>> Saky Yoshiki
Pseudonyme : La poigne de fer ou numéros 6 Age : 29 ans Sexe : Femme Race : Humain/Cyborg Métier : Ingénieur Groupe : CP8 But : Écrabouiller du pirate ... au nom de la loi bien sur ! Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Les capacités particulière de mon corps ... Pour le moment juste mes poings et si possible plus tard le rokushiki. Équipements : Un peu de matos d'ingénieur volé et quelques morceaux de métal récupéré par-ci par-la. Codes du règlement (2) : Parrain : Nope Ce compte est-il un DC ? : Nope Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Personne je suis un fifou |
>> Physique et Psychologie Compte rendu 296 Patient : Saky Yoshiki / 1ère consultation Age : 10 ans Signe particulier : Cicatrice en forme de 6 en chiffres romains : VI - Alors ma petite à partir de maintenant on est tous les deux et personne ne pourra lire ce que j’ai écrit sur mon petit carnet … Je vais écrire toute ce que nous nous dirons d’accord ? Je vais prendre ton hochement de tête timide comme un acquiescement. Qu’est-ce-que tu peux me dire sur tes parents ? - Ma mère est surement la personne la plus distante que j’ai eu le plaisir de rencontrer de toute ma petite vie. Elle est assez coquette et des fois dans son dos je lui pique son maquillage mais … C’est pour mieux écrire sur le miroir de la salle de bain tout ce que j’ai sur le cœur à son égard. - Très bien. Calme toi ma jolie … s’il te plait. Bon maintenant dit moi tout sur ton papa. - Vous dites "Papa" mais moi je n’ai le droit de ne l’appeler que père et c’est tout ! Ce brillant médecin se croit au-dessus de tout le monde. Il me répugne … Lui autant que ma mère je ne peux pas les encadrer … - Je ressens comme une montée de rage, si ça te fait du bien laisse la sortir mais sinon ne te sens pas obligé. - Pas de problème doc’ j’aime bien critiquer les gens qui m’entourent mais seulement derrière leur dos. Sinon y a un autre truc que j’aime par-dessus tout c’est ça. La jeune Saky me montra une petite dizaine de plan d’infiltration et de cambriolage. - Pourquoi tu fais cette tête-là ? T’as reconnu ta baraque ? T’inquiète, j’ai pas l’intention de les commettre ces trucs ! C’est juste que ça m’amuse de me casser la tête pour les concevoir. - Bien … Je vais te demander de bien vouloir t’allonger et de te reposer pense à ton animal favori … - Un petit chaton tout mignon ? - Euh … Oui … Tu es fascinante … Après-en tu va imaginer que tu cours avec lui, il te suit, saute sur ton épaule, te mordille doucement le doigt et se met à le mordre de plus en plus fort et soudain son petit corps grandis et ses dents double de volume et … - Aaaaaaaaah, Connard de chat ! Je vais te tuer ! Petit con ! - Et ! et … il redevient un petit chaton tout mignon. - Tu le sais que tu es beau mon minou … meuh oui, meuh oui tu le sais. - Quand je claquerais des doigts tu te réveilleras et oublieras tout ce qui s’est passé ! Bon ma jolie c’est fini … Compte rendu 359 Patient : Saky Yoshiki / 2nd consultation Age : 15 ans Signe particulier : Cicatrice en forme de 6 en chiffres romains : VI - Oh ! Ça me fait plaisir de vous revoir ! Vous avez bien grandi vous êtes devenu une ravissante jeune femme. - Merci … Vous me gênez, je n’ai pas l’habitude de recevoir ce genre de compliment … - Et pourquoi dites-vous cela ? Avant toute chose décrivez-vous physiquement avec vos propres mots et non ceux des autres. - Je mesure un mètre quatre-vingt enfin c’est ce que dit le police. Regardez !
