>> Sir Arno de Belgerak (dit Arnold Strapouvich)
Pseudonyme : Comptable de malheur Age: 33 Sexe : Homme Race : Homme-poisson de la race des requins gris Métier : Comptable non-agréé Groupe : Chasseur de primes But : Être infiniment riche Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Une PNJ qui sera la vraie force de Sir Arno. Équipements : Une mallettes avec des contrats de toutes sortes, ainsi que de l'encre bleue et du papier. Codes du règlement (2) : Yep. |
>> Physique "Rak-rak-rak-rak-rak !" Le rire sardonique et impitoyable du comptable de malheur résonnait encore dans ses oreilles, après que son assistante lui aie tranché un cinquième doigt. Des bêtes, tous des bêtes ! Autant lui que elle... Zora, qu'elle se nommait ; humandrill, qu'elle était, lui avait expliqué d'un ton amer le Requin. Un singe qui imitait l'homme dans ses qualités comme dans ses défauts. Elle reproduisait la cruauté que son maître, cette sangsue, avait bien voulue lui apprendre. Mais elle se pavanait habillée comme une diva, avec ces manteaux en col de fourrure synthétique, montée sur des escarpins, l'éventail à la main. Zora faisait la paire avec son maître, c'était tout ce que pouvait dire le mutilé. Autant elle était grande, svelte, agile ; autant lui était petit, obèse, maladroit. Sir Arno respirait l'eau-de-sardine, son parfum bien à lui, mélangé à une désagréable présence de tabac humide. Le porte cigarette toujours coincé entre ses crocs qui s'étiraient dans un grand sourire mauvais, son monocle aveuglait son petit oeil gris et nerveux. Son long nez effilé crachait sans cesse des strates de fumée blanchâtre. Son ton de voix était tout bonnement insupportable. Nasillard. Il possédait également un verbe facile et rapide, ce qui était tout le contraire de ce qu'il reflétait : un homme-poisson ayant longtemps fait dans l'excès, de sorte à en perdre toute sa finesse physique. Sa toux fréquente venait d'outre-tombe, et après son rire rugueux, c'était le second son qui restait le mieux en tête. Le Requin n'était pas imposant, loin de là. Sur ses un mètre quarante, son chapeau haut-de-forme en prenait le tiers. Mis à part ses crocs, sa force n'était pas à l'effigie de ses confrères H.P., n'étant réellement dangereux qu'avec un bon calibre entre les palmes. Sir Arno savait certes nager, mais il préférait éviter, car s'épuisant très vite. Jamais il n'avait pratiqué le karaté aquatique. Tout reposait sur la rudesse de son assistante. D'ailleurs, elle montra de nouveau son talent mimétique en cassant le bras du mutilé, suite à quoi De Belgerak rétorqua : « L'argent. » L'argent... Il pouvait bien parler. Le mutilé ne dirait rien. Le "De" de "de Belgerak", le "Sir" de "Sir Arno", tout ça n'était que de la frime. Le Requin s'habillait mondain, mais tout transpirait chez lui le toque et le bon-marché. Le bouton de cravate en faux-diamant, son parapluie lui servant de canne, faut d'une vraie canne, le porte-cigarette en plastique rigide, sa queue-de-pie réutilisée, ses souliers mal cirés, son chapeau usé, sa chemise rayée verticalement (ça amaigrit) avec ses boutons en moins, sa cravate mauve made in shinatowne, son monocle éraflé, sa montre à gousset brisée... La seule richesse qu'il possédait, c'étaient ses trois dents d'or — deux en bas, une en haut — qu'il affichait volontiers. Non, vraiment, Sir Arno de Belgerak et son assistante n'avaient rien de comptables respectables. Et pourtant, le mutilé s'était fait prendre au jeu... Comme tant d'autres. >> Psychologie « La vie est un contrat. » Un contrat, c'est l'arme ultime de Sir Arno. Il dit souvent qu'« un contrat en béton, c'est un contrat qui vaut de l'or ! » Aussi, n'étant réellement dangereux qu'avec sa tête (au sens intellectuel), son stylo et ses contrats sont ses armes préférés. Sir Arno est passé maître dans les petits caractères insidieux et les clauses traîtresses. Après tout, rien ne peut se faire sans un contrat en bonne et due forme, et si son avantage ne lui est pas profitable, à quoi bon l'utiliser ? Sir Arno contracte pour n'importe quoi. Ne serait-ce que pour acheter un pain chez le boulanger... il est un peu maniaque. Très prudent de nature, la vie ne lui ayant pas fait de cadeau pour la force physique, il vit avec sa nervosité naturelle. Ses petits yeux gris ne font confiance à personne. Sauf peut-être les