[Quête.] Une situation épineuse.

Le matin et les premiers rayons de soleil se lève sur l'Île Karaté. Dans le bâtiment de la base marine des cris et hurlement ce font entendre même en dehors de cette même base.

ALLEZ ON EST PAS ICI POUR PIONCER DEBOUT TOUT L'MONDE!

Ce réveille est terriblement dur a supporté pour tout le personnel travaillant dans la base. Certain s'enroulent dans leurs couvertures pour espérer ne plus entendre ces bruits assourdissants d'autre ce frottes les yeux a moitié endormis. Wang entendis les ordres et ce leva aussitôt remettant son lit inconfortable en place et alla par la suite prendre son petit déjeuner. Le Self était ouvert et tout le monde faisait la queux pour prendre sa ration qui devait servir a démarré le carburant pour une mâtiné d'entrainement et de service jusqu'au midi. Wang pris sa part de nourriture et alla s'installer à côté de ses coéquipiers avec qui il discuta de tout et de rien lorsque un homme interpella notre sergent et lui dit:

Parait que le colonel veut te voir dans son bureau après manger tu devrait peut-être y allez sa à l'air important.    

Il faut savoir que notre homme a beau être sergent et donc en quelque sort supérieur hiérarchiquement aux soldats de base durant les temps ou il n'était pas en service Wang ne montait pas sur ses grands chevaux avec ses collègues il préférait les prendre comme des êtres humains tout comme lui que de simples personnels. Dès lors que le soldat affirma ce qu'il venait de dire Wang fût surpris par cette demande du colonel. Il n'était jamais rentré dans son bureau pour des ordres sur le terrain, il n'avait d'ailleurs fait aucune mission réel sur le terrain et c'est pour cela que l'intrigue grandit dans les pensées de Wang. Après avoir mangé il prit le chemin jusqu'au bureau du colonel et toqua à la porte. Après avoir entendu un "entrée" à l'intérieur de la salle notre jeune homme s'exécuta et passa la porte pour ensuite se mettre au garde à vous formel devant un colonel assis sur son fauteuil et un lieutenant à ses cotés. Des regards s'échangèrent et après cinq secondes de silence le colonel pris la parole et dit d'un ton grave.

Sergent Wang, cela fait plusieurs mois que vous êtes ici déjà et vos supérieurs mon affirmer que vous étiez dans le respect des règles et d'un bon engagement au niveau des exercices donnés. Notre lieutenant ici présent m'a même affirmé que vous êtes plutôt doué en ce qui concerne le parcours et des simulations d'enquêtes. Affirmer vous cela lieutenant ?

L'homme qui était visé de cette question affirma aussitôt les paroles du colonel. Le lieutenant présent dans la salle était le supérieur de Wang qui supervisait notre jeune homme et son escouade. Notre sergent pendant ce temps continuait à rester droit comme un piquet en écoutant attentivement l'homme assis sur son fauteuil qui prenait une tasse de café apposé sur son bureau. En buvant son liquide noir le colonel expliqua alors à Wang pourquoi l'avoir fait venir ici. Posant à nouveau sa tasse vide sur son bureau il s'éclaircit la voix et continua.

Le lieutenant nous à alors demander de vous intégrer dans votre toute première mission sur le terrain et pas des moindres. Un dossier comportant des informations capitales nous a été dérobée reliant non seulement cette base mais également toutes les autres bases marine de South Blue.

