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Pourquoi je tombe encore sur une île avec un nom à la con...

Kurumu venait de quitter Torino avec un bon stock de provision, et surtout avec la carte en main. Celle ci semblait être plus précise que la précédente. On pouvait distinguer les différentes parties de l'île. Chaque parcelle semblait être prédéfinie et avait un nom, mais l'île en elle même restait inconnue.

Pourquoi je tombe encore sur une île avec un nom à la con... 1380654523-carte-au-tresor1

L'adolescente n'avait pas à ramer, puisque le vent était au rendez vous. En revanche, elle devait faire attention au moindre détail, comme par exemple trouver des grattes-ciels, ou même un port avec de grands bateaux, ou même une petite île avec un palmier. Elle avait toujours la mallette, mais ne l'ouvrit pas, et préférait attendre d'être dans un endroit sûr et surtout au calme. La pirate ouvrit son sac et mangea un bout de viande qui avait refroidit.

Elle venait de partir depuis près de trois heures, mais rien. Il y avait bien évidement quelques îles par-ci, par là, mais aucune ne semblait avoir de grandes villes, ou autres choses remarquables. C'est à partir de dix huit, dix-neuf heures du soir que la pirate aperçut ce qui semblait une petite île avec un arbre. De toute façon, avec la nuit qui risque de tomber dans approximativement une heure, la pause était conseillée. Elle s'arrêta donc sur ce petit îlot et mangea les fruits qui lui ont été offert par les indigènes de Torino.

Kurumu s'allongea sur le sable fin, sous le palmier puis s'endormit. Le lendemain, elle partit à l'aube après avoir regardé sa carte.
*Pourquoi aller au port, alors que je peux directement accoster vers le lieu du trésor ?*

Le vent étant absent, l'adolescente devait ramer. Elle arriva sans difficulté vers le lieu où reposait le trésor. Malheureusement, aucuns navire pouvait jeter l'ancre ici, puisqu'il y avait une falaise. Il était environ dix heures du matin quand elle arriva au fameux port. Celui-ci était bondé de bateaux de différentes tailles, allant d'une petite barque, aux grands vaisseaux. Kurumu ne savait pas trop si elle pouvait laisser la mallette, ou si elle devait la prendre avec elle. De toute façon, elle trouverais bien une auberge, donc l'ado préféra la prendre sur soi. Il valait mieux jouer la carte de la sécurité. Elle trouva une place assez rapidement pour son voilier et fit ses premiers pas sur cette île, qui semblait gigantesque.
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Le quai d'embarcation, un endroit idéal. Le soleil tapait assez fort rendant le sol chaud. Au loin, il y avait une plage pleine de parasols rayés de rouge/blanc, bleu/blanc et jaune/blanc. En face du port, il y avait une petite rangée de boutiques de souvenirs, glaces, vêtements. Les gens avaient tous le sourire, semblaient être tous aimable. Kurumu prenait du bon temps, cette île changeait de Torino qui était ni plus, ni moins qu'une grande forêt. Le retour à la civilisation lui faisait plaisir et toutes les personnes qui la croisait, la saluait et certaines lui offraient glaces, ou pâtisseries. Au début, elle disait bonjour. C'était la politesse, et l'adolescente malgré son caractère était bien éduquée. Cependant, elle refusait les pâtisseries. La cause était simple. D'une part, l'ado ne connaissait pas ces personnes, et d'autre part, elle ne savait pas ce qu'ils ont pu mettre dedans.

Le port était assez grand, et il était facile de se perdre. Elle regarda aux alentours pour tenter de trouver un auberge dans laquelle elle pourrait crécher. Soudain, un petit hôtel se démarquait des autres auberges et tavernes. Une façade blanche comme une crème, des balcons aux fenêtres pour égayer tout ça. Bref, une petite merveille. En entrant à l'intérieur, Kurumu fut déçu. En effet, le plancher grinçait à chaque pas, au plafond, il y avait de grosses tâches noires, et certains meubles étaient attaqués par les termites. Finalement, elle ne resta pas une seconde de plus et sortit.

L'adolescente regarda la carte, et vit que dans une partie de l'île, dans la même zone que la localisation du trésor, il y aurait un bar. Le seul hic était qu'il était loin, mais cela n'empêcha la pirate de se mettre en route. Dans tous les cas, elle allait devoir aller à la croix rouge, donc autant faire du deux en un. La demoiselle marchait tranquillement sans se presser, puisqu'elle voulait encore profiter de ce petit paradis. Elle espérait cependant que ce soit toute l'île complète qui soit comme ça, et pas seulement cette portion de terre.

Elle marcha longtemps, très longtemps, passant de la côte du Paradis à des forêts luxuriantes, et surtout en demandant son chemin à quelques personnes. Elle arriva vers une petite ville muraillée, quand un clochard lui dit :
-"Préparez vous à entrer dans Xak Tsaroth."
-"Qu'est ce que tu me dis toi. Dégage sale poivrot."
Kurumu avait horreur de parler avec des ivrognes, et même être proche d'eux. Pour elle, ces gens étaient comme des échecs. Encore, si c'était boire pour une fête, un heureux événement, elle s'en fichait, puisque son amie Jaz, jeune fille plus âgée que Kurumu (de deux ans)buvait souvent en soirée, et lors de fêtes. Une fois, elle l'avait invité à l'une de ses petites fêtes, et tout le long de la soirée, Jaz incitait la jeune fille à boire au moins un verre. Les amis de Jaz s'y étaient également mis. Kurumu refusait à chaque fois, mais Jaz était compréhensible, et ne voulais pas que l'on force son amie à boire.

Mais les personnes qui passaient leurs temps dans des bars à boire pour oublier leurs problèmes, ça, elle n'aimait pas. C'était une forme de lâcheté selon elle.

L'adolescente entra dans l'enceinte de la petite ville qui s'appelait Xak Tsaroth, et comprit pourquoi le clochard ivrogne, lui avait dit ça. C'était une petite ville avec quelques bâtiments de trois, quatre étages, quelques maisons solide, résistant à différents climats, par-ci,par-là et le chemin principal qui menait directement au bar. Le sentier était droit, et le bar était en face de l'entrée de la ville. Pour un bar, c'était plutôt chic, bien présentable. Il ressemblait fortement à un chalet. Le bar était tout en bois, avec une cheminée, et quelques pots de fleurs sur la terrasse.

Kurumu entra et tout le monde la regarda. Elle était un peu gênée, mais alla voir le gérant pour savoir si il louait des chambres, et si il y en aurait une de libres. Avec le sourire, il lui donna une clé, et lui servit à petit coup à boire. Il disait que c'était sa tournée. Malgré que la chambre était vide, celle-ci semblait chaleureuse. Il y avait de belles couleurs et une peinture accrochée au mur. La chambre avait un lit, une salle de bain, toilette et une armoire. L'ado ouvrit l'armoire et vit qu'il y avait du linge propre, plié et ranger, avec une petite étiquette.

"Servez vous, y'en à pour tous les goûts."

La pirate ne se priva pas, mais était tout de même fatiguée, il lui fallut plus de sept heures de marches, en comptant les différentes pauses effectuées au cours de la traversée. Elle s'allongea dans le lit.
*Où est ce que je suis tombée ? Pourquoi les gens sont tous sympa alors qu'il ne me connaisse pas ? Il soit y avoir un truc de louche. Mais je devrais me reposer, car demain risquerait d'être une longue journée.*
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Au petit matin, la jeune fille se leva. C'était l'une des rares fois ou elle avait bien dormi, sans être dérangée par les bagarres, les cris, et par les animaux qui renversaient des poubelles. Elle fit sa toilette puis descendit alla au comptoir pour prendre quelques forces. Kurumu voulait aller directement au trésor pour quitter cette île louche. La joie et la bonne humeur était au rendez vous. La pirate faisait abstraction de ce bruit, et partit du bar, en précisant qu'elle reviendra pour la nuit.

Elle savait pertinemment que ce qu'elle recherchait ne se trouvait pas dans la ville mais à l'extérieur, et avait prévu une gourde d'eau, ainsi que quelques aliments dans un sac. Un chemin cimenté, une petite ville joyeuse, des gens heureux, c'est ce qu'elle allait quitter en sortant de l'enceinte. Kurumu s'apprêtait à sortir quand soudain le clochard de l'autre soir apparut de nulle part.
-"Préparez vous à sortir de Xak Tsaroth !"

Elle ne lui prêta pas attention. En dehors de la ville, c'était le désert, c'est à dire qu'il n'y avait rien. Du sable à perte de vu, des dunes et le soleil. Cependant, la température n'était pas excessive, et il ne faisait pas quarante à quarante cinq degrés. En gros, il faisait bon. La demoiselle qui était en t-shirt et jupe marchait tranquillement et se rendait vers le sud. Au sol, il y avait déjà des traces de pas, ce qui intriguait la jeune fille. Elle pensait qu'elle allait se faire devancer.

Au loin, une grille. En s'approchant, celle ci était chaude et il y avait une pancarte avec les instructions suivantes :

"Danger ! Défense d'entrer !
Champs de mine !
Merci"

Par delà les grilles, il semblait y avoir des hangars abandonnés en tôle froissée, avec des couleurs de guerre, tel le vert kaki et marron. Cependant, elle n'avait pas le choix, et devait escalader le grillage, mais aussi éviter le champ de mine. Enfin, si'il existait vraiment. La jeune aventurière commença l'escalade, quand une personne arriva. Au début, elle ne le vit pas, mais c'est une fois en haut du grillage, qu'elle l'aperçut et tomba de l'autre côté.
-"Salut, moi c'est Jean-Mamadou. Toi aussi tu cherches le fameux trésor de cette île ? Tu sais qu'il y en a beaucoup qui ont tenté et beaucoup sont mort dans cette zone puisque comme c'est écrit, il y a des mines. Certaines ont réussi à traverser, et se sont retrouvés coincer de l'autre côté."
-"Mouais... Moi c'est je m'en fous de ton histoire. De toute façon, à tous les coups, il n'y a plus de mines, puisqu'elles ont du toutes explosées lors des précédentes tentatives. Du coup, laisse moi, j'ai un trésor à récupérer."
-"Et bien bonne journée."