Ensuite … J’ai les cheveux roses et j’utilise souvent mes lunettes de soudure pour faire tenir ma frange. Une sucette dans la bouche, un piercing dans le nez et deux boucles d’oreilles à l’oreille gauche : une véritable petite Punk ! Je tente pourtant d’être un minimum féminine en enfilant mes grosses bottes à talon large … à vrai dire ce sont surtout des "chaussures de sécurité renforcé" à talon. Je porte aussi mon leggins avec deux grosses plaques de métal sur les côtés des cuisses pour ne pas recevoir d’écharde ou d’autre chose dans la jambe et maintenant mon accessoire préféré mon corsé métallique surplombé d’une petite veste violette courte d’assez bon gout. Voilà c’est tout ! - Très bien … et maintenant dit moi en plus sur ton caractère ? - Vous travaillez pour les services secrets ?! - … - Je dec’ détend toi le slip ! Je suis à la fois impulsive et téméraire. Pour preuve je suis la meilleure boxeuse de l’Est de South-Blue.
Que dire de plus, je suis une battante et la discrétion et moi ne faisons qu’un. - Bien … Bien et sinon pourquoi être venue me voir ? - Pour rien, juste pour le plaisir de vous parler. - Notre séance est donc terminée. Diagnostique : - Trouble de la personnalité : une calme et posé et la seconde assez violente intérieurement. - Fanatique de la mécanique et de la boxe. - A mon grand regret, elle commet bel et bien les infractions qu’elle m’a décrites plus jeune. Mise à jour du dossier : Mort le 24 févier 1619 à l’âge de 23 ans Compte rendu 856 Patient : Saky Yoshiki / 3ème consultation Age : 23 ans Signes particuliers : - Cicatrice en forme de 6 en chiffres romains : VI - Un tatouage dans la nuque en forme de rouage - Mais … euh … Je ne comprends pas … - Laisse tomber mon bonhomme ! Je viens juste te dire que j’ai deux nouveaux joujoux. J’ai alors pus voir sortir de ses petits bras, deux énorme (un peu comme ma b*te) poing de métal mécanisé. Voilà la photo :
- Note bien tout ce que tu viens de voir car des aussi beaux tu en reverras pas de sitôt ! - Et celui qui les a créés ? - Il est mort … - Et ? - Et rien je m’en fous ! Il l’a mérité ! C’était un connard de pirate ! - Et maintenant … que vas-tu faire ? - Repartir sur de nouvelle base la Saky 2.0 est là et elle va faire des ravages ! A plus mon vieux et à la revoyure. - Au rev … Diagnostique : - Trouble de la personnalité : une calme et posé et la seconde assez violente intérieurement. - Fanatique de la mécanique et de la boxe. - A mon grand regret, elle commet bel et bien les infractions qu’elle m’a décrites plus jeune. - C’EST UN P*TAIN DE CYBORG !!!! >> Biographie Date : 3 janvier 1596 Essai : 6 Je sais pas trop comment commencer … Je sais ! Aujourd’hui est un grand jour pour la science, moi le docteur Megapunk je vais créer le Pacifista parfait pour pouvoir enfin attaquer cette marine de malheur et détruire leurs joujoux ! Déjà cinq essais ont été réalisés, tous les cinq se sont déroulé avec des humains de sexe masculin élevé en captivité mais aucun d’eux n’a tenu le coup lors de l’opération. Cette fois si je vais utiliser un individu de sexe féminin élevé à l’état sauvage. Je vais passer les vingt-cinq prochaines années à l’étudier et à la suivre via des caméras placer sur l’ile. Il est l’heure ma belle ! L’heure de ta naissance historique ! 