Wang était extrêmement surpris par ce qu'il venait d'entendre ce n'était quand même pas rien. Un dossier très important venait d'être volé avec toutes les informations de la marine encrée dans South Blue. Pourquoi un sergent qui est n'est encore jamais allé sur le terrain devait être dans cette enquête? Le lieutenant devait surement avoir pris Wang dans ses officier favoris et qu'il voulait sans doute tester notre sergent sur une mission des plus capitales. Le colonel continua en disant que selon nos informateurs il s'agirait encore d'un coup de la révolution et que cette fois-ci ils voudraient faire couler toute la marine encrée au sud. Selon les mêmes informateurs il y aurait eu beaucoup de déplacement dans un quartier traditionnel de la ville principale de cette Île Karaté. Ces déplacements étaient entre un nouveau dojo en construction, le bar du quartier et un magasin de poterie. Écoutant attentivement la mission donnée Wang était en même temps surpris de l'ardeur des révolutionnaires a volé ce genre de dossier et enthousiaste car il savait que si il réussissait a attrapé les malfaiteurs il aurait une petite chance de prendre la mer pour d'autres missions. Le lieutenant n'était pas le seul sur l'affaire d'autre équipe était sur le coup en cherchant le pourquoi du comment ses gens on pût dérobé ces informations. Wang avait sous son commandement cinq hommes pour cette mission.
Le Colonel ajouta pour sa dernière phrase.

Le lieutenant une foi sur le terrain vous donnera un dernier briefing. Attrapé moi ces voleurs !

Une foi arrivé en dehors de la base marine Wang et six hommes dont le lieutenant se posèrent devant l'entrée de la ville centrale de l'Île Karaté. L'escouade était formé en cercle et le lieutenant était dans son centre. Les cinq hommes étaient des soldats de premières classes et seul notre jeune homme était sergent. Le lieutenant laissait un moment plané le silence dans les rangs et après dix secondes de ce silence l'homme commença le Briefing.

Bien messieurs notre but principal est d'en savoir le maximum en très peu de temps il se peut que les ravisseurs soient sur le point de partir. Bien entendue les autres bases ont été informés de la situation ainsi que le quartier général de South blue.

Wang continua d'écouter attentivement les instructions pour que d'instinct il puisse naturellement agir rapidement et que cette affaire soit résolue au plus vite. Le lieutenant continua son explication et pointa alors quatre soldats en continuant sur un ton grave.

Vous quatre aligné vous surveillerait la zone donnée guetter le moindre déplacement et tout ce qui vous parait suspect vêtement, symbole ou même transport que vous verrez.

Les yeux du supérieur ce décalèrent alors vers Wang et un soldat. Il prit une nouvelle foi comme habitude de se taire quelque instant puis d'un ton sec.

Vous deux vous serez chargé de poser diverses questions au magasin de poterie, aux personnes présentes dans le bar juste à coté et au petit dojo en construction en face. Nous communiquerons par Escargophone tenez.

Le lieutenant sortit alors de son sac avec lequel il était équipé et confia les Escargophones aux personnels. Wang était assez concentré par sa première mission et il prit le moyen de communication assez rapidement tout comme ses collègues. Après ses paroles le lieutenant restait immobile ayant pour objectif la communication que ses hommes lui apporteraient. L'escouade allèrent aussitôt dans la zone données et se mirent chacun a leurs post. Wang aperçut le bar et avec le soldat qui l'accompagnait il entra dans ce qui s'appelle "L'assiette du petit dragon". C'était un lieu des plus calme rien à signaler dans le désordre sans doute que la marine est venue jeter un coup d'oeil et que maintenant tout le monde se tient tranquille. Wang alla s'asseoir vers le comptoir avec son coéquipier et analysa le lieu. Il s'agissait d'un bar qui n'était à ce jour pas tellement connu de l'Île Karaté et qui était des plus normale pour une taverne. Les gens semblaient tenir compte qu'il y avait des marines et que ce n'est pas tous les jours que la justice suprême venait ici. L'ambiance n'était pas animée elle était plutôt d'un ton glacial. Wang avait remarqué cela mais prit par son enquête il interpella le barman et commença à le questionner.

Avait vous aperçut des choses ses derniers temps, des personnes étranges ou bien simplement des rumeurs?

L'homme d'une quarantaine d'années fût réticent à ses questions et dit de suite dans une position des plus défensifs.

Je ne sais rien du tout, Je n'ai rien vu et rien entendue. Que venez vous faire ici marine? Il n'y a aucun criminel dans les environs

Wang avait bien compris que lui et son équipier venait déranger cette atmosphère paisible dans la taverne. D'habitude les gens du coin ne sont pas habitués a êtres dans les affaires de la marine et il semblerait qu'il n'y ait pas envient. Ils ont leurs routines à eux et le reste de la ville ont le leurs. Notre jeune homme avait néanmoins un dilemme il devait réunir un maximum d'information et cet endroit ne l'aidait pas beaucoup. Il décida alors de jouer avec ce qu'on appelle la corruption et d'un geste sec il pris sa petite bourse de berry's de la main droite et la tandis en l'air. Il ajouta par la suite.