Kurumu avait confiance en sa déduction et s'avançait lentement. Il n'y avait pas de pierres autour d'elle, et donc fit ses premiers pas en espérant de pas perdre de jambes. L'ado ferma les yeux et mit son pied au sol. Il ne se passa rien, et réitéra l'action. Rien non plus.
*C'est confirmé, il n'y a plus de mines. Donc je peux marcher tranquillement, sans me soucier de quoi que se soit.*

Au fil de son avancée, les cadavres se faisaient de plus en plus nombreux, et certains étaient entassés les uns sur les autres. Le point commun était la perte d'une ou de leurs jambes, mais en tombant, certains ont du activer des mines, qui explosaient à la tête ou aux bras. Le champs de mine étaient long mais Kurumu en voyait le bout, et aperçut une sorte d'entrepôt. Il n'était pas de la même matière que les hangars. Il était en béton armé avec du fil barbelé. Le seul moyen pour entrer était par la porte qui ne s'ouvrait qu'avec un artefact en forme de rond.
*Putain, il me faut une clé à la con. Mais elle peut être n'importe où ! C'est comme chercher une aiguille dans une motte de foin.*

Un homme sortit d'un des hangars désinfectés et s'approcha de Kurumu. Il était petit et portait un bonnet phrygien.
-"Félicitation, yeunne fille. Yé soui Yean-Immigré. Tu é la premier gen à réoussir cét aipreuv. Ta raicompanse é oune imformation sour la traisor. Tu dois allé dan chaque raigion du l'île pur trouvé oune clé. Aprais, tu dois té rendre à les cité perdue pur trouvé l'objet temps comvoitait et qui ouvrait lé porte. Bonne chancé, yeune fillote."

*J'ai pas trop compris ce qu'il m'a dit, mais je sais une chose : Qu'il fallait que j'aille dans tous les endroits de l'île pour trouver une clé. Et ben, ça ne risque pas d'être de la tarte, mais rien ne m'est impossible.*

Et c'est ainsi qu'elle partit vers Taste of Ink Tattoo pour avoir la première clé, bien qu'elle ne savait pas à quoi elles pouvaient bien ressembler.
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La pirate marcha donc jusqu'à sa nouvelle destination. Elle ne savait pas trop à quoi s'attendre. Les deux première région de l'île,-dont elle ne connaissait toujours pas le nom-, était vraiment sympathique. De toute façon, elle le saurait bien assez tôt, puisqu'une pancarte indiquait "Vous entrez dans Taste of Ink Tattoo".

C'était une ville qui avait à chaque coin de rue un tatoueur. Certains étaient polyvalents, et d'autres étaient spécialisées dans une ou deux choses. Comme dans les autres régions, celle-ci était bien vivante. Les gens sortaient, se promenaient sous le soleil. Mais une chose frappa Kurumu. Une grosse majorité de personnes semblaient être tatouées, mais l'adolescente ne perdait pas son objectif de vue.
*Il faut que je trouve une clé dans une grande ville. Je ne sais pas à quoi elle ressemble, et peut-être n'importe où. Si je n'ai pas d'indice, je ne pourrais pas avoir le trésor, et j'aurais fait tout ça pour rien.*

La demoiselle sortit sa carte et regarda si elle n'avait pas oublié un petit détail, qui empêcherait la compréhension de l'énigme, et vit le symbole de la région qui pointait un endroit.
*C'est ça, je dois aller voir à la pique, peut-être que l'on me guidera. Mais il y a un problème majeur, il faudrait que je parle avec des gens, et des inconnus.*

Dix minutes venaient de s'écouler, et elle commençait à avoir faim. La jeune fille chercha donc un restaurant pour manger. Il devait être aux alentours de midi, ou de treize heures. Kurumu trouva en entra dans un gîte. L'intérieur était peuplé, mais le plat du jour était frites à volonté pour six cent berrys seulement. Le restaurant était très bien organisé. Il y a avait une salle cuisine, où seul le personnel était autorisé à entrer. Ensuite, il y avait la salle à manger rempli de tables à quatre places, et un peu plus loin, mais toujours dans la même pièce, il y avait les bac à frites, boissons et couvert. Kurumu s'installa à une table et posa ses affaires, avant de se servir.

Le repas était fin prêt, et Kurumu était content de manger quelque chose d'autres que des fruits et de boire de l'eau.
*Frites et jus de pomme à volonté, quoi de mieux...*

A sa table, les trois autres personnes, fort aimable, se présentaient à la jeune demoiselle, qui mangeait tranquillement et qui n'avait rien demandé. Le premier disait se prénommer Jean-Dracaufeu, le second Jean-Kebab, et le troisième Jean-Chalumeau. Cependant, comme à son habitude, elle ne leur répondit pas, mais vit un truc qui pourrait l'aider dans sa quête. En effet, Jean-Dracaufeu avait sur son bras un tatouage en forme de clé, clé permettant  d'ouvrir une serrure. Elle fixa longuement le bras de celui-ci et lui demanda :
-"Qui te l'a fait ce tatouage ? Où je pourrais le trouver ? J'ai besoin de savoir."
-"La clé ? C'est Jean-Tattoo que tu devrais trouver au sud de l'île, voire de la région."

Une personne arriva vers eux car il venait d'entendre Jean-Tattoo.
-"Il a de la chance, il a eu son tatouage par la personne qui a fondé cette région. Je rêverais de me faire tatouer par ce gars. Et je m'appelle Jean-Kévin. A ma table, il y a Jean-Neymar, qui aurait un frère du nom de Jean-Victimise, ensuite à côté de lui, j'ai Jean-Insignifiant, et en face de celui-ci, il y a Jean-BienTaGrotte."

Pendant qu'il continuait de discuter, Kurumu était pensive.
*J'en étais sûre, il faut que j'aille au sud, et à moi la première clé.*
Elle finit son assiette et quitta le restaurant.
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Une fois en dehors du restaurant, la jeune fille soupira un bon coup. En effet, aller au Sud de cette région était une grosse de perte de temps, et surtout, c'était vraiment loin. Elle s'assit sur un banc, en attendant de trouver un moyen pour s'y rendre. La marche ne la dérangea pas spécialement, mais le tour de l'île à pieds, plus les allez-retour, et le temps que ça prendrais n'enchantait pas l'adolescente.

Un homme en armure et portant deux boucliers à chaque mains se posa sur le bac à côté de Kurumu, qui s'éloigna en se mettant au rebord du banc.
-"Vindieu, j'en peu plu moi." Il jeta un oeil à sa droite et vit la fille en jupe, et tenta la discussion. "Je ne t'ai jamais vu dans les parages, tu dois être une touriste. Enchanté, je suis Jean-Bouclier. Tu dois te demander pourquoi je suis en armure et en bouclier ? Et bien pour la petite histoire, c'est que je me fais racketter par la bande à Jean-Rachide, et donc pour me protéger, je me ramène avec des boucliers."
-"Mais elle est géniale ta vie... Plus sérieusement, je m'en fout. Ce que je veux c'est un moyen de transport pour me rendre au Sud, mais que tu me racontes l'origine de ton prénom. A plus minable."

Kurumu s'en alla et commença à marcher. Rester sur un banc, n'allait pas l'aider à approcher du trésor.  Elle du passer sous un pont qui semblait assez long, et peu éclairé. Il y avait des tags de partout de partout même au plafond, qui étaient vraiment très moches. Il y avait des insultes, et des dessins bizarres. Des voix et un pleur pouvaient s'entendre au loin, et tout à coup, un gamin courut vers l'entrée du tunnel en pleurant.

Cela ne l'effraya pas. L'adolescente se voulait courageuse. Par le passé, pas si lointain tout de même, elle avait déjà vu des gens mort, et surtout, même si ça lui déplaisait, elle avait déjà tuer des gens. Donc elle reprit son chemin, jusqu'à arriver au lieu dit. Un groupe de dix personnes s'avancèrent vers la gamine et l'encerclèrent. Le chef vint à elle.
-"T'sais qu'ici, c'est chez nous. C'est mon territoire. Donc pour passer, soit tu casques, soit tu manges. Y'a pas cinquante milles solutions. T'a aucune chance, nous sommes dix, et toi seule. Je suis Jean-Rachide. Mon gang...."
-"T'as fini ? Sérieusement, je m'en fous de ta vie. Laissez moi passer."
-"Jean-Mouloud, Jean-Mamadou, Jean-Racaille et Jean-Wesh et les autres, attaquez cette garce qui m'a manqué de respect."

Jean-Rachide, avait un survêtement bleu flashi et un t-shirt de la même couleur. Il avait un dégradé horrible, et quelques cicatrices au coude et au genou. Jean-Mouloud, était l'illéttré du groupe. Lui aussi avait une cicatrice mais au visage, et était vraiment maigre.
Jean-Mamadou était gros et noir, aux cheveux gras, crépu et bouclé. En revanche, il faisait trop sombre pour avoir un quelconque détail sur Jean-Racaille.
Le chef de la bande voulait s'approprier l'île et avait déjà tenter un coup d'état. Il avait échoué. Son échec était dû à sa faible puissance. Depuis ce jour, il errait dans le tunnel pour racketter les enfants, les filles, en gros, tout ce qui pourrait lui être inférieur.

