>> Hune & Isley
Pour rugir de plaisir! | Pseudonyme : Lion Age: 28 ans Sexe : Homme Race : Humain Métier : Artificier Groupe : Révolutionnaire But : Vivre et Aider Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Tai-Tchi. Équipements : Une armure renforcé. Codes du règlement (2) : Parrain : Don Corléone, ça compte?.. Ce compte est-il un DC ? : non |
>> Physique A la taverne du port le vieux jack descend quelques verres comme à son habitude. Alors qu'au dehors la nuit règne sur le ciel, son attention se voit soudainement capté par le grincement des portes battantes à l'entrée. Le grincement des portes cesse lorsque celui du plancher commence. Une silhouette entre, ses pas semblent littéralement faire souffrir le plancher. Il avance en regardant droit devant lui sous les yeux écarquillés du vieux Jack qui n'avait plus vu un homme aussi massif depuis bien longtemps. Massif, tel était le mot exact pour le décrire. Grand, il l'était et devait bien mesurer un mètre quatre-vingt-dix. Son corps paraissait sans faille tant il semblait avoir été frappé encore et encore par le marteau de l'effort. Des épaules aux cuisses, des biceps aux mollets, le colosse était bâti dans le marbre le plus pur. Pareil à un forgeron qui martèle l'acier jusqu'à lui donner la forme souhaitée, on aurait dit que le mastodonte en avait fait autant. Ses muscles saillants et déliés s'agitaient sous le moindre de ses mouvements, à la manière de pistons et de rouages pour une machine. L'homme se tenait droit, avançant toujours. Le port altier ,galvanisé par un air supérieur que lui procurait naturellement son corps intimidant, lui conférait une allure presque noble. La tête haute, il était évident pour tous dans cette taverne que l'honneur devait tenir une part importante chez ce personnage. Une armure en cuir et en plaque le recouvrait. D'une teinte assez coloré, elle protégeait convenablement le bonhomme, mais le vieux Jack souriait à cet instant. Il se demandait seulement si elle était très utile pour lui ou si elle n'était là que pour la frime.La teinte de sa peau était celle des hommes qui voguaient souvent en mer, halé par plusieurs soleils. Sa démarche nonchalante finit par le conduire jusqu'à un des tabourets du bout du comptoir. Là il ne prêta pas plus attention à son entourage, pas même au vieux Jack qui ne l'avait pas lâché des yeux depuis qu'il était entré. Son regard était perdu dans la chope de bière qu'il venait de commander de sa voix forte et grave. Ses yeux marron étaient eux, habités d'une étrange lueur vive par moment. Son visage était parfois sévère et dur, puis s'adoucissait sous l'effet de son sourire qui lui donnait des façons d'ours mal léché. Une crinière rougeâtre lui servait de cheveux et rejoignait sa barbe qui elle, lui mangeait le visage. Il était peut être plus Lion qu'Ours finalement... >> Psychologie Isley voit le monde comme il est. Parfois beau et parfois laid. Il croit en la destinée des hommes et plus particulièrement à la sienne. C’est un homme brave et dévoué qui ne tirera jamais le bénéfice d’une situation à l’excès. Tout aussi louable que soient ses actions, il n’en reste pas moins qu’il croit avant tout au résultat, à cette fin qui justifie les moyens. Il déplore cette vérité, mais y est hélas sans cesse confronté puisque c’est aussi bien la doctrine de la marine que celle des flibustiers. Curieux, maladroit, sympathique, enflammé, bon vivant, il se laisse parfois entrainé par les affres de la boisson, frayant jusqu'à pas d’heures avec n’importe quel personnage puisse ce dernier être aussi tolérant que lui à l’ivresse du flacon. Lorsque les autres restent calme puis deviennent menaçant une fois énervé, Isley lui, prends totalement à contrepied cette façon de penser. En effet, c’est quand il est énervé et emporté qu’il est le plus vulnérable, par contre, une fois calme l’homme se révèle