J'offre 200 Berry's à celui ou celle qui daignent répondre à mes interrogations.  

200 Berry's ? C'est trop peu et tout le monde éclata de rire au nez du sergent. Son coéquipier à ses côté semblait caché sa honte face au manque d'innovation de notre jeune personnage. En effet Les gens de ce quartier avaient non seulement semblerait t'il un bon salaire mais semblait ne pas réagir face à la corruption c'était peine perdue. Assez déçu par sa prestation Wang s'en alla en compagnie du soldat de la taverne sous les moqueries des personnes présentes. A la sortie du bar Wang ce demanda comment il allait sortir de ce pétrin. Il n'avait pour le moment aucune information concernant l'affaire c'est alors du moment le plus inattendue qu'une voix vint dire.

Moi j'peut vous en dire s'que j'ai vue! Mais sa s'ra pas gratuit. Vous avez 200 Berry's pas vrai ? C'pauvres idiots ne sont pas opportunistes et ils ne savent pas déniché de l'argent facile.  

Cette voix roque venait d'un vieil homme assit sur le muret en bois de la taverne qui apparemment avait tout entendue de la conversation à l'intérieur. Il affirma par la suite qu'il voudrait bien prendre cet argent étrange. Il se décrit également comme la seule personne opportuniste dans ce quartier. Wang sauta alors sur l'occasion et lui donna la bourse de 200 Berry's auquel l'homme prenait d'un geste rapide et commença à compté l'argent. Le sergent s'empressa alors de lui poser les questions qu'il avait en tête.

Qu'avez vous vu exactement ?

Le vieil homme finit de compter sa récompense et dirigea son regard vers Wang et son subordonné. Il affirma avoir vu trois hommes habillés en civil ce déplacé de façon rapide vers le magasin de poterie. Il affirma également que les hommes sont rentrés aussi vite qu'ils sont sorties peut être quelque chose a caché. Malheureusement cela ne prouvait absolument rien car les hommes pouvaient très bien être que de simples clients voulant chercher une commande rapidement parce qu'ils étaient pressés. Le vieil homme affirma alors que l'un des trois hommes portait une petite sacoche noir auquel il jetait perpétuellement un œil dessus. Wang commença alors à réfléchir au sujet et partis de la taverne définitivement. Cela était quand même une piste pour notre sergent qui s'empressa de prendre son escargophone pour s'entretenir avec le lieutenant.

.. Pulupulu Katcha ! ..

Mon lieutenant j'ai une piste.

Le supérieur fût rapidement informé de la situation. Les informations que Wang lui avait révélé n'était pas à prendre à la légère bien au contraire quelque chose de louche est susceptible de s'être produit dans ce magasin de poterie et les ordres étaient clairs. Le sergent devait enquêter dans ce bâtiment et au plus vite. Concernent les autres informations sur la patrouille des alentours du quartier la réponse était "rien à signaler chef". Pour l'instant tout semblait être calme. Les soldats chargés de cette garde était d'ailleurs accompagnée d'autres hommes qui enquêtaient sur cette même affaire mais aucune autre équipe avait reçu l'information concernent le magasin. C'était un véritable coup de chance qu'avait été à la faveur de Wang et ses collègues désormais la mission ce poursuivie dans la poterie. Notre jeune homme s'introduisit dans cette salle. Tous les pot étaient traditionnels et fait à la main avec des créations des plus splendide chacune. Le sergent fût tout de suite émerveillé par ces sculptures ne pouvant pas s'empêcher d'admirer. Les deux soldats de la marine se furent rapidement accueillir par le vendeur qui s'exclama en combinaison de son sourire sournois.

Bienvenue a la poterie du bonsaï pourpre puis-je vous renseigné ?