3 janvier 1596, 16h12 Ça y est, la mère de la jeune Saky Yoshiki à accoucher de ladite jeune fille. Tu ne le sais pas encore ma belle mais tu vas servir d’exemple à des dizaines d’hommes comme moi, tu seras la première d’une longue lignée de super-soldats mécaniques : les Humanistas ! L’expérience va enfin pouvoir commencer … Malheureusement je pense que ce sera ma dernière car celle-ci ne se terminera que dans vingt-cinq ans … Oups ! Je me répète. Je pense que c’est tout pour aujourd’hui. 4 janvier 1596, 13h28 RAS 5 janvier 1596, 6h47 RAS 6 janvier 1596, 1h36 RAS 7 janvier 1596, 16h59 RAS 8 janvier 1596, 22h06 Je pense que je vais arrêter avec mes RAS … ça va vous énerver je le sens et moi aussi. Je sens qu’on va bien s’amuser durant les vingt-cinq prochaines années. Sur ceux bonne soirée … Merci … 25 janvier 1596, 9h43 Les cris stridents de la nuit agitée de ma futur cobaye commencent sérieusement à me taper sur le système. Sinon à part le fait que la seule fois où la génitrice de ma cobaye l’ai tenu dans ses bras depuis sa naissance n’ai été que pour la changer de place lorsqu’elle s’asseyait sur les magazines people ! RAS … 3 janvier 1597, 16h15 Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de ma petite cobaye. Même si j’ai trois minutes de retard, moi au moins je n’ai pas besoin que la femme de ménage me le rappelle ! Aussi j’ai pas de femme de ménage … Je n’ai pas de femme tout court, je vois pas pourquoi … 2 septembre 1599, 8h33 Maintenant ma future rat de laboratoire devient une grande fifille … Mais bon sa mère n’est même pas là pour lui souhaiter bon courage … C’est vraiment con un parent quand même. 1er avril 1600, 10h46 Mais pourquoi elle pleure ma toute belle ! C’est quoi cette blague de poisson d’avril nulle ! Je vais t’apprendre à mettre du jus d’orange sur la blouse de Saky … Nan ! Mega ! On se calme … on n’oublie pas ce qu’a dit le docteur … on se calme … mais c’est moi le docteur … je dois m’écouter … et je me dis de me calmer … Chuuut … 2 avril 1600, 16h29 Bah oui ! Voilà ce qui arrive quand on embête Saky … Un bon coup de poing dans l’œil et un coup de pied dans les roustons et "monsieur je renverse mon jus d’orange" est par terre. Bon voyons si Madame Yoshiki se déplace … 2 avril 1600, 16h42 Et la réponse est bien sur … NON ! C’est encore une fois la servante qui s’en occupe. Heureusement que c’est mon cobaye et qu’elle a besoin d’une figure maternelle sinon je pense que je … que je … que je … Ah ahah aaaaaaah. 3 janvier 1602, 14h38 Enfin ! Le 6ème anniversaire de ma jolie souris blanche. J’ai réussi ! Je l’ai ! J’ai intercepté une photo de ma petite tête rose, la voilà :
Je pense que je vais l’encadrer … nan mieux en faire un mug ! 1 mai 1602, 8h22 Un jeune garçon s’approche de Saky, un bouquet à la main, il a l’air gentil … Il offre le mélange de fleurs à la jeune fille qui l’autorise à lui faire un bisou. Sa bouche s’approche de sa joue mais visiblement elle ressent un mouvement d’air au niveau de ton postérieur. Saky recul immédiatement la tête et lui donnes un violent coup de boule dans le nez. « Estime-toi heureux ! Si tu y avais touché, tu serais déjà mort ! » Le pauvre garçon, le nez en sang, c’est alors fait charrier par toute l’école … Les enfants sont vraiment méchants ! 13 mars 1604, 15h41 Une amie de ma cobaye favorite l’invite à boire un thé chez elle. Surprise Saky accepte et se rend alors dans la demeure de sa prétendue amie. Même si ça me fait mal au cœur elle doit apprendre la cruauté et la bêtise humaine par elle-même. Elle s’apprête à pénétrer dans le grand jardin de son "amie" et au moment où elle passe le portillon cinq filles et trois garçons sortent des buissons et lui lance de la boue et de l’eau … Dans l’incompréhension la plus totale, elle s’est assis au beau milieu du jardin ? Quand un des garçons a eu l’audace