particulièrement dangereux. Pareil à ce chêne qui reste debout et paisible dans l’œil du cyclone, le colosse se montre calculateur et redoutable une fois emplit de sérénité. Il a appris à mener la guerre au dehors tout en étant habité par la paix. Cette paix et cette attitude lui permette de sonder son corps et son esprit afin d’y trouver les ressources nécessaires, afin d’y trouver le souffle, l’énergie qui nous habite, le Tchi. La peur et l’incertitude ne sont que des freins, rien ne nait dans la peur mais tout s’y éteint. C’est de tous ces sentiments inutiles comme la colère, la haine et la peur qu’il se débarrasse au profit d’un esprit calme et clairvoyant. On aurait pu le penser brute et bête, il est en réalité force tranquille et zen, car il le sait, ce qui refoule le torrent fougueux, c’est l’eau calme. Encore un dernier détail, mais qui a son importance. Si cet homme croit autant en lui c’est parce qu’enfant, le doyen du village où il vivait lui fit une farce. Il convainquit ce dernier de lui avoir fait manger un fruit du démon : Le fruit de la classe ! Le doyen crut bien faire, car en ce temps-là, l’enfant était timide et solitaire. Le plan pour redonner courage au petit garçon marcha bien, trop bien même… Depuis ce jour, il se pense habité d’une force intérieure qui le rend plus fort et meilleur. Qui le rend classe et cool à chaque instant. Y croit-il réellement ou fait-il seulement semblant ? Nul ne le sait, mais ce qui est sûr, c’est qu’il abuse insolemment du ‘pouvoir’ de ce fruit imaginaire… >> Biographie Encore une prise de décision arbitraire de la marine et encore les exactions sans fins des pirates. Ce monde est pourri. Il est magnifique, mais est peuplé de gens qui ne pense qu’à assouvir les autres, à imposer leurs conceptions des choses par la crainte et la mort. Monde je t’aime, monde je te hais. Au commencement. Je suis né sur l’ile de Kage Berg. Le jour le soleil court dans le ciel et rayonne sur toutes les plaines, la nuit, la douce brise du grand large encense les plantations de milles fragrances. Les gens y sont généreux et aimable et je suis fier de me prétendre l’un d’entre eux. Bien que les années qui bercèrent mon enfance furent paisibles, j’ai pu tout jeune déjà gouter à l’amertume de ce monde. La différence génère tant de discrédits et tant de méprise qu’elle m’isola des autres enfants de mon âge. Ils étaient petits et faible et j’étais déjà grand et fort. Je me souviens du visage de mon père, de ses paroles qui se voulaient réconfortante. Il me dit à maintes reprises que la nature m’avait fait un don. Combien de fois ais-je pu maudire mon sort et ce soit disant présent? Que la nature reprenne ce don, je voulais juste naître normal et être comme les autres. Avec le temps. Je me fis quand même quelques amis, comme le doyen de mon village. C’était un vieil homme, c’est le cas de le dire. Sa peau avait été burinée et mordu par mille soleils. Sans cesse il me contait des histoires, les siennes principalement, mais je le soupçonnais de largement agrémenté son discours comparé aux véracités des faits. Parfois il était l’homme le plus joyeux du monde, qui voyait le bon en chacun. Mais souvent il était amer et nostalgique. La solitude, la boisson et les années rendirent cet homme jadis fier et conquérant en un homme usé par le temps, frêle et habité par la maladie. Toutefois il était mon ami, de lui j’ai beaucoup appris. Il me fit part des politiques étrangères, des choses qui se passaient en dehors de nos frontières. Il m’apprit l’histoire et la géographie. L’école je n’y allais plus, il était devenu mon maitre à penser, mon mentor. Perte. Quelques années plus tard, l’adolescence pointât le bout de son nez et mon père lui, s’en etait allé. C’était un homme bon, un fermier honnête et travailleur et nombreux sont ceux qui assistèrent aux funérailles. Le soleil caressait