Le soldat pris instinctivement l'initiative de lui répondre. Ce n'était pas habituel pour un simple subordonné mais l'homme avait l'énorme impression d'être effacé de l'enquête et ainsi d'un ton assez froid il répondit au marchand.

Soldat de la marine en enquête, je voudrait vous posé quelques questions concernant une affaire de la plus haute importance.

Un sergent normale aurait tout de suite rappelé a l'ordre son sous-fifre, mais Wang était tellement fasciné par les sculptures qu'il avait rarement vu aussi jolie et ne semblait pas particulièrement concentré sur la mission donnée. Le fait de laisser l'initiative à son soldat de prendre en quelque sorte les rennes de cet interrogatoire était une également une excuse pour laisser place à sa curiosité sur cette poterie. L'homme au service du gouvernement mondiale continua alors ses questions.

D'après nos informations trois hommes suspects serait passé par votre magasin et seraient parties rapidement confirmer vous cela? Es que les hommes étaient de simples clients? Savez-vous où sont parties les trois personnes après être entrée ici?

Le soldat continuait a déballer tout son questionnaire. Il semblait extrêmement déterminer et voulait sans doute un grade en plus en récompense de ses prouesses dans cette mission. Le vendeur toujours souriant restait silencieux face à cela. Il semblait attendre que le marine déballe toutes ses questions pour en placer une. Il est vrai que notre petit compagnon ne laissait pas le temps à son interlocuteur de souffler il le matraquait avec son interrogatoire de "méchant flic". Il eu quand même un moment ou le soldat n'avait plus de questions et ce força d'écouter le marchand sans réagir au quart de tour. Après toutes les phrases posées les une sur les autres le potier pris une petite inspiration et dit d'un ton assez clair.

Pour répondre a toutes vos questions vous devez d'abord me rendre un petit service. Vous voyez toute ses pots poussiéreux?

Wang détourna le regard et aperçut une pile insurmontable de poterie ensevelit sous une énorme couche de poussière et une toile d'araignée qui recouvrait toute la marchandise. Alors, le vendeur leurs tandis deux plumeaux pour chacun d'eux. Inutile de vous dire que ce marchand veut que Wang et son subordonné face le ménage et qu'ils ont comme tâche de faire la poussière sur toute la pile de poterie. Le soldat de première classe ne l'entend pas braiment de cette oreille et commence à haussé le ton.

VOUS VOUS PAYER NOTRE TÊTE? HORS DE QUESTION QU'ON FASSE CELA. VOUS ÊTES EN PRÉSENCE DE L’AUTORITÉ MONDIALE JE VOUS RAPPELLE DONC VOUS VOUS PLIERAIT A NOS QUESTIONS !

Suite aux paroles de l'homme tenant "l'autorité mondiale" le potier sembla ignorer ses paroles et repris son travail habituel déçu de la réponse du soldat. Wang esquissa alors un large sourire. Sa curiosité débordante fit en sorte qu'il s'intéressa aux objets d'une grande valeur. Les nettoyer serait une approche meilleure de comment ils sont fabriqués et de la fragilité. Regardant le vendeur Wang s'exclama avec son large sourire.

C'est d'accord, nous acceptons votre aide en échange de vos réponses à nos questions. C'est le deal entendue ?

Le soldat fût très étonné par les mots que Wang affirmait il ne pouvait alors s'empêché de dire par pur réflexe.

Mais Sergent ..

notre jeune officier avait prévu une réticence de la part du soldat et il avait préparer sa phrase en lui coupant la parole.

Soldat, pensée à l'enquête. Pour le bien de la mission nous devons passer par cette étape.

Une des excuse les plus irréaliste que pouvait sortir Wang pour satisfaire sa soif de curiosité. Si il le voulait il pourrait obtenir un manda pour fouiller le magasin, mais cela ne l'intéressait pas en effet il préférait voir de plus prêt les sculptures que directement terminer cette mission. Les deux hommes se mirent alors à la tâche nettoyant jusqu'à la dernière poussière de la poterie. Ce travail leurs prirent une demie heure avant de tout avoir terminé. Le soldat était au bord de la crise de nerf, mais par respect pour sa récompense il fit ce que son supérieur lui demanda. Une fois terminée toute la pile de pot brillait de mille feux. Wang était ressortit de ce travail déçu car finalement c'était d'anciens modèles beaucoup moins beau que les nouveaux pots. Aprais celaWang pris la parole.