Kurumu ne pouvait rien faire face aux dix personnes, dont l'une d'elle venait de dérober sa Pourfendeuse du ciel. Elle voulut lui courir après, mais des gens lui sautèrent aux jambes, entraînant sa chute. Une fois à terre et sans défense, elle se faisait ruer de coups. Cependant, l'adolescente ne gémit pas, jusqu'au moment où Jean-Mamadou lui fit une clé de bras. Elle essaya de se débattre, mais se fut vain quand soudain, un homme sur un cheval apparut. Le groupe de guignol arrêtèrent, et le gars qui venait de voler l'arme de Kurumu la déposa près du sol.
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Cette mystérieuse personne n'était pas visible dans l'obscurité du tunnel, mais seul son cheval, d'une couleur rouge orangée flamboyait dans les ténèbres. Sa crinière et sa queue brillait tel le feu sacré de Ho-oh (oiseau légendaire aux couleurs de l'arc en ciel). C'était un grand et magnifique cheval. Il était comme une étoile dans la nuit. Kurumu, toujours au sol, ne put quitter son regard de l'étalon.
-"Eh toi ? Mais tu te crois où ? C'est mon territoire, alors dégage. Je te donne une chance, après nous nous occupons de ton cas."

L'homme ne répondit pas, mais descendit du cheval. Chacun de ses pas firent un petit bruit. Il ne semblait pas avoir peur du groupe et marchait dans leur direction. Jean-Mouloud alla voir Jean-Rachide, et lui dit quelque chose qui le rendit pâle. Il expliqua que ce cheval n'était autre que Red Hare le cheval pouvant parcourir mille kilomètres en une journée, et domptable seulement par un seul et unique homme. Et c'était cet homme qui s'approchait lentement du gang.

Red Hare:

Jean-Rachide commençait à trembler et s'écria :
-"Nous te laissons passer, va-t-en, sinon... sinon... ils s'occuperont de toi."
-"Viens donc ! Je vais tous vous défaire."

Il ramassa la Pourfendeuse du ciel, mais Kurumu ne voyait toujours pas la tête de l'homme. Finalement, l'inconnu alla sous le spot du tunnel qui clignotait. On pouvait le voir de façon discontinue. Il garda l'arme sur soi, mais dégaina la sienne. Une hallebarde, de couleur rouge comme le sang, et noir comme les ténèbres.

Quand à l'inconnu, que dire... Il était la puissance incarnée. L'homme mesurait plus de deux mètres, pour vingt neuf ans. Il était vêtu d'un ensemble noir, symbolisant sa noirceur, et d'une ceinture rouge. Sur son buste, se dessinait le visage d'un démon, montrant la cruauté qu'il pouvait montrer à l'humanité. Kurumu avait des étoiles dans les yeux. Son sauveur était trop dark. Elle lui esquissa un sourire, mais l'homme ne la regarda pas.

L'homme mystérieux:

-"C'est votre fin. Vous ne pourrez plus faire marche arrière. Les gens de votre genre doivent éradiquer une bonne fois pour toute. Vous serez les premiers d'une longue liste."

L'homme s'approcha rapidement du petit gang qui semblaient être déstabilisés. Kurumu se releva et regarda la scène. L'inconnu était le dieu de la guerre. Il maîtrisait les deux armes à la perfection. Les balles des pistolets étaient déviés, il faisait des mouvements fluides, souples, rapides. La jeune fille était choquée, c'était la première fois qu'elle vit une personne manier mieux qu'elle la Pourfendeuse du Ciel, excepté son maître sur Ptyx qui lui avait enseigner les rudiments.

Le combat dura près de cinq petites minutes. Le groupe de Jean-Rachide était décimée. Kurumu s'approcha du cheval rougeoyant qui se fit repousser par les hennissements et les coups de tête, porté par celui-ci. La fille tomba, le cheval était près à charger, jusqu'à que l'homme arrive à temps. Il calma sa monture et la chevaucha.
-"A vue d'oeil tu n'as rien de casser. Et ne me remercie pas ! J'avais un compte à régler avec ces déchets. Qu'est ce que tu faisais dans cet endroit ?"
-"Ça ne te regarde pas. Mais j'ai besoin de ton cheval. Je dois allez au Sud, puis dans toutes les régions de l'île."

Il éclata de rire, puis redevint sérieux.
-"Tu es à la recherche de ce trésor inexistant. Et de ces clés... C'est bien les gamines qui recherchent se genre de chose."
-"Je ne..."
En un instant, il arriva devant Kurumu et lui mit l'index devant la bouche, pour lui dire de se taire.
-"Déjà reprend ton arme, et ensuite, je veux bien t'accompagner, puisque j'ai rien à faire. J'espère seulement que tu pourras me divertir."

Elle poussa l'index de son nouvel allié.
-"Déjà, je ne suis pas une gamine. Et je ne suis pas non plus un clown."
-"Je suis le grand, le puissant, l'unique Lu Bu. Et toi ?"
Kurumu était hésitante, et pensive.
*Je lui dit ou pas ? Il m'a tout de même sauvé, alors qu'il ne me connaissait pas ?*
-"Malgré ce que tu as fait, et ce que tu vas faire pour moi, je ne peux pas te dire mon nom. Je ne te fais pas assez confiance."
-"A la bonne heure... Allez monte derrière moi, on va aller là ou tu dois te rendre en moins d'un quart d'heure. Mon cheval est le plus rapide et le plus puissant de Grand Line, et plus loin."


Dernière édition par Sound L. Kurumu le Sam 11 Jan 2014 - 23:17, édité 1 fois
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En un éclair, ils sortirent du tunnel, et mieux, ils étaient proche de la destination. Red hare trottait, et Kurumu sortit sa carte et la montra à Lu Bu qui jeta un rapide coup d'oeil. Ni une, ni deux, il alla là où l'adolescente voulu aller. Il ne fallut pas dix minutes au cheval pour arriver devant la bâtisse, qui n'était autre qu'une petite boutique. Le symbole représenté sur la carte était le même que celui de la boutique de Jean-Tattoo. Kurumu entra et demanda à Lu Bu de l'attendre ici. Cela ne plaisait pas l'homme qu'une gamine lui donne des ordres, et partit hydrater son magnifique cheval.

L'adolescente entra dans le magasin de tatouages. L'intérieur était étroit, mais trouva une personne, qui portait des carreaux.
-"Bon je ne vais pas y aller par quatre chemins. J'ai besoin des clés pour ce foutu trésor. Ne pose pas la question, je vais te dire pourquoi je suis venue à toi. J'ai fait le lien entre une clé tatouée d'un gars qui portait ton insigne, et ce même symbole qui était sur la carte. Je n'avais plus qu'a suivre le chemin indiqué. Donc je voudrais cette clé."
-"Tu es la seconde à faire un lien entre la clé et moi. Je devrais te féliciter, mais tu as été devancé. Un groupe de personnes est arrivé, il y a même pas dix minutes, et voulait trouver la personne, qui fait office de clé, pour la donner en pâture aux requins. Ma vie était menacée, mais je peux toujours te dire où se trouve cet homme actuellement et quel est son nom. Peut-être que tu pourras le sauver avant qu'il ne meurt. Il s'appelle donc Jean-Z et tu pourras le trouver dans le bistrot qui s'appelle Tattoo Paradyse. Sur ce fillette, j'ai un client qui devrais pas tarder."

Kurumu sortit mais ne trouva pas Lu Bu. Son absence l'énervait et la stressait. Elle devait retrouver Jean-Z avant qu'il ne meurt. Elle commença alors à courir et réfléchit.
*Donc l'autre est dans un bistrot, et mon sauveur à surement du nourrir son cheval. Donc je dois sois trouver le bar, soit un abreuvoir. Et ben putain, c'est pas gagner.*

L'adolescente tournait la tête de partout, mais ne voulais pas demander de l'aide aux passants. Elle voulait se débrouiller seule, puisqu'elle se considérait comme une grande. Finalement, elle entendit du grabuge et alla voir, par chance et par hasard, ça aurait pu être l'assaut du groupe sur Jean-Z. A son arrivée, elle vit les fenêtres du bar brisées, et Red Hare, en train de s'abreuver. Kurumu entra en trombe et vit l'impensable. Le bar était retourné, une vingtaine d'homme était à terre en train d'agoniser, et un seul d'entre eux était debout. Cet homme n'était autre que Lu Bu. A ses côtés en position foetal, se trouvait la clé, c'est à dire Jean-Z.

Il ria à gorge ouverte.
-"Alors la môme, tu en a mis du temps. Heureusement que je suis entré dans ce bar, sinon, il serait mort à l'heure qu'il est. Je sais que c'est lui dont tu as besoin, j'ai entendu la conversation. Ça disait que ce gars n'est autre que la clé. Donc c'est quand tu veux qu'on bouge."
-"Laisse moi le temps de regarder, mais l'important c'est qu'il est sauf."
Jean-Z suivit son sauveur, et Kurumu prit la tête de marche. Il fallait trouver un endroit tranquille pour pouvoir continuer l'aventure.

Ils trouvèrent une auberge non loin du bistrot, et y entrèrent. Lu Bu entra avec Red Hare, sans se soucier du monde qui l'entourait. Il ordonna au gérant de lui donner une chambre au risque de sa vie. La chambre obtenue, tout s'y rendirent.
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C'était une chambre assez miteuse, peu de meubles, des murs qui s'effritaient, des taches au plafond qui rendait le tout délabrés. A chaque pas, le parquet grinçait, ce qui énervait Lu Bu. Jean-Z enleva son t-shirt rayé de blanc et de bleu pour montrer le tatouage. Celui-ci était immense. Il allait de la nuque aux hanches, en passant pas les bras et le torse. En le regardant de plus près, ce n'était autre que la carte de l'île, avec toutes les régions dessinées et dans chaque région, il y avait une croix. Surement la localisation des clés.