la terres de ses rayons, mais pour moi ce jour-là, c’était un jour de pluie. La tristesse et le désarroi s’emparèrent de moi et ni le chant des oiseaux, ni la caresse du vent sur ma peau ne m’apportèrent un quelconque réconfort. Dans la joie et l’abondance vous trouverez toujours des personnes avec qui partager ces sentiments, mais dans la douleur et la souffrance, on se retrouve bien souvent seul. C’est ce jour-là que mon ami le doyen choisit pour me parler de sa vie, sa vraie vie qui n’était pas faites d’histoires aussi jolies, là où les happy end n’existaient pas, là ou faire un choix se payait comptant sans autre possibilité. Jeune comme vieux, nous étions amer, lui racontait et moi j’écoutais. Il y avait un mot qu’il ne cessait de clamer plus haut et fort que les autres…Révolution. Injustice. La marine ne mit que peu de temps à s’approprier les terres et les biens qui étaient censé m’appartenir. Selon eux j’étais trop jeune pour m’occuper de la plantation et au lieu de garder mes bien intacts et de veiller à mes intérêts jusqu’à ce que j’arrive à l’âge adulte, ils choisirent de tout vendre à perte pour s’approprier quelques profits. Ils n’en avaient pas le droit, mais du droit ils étaient les représentants. L’héritage de mon père n’était plus. J’ai bien tenté de leur faire entendre raison quand eux ont préféré m’infliger des coups de bâtons. Plus mort que vif, dépossédé de mes droits et de mon foyer, je trouvais encore la chaleur du vieil homme à mes côtés. Cette révolution dont il me parlait tant n’était qu’un mot et des histoires, étrangement elle était devenue une option.
Voyage au bout de la nuit. Une nuit qui dura plusieurs années. Je m’étais embarqué clandestinement sur un navire marchand qui sillonnait les Blues. Ces années je les aient passées à forger mon caractère. Je vivais au jour le jour troquant un abri pour un autre, une profession pour une autre. J’ai côtoyé tant de personnes différentes, tant de cultures enrichissantes et tant de souffrance. Je ne compte plus les sourires et les bons moments passés avec des gens accueillants qu’il me plait à appeler ami encore aujourd’hui. Je ne compte plus les bagarres incessantes contre les pirates et les marines. Oui je le dis et je le pense encore, ce monde est magnifique, mais nombres de ceux qui peuplent les iles méritent la mort. Le gouvernement est une créature née de l’idéologie d’une poignée et est aujourd’hui la doctrine la plus répandue sur les mers. A contrario, la piraterie est-elle aussi un fléau, une peste qui fait miroiter monts et merveilles à de faibles esprits qui ne pensent plus qu’au profit, qu’à vivre aux dépends d’autrui, qu’à prendre s’en vergogne en pillant et en volant et ce jour après jour. C’est tout cela qu’a voulu m’enseigner mon mentor, mais la plus grande leçon ne s’apprend pas de la bouche d’un autre, elle se vit. Voilà pourquoi tu m’as aidé à m’en aller mon ami… Que la poussière devienne montagne. Les expériences ne se racontent pas elles se vivent. Quand l’esprit est frappé par les souffrances et les travers de la vie il s’affûte et se renforce, il s’élève et grandit et rend possible certaines choses qui d’ordinaire paraitraient impossible. Ce n’est que plusieurs années plus tard que mon regard a pu de nouveau se poser sur mon mentor. Il m’avait connu petit garçon et adolescent. Il m’avait aidé à vaincre ma timidité et à surmonter ma perte et mon chagrin. Je lui suis revenu homme. Un homme à qui il révéla finalement tout son savoir, son métier : celui d’artificier itinérant. Un homme capable d’émerveiller le regard des gens par des bouquets illuminant le ciel, ou qui pourrait aussi détruire navires et ponts. Mais son plus grand savoir était également son plus grand secret. J’appris de lui le secret de sa longévité, le secret de sa force qu’il m’avait caché tout ce temps-là. Surpris, je l’ai été lorsqu’il