Désormais vous pouvez répondre a nos questions.

Le vendeur sembla hoché la tête suivie d'un sourire et leur dit simplement que c'était de simples clients venue chercher une commande. En revanche, il dit entendu vue du grabuge dans le dojo en face du magasin. Des cries et coup se firent entendre dans l'enceinte du bâtiment d'arts martiaux et cela était très inquiétant. Les deux marines remercièrent le vendeur et sortirent du bâtiment. Wang alla de suite prévenir son lieutenant à l'aide de son escargotphone.

Des cris et des du grabuge dans le petit dojo nommé "le venin de serpent"? C'était en effet très louche. Quelque chose c'était forcément passé dans cette salle d'entrainement et cela pouvait aussi avoir un rapport avec l'affaire. Le lieutenant qui dirigeait son équipe était en pleine réflexion. Ce n'était pas possible que ce soit de simples combat d'entrainement étant donné que le bâtiment était en pleine construction et rénovation des lieux, mais la véritable question était: es que cette mésaventure produite dans le dojo soit en lien avec l'enquête ou bien cela n'avait rien à voir. Cette mission commençais à devenir un véritable casse tête pour le lieutenant qui supervisait les opérations données non seulement car les pistes données ne menaient à rien pour l'instant mais aussi que les ravisseurs pouvaient prendre la fuite dès à présent. Il n'eut pas le choix, c'était une sécurité obligatoire que le lieutenant et le supérieur de Wang devait prendre. D'un geste vif de la main droite il contacta la base marine située sur l'île et dit d'une voix roque:

Je demande l'autorisation de fermé le port de l'Île du Karaté provisoirement pour évité toute fuite des voleurs contenant les dossiers.

Il Fallut attendre que la demande soit accordée et cela pouvait prendre plus d'une heure. Ce n'était pas une demande normale. Cela impliquait que toutes les marchandises de l'Île Karaté soient interdit pour le moment et la discussion devait se faire entre tous les officiers de la base. La tension devenait de plus en plus palpable malgré tous les efforts de l'équipe à Wang aucune information sur les ravisseurs était donné. Mais en un instant un appel d'éscargotphone venait de sonner. Le lieutenant pris automatiquement l'objet et déclara un "Allô ?" rapide.

Mon lieutenant, c'est l'équipe chargée de surveillés les environs du quartier nous avons aperçu deux hommes capuchonnés se déplaçant à une bonne cadence on ne sait où.

Le lieutenant grandement surpris parce qu'il venait d'entendre réagit assez rapidement d'une voix toujours aussi rigide.

Prenez les en filatures et soyez le plus discret possible. Faite en sorte de ne pas vous faire repérés.

Après avoir entendue un "bien reçu" de ses hommes le lieutenant avait peut-être un espoir. Cependant, il fallut éclaircir ce qu'il c'était passer au venin du serpent et Wang lui fit bien savoir qu'il allait élucidé ce mystère. Le lieutenant restait vers l'entrée de la ville centrale attendant des nouvelles, prêt à intervenir.

Pendant ce temps Wang et son collègue arrivèrent en face du bâtiment indiqué et entrèrent sans plus tardé dans la zone. Plusieurs menuisés et maçons étaient présents pour la rénovation de la salle et tout semblait ne pas être terminé. Au milieu de tous cela, un homme en kimono semblait supervisé la construction de son lieu de travail et était bien trop concentré à données des ordres aux ouvriers que de s'apercevoir qu'il y avait deux membres des forces de l'ordre chez lui. Wang et son subordonné s'avancèrent laissant entendre des bruits de pas. Après quelques secondes d'inattentions le professeur de karaté accueillit les deux hommes d'un salut traditionnel et expira un peu pour laisser dire.

Que puis-je faire pour vous officier ?

