de gaffe ? Hmm ? HEIN ? REPONDEZ BORDEL ! Les homme de Mahach se cachaient derrière lui, comme si lui seul pouvait affronter les esclaves rebellés. Enfin, un des sous-fifres prit la parole. - Euh ... Mahach ? J'crois qu'ils l'ont d'jà foutu par d'ssus bord. - Mauvaise réponse, Trouduc' ! Mahach braqua son arme sur lui et tira aussitôt. Avec la percussion de la balle en plein front, le colosse se prit le rebord du pont du bateau dans les mollets, déséquilibra et chuta mollement par dessus bord. - Bon, bon. C'est quoi c'merdier ? Hein ? Il balayait tout le groupe d'esclaves révoltés avec son arme en sifflant. - Vous aussi vous voulez crever en pleine mer ? Il pritviolemment le tonneau de poudre qu'un esclave gardait jalousement dans ses bras et s'assit dessus. - Parce que c'est ce qu'il va arriver si on s'bouge pas l'cul. Alors quoi ? On s'révolte à la première occasion ? Hein ? Vous croyez que vous allez avoir ce que vous voulez ? Vous croyez qu'en espérant faire la loi sur c'rafiot vous allez sauver vos vies ? Hmm ? Franchement, qui sait ou a déjà navigué ? PERSONNE PUTAIN ! PER-SONNE ! Nan nan nan nan nan. Nan. Si on n'est pas là, vous allez crever comme nous en pleine mer. Eh ouais les mecs. Certains pensent que c'est mieux qu'se tuer à la tâche ? HEIN ? Il envoya valdinguer le tonneau de poudre qui éclata contre la petite barrière du pont, ce qui étala son contenu et qui se mit à voler au gré du vent marin, ce qui effraya ou étonna certains esclaves, d'autres ne bronchaient plus. - Alors, okay, d'accord, vous avez réussi votre petit coup merdique. J'pense qu'il est mieux pour tout le monde qu'on négocie. C'est qui votre chef, hein ? Un homme plutôt bien bâti s'avança, plein d'assurance, l'air désinvolte. - C'est toi ? J'te propose un truc. J'te laisse ta liberté mais tu nous aide à arriver gentiment à bon port. En contre partie, tes petits copains retournent dans leur cage à pigeons. Une fois sur la terre ferme, j'contacte vos gentilles petites familles pour qu'elles viennent vous chercher au lieu d'vous éreinter au boulot. L'homme sembla hésiter. - Bon ! Okay, j'ai compris, vas y, tue moi ! Il se lèva, prit la main du chef des esclaves dans un sifflement, lui fit prendre son pistolet et le posa sur son front. - Allez ! Vas y ! Appuie sur cette putain d'gâchette ! - Retournez dans vos cages. C'est mieux que de pas savoir où aller. Il s'était retourné, et avait baissé le bras. Mahach avait repris son arme et les esclaves, déçus que leur petite dose imprévue d'adrénaline n'aie rien donné, retournèrent dans leur cellule en trainant des pieds. - Voilà quelqu'un d'intelligent ! - Ouais. Mais je vous lâcherais pas. Je veux être là quand vous aurez l'escargophone. - Vous vous êtes cru les rois du monde ? Vous avez cru que vous aviez la situation en main ? Qu'on était sous votre contrôle ? MAIS C'EST MOI QUI PORTE LES VALSEUSES ICI ! QUAND VOUS ÊTES MONTEZ SUR CE PUTAIN DE BATEAU VOUS ETIEZ DEJA MORTS ! Mahach donnait de grands coups de talon sur le pont à chaque mot qu'il voulait accentuer. L'esclave avait une veine qui battait sur sa tempe, et bientôt elles apparurent également sur les bras avec les muscles qui gagnaient du volume. Voyant cela, Mahach tira un coup de feu mais le loupa. En réalité, il avait visé une des cordes de la grand voile qui se déploya violemment et entrainant le pied du chef des esclavages dans le cordage qui s'envolait dans les airs à cause du contrepoids. Il décolla lui aussi puis la corde n'enroulant plus son pied, il s'écrasa encore plus violemment sur le pont, cassant quelques lattes sous le choc. Du pied, Mahach le retourna pour lui faire face, puis le posa sur son front. - Bye bye ... Il claqua de la langue dans un grand sourire pour imiter la balle qui percerait son front, l'esclave ferma les yeux mais les rouvrit quand il s'aperçut qu'il n'était pas mort. - J't'ai déjà donner la définition que j'ai du mot "folie" ? Coup de feu. - Bon, les gars. On est un peu réduit, donc on reste vigilant. J'veux dire, vous savez quoi faire, j'vais m'amuser avec nos prisonniers. Il descendit à la cale, les deux hommes qui veillaient sur les esclaves remontèrent sur le pont. Silence complet. - Alors alors ... Que je vous explique les choses ... Oh, toi, regarde moi ! FIXE MOI PUTAIN ! *coup de feu* Quant à toi *se retourne dans un sifflement* J'aime pas ta façon de que t'as d'me regarder. *coup de feu* Vous valez rien mes chéris. Des putains d'esclaves qui se rebellent valent rien. Donc déjà, vous êtes sauvés. Mais ! Mais ! Comme vous êtes tous issus d'une famille de pauvres, personne de vos proches ne viendra vous réclamer contre une bonne grosse rançon bien juteuse. C'est ça la famille, comptez pas dessus vous faites pitié. Donc, vous me servez à rien mes petits jouets. Donc inutile de vous nourrir. Mais promis, si vous mourrez pas d'ici là, je r'penserai à votre sort.[/size] |
Informations IRL
Muhuhu, petit voyeur. Allons allons, retourne voir ta voisine nue sous la douche. Parce que oui, on est nu sous la douche.
Dernière édition par Mahach le Mer 4 Sep 2013 - 20:54, édité 5 fois