-"Red Hare n'aime pas cette pathétique auberge, allons nous en. Toi, la môme, tu pourras monter derrière moi, en revanche, pour ce gars, c'est refusé d'office. Soit il se trouve un cheval, soit il fait le chemin à pied."
-"Je ne suis ni une môme, ni une gamine. Arrête de m'appeler comme ça."
-"Et bien tant que je ne connaîtrais pas ton prénom, je continuerais. Et si tu n'es pas contente, tu peux toujours trouver quelqu'un d'autre."

*Il m'énerve avec ses grands airs...*

Jean-Z intervint et les prévint qu'il était recherché par un petit comité, et par conséquent, ils risqueraient d'avoir des ennuis. Kurumu et l'homme incarnant la peur et les ténèbres s'en foutaient, et partir d'ici. L'adolescente avait tout de même mémorisé l'endroit de la seconde clé de la région qui était intitulé "La Grotte Satanique". Elle ne savait pas à quoi s'attendre, mais envisageait déjà le pire. Lu Bu était déjà partit et attendait les retards à terre.

-"Bon, on va où ?"
-"A la grotte satanique, mais avant il faudrait qu'il trouve un cheval."
Ils laissèrent partir Jean-Z à la recherche d'un étalon. L'attente fut longue, très longue, les heures passaient, et Kurumu faisait les cent pas. Elle avait peur qu'il se soit fait la malle. Soudain, un peu avant la tombé de la nuit, la carte mobile revint avec un destrier marron.
-"T'as vu le temps que tu as mis ? Maintenant, il va falloir manger et dormir quelque part. Tu aurais pu prendre tout ton temps. Tu viens de me foutre les boules exposant mille. J'espère que tu connais un endroit tranquille ? Au moins pour essayer de te racheter."
-"Laisse tomber, je ne dors pas dans des endroits pour les pauvres. Je vais trouver un hôtel quatre, cinq étoiles pour mon étalon. Un cheval de ce calibre ne se trouve pas de partout. Je dois en prendre soin, j'y tiens comme la prunelle de mes yeux."
-"Et l'argent, tu le trouves où ? Réfléchi un peu."
-"Pas besoin de quoi que ce soit, seulement de mon air tyrannique. Un refus, et je raserais l'hôtel. J'espère que tu seras prête à combattre, car mis à part te plaindre, et jouer à la rebelle, tu n'as rien fait de surprenant."
-"Je ne te permet pas de me parler comme ça. Sinon tu risquerais de t'attirer ma colère, et ça, ce n'est pas très joli à voir."
-"La colère d'une misérable gamine qui n'a pas réussit à battre le pseudo-groupe de Jean-Rachide. Laisse moi rire morveuse. Tu n'es qu'une faible, et tu resteras faible. Dans la vie, si tu n'as aucunes personnes à éliminer, alors tu resteras faible."
-"Ah ouai, je vais te faire ravaler tes paroles sale merde ambulante. Je vais te le faire regretter !"
-"Aucuns mortels, ni même aucun dieu ne s'adresse à Lu Bu avec tant d'insolence et de vulgarité. Gamine, tu viens de signer ton arrêt de mort."

Il descendit de son cheval, s'avança lentement vers la gamine, qui n'avait pas le choix. Elle devait utiliser sa technique Kienzan. C'était l'un des seuls moyens pour tenter de prendre l'avantage. L'ado lança son Shuriken géant, qui subissait des rotations sur lui-même. Lu Bu avait vu le coup, et sauta par dessus, puis retomba au sol, sur ses pieds. Il continuait de marcher vers la gamine qui esquissa un petit sourire, qui avait comme signification la victoire. Cependant Lu Bu para le retour du Shuriken avec son hallebarde. L'arme tomba au sol, et l'ado n'avait plus le choix. Elle s'élança sur celui, qui l'évita, et lui mit un coup de genou dans le ventre. Kurumu cracha du sang et était allongée par terre.

Elle essaya de se relever, mais Lu Bu la prit par les cheveux, et lui éclata la tête au sol, mettant fin au combat.
-"Ne jamais, défier un seigneur de guerre. Ton insolence a été récompensé. Je ne vais pas te tuer, tu es trop jeune. Maintenant on y va. Je n'ai pas toute la nuit."
Kurumu était inconsciente, et son sauveur qui venait de lui donner une bonne correction, la posa sur Red Hare, qui se mit à trotter. Jean-Z suivit sans broncher, car il ne voulait pas finir comme la gamine.

A son réveil, elle était dans un lit très confortable. Les draps et toute la pièce sentait le propre. Elle avait un pansement sur le nez, des bandage un peu de partout. A ses côtés, assis sur une chaise Lu Bu était là. Kurumu le regarda, puis s'endormit sans lui dire un mot.
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-"T'as bien dormi ? Finalement, y'a pas eu de casse. Ils étaient un peu réticent à l'idée de faire dormir un étalon dans leur établissement, mais dès qu'ils le virent, ils ne purent qu'accepter. En plus, tout est gratuit, et nous avons nourriture à volonté. Mais bon, je veux savoir ton nom. Je veux connaître ton nom, toi qui a osé me parler comme si j'étais ton ami d'école."
-"Et tu crois que je vais te le donner, après ce que tu m'as fait, tu peux te mettre le doigt dans l'oeil. Je ne te fais pas confiance. J'ai déjà été trahi plus d'une fois, je ne veux pas répéter ces actions."
-"Pour te montrer que tu peux avoir confiance en moi, je vais te raconter un petit quelque chose sur moi. Puisque je m'ouvre à toi, j'attend que tu fasses de-même."
-"Qu'est ce qui me dit que ça sera vrai ?"
-"Tout simplement car Lu Bu, l'homme le plus puissant n'est pas un menteur."
-"Bah vas-y, raconte moi ton histoire. Je vois déjà le truc inutile. Mais j'accepterais de te dire mon nom. Si tu me fais confiance, alors j'ai confiance en toi."
-"Ça c'était passé un soir,en 1601, j'étais alors âgé de cinq ans. Mes parents m'avaient placé dans une famille d’accueil. Lorsque j'avais dix ans, j'avais rencontré la personne qui devint mon maître, et m'entraîna à l'équitation, l'arc et aux maniements d'une très grande majorité d'armes. A quatorze ans, je retournait voir mes parents en mode V comme vendetta, et je les éliminais froidement. Je suis aussi allé voir la famille qui m'avait accueillit, et je leur ai fait subir le même sort qu'à mes parents, et ceux, sans aucune raison. Tout ceci  c'est passé sur cette île. Une fois la majorité atteinte, je pris la mer, en quête de duel. Les hommes étaient tous faibles et je suis revenu ici. J'envoie dans l'au delà, toute les personnes qui se parle sur mon dos, à cause de mon nom. Quelques fous ont osé se moquer de moi, car je ne m'appelle pas Jean-quelqueChose. Si tu l'a remarqué, mais toutes les personnes ont un nom qui commence par Jean-.... Ensuite, j'ai été voir mon maître, celui qui m'a tout appris, et je l'ai supprimé de ce monde. car nous sommes sur l'île des Jean. Voilà pour la petite histoire. A ton tour ma grande."
-"Mais tu es un grand malade dans ta tête ! Tu tues pour le plaisir. Mais bon, tu fais ce que tu veux. Je m'appelle Sound L. Kurumu, mais je préfère Kurumu."
-"Sound L.... Mais c'est..." murmura-t-il, puis il reprit. "Jean-Z va venir avec le repas, je te laisse un jour de repos, avant qui nous quittions cet hôtel. Et ne t'en fait pas, je garderais un oeil sur lui."

Il sortit de la chambre quand jean-Z entra avec de la nourriture. Kurumu mangea puis s'endormi directement. La nuit était calme, les murs insonorisés, il y avait des volets qui ne grinçaient pas, les lattes du lit pareil. C'était comme de dormir sur un nuage après avoir mangé Kinder Maxi.
Le lendemain matin, Kurumu se fit réveiller par Lu Bu qui lui dit de se préparer en vitesse car la route allait être longue. L'adolescente avait encore mal, mais fit sa toilette, prit un bain, et sortit de l'hôtel. Tous l'attendirent devant. Elle monta sur Red Hare et reprirent leur route vers la grotte satanique.
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Le cheval acquis par Jean-Z était à la traîne, et Lu Bu ne put s'empêcher de le lui faire remarquer. Quant à l'adolescente, celle-ci avait encore mal, et le réveil brutal lui avait donné mal à tête. Sur Red Hare, il était presque impossible de voir une quelconque partie du paysage, tellement il allait vite. Il enjambait les barrières, passait dans les ruelles, et entre les maisons à une vitesse fulgurante. Les passants s'en fichait un peu, et trouvait que ça mettait de l'animation dans la région. Ils allaient bientôt sortir de Taste of Ink Tattoo. Kurumu était en train de dormir debout, alors que Lu Bu venait d'arrêter son cheval à quelques mètres de la Grotte Satanique, en attendant que Jean-Z le rattrape.

Il arriva au bout d'un quart d'heure. La raison pour laquelle Jean-Z les suivait, était qu'il était encore en vie à cette heure ci. Lu Bu ne voulait réveiller la demoiselle en train de dormir, et demanda de ce fait ou était la seconde clé. Il ne savait pas trop, mais la région de la Grotte Satanique devait se trouver vers les côtes. Cependant, le sauveur des deux personnes présentent ici, reprit la marche. A tous les coups, la clé serait dans la montagne.

Cette région n'était autre qu'un four. C'était le désert, une température externe avoisinant les quarante degrés. La traversé allait être rude. Du sable, il y en avait en veux tu, en voilà. Aucun arbre, aucun animal n'était visible. Jean-Z commença à se plaindre de la chaleur, Kurumu continuait de dormir, et Lu Bu avança fièrement comme un grand guerrier honorable et respectable. Un peu plus loin, ils virent la première trace de vie, morte. C'était un squelette humain. Au fil de la marche, des squelettes de petits animaux et d'animaux allant jusqu'à la taille d'une vache, étaient visibles.