humandrills. Aussi étrange que cela puisse parraître, les humandrills, ces singes anthropomorphiques, sont les seuls à attirer la sympathie de Sir Arno. Bien que moins développé sur le plan intellectuel, le Requin les respecte énormément et les trouve magnifique. Après tout, son assistante, Élizorabeth, aussi nommée la Diva, est également sa fiancée, sa confidente et sa seule amie. Ainsi, le Requin est très paradoxal dans son discours sur son amour pour Zora. D'une part, il possède une personnalité forte d'individualiste profiteur et d'une autre, un amour lyrique envers son assistante qui prône l'acceptation de l'individu et le partage des races. Mais Zora est sûrement la seule pouvant le comprendre, puisqu'elle fut adoptée par le comptable il y a bien longtemps. Quant à elle, elle voit peut-être Sir Arno comme un maître, à qui elle voue une fidélité sans nom. C'est d'ailleurs pour cela qu'elle s'entraîne durement : pour le protéger lui. C'est aussi Zora qui chasse les primés, mais c'est évidemment le Requin qui récolte les primes (« chacun son boulot, très chère, notre contrat le stipule. ») En fait, au-delà de l'aspect matérialiste du couple, c'est une formidable histoire d'amour qui les unie. Bien sûr. Car l'un sans l'autre, ils ne seraient rien.[/i] >> Biographie Arnold Strapouvich n'était pas un petit requin très gentil. Ayant grandi dans le ghetto de son île marine, il ne connaissait que la violence et la dure réalité de la pauvreté. C'est d'ailleurs sûrement de là-bas que sont nés ses idées de grandeur. Strapouvich était un enfant espiègle et détesté par la plupart de ses congénères. Malheureusement pour lui, il n'avait ni la force de son grand frère, ni l'agilité de sa grande soeur. Benjamin de la famille, et le moins gâté niveau physique, il ne pouvait compter sur rien d'autres que ces coups pendables, pour tenter de se sortir de sa misère. Un jour, alors qu'un équipage pirate était de passage, le jeune Requin tenta de s'infiltrer sur leur vaisseau, mais se fit immédiatement prendre et battu. Rentré à la maison, son frère et sa soeur se moquèrent de sa misérable faiblesse. Cela décida le jeune Strapouvich à quitter le nid familiale. Il n'entendu plus jamais parlé de ce quartier de malheur. S'il y était resté, peut-être aurait-il appris le karaté aquatique, qui sait, et peut-être n'aurait-il plus jamais eut à se fier sur autrui pour se protéger. Mais il n'avait pas envisagé cette possibilité. Une fois à la surface, le jeune Requin fit changer son nom. « Pour changer, il faut changer pour de bon. » Sir Arno sonnait mieux — le De Belgerak se rajouterait plus tard, après qu'il aille entendu la légende d'un camarade du fabuleux Luffy au chapeau de paille, un certain héros au très grand nez. Sir Arno fut engagé dans une firme "criminelle", des usuriers. Il y goûta le plaisir de soutirer de l'argent. Malheureusement, n'ayant aucun argument pour tabasser des gens, ses employeurs préférèrent le remercier. Néanmoins, le Requin en tira des leçons qui lui serviraient plus tard, dans le dur métier de chasseur de primes et comptable à ses heures. Son adaptation à la surface fut plutôt rude. Il vit la bêtise humaine, la brutalité humaine, l'égocentrisme humaine, la folie humaine. Sir Arno ne s'y rattacha donc jamais, préférant de loin ses petites règles d'individualiste. Pourtant, elles ne lui servaient guère, car il avait bien du mal à les défendre. C'est ainsi qu'il rencontra Zora, ou plutôt le très jeune bébé singe qu'elle était à l'époque. Grâce à un contrat bidon, il parvint à la soutirer des pattes de braconniers venu pour la vendre à un cirque, et parti l'élever. Si au début, le Requin comptait en fait sa Chose, son arme, il tomba rapidement sous le charme de ses grands yeux noirs, et des couleurs complémentaires de son museau. Élizorabeth, car ainsi fut-elle rebaptisée, après que le Sir ne soit déçu du manque de "noblesse" dans son nom, appris rapidement de son maître et devint une belle et grande femelle aux membres puissants. Elle était devenu la pièce maîtresse du jeu du Requin, sa Reine prête à tout pour protéger son roi. Leur business fut meilleur. Puis, un beau jour, Sir Arno tomba sur une petite annonce dans le journal. Et bien que le profil recherché ne correspondait guère à leurs individualités, les deux s'entendirent pour tirer leur épingle du jeu.