ou l’inconscience de s’approcher, il reçut une branche d’arbre directement dans la cuisse gauche et tomba gisant sur le sol comme un oisillon tombé du nid. Un grand cri de terreur déchira le ciel quand la maitresse de maison sorti et vit sur le sol un camarade de jeu de sa fille. Saky fit alors une révérence avec une robe qui n’existait pas et dit : « Veuillez m’excuse mais ma tenue étant fortement sale, je vais retourner me nettoyer. En vous souhaite une bonne fin d’après-midi. » Et avant de repartir, elle arracha violemment de la jambe du garçon le morceau de bois et lui mit entre les dents. 3 janvier 1605, 14h36 Ma jeune fille devient presque une adolescente, mais je vais devoir m’absenter un an pour aller voir ma mère qui habite à … euh … enfaite ça vous est égal. Il y a un gros souci : comment la reconnaitre dans un an ? Elle aura peut-être grandi … Sera peut-être parti de chez ses parents. Comment faire ? Et à ce moment-là, Saky, qui fêtait son neuvième anniversaire, est tombée et s’ouvrit juste en dessous de l’œil avec un coin de la table. Elle perdait beaucoup de sang et une opération à la clinique était obligatoire. C’est une aubaine ! 3 janvier 1605, 14h42 Je suis à l’hôpital … J’ai ma blouse … Maintenant il faut que je trouve Saky. 3 janvier 1605, 14h54 La dame de l’accueil m’a indiqué sa salle … Salle 206 ! C’est là, j’entre. « Coucou ma belle endormie … Ne bouge surtout pas. » Je me positionne au-dessus d’elle et pour prendre mes précautions je ferme la porte à clé. Attention … j’incise, voilà … il coupe bien ce scalpel ! Très bien … Fort bien. Maintenant on recoud … Super ! Parfait ! Après-en je vais pouvoir la reconnaitre ! Vu comment j’ai recousu la plaie, même maquillé elle sera visible. Vous voulez voir le résultat ?
Tada ! Ça rend bien nan ? Bon je dois m’éclipser 28 février 1606, 19h27 Je suis enfin de retour, ma mère vous donne le bonjour … Vous vous en fichez aussi nan ? Mais ? Qu’est-ce qu’elle fait ? On dirait qu’elle écrit sur quelque chose … Un carnet … Un journal intime ? Alors est-ce que je peux zoomer ? Je pense que oui … Voilà ! Alors à quoi pense ma poupée ? « Cher Journal, Aujourd’hui il s’est passé quelque chose d’extraordinaire. Je m’explique : dans ma case j’ai trouvé un petit bout de papier plié et j’ai lu les trois premières lignes avant de comprendre que c’était une lettre d’amour. Je l’ai alors passé à ma voisine qui elle est belle et bien habillée. « Ça doit être pour toi … Un garçon s’est encore trompé … » dis-je alors. Ma voisine lut le petit papier et me le tendit. « Il est pour toi ! » Surprise, je l’ai lu en long en large en travers. A la récré toutes les filles ont fait un cercle autour de moi et je suis devenu un peu leur nouvelle distraction. Elles me posaient des questions bien trop indiscrètes à mon gout et trente seconde avant le retour en classe, j’ai hurlé, étouffé par toutes ces pimbêches : « C’est moi qui est écris le petit mot ! Je m’aime toute seule ! » Malgré cela je le savais : Un garçon m’aime bien … un garçon m’aime bien … » Elle n’est pas merveilleuse ma petite guenon de laboratoire. 