Kurumu se réveilla vers les midis.
-"On est où ? Pourquoi il fait si chaud ?"
-"Enfin réveillée... Nous sommes sur le chemin pour aller à la Grotte Satanique. Et c'est le désert. Mais un conseil, évite de parler, tu risquerais de finir comme ça" en pointant du doigt Jean-Oscar, qui n'était qu'un squelette.
-"J'ai soif ! Trouve moi de l'eau.
-"Je t'ai demandé de la fermer. Garde donc ta salive. Si vous avez envie de boire, vous n'avez qu'à scruter les horizons et trouver une oasis."

L'adolescente préféra ne pas lui répondre, pour ne pas l'affronter de nouveau. Pas d'hôpitaux aux alentours, donc si'il lui arriverait quelque chose, elle serait dans de beaux draps. Le reste de la chevauchée se faisait dans le calme. Lu Bu ne s'en faisait pas pour son magnifique étalon qui avançait lentement, mais surement. Il expliqua vite fait, qu'il ne fallait prendre son temps, pour ne pas mourir déshydrater. Courir dans un désert et le soleil ne faisait, font, feraient pas bon ménage.

C'est dans la fatigue et le désespoir, que l'espoir revint. Après des longues, très longues heures de marche, ils aperçurent la grotte au milieu d'un lac.
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Kurumu et Jean-Z descendirent de leur cheval respectif et coururent vers le lac pour s'y désaltérer. L'ado remplit sa gourde et en profita. Quant à Lu Bu, il s'avança tranquillement avec toute la classe d'un grand guerrier reconnu sur toutes les mers. Il avança son cheval pour qu'il puisse s'hydrater. Celui-ci accorda une pause pour tout le monde. Il voulait continuer l'aventure dans le calme et sans plaintes. La pause terminée, Kurumu remonta derrière Lu Bu, Jean-Z suivait. Ils firent le tour du lac pour trouver un éventuel passage, ou une éventuelle entrée dans la grotte. Ce qui semblait l'entrée était visible, mais il n'y avait aucun passage. Le seul moyen était de traverser à la nage, ou à dos de cheval. Cette hypothèse ne plaisait pas à Lu Bu, qui ne voulait pas que son étalon se retrouve mouillé, mais savait que cette trempette ne pouvait que lui être bénéfique.

Il prit le soin de lui mouillé la nuque pour ne pas qu'il attrape une hydrocution. Et c'était partit pour l'exploration de la grotte. A leur arrivée, celle-ci était sombre et quelque peu inondée, environ cinq centimètres de flotte. Les stalagmites et stalactites étaient très peu visible dans l'obscurité de la grotte. Seul Red Hare brillaient. Sa crinière couleur feu éclairait la caverne. Au loin, des flambeaux étaient accrochés aux parois, dessinant un chemin. Jean-Z ne voulait pas l'emprunter, car il sentait l'embuscade. Lu Bu et Kurumu n'était pas de cet avis, et foncèrent tête baisser.

Sur les parois, il y avait des dessins, mais ceux ci ne semblaient pas dater de la préhistoire. Kurumu ne put pas voir les détails car Red Hare était dans sa course, et arriva au bout d'une dizaine de minutes dans une grande salle. Au sol, un pentagramme. Un peu plus en hauteur, un bureau en bois de chêne massif. Au dessus de celui-ci, un portrait d'un homme roux avec des tâches de rousseurs. Il y avait des cordes, et des statuettes de démons. On pouvait facilement les distinguer car ces statues avaient des cornes, une queue qui finissait par un pique, et une fourche. L'atmosphère était bizarre, et flippante.

Kurumu tourna chercha du regard la clé pour partir au plus vite de cet endroit. Mais rien, seulement une sorte d'incantation. Tous se rendirent vers le chant et virent l'impensable. Un homme était attaché à un pilier, et à ses pieds, il y avait des bûches prêtent à s'enflammer. Le point commun entre tous ces personnes, ils étaient tous roux.
-"Allélouya mes frères, que cet individu rejoignent les rangs de Satan en enfer" disait l'un d'eux.

Jean-Z leur demanda d'intervenir, mais Kurumu refusa. Comme elle disait si bien, chacun sa merde. Celui-ci voyant la flemmardise que faisait preuve l'adolescente, cria dans la grotte, attirant tous les regards vers ceux ci.
-"Des intrus ? Avant d'attaquer, je vais leur demander le but de leur venu. Alors pourquoi êtes vous ici ? Pourquoi nous déranger dans un rituel spirituel ?"
-"En gros, nous cherchons une clé."

L'homme aux cheveux court et roux, sortit de la poche de sa tenue de chaman, une clé.
-"Cette clé là est pour celui que nous vénérons."
-"Dans ce cas, nous allons te la prendre par la force."
Il appela une trentaine de personnes tous rouquins.
-"Jean-Satan, Jean-SupôtdeSatan, Jean-rouquin, Jean-SansAmes, Jean-Roukinitude, Jean-CraintLesRayonsdeSoleil, Jean-Malsain et Jean-Dégueulasse débarrasser nous des ignobles personnes."

-"Une tripotée de rouquins ne pourra pas me vaincre. Je suis le meilleur."
-"Nan c'est moi la meilleure."
-"C'est ce que nous allons voir. Prête moi ton arme, je vais te montrer un petit quelque chose."
Kurumu la lui laissa, et Lu Bu courut vers l'armée de "Satan".
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Lu Bu était en train de combattre sous les yeux de Kurumu, qui restait bouche bée. Elle l'avait déjà vu combattre, mais voir tous ces rouquins périr sous son courroux l'étonnait. Ce combat était différent de celui avec Jean-Rachide, la pseudo racaille de Taste of Ink Tattoo, et de sa petite bande. Là, il combattait contre plus de vingt roux, et il ne s'était pas encore fait toucher. Il évitait les balles de pistolet, tranchait les gens en deux, ou en quatre, suivant son humeur. Cet homme représentait le mal absolu. Le pire, c'est qu'il maîtrisait son hallebarde et la Pourfendeuse du Ciel avec une aisance et une habilité déconcertante. Il ne restait qu'une dizaine de personnes encore debout.

-"Eh la gamine ! Ouvre bien tes mirettes, je ne te le montrerais qu'une fois. Une fois que tu l'auras vu, je te laisserais combattre. Je n'allais tout de même pas faire tout le boulot."
-"Je ne suis pas une gamine. Je te l'ai déjà dit. Et je ne veux pas combattre, j'ai encore mal."
-"Si tu ne combats pas, alors je pars, en te laissant tout seul face à ces gens, et face à ta quête. C'est toi qui voit."

Elle grommela puis accepta la requête de Lu Bu, qui s'apprêtait à faire un truc de dingue.
Ça y était, le seigneur de guerre se prépara. Il lança alors la Pourfendeuse du Ciel. Celle ci tournait sur elle même, jusque là, rien de bien intéressant. Mais arrivée vers un rouquin, celle ci donnait l'impression de voir plusieurs shuriken géant se diriger vers les ennemis. Il y avait bien qu'une arme, mais la technique employée par Lu Bu en faisait environ cinq, six. Le tir était très rapide et très puissant, permettant ainsi de ne pas remarquer la véritable arme. En plus de cela, il avait donner un effet boomerang, et c'était un tir à effet. C'est à dire que l'arme déviait soit à droite, soit à gauche.

Avec cette technique, il élimina sept rouquins en une fois. Kurumu voulait l'apprendre, et savait déjà comment s'y prendre. Elle n'aurait qu'à le saouler jusqu'à ce qu'il cède. Il ne restait alors que trois sous fifres, et le chef du nom de Jean-Satanique. L'adolescente arriva près de Lu Bu, qui lui passa le relais.
-"Je vais vous maudire, craignez la puissance de la rouquinitude, et allez brûler en enfer. Vous ne pourrez pas battre de fidèles serviteurs. Les rouquins domineront cette île, South Blue, toutes les Blues et Grand Line."

Il sortit un sceptre de chaman, pour un éventuel combat. Il fallait avant tout que Kurumu se défasse des rouquins qui lui barrait la route, permettant d'avoir la clé. Ceux ci n’excellait pas dans le domaine du combat, et l'adolescente savait tout de même se battre. Elle se débarrassa d'eux aisément, mais ne les tua pas. Il ne restait alors que le dernier rouquins, qui s'écroula sous des coups de feu. Ça ne pouvait pas être l'adolescente, ni même Lu Bu ou Jean-Z. Cependant, celui-ci cria qu'ils étaient arrivés.

Ils levèrent la tête, et virent la personne qui venait d'abattre Jean-Satanique.
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C'était une personne qui semblait être déterminé, prête à tout pour avoir cette clé. Cela se voyait à son regard, qui était enflammé. Il était comparable à un nain, et était brun. C'était un jeune homme, d'une vingtaine d'année. Jean-Z avertit Kurumu et Lu Bu que c'était cet homme qui voulait le capturer, car il renfermait la clé du trésor. Les deux complices s'en foutaient royalement, mais Lu Bu ne bougea pas. Il préférait voir de quoi était capable la jeune fille, avant de bouger de son destrier. L'inconnu entouré de gardes du corps, qui étaient au nombre de cinq lança l'assaut. Ils étaient tous avec la boule à Z, de peau noire, avec de grosse lunette de soleil.