>> Test RP Les deux hommes faisaient face au Requin, agenouillés, les paumes à plat sur le sol froid et humide. L’un avait le visage tordu par la colère, l’autre, une expression de tristesse infinie. Celui-ci, d’ailleurs, regardait le sol, complètement défait. Il était complètement soumis au destin, et ne pourrait sûrement plus jamais relever la tête fièrement. Le premier, lui, osait encore défier l’homme-poisson, sans réel espoir, juste par orgueil. Mais il avait déjà perdu. Ils avaient déjà tout perdu. « Aviez-vous lu le contrat dans son ensemble ? — Bien évidemment ! gronda-t-il. —Alors je ne sais pas pourquoi vous me reprochez de vous avoir berné. — Espèce de… commença-t-il, pour lui-même. — Écoutez-moi. Un accord est un accord. Vous aviez signés en connaissance de cause… — Espèce de… continuait-il, un peu plus fort. — Si vous voulez vous en prendre à quelqu’un, retournez-vous contre votre collègue, pour ne pas vous avoir retenu lors de l’apposition de votre signature. — Espèce de… fit-il cette fois à ton audible. — Après tout, vous ne devez pas avoir d’entente tacite de non-agression entre vous, rak-rak-rak-rak-rak-rak ! — ESPÈCE DE […] » Une ombre tomba devant le colérique, alors qu’il se levait, menaçant. Une patte poilue à cinq doigts agrippa sa mâchoire encore crispée par le cri ; une autre, l’arrière du crâne. D’un mouvement sec, la bête lui cassa la bouche. Le malheureux s’effondra au sol sans un bruit, inconscient. « Sur ceux, messieurs, je n’ai plus rien à vous dire. Très chère, si vous voulez bien… » Élizorabeth se retourna vers son maître, le regard tendre. Elle était drôlement vêtue, pour un singe. Dans une grande robe de velours pourpre, vendu à la taille pour laisser entrevoir ses longues jambes puissantes, le col de fourrure blanche du vêtement se mêlait à la sienne brune de son crâne. Son expression faciale imitait l’humain hautain. Elle leva haut son poing. Le complice du colérique se mit à pleurnicher, les mains accueillant son visage dans une position vulnérable. Il se remémorait les termes du contrat, ceux qu’il avait lu sans réellement comprendre. Les petits caractères. Et un avertissement résonna dans sa tête. Toujours lire les petits caractères. L’humandrill l’assomma. Une question de vengeance Être comptable véreux n’était pas un métier de tout repos, contrairement à ce qu’on pouvait penser. La manière de conclure des accords était primordiale. À la moindre erreur, cela pouvait coûter cher. Mais tout n’était pas toujours qu’une question d’argent… La manière qu’utilisait De Belgerak se planifiait avec rigueur. Sans rigueur, il ne parvenait pas à plumer ; pis encore, on voyait clair dans son jeu. Il fallait d’abord trouver le pigeon parfait. Souvent, Sir Arno ne visait que des idiots sans scrupules, blasé par une rentrée d’argent importante, avec qui il n’aurait aucune difficulté à établir un lien de confiance. Entre escroc, pensait-il souvent, on se comprend. L’échantillonnage, dépendant de la région dans laquelle il se trouvait, pouvait s’avérer très faible. Mais toujours, le Sir trouvait. Un idiot par village, un, c’était la règle. Suffisait à trouver des villages dont la moyenne des revenus était plus que suffisante. Ensuite venait l’appât. Plusieurs méthodes étaient bonnes, mais la préférée du Requin restait la promotion d’une fructification des profits. D’abord montrer des exemples. Après faire un essai fructueux. Y perdre un peu d’argent faisait parti de la démarche. On gagnait bien