L'homme qui venait de poser cette question semblait être d'un caractère assez calme et serein ne semblant avoir rien à se reprocher. Wang analysa les lieux pour ensuite tourner ses yeux à moitié fermer sur la personne qui venait de lui poser cette question. Il voyait que son interlocuteur était en mesure de coopéré rapidement et le sergent s'exclama.

Nous avons entendue dire que des coup et cries on été entendue à l'intérieur de ce bâtiment. Que c'est il passé dans cet endroit?

Le Karatéka semblait être assez surpris de ce qu'il avait entendue. Il écarquillait les yeux et leva les mains en rétorquant.

C'est absurde, il n'y a jamais eu de problème ici et je peu vous en donné la preuve. Qui vous a tenue ces informations?

Le professeur d'arts martiaux ne semblait pas particulièrement mentir et était même extrêmement surpris parce qu'il venait d'entendre. Wang laissa un moment de réflexion pour lui répondre. Devait-il révélé ses sources ou restait il en retrait. Finalement, notre sergent opta pour la première solution, car il voyait bien que l'homme cherchait une explication a tout cela. C'est donc d'un éclaircissement de la voix qu'il affirma.

C'est le vendeur de poterie qui ma révélé cette information.

L'homme du dojo fronça alors les sourcils. Il serrais son poing gauche et grinça des dents. Dans l'avis de Wang l'homme semblait ne pas particulièrement aimé le vendeur. C'était le cas, car la réponse qu'allait tenir l'homme allait révéler beaucoup de choses.

Le seul qui n'ait pas nette dans cette histoire c'est bien ce magouilleur de potier. Tous les soirs, plusieurs hommes capuchonné rentre chez lui avec une sacoche noire et ce depuis cinq jours.

Cela faisait deux voix contre une. Wang avait entendu la même chose que le vieillard de la taverne avait dit. C'était de plus en plus étrange et Wang devait agir rapidement. Il remercia brièvement son interlocuteur et partie à nouveau en direction du magasin de poterie.

Tout portait à croire que la clef de cette affaire était dans cette poterie ou en tout cas c'est ce que pensait Wang. Une fois sortie de la salle d'entrainement en construction le sergent reçu un appel de son escargotphone auquel il décrocha vivement.

Âllo ?

Mon sergent, nous avons besoin d'aide au nord du centre ville. Deux hommes armés nous tirs dessus.

L'outil de communication ce raccrocha et Wang courut dans la direction donnée. Il était fort probable que les individus étaient les coupables du vol des dossiers et qu'ils cherchaient à abattre les quelques marines qui avaient eu le malheur de les suivre. Une fois arrivée sur les lieux de la fusillade au côté du soldat qui l'accompagnait notre jeune homme était surpris de voir qu'il n'y avait personne. Les soldats affirmèrent qu'ils avaient battirent en retrait voyant les renforts d'autres équipes arrivé et affirma aussi que des hommes les avaient pris en chasse. On dirait bien que notre héros était arrivé trop tard mais enfin bon, il y avait une autre affaire qu'il devait élucidé et c'était le vendeur qui apparemment avait menti au jeune Yû et à son subordonné. Les deux ce mirent en marche vers le magasin et entrèrent sans même prévenir. À leurs arrivées il n'y avait personne pour les accueillir. Cela tombait bien Wang allait en profiter pour fouiller directement le lieu sans avoir d'embêtement avec le propriétaire. Il donna alors l'ordre à son collègue et a eu deux ils commencèrent à fouiller l'endroit. Il n'y avait rien d'intéressant à part des pots, des sculptures et des pots et les deux hommes avaient l'impression de perdre leurs temps ici. Wang se chargeait ensuite de fouiller le bureau de vente et ouvra tous les tiroirs. Ses yeux remarquèrent alors rapidement une fois le troisième tiroir ouvert qu'une lettre était cachée dedans. Il prit rapidement l'objet et lu ce qu'il y avait écrit. Simplement une phrase y était posté "retrouve moi à 16 heures au port." et il ne fallut pas longtemps pour que Wang fixa l'horloge aposté à l'entrer du magasin. Il était quinze heures cinquante-cinq. Wang alerta de suite son coéquipier et dit d'un ton rude.