Il leur fallut peu de temps, avant d'arriver devant Kurumu. Le chef du groupe disait s'appeler Jean-VenduRêve, et fit preuve d'un peu de sympathie puisqu'il dit à la jeune fille, que ces hommes maîtrisent chacun un art martial, et l'un d'eux l'art de l'assassinat. Ils arrivèrent devant Kurumu et s'apprêtèrent à l'attaquer. Ils furent interrompus par leur chef qui leur proposa de combattre un à un, chacun leur tour, comme si elle devait combattre que le conseil des quatre.

Le premier homme se mit dans le pentagramme qui délimitait l'arène. Il se présenta brièvement et expliqua sa spécialité. Il s'appelait donc Jean-Boxe, et était spécialisé dans la boxe. Il donna quelques coups dans le vide pour montrer à la pirate sa vitesse d'exécution, et sa rapidité. Kurumu haussa le sourcil, et posa sa Pourfendeuse du ciel en dehors de l'arène. Jean-Boxe fut surpris de la réaction de la môme, et lui dit qu'elle n'aurait aucune chance si elle combattait sans son arme, et qu'il fallait mieux pour elle, qu'elle la récupère.
-"Mais tu es folle ? C'est du suicide ! Reprend ton arme si tu veux avoir une chance de gagner. En tout cas, je ne t'aiderais pas si tu es dans la merde. Actuellement tu risques de perdre."
-"Je veux un combat équitable. Ça on ne le saura pas tant que je n'aurais pas essayé."
-"On aura pas essayé ta mort ! Mais fait comme tu le sens morveuse."

Le dernier mot de Lu Bu vexa Kurumu qui frappa de la paume de ses poings, qui ne prit pas la peine d'éviter. Il ne sentait pas les coups de la gamine, mais lui décocha un crochet du droit, qui la fit reculer. La pirate était sonnée et voyait des Jean-Boxe de partout. Celui-ci en décocha une seconde, puis une troisième, et s'arrêta à la quatrième. Il était sympa, puisqu'il laissa le temps à l'ado de s'en remettre.
*Il avait raison. Mais je ne dois pas le lui montrer. Je dois le battre, car après tout, je suis la meilleure. Je dois le vaincre en touchant son point faible.*

Gauche, droite, droite, gauche était les coups portés par Jean-Boxe, mais Kurumu comprit le truc, et évita les coups.. Il alternait généralement un coup du gauche, deux du droit, deux du gauche, un du droit, etc... Elle attendit le bon moment, celui où il ferait une erreur en perdant son sang froid, par le fait qu'il n'arrive plus à toucher l'adolescente.
Cette erreur arriva vite. Kurumu évita les coups, et lui donna un violent coup de pied dans les bijoux de familles. Il s'écroula au sol.
-"Au suivant ! Et tu vois bien que j'ai gagné ! Cesse donc de dire des âneries."
-"Achève-le, s'il se relève, tu ne pourras plus utiliser ta technique du désespoir."
-"Je ne veux pas le tuer ! Je ne suis pas une sauvage."
-"Tu dis être une grande, mais tu laisses une personne en vie alors que celle ci vient de se faire humilier. Tu n'es qu'une lâche."
-"Tu l'auras voulu !"

Elle prit son arme, et la planta dans le dos du premier garde.
-"Tu es content maintenant. Tu aurais pu le faire en y repensant."
-"Je ne vais pas tout te mâcher. Tu te considères comme grande, alors débrouille toi pour le reste du combat. Fais en sorte que tu ne m'as pas rencontré, et que tu ai atteins cet endroit seul, avec l'aide du froussard."

Le second arriva sur le pentagramme. Les coups de Jean-Boxe étaient assez puissant, et venaient de faire quelques bleus au joli visage de l'héroïne.
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Comme le précédent, il se présenta. Le second garde du corps disait s'appeler Jean-KungFu spécialiste...du Kung fu. Mis a part ça, il ne disait rien de plus et se mit en garde. Kurumu se mit les mains sur les hanches et attendait qu'il fasse un quelconque mouvement.

Quant à Lu Bu, il se demandait si elle allait tomber dans le panneau. La méthode de Jean-KungFu était basé sur la contre-attaque. Il devait parer les coups pour pouvoir pleinement utiliser les différents styles. Lu Bu était courant de cela, puisque son défunt maître lui avait fait la même combinaison, et lui avait également enseigné les dix styles et quelques frappes de la main tel le poing simple, qui consistait à frapper du poing. Celui-ci pouvait être à l'horizontale, ou bien à la verticale. L'oeil du phénix ( poing fermé, frappe avec la deuxième phalange de l'index en avant soutenue par le pouce. Les frappes précises demandent une certaine maîtrise), la patte du Léopard (paume ouverte, pouce fermé et les deux premières phalanges de la main fermées. Utile pour les piques, les paumes et les saisies), la griffe du Tigre (paumes en avant, doigts crispés pour saisir et griffer), et la paume du Tigre (paume ouverte, tous les doigts repliés de façon à frapper avec le plat de la main) étaient les autres frappes que maîtrisaient Lu Bu.

L'adolescente en avait marre d'attendre et le frappa du poing Jean-KungFu qui esquiva le coup grâce à la technique du Pas Rasant. Il la jambe avant est tendue, la jambe arrière pliée. Le pied de la jambe arrière est tourné à 45° vers l'extérieur, le genou suit le même axe. 70 % du poids repose sur la jambe arrière, qui était une position de défense et d'esquive.
Derechef, il passa à la position du Chat, et enchaîna Kurumu du pied, et la fit tomber. Cette posture était sur une jambe, pointe du pied avant tendue, légèrement au-dessus du sol buste central. 100 % du poids repose sur la jambe arrière. Cette position permettait de frapper du pied très rapidement.

L'ado se leva et ne savait pas comment le vaincre. A chacun de ses tentatives d'attaque, elle se faisait repousser. Lu Bu soupirait dans son coin. Le fait de voir la môme se faire mettre en échec par un gars qui ne maîtrisait pas complètement les positions l'énervait.
-"Bon la gamine. Tu as dix minutes pour le mettre au tapis. Prend une seule double lame de ton arme, et tu pourras en venir a bout facilement. Si'il se protège, alors il perdra son bras. C'est aussi que simple que ça."
-"C'est plus facile à dire qu'à faire...T'es drôle toi. Mais comment tu sais pour la double lame ?"
-"Cherche pas à comprendre, c'est une longue histoire. Si tu le bats en moins de dix minutes, je te l'expliquerais. En attendant, je ne veux pas m'éterniser ici. Donc je m'occuperais des trois guignols pendant que tu combattras."

Il récupéra la clé dans la poche de jean-Satanique avant d'être interrompu par Jean-Sumo, comparable à un éléphant chauve porteur d"un mawashi, par Jean-Judo, et par le dernier du conseil des quatre était le professionnel de l'assassinat, Jean-Assassin.

mawashi : Définition pour ceux qui ne connaîtrait pas ^^:

Kurumu écouta le conseil de Lu Bu et avait dans ses mains un manche avec deux lames au bout. Elle commença le round deux et frappait de temps en temps verticalement, et des fois horizontalement, sans grande conviction. Jean-KungFu évitait des pas sur le côté, ou se baissait. Voyant que ça n'aboutissait pas, elle eu l'illumination. Si elle maîtrisait le Kienzan avec la Pourfendeuse du ciel, elle pouvait tout bien la maîtriser avec les deux manches. Elle ramassa donc le second manche, et lança le premier sur son adversaire. Cinq secondes plus tard, elle lança le second. Bien entendu, le coup était facilement évitable, mais Jean-KungFu fut surpris quand le premier lancé lui transperça l'intestin. Le second coup toucha évidement sa cible, puisqu'il ne pouvais plus bouger.

Les deux manches revinrent vers Kurumu, puisqu'elle avait basé ce coup sur sa technique qui consistait à faire en sorte que la Pourfendeuse du Ciel tranche tout sur son passage, et qu'elle ai l'effet boomerang. L'homme s'écroula et l'ado retira ses armes du corps qui laissait couler du sang sur le sol. Leur chef s'était échappé, Lu Bu venait de terminer et avait sur lui la clé. Il ne leur manquait plus qu'à sortir d'ici, et d'aller dans une nouvelle région.
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Ils sortirent de la grotte, et étaient de nouveaux exposés au soleil et à la chaleur. Kurumu regarda la carte pour connaître leur nouvelle destination, qui était "La Citadelle des Impôts".
-"Apprend moi la technique que tu m'as montré !"
-"Tu n'as pas le niveau. Tu es encore trop faible."
-"Tu sais que tu as le don pour m'agacer ?"
-"Je peux en dire de même la morveuse. D'ailleurs, tu devrais cacher ta tête, tu as un oeil au bord noir qui se dessine."

Elle mit sa main sur son oeil et retourna à la charge.
-"Apprend la moi ! Je veux que tu me l'apprennes."
-"Seulement si tu arrives à battre ça."

Il pointa du doigt un ver de terre géant et énorme de couleur rouge avec de grosses pinces juste avant sa bouche. Jean-Z eut quelques frissons dans le dos, mais se rappelait qu'il était avec un guerrier, et avec une gamine, qui malgré son apparence, savait se battre. Lu bu arrêta Red Hare dans sa course, et attendit que Kurumu en termine avec cet annélide.
-"Si je le tue, tu me l'enseigne ?"
-"Il faut que tu le tues d'abord, et c'est pas gagné."
-"Je vais en finir avec ma technique, comme ça se sera régler."

Lu Bu savait qu'elle technique elle allait faire, et pensait que ça marcherait. Après tout, ce n'était qu'un gros ver. Il avait les même propriétés biologiques qu'un ver de terre normal. D'un coup de Kienzan, elle coupa le ver de terre en deux.
-"J'aurais du te trouver un adversaire plus difficile à tuer."
-"Allez apprend moi la technique maintenant. Tu dois tenir promesse."
-"Je n'ai jamais promis quoi que ce soit. Et dernier avertissement. Ne me donne pas d'ordre. Je n'avais pas envie de combattre, et j'ai utilisé la technique de la carotte."
-"Tu me l'avais dit. Je crois que tu n'as pas compris à qui tu avais à faire. Donc soit tu me l'apprends, soit je te règle ton compte. Monsieur à un cheval, sait combattre et se prend pour un guerrier... Mais tu n'es qu'un looser à la con et pour couronner le tout, tu n'es qu'un menteur."