plus par la suite, évidemment. Jouer avec le risque du client, faire naître chez lui l’appât du gain. Une fois bien ferré, il ne voulait plus démordre. Parfois, ça prenait des semaines avant de saisir la proie. Mais jamais que le Requin n’avait démordu. Enfin, le contrat. Ce fameux contrat, écrit, lu et signé. Un contrat que le Sir avait vanté les mérites bien des semaines auparavant. Un contrat que le pigeon connaissait par coeur. Par coeur ? Presque. Il y avait des informations qu’il sautait. Les fameux petits caractères. Des informations sur le coup anodine, qui reprenaient exactement les propos des grandes lignes… Mais qui donnait tout son sens au contrat. Aveuglé par l’escroquerie, le client signait généralement, le sourire en coin, sûr d’avoir fait une bonne affaire. Le jeu de l’usurier pouvait commencer. Zora se faisait harcelante. De Belgerak plus pointilleux. Des délais se mettaient en place, s’étiraient pour mieux se raccourcir. Le temps devenait un atout. Tout se jouait sur la façon d’envenimer toujours un peu plus la situation. Jusqu’à ce qu’il craque. Qu’il soit à bout de nerf. Qu’il fasse un faux pas. Qu’il montre ses cartes. Le Requin raflait alors la mise. Rares étaient les fois où le Requin était tombé sur des personnages plus malins qu’ils n’avaient paru au départ. Mais d’entourloupettes encore plus savantes, le comptable de malheur avait su s’arranger. Aussi, pour ces raisons, pour sa démarche, Sir Arno de Belgerak ne se prenait jamais à des plus forts que lui. Sauf pour occasions spéciales, où le coup en valait la chandelle. Bien sûr, dans ces cas là, son taux de réussite était de cinquante-cinquante, mais une défaite était vite éclipsée par une défaite. En bref, Sir Arno croyait son plan parfait. Jamais il n’avait été aussi fier. Ni aussi riche… ________________________________ La longue descente en enfer avait pris du temps à s’amorcer, pour laisser le temps à la riposte de le coincer. On devait piéger celui qui croyait piéger, sans se faire prendre, d’une façon subtile. Difficile mais pas impossible.On avait recruté l’un des meilleurs. Lou Trovahechnik, le roi de la bureaucratie. Facile avait été de l’intéressé à l’affaire : Sir Arno était un charlatan, soit un criminel. Ceux qui en voulaient au Sir — ils étaient légions ! — avaient ensuite laissé les choses allées. Lou était un pro. Il connaissait les astuces, il savait comment s’y prendre. Alors voilà. Voilà comment le Requin se retrouvait dans cette petite salle exiguë, sans l’assistance de sa femme, une lampe l’aveuglant, un contrat tourné vers lui. Un stylo reposait au côté. Sir Arno pouvait à peine distinguer la silhouette devant lui. Mais écoutait nerveusement les respirations lentes des deux gardes, de chaque côté de sa personne. « Je… je ne comprends ce que je fais ici, bégaya-t-il. — Ne vouliez-vous pas un lieu tranquille où discuter ? répondit d’un ton calme la voix. — Effectivement… déglutit Sir Arno. Mais pourquoi « ici » ? — Eh bien… Pour signer ce bout de papier. » Sir Arno jeta un oeil sur la table, le parcourra en quelques secondes. Fronça les sourcils. Tenta de nouveau de fixer son interlocuteur. Tout en oubliant les malabars des côtés. « Je ne me ferai pas avoir ainsi. — Je le sais très bien. — Ah ?