29 février 1606, 18h53 Elle écrit encore ce soir voyons ce que ça donne. « Cher Journal, Aujourd’hui c’est la suite de notre feuilleton : A la récré de dix heures et demie, comme à mon habitude j’étais assise sur Mon banc et je lisais un livre emprunté à la bibliothèque. Soudain un garçon s’approche de moi et me dévisage … enfin il regarde avec insistance mon 6 romain sous l’œil. Je me lève, pour l’inviter à s’assoir et il accepte volontiers. Sans même dénier lui adresser la parole je replonge dans mon livre et le laisse là comme un intrus. Il attire mon attention en se raclant la gorge et je lève ma tête d’un mouvement fluide et lent. Il se jette à l’eau et me dit : « Tu as reçu mon petit papier ? » J’esquisse un sourire et hoche la tête, un peu gêné, lui aussi il sourit et sans en attendre plus de ma part il m’embrasse sur la joue. « Tu sais malgré ta cicatrice t’es pas trop moche … » Je lui ai alors décoché une droite mémorable et me suis levé sans lui adresser le moindre regard. Un garçon m’aimait bien … un garçon m’aimait bien … » Je pense que je ne comprendrais jamais rien aux femmes dit donc. 17 juin 1612, 14h29 Pardon mais durant quelques années rien de grandement folichon ne s’est passé … Pour vous resitué maintenant ma belle à 16 ans, les attributs féminin bien développés et elle fait toujours aussi peur au garçon. 17 juin 1612, 19h42 Ah ?! Elle continue son journal ? Voyons voir … « Cher Journal, Le suicide me tend les bras, j’en ai marre de la vie ! Aujourd’hui ça fait un mois que je sors avec un garçon, un magnifique garçon. Seulement le problème c’est que ce petit con prétentieux et imbu de sa personne trouve qu’Éloïse est plus jolie, plus sympathique et plus féminine que moi ! N’importe quoi ! Je suis super féminine putain ! J’aimerais qu’il meure … lentement … qu’il tombe dans sa baignoire ou mieux qu’il s’électrocute … Je ne dois pas souhaiter la mort de quelqu’un c’est mal. Allez, je vais me coucher, demain je me contenterais de l’ignorer. » C’est qui ce petit con ! Je le cherche sur les caméras et je reprends l’enregistrement. 17 juin 1612, 20h15 Je l’ai ! Bryan Grocebeat ! Je vais lui faire sa fête ! Si mon expérience foire à cause de lui … S’il fait du mal à ma petite Saky je … je … je … Mouahahahah ! 17 juin 1612, 20h54 Je suis devant chez Bryan … Il va voir de quoi je me chauffe ! On ne fait pas de mal à ma petite beauté impudemment. 17 juin 1612, 20h56 Il prend son bain … vous entendez. J’entre … « Maman ! Je t’ai déjà dit de ne pas entrer quand je me douche, je … » « Tu as le bonsoir de Saky ! » 17 juin 1612, 21h03 Il est mort … électrocuté … comme ma chérie le voulait. J’ai tué quelqu’un … il est mort … c’est pas possible … il est mort … qu’est-ce-que j’ai fait … Naaaan ! Chut je dois me calmer … c’est fini … c’est trop tard. 3 janvier 1613, 17h38 Ma petite fille a 17 ans et seule la femme de ménage lui a souhaité, c’est triste mais du moins dans huit ans elle ne manquera à personne. Bon j’ai lu un livre qui me fait un peu peur quand même, il dit qu’entre 16 et 21 ans une chose importante se passe dans la vie d’une personne mais moi j’ai l’intention d’attendre ses 25 ans, j’espère que ça va aller. Plus que 5 ans à tenir et je serais tranquille jusqu’en 1621 3 janvier 1618, 00h09 Ah ! Je savais bien que c’était des conneries ce livre, je vais enfin pouvoir me coucher … RRRRrranpichhHHH … (Je vous épargne ma nuit de ronflement) 24 octobre 1619, 08h44 Pourquoi elle court ? Elle n’est pas en retard … Elle a encore une fois oublié de regarder en travers … nan … nan … Saky … Saky … Un camion … un putain de buschat … 23 ans de ma vie … buschat et fut ! Plus de Saky … ma belle Saky. Je peux pas laisser faire ça ! 24 octobre 1619, 08h47 Elle est à l’hôpital ! C’est décidé je vais la chercher ! 2 ans de plus ou 2 ans de moins ça ne va pas changer grand-chose. Je vous tiens au courant. 24 octobre 1619, 09h03 « Coucou ma jolie, papa est là … Il va s’occuper de toi. Comment te sortir de là … Je sais. » Je recouvre la tête de Saky, taponne sa main de talque et je sors de la chambre la tête recroquevillée. 