Cette dernière phrase n'avait pas plus à Lu Bu, qui se retourna, prit Kurumu par les cheveux, et la lança par terre. Red Hare s'arrêta alors que le guerrier avançait vers l'adolescente qui venait d'avoir mal.
-"La première leçon ne t'as pas suffit ? Alors soit, je vais te remettre à ta place. Je vais te faire ressentir la peur à un point, que tu trembleras rien qu'en me regardant."

Il s'acharna sur la jeune fille sans défense. Coups de poings, coups de pieds dans le ventre. Il la souleva, la passa par dessus sa tête, et la projeta violemment sur le sable. l'ado essaya de se relever, et se mit à quatre pattes. Elle saignait du nez, de la bouche, et était marquée de bleu aussi bien au visage que sur le reste de son corps. La colère de Lu Bu était interminable. Kurumu était affalé sur le sol, et continuait de recevoir une pluie de coup, quand Jean-Z demanda au persécuteur d'arrêter. Il aida ensuite la pirate à se relever, et la mit sur son étalon, puisque Lu Bu n'en voulait pas. Du moins, il ne voulait pas de personnes blessées sur son destrier.

Cependant Kurumu n'était pas inconsciente, et voyait le tyran au loin, qui semblait se rendre à l'endroit voulu d'après les propos de Jean-Z.
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La chaleur étouffait Kurumu qui tentait de lutter contre le sommeil. Elle était allongée sur le cheval qui marchait lentement. C'était décidé, la demoiselle ne voulait plus adresser un seul mot à Lu Bu. Elle lui en voulait à mort. Depuis qu'elle venait de se prendre une correction, la traversée du désert se faisait dans le calme, aucun bruit, excepté le déplacement des grains de sable par le vent. Un peut plus tard, ils sortirent du désert et arrivèrent devant une très grande et haute muraille. Derrière, quelques toit de gratte-ciel étaient visibles.
-"Avant de continuer la recherche de clé, on l’emmènera à l'hôpital. Elle en a besoin. J'espère que tu sais ou il y en a un. Car pour le moment, tu ne nous a servi à rien."

Il lui dit qu'il en connaissait un réputé pour administrer de bon soins. Deux gardes étaient devant la porte, mais ce n'était pas des marines. Leur rôle était de demander une taxe pour pouvoir entrer. Lu Bu commença à s'énerver, prit son hallebarde et s'apprêta à trancher l'un d'eux, jusqu'au moment, où Jean-Z paya la taxe. Il expliqua à celui-ci et à Kurumu, que c'était une très grande ville et qu'il y avait la présence de marine. Cette ville était constituée d'une grande majorité de gratte-ciels, buildings, banques et des centres commerciaux. Que les hôpitaux étaient très chers. Lu Bu s'en foutait, mais avait des raisons à rester discret. Il espérait aussi que la gamine n'ai rien fait de mal  et qu'elle ne soit pas connu ici.

Ils pénétrèrent dans la ville, et Jean-Z n'avait pas menti. A leur arrivé, une rangée de cinq grattes-ciels de part et d'autres de la rue. Des marines par duo ou trio étaient postés de partout. Jean-Z les guida jusqu'à l'hôpital, qui se trouvait un peu plus loin. La propreté et l'hygiène régnaient dans la Citadelle des Impôts. Cependant, il y avait peu de lumière, car les rayons du soleil ne passait pas au travers des bâtiments, ce qui expliquait le fait que les lampadaires étaient allumés.

L'arrivée dans l'hôpital se fit dans la bonne humeur. Lu Bu était descendu de Red Hare, et le laissa à l'entrée, puisqu'il n'y avait pas d'écurie. Il porta la gamine sur son dos, et entra.
-"Laisse....moi. Je n'ai....pas...be..soin de..toi."
-"D'accord."

Il la lâcha par terre. Derrières les vitres, les infirmiers virent la scène, et accoururent vers la môme toute abîmée. Ils la placèrent délicatement sur la civière et l'emmenèrent dans une chambre inoccupée. L'un des infirmiers dit à Lu Bu qu'il était inconscient de laisser tomber une personne si fragile.

Kurumu était dans la chambre pleine de sang et avait du mal à respirer. Le drap blanc devenait rouge. Lentement, elle ferma les yeux.
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Un petit comité de personnels hospitaliers était autour de la jeune fille pour la soigner du mieux qu'ils pouvaient. Au milieu de l'intervention, Lu Bu ouvrit la porte dans un fracas assourdissant, mais ne put aller plus loin, car des infirmiers l'empêchèrent de la voir, tant que son état ne s'était pas stabilisé. Il sortit et attendit avec Jean-Z. De longues heures passèrent, et ils parvinrent à arrêter les saignements, et à soigner le reste des blessures. Kurumu s'endormit pendant trois jours et deux nuits. A son réveil, ses deux complices étaient là, mais n'adressa pas un mot à Lu Bu. Elle avait des difficultés à parler, et cela s'entendait. Sa voix était faible et inaudible.
-"Jean-Z montre nous où se situe la seconde clé."
-"Dans ton état, tu n'irais nulle part. Tu ne serais même pas capable de faire un pas devant l'autre."

Elle n'écouta pas un seul mot du discours de Lu Bu, et Jean-Z enleva son T-shirt. Il fallut retrouver l'endroit sur le corps de celui-ci, et une fois trouvé, elle vit que le trésor était caché dans un bâtiment. Jean-Z précisa que ce gratte-ciel appartenait à Jean-AiRienAFoutre, grand homme d'affaire, et craint par ses concurrents. Ça n'allait pas être facile, car il y a des den den de surveillance de partout, des vigiles, des gardes et même des gens de la marine. Bref, pour le voler, ça n'allait pas être facile, mais pouvait augmenter leur chance de réussite si ils étaient plusieurs. Il continua en disant qu'il connaissait des personnes, qui sont des amis, et qui lui doivent un petit truc. Cependant, il lui faudrait au minimum trois jours pour les rassembler. Kurumu, dans son état, ne put qu'accepter.

Jean-Z quitta l'hôpital. Il ne restait que Kurumu et le tyran. L'atmosphère de la pièce était tendue, quelques infirmiers regardaient par la fenêtre si il allait lui faire du mal.
-"Bon, je ne te le dirais qu'une fois. Soit un peu plus curieuse. Première chose : je lui ai demandé pourquoi c'était lui qui avait le tatouage de la carte avec les différentes croix. Il m'a répondu qu'il était un ami de l'homme ayant organisé cette chasse, et que ce même homme est décédé il y a quelque temps de cela. Deuxièmement : je vais t'expliquer comment faire la technique. Je te laisserais cinq essaies après t'avoir expliquer comment le faire. Je te l'expliquerais trois fois. Si avec tout ça tu n'y arrives pas, alors tu te débrouillera sans moi. "

Elle ne l'écouta pas, et lui tourna le dos, regardant par la fenêtre la ville qui venait de s'éclairer. Ce comportement énerva Lu Bu, qui partit en claquant la porte.
*Il croit qu'il va m'avoir avec son mensonge. Et dire que je me suis confier à lui. Mais peut-être que cette fois c'est vrai ? Si ce ne serait pas le cas, il ne m'aurait pas dit tout ça. La nuit porte conseil, je verrais bien plus tard.*
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Les journées passèrent lentement. L'adolescente qui était encore à l'hôpital n'avait toujours pas adressé un mot à Lu Bu. Soudain, quatre jour après le départ de Jean-Z, celui-ci revint avec une petite dizaine de personnes. Il leur expliqua que c'était des amis qui pourraient les aider à infiltrer le gratte-ciel de Jean-AiRienAFoutre. L'une des raisons étaient qu'ils n'aimaient pas la façon de faire de ce grand homme d'affaire, et qu'il voudrait le faire tomber. Kurumu leur expliqua d'une voix vive, qu'elle ne voulait que la clé, et rien d'autres.

Ils partirent en attendant qu'elle se rétablissent pour échafauder un plan, qui permettrait la réussite optimale de cette mission. Le séjour à l'hôpital venait de faire du bien à la mineure, qui se sentait en pleine forme, malgré le cache-oeil destiné à cacher le coquard, et les diverses pansements qui parsemaient son corps. Mis à part quelques petites douleurs, elle se leva et s'habilla. Il était hors de question qu'elle perde encore plus de temps.

La demoiselle voulu sortir de l'hôpital , mais les médecins demandaient l'argent pour les soins effectués. Kurumu n'en n'avait pas sur elle, ou ce qu'elle avait ne suffisait pas. En sa possession, il n'y avait qu'une centaine de berrys, qu'elle avait laissé au bar. Lu Bu arriva au secours de la môme. Décidément, c'est l'homme de toutes les situations.
-"Toi, le vieux ! Lâche cette gamine. Peut-être que les gens paient pour des soins, mais pas moi. Le grand et unique Lu Bu accompagné de son fidèle étalon Red Hare, ne suis pas qu'une loi : LA MIENNE !! Maintenant, enlève tes mains de cette fillette, sinon tes employés devront recoudre ta tête sur ton coup."

Il la lâcha sous la menace de cet impitoyable homme. Kurumu ne le remercia pas et sortit. Ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas respirer de l'air frais.
-"Jean-Z, emmène moi devant la bâtisse de ce gars, je vais faire un premier repérage. Ensuite, il nous faudrait le plan de l'immeuble de chaque étage. Et si il y a des gardes, ou des den den de surveillance, il faudrait savoir où ils se trouvent."