Au port Vite !

Les deux compères foncèrent alors vers le lieu maritime et pris un bref instant pour analyser le port. Tous semblait désert pour le moment et les deux hommes attentèrent cinq minutes. Le bâtiment était généralement toujours habité par des marins et des soldats du gouvernement mondial qui préparaient leurs navires chacun de leurs côtés, mais il semblaient que cette fois-ci personne n'ait décidé d'y mettre les pieds. Cela pouvait arriver qu'il n'y ait rien à faire dans le port et qu'il soit abandonné mais cela restait quand même assez rare. Au bout de ce cour laps de temps passé une silhouette s'avança vers les deux hommes et Wang ne tardait pas de reconnaître cette silhouette. Il s'agissait en effet du vendeur de poterie qui se tenait face à eux le sourire au coin des lèvres. Il semblait habillé autrement en effet l'homme portait un accoutrement vert et une capuche qui laissait apparaître que son visage. Wang restait de marbre face à son suspect qui ne tarda pas à dire.

Bien comme promit tu est venue a l'heure.

Le soit disant potier portait une sacoche noire et derrière lui était positionné une petite barque. Il passa une minute avant que son acolyte sorte de l'ombre lui aussi capuchonné. Il était bien plus grand que son ami et ne tarda pas à dire.

Allons nous en, notre mission est terminé non ?

Ces paroles furent rapidement clair pour Wang c'était eux les ravisseurs qui avaient dérobé les informations des base marine de South Blue. Le sergent restait concentré sur la petite sacoche noire et pensa rapidement que c'était les dossiers de la base. C'était dès à présent du deux contre deux et notre jeune héros s'avança d'un grand pas en avant pour un peu plus ce rapproché de sa cible et les arrêtés. C'était sans doute la première fois qu'il dit cela dans sa carrière et il n'espérait pas que ce serait la dernière fois car ses paroles furent.

Au nom du gouvernement mondiale je vous arrête.  

Les paroles du sergent ne firent ni chaud ni froid aux deux hommes qui se retournèrent rapidement s'avançant dans la barque. Wang fléchit alors légèrement ses jambes ce préparant a interceptés les deux coupables. Mais à peine eu le temps de prendre cet appui que le soi disant vendeur de poterie dit d'un ton calme.

Tu nous avaient dit que tu viendrait seul débarrasse toi de ce type.  

CLACK !

D'un coup sec le sergent ce fit tranché horizontalement le dos par une lame positionné par son arrière. Il tourna légèrement la tête et vu que le coup était porté par son camarade soldat. À ce même moment il s'aperçut qu'il manquait un troisième homme dans le groupe des "révolutionnaires" et il ne fallut pas longtemps pour comprendre que son soit disant collègue n'était autre qu'un traître qui avait joué à un double jeu depuis le début. Wang tomba a plat ventre et le félon positionna sa lame vers la nuque de notre personnage. Sa y est la première mission du jeune Yû était la dernière. Lui qui avait espéré découvrir le reste du monde et de satisfaire sa curiosité tous cela n'allait bientôt avoir plus aucune importance. Le coup porté le fit peu à peu perdre connaissance et la pointe de la lame se rapprochait dangereusement de sa nuque. Au dernier moment il entendit un tir de pistolet a silex et vu brièvement la silhouette du lieutenant accompagné d'une dizaine d'hommes. Après cela il perdit connaissance.

                                       ...                 ...
Wang ouvrit les yeux. Il était dans sa cabine, couvert de bandages et regardait de droite à gauche. Il aperçut une lettre avec une petite bourse sur le côté droit. Il eut du mal à ce lever , mais avec de l'effort attrapa la lettre et l'ouvrit. Il y était marqué.

" Nous avons finalement intercepté les voleurs. La mission est un succès. Reposé vous et prenez 900 Berry's pour le dédommagement, merci de nous avoir sortie de cette situation épineuse."

La signature de son lieutenant y était indiquée à la fin de la lettre.