… — … respira Trovahechnik. — … — … continua silencieusement, Trovahechnik. — Qu’attendez-vous de moi ? — Que vous signiez, tenta-t-il. — Si je ne signe pas. — Vous savez lire ? — Bien sûr. — Alors ? — Si je ne signe pas, je serai battu à mort. C’est l’un de mes contrats… Et je connais mes contrats, tenta de dire posément le Requin. — Très bien. » Pour la première fois, Lou sembla s’activer. Une seconde feuille glissa au côté de la première, poussée par une main ferme. Une main de travailleur. Une main musclée entre le pouce et l’index, habituée au crayon et à la paperasse. Une main aux bouts de doigts écorchés par le les feuilles que l’on tourne sans cesse. Une main de bureaucrate. Sir Arno ne peut retenir sa moue de déception. Cette main, il la connaissait. Il en avait une pareille. L’adversaire de devant était un fin joueur. « Ce contrat est identique au vôtre, à une clause près. Je suis la justice, je ne peux me permettre de vous attaquer par pure méchanceté. Ainsi, si vous ne signez pas « l’arrestation sur le champ de Sir Arno de Belgerak se procédera sans sommations, pour une peine pouvant varier entre six à dix ans. » Qu’en dîtes-vous. — Très fort. Vraiment très fort. Sauf que si je signe — et vous avez oublié de précisé cet autre changement — je perds également ma liberté. N’est-ce pas un contrat à sens unique, tout ça ? — Je ne sais pas, qu’en pensez-vous ? laissa planer le bureaucrate. — Je suis fait comme un rat… souffla le Requin, désespéré. » Une troisième feuille glissa sur la table, au dessus des deux premières. Cette fois, elle était différente. « Je vous propose ceci, monsieur De Belgerak. » Sir Arno parcourra rapidement et sembla aussi surpris que lorsqu’on l’avait fait pénétrer dans cette petite salle. « Vous me libéreriez ? — Cela ferait parti de l’entente, effectivement. — Vous me laisseriez ma fortune ? — Je crois que vous êtes quelqu’un de perspicace. — Et la seule chose que j’aurais à faire, ce serait de me convertir à une pratique plus, disons, légale ? — J’ai foi en votre honneur. — Où est l’arnaque ? dit froidement le Sir. — Il n’y en a pas. Contrairement à vous, monsieur De Belgerak, moi, je suis un digne représentant de l’ordre. Si ma bureaucratie peut aider les plus démunis, alors ce sera avec joie. Je bureaucratise par principes, monsieur, et non pas par convoitise. Je ne vous veux rien. Autre que la juste sentence. Et je crois que dans ce cas-ci, ce contrat démontre toute ma bonne volonté à faire confiance à vos… talents. » Sur ces mots, Lou se taisait, laissant au comptable le temps d’analyser le pour et le contre de la proposition. Et le Requin avait beau se forcer à y voir le pire, il ne pouvait que remarquer les avantages que ce contrat lui procurait. Son sourire s’étira involontairement, alors qu’il prenait la plume pour apposer ses délicates initiales, et tirer d’un trait sur son erreur… Et je jouer du gouvernement ? ________________________________ « Vous savez, disait Sir Arno à Élizorabeth, j’aimerais un jour comprendre comment il a fait pour me berner ainsi. »Zora tourna la tête dans un soupir agacé. Ces foutus petits caractères. TOUJOURS lire ces foutus petits caractères. |
Informations IRL
Prénom : Ren
Age : 18
Aime : Rp avec mes partenaires de rp
N'aime pas : Me prendre la tête
Personnage préféré de One Piece : Arlong
Caractère : (définissez vous en quelques mots) Garçon mature en devenir.
Fais du RP depuis : 5 ans
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) 3/7, parfois plus, dépendant de la motiv' et du/des rp(s) en cours.
Comment avez vous connu le forum ? Je le connaissais avant, alors j'ai traîné mes partenaires ici !
Dernière édition par Sir Arno le Mer 30 Oct 2013 - 3:39, édité 6 fois