Jean-Z leur expliqua que l'un des leurs travaillait pour le détenteur d'une des clés, et qu'il pourrait facilement avoir les plans. Ils arrivèrent devant l'immense bâtiment. D'une couleur obscure, il faisait plus d'une soixantaine d'étages. Kurumu resta bouche bée devant l'immensité et la grandeur de la demeure. A l'entrée deux vigiles et quatre marines. Jean-Z demanda à l'ado et à Lu Bu de le suivre dans ce qui serait leur planque. Ils marchèrent dans la grande ville éclairée sur un chemin cimenté bleuté, pendant au moins quarante minutes, et arrivèrent devant un entrepôt désinfecté et abandonné. A l'intérieur, tous étaient présent. Quelques meubles, tels les armoires, tables, chaises, tableaux, cuisine, frigo et canapé y étaient posés.
-"Bon on n'a pas toute la nuit. Ramenez vous, on va établir le plan."

Ils arrivèrent comme des fleurs et se présentèrent. Il y avait Jean-Plumeau l'écrivain. Lunette, cheveux bouclés châtains, gabarit normal; Jean-Neymar l'asiatique du groupe. Assez mince, yeux en amande, cheveux noirs; Jean-Darmerie le marine ripou; Jean-Pintade le deux-tensions. Enrobé; Jean-Flasque l'homme qui transpire le plus au monde; Jean-poisse le porte malheur. Chauve, et porte toujours sur lui un fer à cheval et un trèfle à sept feuilles; Jean-Prolo le Tanguy. Vivant toujours avec ses parents alors qu'il a trente ans; Jean-Puceau qui ne l'a jamais fait. Blond décoloré, fort en combat, fou dans sa tête et n'ayant pas peur des représailles; Jean-Phoque l'animal. Toujours avec deux ou trois otaries, c'était le clown de la bande. Jean-Shi rien sur lui. L'homme le plus normal du groupe. Et pour finir, il y avait Jean-Merde, l'homme d'affaire, qui veut faire tomber son ennemi de toujours Jean-AiRienAFoutre.

La team réunit, l'élaboration du plan allait commencer.


Dernière édition par Sound L. Kurumu le Dim 13 Oct 2013 - 20:30, édité 1 fois
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Jean-Darmerie expliqua rapidement qu'il pouvait entrer dans "Cash Rules everything Building" et y sortir quand il voulait. Et c'était Jean-Flasque qui travaillait là-bas.
-"Si vous avez accès au building du gars, alors prenez les plans de chaque étage, de toutes les salles. De toute façon, nous n'avons pas le choix, il nous faut les plans, sinon, on ne pourra rien faire. Une fois ces papiers acquis, nous aviserons pour la suite."
-"Laisse faire gamine, ce n'est pas comme ça que nous réussirons. Nous devons les empaler, les anéantir sans rien prévoir. La stratégie mène nulle part, si une seule chose manque, alors tout tombe à l'eau."

Jean-Puceau était totalement d'accord avec ce dernier, mais Kurumu rétorqua :
-"Je te le rappelle au cas où, tu es le seul qui sache combattre super bien. Les autres, je ne sais pas, mais je ne pense pas qu'ils sachent utiliser une arme. Et du dix contre cent, non merci. Je suis encore jeune pour mourir."
-"N'oublie pas ce qui c'est passé les deux dernières fois où tu m'as répondu. Je peux toujours te faire très mal... Mais comme j'avais dit que je ne suis là qu'en soutient, donc fait comme tu le sens."

Il s'en alla et Jean-Plumeau fit une remarque très intéressante. Si deux personnes pouvaient entrer dans "Cash Rules everything Building", comment le reste allait pouvoir entrer ? Jean-Darmerie leur expliqua que les cinq premiers étages étaient pour le restaurant. Mais que le repas coûtait extrêmement cher, et qu'à l'entrée, il y avait une sélection. C'est à dire que les gens qui avait l'apparence d'un pauvre, était refusé d'office, même si il avait de quoi payer.
*Si l'entrée est infranchissable, alors me faut un autre moyen, mais quoi ?*

Elle regarda autour d'elle et au dessus d'elle, et eut l'illumination. Au même moment, Jean-Prolo trouva un moyen, et l'exposa. Selon lui, ils pourraient passer par les égouts. L'adolescente lui répondit séchèment :
-"Hors de question. J'ai une meilleure idée, mais j'aurais besoin de Jean-Plumeau et de Jean-Neymar. Après toi tu peux explorer les égouts avec le reste, mais je ne pense pas que le gars qui vient de partir nous suive."

Kurumu les prévint qu'ils commenceraient le repérage et le vol de plans en début d'après midi. Elle les laissa à la table de réunion, et alla voir Lu Bu. Il s’entraînait à manier son hallebarde, et s'arrêta lorsqu'il l'entendit approcher.
-"Qu'est ce que tu me veux ?"
-"Apprend moi la technique !"
-"J'ai bien lu dans tes yeux, et dans ton comportement que tu ne souhaitais plus me parler, et plus me voir. Cependant, pour des raisons que je ne peux pas t'exposer, je dois rester avec toi. Je ne m'attendais pas à te rencontrer, mais puisque c'est fait.... Je vais te la montrer et te donner la méthode, comme je te l'ai dit à l'hôpital. Mais pas tout de suite. Le rassemblement des plans sera plus ou moins long, donc je te l'apprendrais à ce moment."
-"Comme par hasard... Toujours une excuse bidon."
-Dans ton état faiblard, tu n'arriverais à rien. Fin de la discussion. Ne commence pas à me les briser."

L'adolescente quitta Lu Bu et se posa dans le canapé, en attendant que ce soit l'après midi.


Dernière édition par Sound L. Kurumu le Dim 13 Oct 2013 - 20:31, édité 1 fois
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Il était l'heure de manger. Au menu, boîtes de conserves, et d'autres légumes tels les salades, oeufs, tomates. Tous étaient à table, exceptée Kurumu et Lu Bu. Pour la première, elle s'était éloignée, et ne voulait pas rester avec des inconnus, même si ceux ci étaient là pour l'aider. Quand au second, il était partit, car il ne voulait pas manger une nourriture de pauvre. Un peu plus tard, lorsque le repas fut terminé, tous se mirent au boulot.

Jean-Darmerie et Jean-Flasque venait de terminer leur pause, et retournèrent à "Cash Rules everything Building", sans perdre de vue leur but. Jean-Neymar et Jean-Plumeau restèrent avec Kurumu, qui avait une idée derrière la tête, alors que les autres allèrent avec Jean-Prolo, pour se promener dans les égouts. Ce dernier groupe partit juste après ceux ayant terminer leur pause. Ils arrivèrent devant le gratte-ciel et cherchèrent une bouche d'égout. L'idée de visiter des égouts ne plaisait pas à tout le monde et surtout à Jean-Merde, celui qui voulait faire tomber Jean-AiRienAFoutre. Il ne voulait pas perdre de temps à chercher quoi que ce soit, et surtout se salir. Il venait d'avoir un nouvel ensemble, avec un long manteau en fourrure, costard-cravate. Le cigare à la bouche, il dit à ses complices qu'il reviendra dans un petit moment, quelques affaires à régler.

Le petit groupe se séparèrent en deux, et chacun entrèrent dans les égouts, qui étaient assez loin du building, mais aussi suffisamment proche, pour ne pas tourner en rond. A l'entrepôt, Kurumu attendit sur le même canapé, le moment de bouger. Si trop de personnes tournaient autour du gratte-ciel, les vigiles et les marines chargés de la surveillance, les repéreraient trop facilement, entraînant l'échec de la mission, et l'impossibilité de récupérer la clé. Sauf si'il y aurait une attaque mené par Lu Bu, et même là, avec tous les marines qui pouvaient se ramener, ça serait difficile.

Vers les deux heures et demi, elle partit, suivit du duo. Il ne savait pas ce qu'ils allaient devoir faire, mais étaient bien content de ne pas aller dans les égouts. Sur le chemin, l'adolescente était pensive.
*Il nous faudrait du matériel pour pouvoir continuer, sinon nous n'allons pas allez bien loin. J'espère aussi qu'ils réussiront à récupérer les papiers. En attendant, je ne dois pas perdre de vue ma venue, qui pourrait être un point positive pour plus tard.*

A leur arrivée, elle leur dit de localiser les conduits d’aération. Ils ne savaient pas trop à quoi cela allait leur servir, mais ils écoutèrent la demoiselle, et tous s'y mirent. Cela prit une petite dizaine de minutes. Au final, il y en avait trois. Une fois cette tâche effectuée, ils retournèrent à l'entrepôt. Le gros du travail devait être fait par Jean-Darmerie et par Jean-Flasque. Lu Bu étant absent, et dans l'attente de l'arrivée des autres, Kurumu s'endormit sur le canapé.

La soirée approcha et tous rentrèrent. L'un d'eux réveilla l'ado. Celle-ci était enfin prête à écouter les rapports. Seul Jean-Merde était absent. La première journée fut peut concluante. Aucun accès vers le bâtiment depuis les égouts, mais Jean-Darmerie et Jean-Flasque revinrent avec une bonne nouvelle. Excepté les deux derniers étages, ils avaient le plan de tous les autres étages. Soudain, l'homme manquant arriva avec plusieurs sacs. Un nouveau cigare à la bouche, il retourna les sacs. Ficelles, grappins, den den de vidéos et autres étaient au rendez vous. Kurumu leur expliqua la suite du plan, permettant ainsi de localiser les den den de surveillance, et les vigiles, la relève, et tout ce qui va avec. En prime, ils pourraient avoir les plans des deux derniers étages.
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