m’avait demandé de le frapper et si je comptais bien retenir mon coup, j’ai vite vu que c’était inutile. Je n’étais qu’un jouet entre ses mains, qu’une poupée qu’il s’amusait à chiffonner ridiculement. Matin et soir, jour après jour, il m’appela au calme. Ses paumes de mains se posaient sur les miennes et son énergie, cette chose qu’il appelait communément Chi, me traversa le corps et m’apaisait jusqu’à chasser mes douleurs et les maux de mon cœur. Mon âme tourmenté par ce que j’avais vu sur les mers trouva finalement la paix et l’apaisement. Même le souvenir de l’être aimé dont on a humilié jadis le souvenir n’éveilla plus en moi de la colère, mais de la compassion. Comment apporter la paix à autrui alors que l’on n’est pas capable de faire la paix avec soit même, en son for intérieur ? C’est cette question qu’il me posa des mois durant et c’est chaque jour que je m’attelais à tenter de trouver la réponse. Et elle m’apparut soudainement, derrière le feu et les pleurs d’un enfant que je regarde aujourd’hui à travers le miroir, j’ai trouvé le renoncement. Le renoncement à la rancune, à la haine. Le renoncement aux bons moments comme aux mauvais. Le renoncement à tous ce que je suis et à celui que j’étais. Et quand il n’y eut plus rien pour entraver mes pensées, quand le vide s’était emparé de mon être, j’ai finalement pu trouver le calme et la sérénité. Cette source qui alimente l’énergie de notre corps, le Chi qui parcourt les canaux vitaux. Cette cascade abondante qui sillonne notre corps et que je peux manipuler à ma guise dans chacun de mes mouvements. Après bien des mois, j’ai finalement maitrisé les arcanes de mon maitre qui mit ses derniers instants à mon service pour me faire entrevoir la paix. Cette paix qui me suit et me guide et que j’inculquerais au monde qui me tends les bras et ce avec panache… Avec classe ! An 1625, me voici. >> Test RP Le soleil darde ses rayons sur les plaines et sur la toiture de l’imposant manoir de sieur De LaVaiselleQuiSempile. L’endroit jadis chaleureux et devenu un lieu austère et le propriétaire du domaine en est principalement la cause. Il est la noblesse dans toute son horreur, arrogante, vile, impitoyable. Il prend un malin plaisir à dicter ses ordres et pense que tout lui est naturellement acquis de droit du fait de sa haute naissance. Aujourd’hui il se dresse devant moi, ou plutôt il essaye car même à genoux, je suis légèrement plus haut que ce gringalet à la bedaine tombante ce qui eut tôt fait de m’arracher un sourire vilement récompensé par un coup de fouet au visage. Nombres de domestiques me regardent et craignent pour ma vie, ils connaissent mieux que personne la cruauté de leur maitre et savent de ce fait de quoi est capable son esprit aussi retord qu’exigu. Ce dernier s’emporte et continue à me maltraiter en m’infligeant divers coups çà et là. Il s’emporte plus encore lorsque mon sang vient se répandre sur le sol en marbre blanc. Sieur De LaVQS : Alors le chien ? On sait aboyer ? Que faisais-tu sur mes terres le chien ? Tu es peut être un familier de ceux qui hantaient ces lieux avant que je n’arrive peut être ? Isley Hune : Je ne voulais pas vous importunez… Sieur De LaVQS : La ferme le chien ! -Hurlât-il en frappant encore.- Je pose peut être des questions, mais je ne t’ai pas demandé d’y répondre. J’aimerais que tu sois un de ceux qui connaissaient les gens qui vivaient là. L’on dit que le fermier qui s’y trouvait s’est tué à la tâche, qu’il était idiot… Ou bien le chien s’est-il trouvé une chienne qui lui a fait oublier sa plantation…- Un sourire des plus aiguisé s’inscrit à cet instant sur son visage.- Allez réponds à présent. Isley Hune : Je connaissais l’homme qui vivait là. C’était un travailleur honnête et bon avec son prochain. –répondit-il calmement-. Sieur De LaVQS : -pouffant de rire- Bwahahahah le chien sait parler, mais il dit vraiment n’importe quoi. Voit où ça l’a mené son attitude. Les faibles se feront toujours écraser par les forts et lui était si faible. Comme tous ceux de sa race, les pauvres. Ils n’existent que pour nous servir. Ils sont ridicules, mais obéissant. Dieu fait bien les choses, il conduit en ce monde des moins que rien pour les rendre utile en nous servant. Et une fois vidé de leurs substances, je n’ai plus qu’à les jeter et à m’en acheter d’autre. Quoique toi tu vas me servir et gratuitement en plus… Ou bien préfères-tu la mort ? Le noble grassouillet se met à rire et à manger comme le dernier des porcs. Sa bouche rejette autant qu’elle mange et ses postillons se posent sans cesse sur sa servante qui ne le quitte jamais. Cette dernière renverse le plateau par inadvertance, sur lequel, trempaient dans l’huile quelques beignets aux oignons. Devenant tout rouge, Sieur De LaVaiselleQuiSempile délaisse le Lion pour s’occuper de l’agneau contre lequel il tourne toute sa rage. Les coups pleuvent et la peau de l’esclave se voit dépecer un peu plus à chaque morsure du fouet. Agenouiller devant ce triste évènement, le lion boue de colère en serrant le poing. Son être entier tremble sous la colère et se tend comme la corde d’un arc prêt à cracher un trait assassin. La rage grimace son visage et ajoute à son impulsivité naturelle. Il est à présent prêt à bondir comme un lion sur sa proie. Ce genre de personnage le révulsant plus que tout, la haine le submerge facilement et comme un éclair, comme un déchirement du ciel il se dresse, occultant le soleil. Son ombre terrible s’abat sur le visage déconfit du nabot qui la ramène moins tout à coup. Ses yeux fixent et menacent avec insistance et l’on entend le froissement du cuir qui trahit un geste malheureux à venir. Les fragments de souvenir de l’être aimé refont soudainement surface, le corps sans vie de la jeune servante attise les flammes du mal qui s’emparent de son poing. L’homme se revoit enfant face au sourire réconfortant de son père bienveillant, face à sa peine le jour de l’enterrement et quand il approche le rêve du noble se transforme en cauchemar. Il entend les battements de son cœur résonner dans son poitrail et un feu inextinguible semble couler aux travers de ses veines à la place du sang. Il serait si facile de souffler cette vie qui ne tient à un file, si facile de débarrasser le monde de cet être aussi chétif qu'infâme. Alors, sa main s’abat et soudainement, il relève le corps de l’esclave. Le grand lion s’éloigne dignement et chaque pas qui l’éloigne du noble est un soulagement pour celui-ci. Sieur De LaVQS : Ou…Oui fait ça ! Va… Va l’enterrer et dégage de mes terres ! Lentement mais surement l’homme disparait de la vue du peureux. Il semble apaisé et tandis qu’il caresse le visage de la jeune fille, il s’imagine en compagnie de son mentor, marchant auprès de lui l’air satisfait. La paume de main du vieil homme se pose sur lui et le réconforte, calmant la cascade qui devient un fleuve tranquille. Isley Hune : Je sais... Je sais vieil homme, ce qui refoule le torrent fougueux c'est l'eau calme. J’ai chassé ces sentiments de haine et d’amour qui hantaient mon cœur, mais l'ignominie des hommes me rappelle que moi aussi, je suis l’un d’entre eux. Le pas lourd, Isley continue sa marche sous ce ciel où court le soleil et où le vent caresse son visage à présent apaisé. |
Informations IRL
Prénom :Seb.
Age : 24 ans.
Aime : Les filles, les voitures, les drogues et lui même.
N'aime pas : Les mecs, les vélos, les médicaments et lui même.
Personnage préféré de One Piece : Sanji.
Caractère : (définissez vous en quelques mots)Sympa, tranquille, fêtard, vantard, fidèle.
Fais du RP depuis :5 ans.
Disponibilité : 4 soirs par semaine minimum.
Comment avez vous connu le forum ? Top Site.
Dernière édition par Isley Hune le Lun 9 Sep 2013 - 20:41, édité 22 fois