24 octobre 1619, 09h04 Je suis presque sorti plus que quelques mètres « Monsieur ! Oui vous ! Vous ne pouvez pas sortir avec un patient ! » « Pour elle il est trop tard, regardez sa main. » « Mmmmh … Ok ! Pas de prob’ ! Soit discret avec ta morte. » Ouff … Je m’en suis sorti. Il est plus que temps ! A moi la gloire ! 24 octobre 1619, 10h18 Saky est dans un état de coma avancé mais aucun de ses organes vitaux n’a été touché lors de l’accident. J’incise et … 25 octobre 1619, 11h27 Oh ! C’est dommage ! Vous n’avez pas pu avoir les explications sur comment transformer les bras d’une magnifique jeune fille en instruments de destruction massif. Pour faire simple, quand elle le souhaitera ses fines mimines laisseront place à des mains mécaniques géantes. Bon maintenant, âmes sensibles s’abstenir : j’incise la boite crânienne de la patiente et … et … voilà, le nerf de la fatigue est rompu. Mon super soldat ne doit pas connaitre la fatigue ! Maintenant ses os … 25 octobre 1619, 18h58 C’est quoi c’est pile qui ne tienne pas ! Bon en gros ses os sont entièrement métalliques et … Saky … Mais qu’est-ce-qui ce passe nan ! Saky ! Nan ! Voilà, il est mort … Une vermine en moins ! Moi c’est Saky et ce que vous venez de lire c’est ce qu’un scientifique fou à fait de ma vie. Je viens de retranscrire les notes vocales de ce fou … pourquoi … surtout parceque j’étais heureuse d’écrire les mots de la seule personne m’ayant vraiment aimé … Bon un amour différent des autres mais un amour tout de même. Il a tué pour moi … je ne suis pas sûr que la personne qui vous a aimé le plus ai tué pour vous ! J’ai raison ? Après-en je pars … Une nouvelle vie m’attend … Saky est morte mais une Saky 2.0 voit le jour. Bon je me casse à plus les bolosses à moi la vie que je veux … espionne … pirate … révolutionnaire … marine … >> Test RP - Atchoum ! Snif … Snif … - Jeune fille ? Tout va bien ? - Je suis seule assise dans le caniveau, avec une cicatrice bizarre sous l’œil, tout le monde me dévisage et surtout je n’ai nulle part où aller … Sinon oui ! Tout va bien ! - Venez … Levez-vous … Je vous offre un café et vous en échange vous me raconterez vos tourments … Ok ? - Ok. Bon la jeune fille, bah c’est moi : Saky Yoshiki. Le gentil monsieur plein de fric qui m’offre un café … nan je ne le connais ni d’Adam ni d’Eve et je pense que c’est mieux, je parle plus facilement aux inconnus. On est alors arrivé tous les deux devant un grand bar le "Golden Bomb" c’est la première fois que je mis rends … ça à l’air assez sympathique à priori. On s’installe l’un en face de l’autre et durant un long moment on s’est regardée en chien de faïence mais la serveuse est arrivé et a fait tomber "accidentellement" le café bouillant sur le pantalon du mec en face de moi. Il s’est alors excusé auprès de moi et est parti se nettoyer. - Barre-toi ! Vite ! Ne reste pas avec ce mec … - T’inquiète la vieille je gère ! Pas besoin de toi pour me barrer donc retourne à ton boulot le thon. Outrée elle est retournée vers son bar minable se regarder des dizaines de fois dans son miroir de poche pour se rassurer. Après quelques longues minutes l’homme au pantalon mouillé revint s’assoir à ma table et sans même lui laisser le temps de boire sa tasse, je me jetai à l’eau. - Moi c’est Saky et vous ? - Je me nomme Jean Nedark, je vous en prie racontez-moi votre périple. Je me suis alors bien installé et j’ai commencé à raconter à ce Jean, comment j’en été arrivé là. - Et après ? me dit-il d’un air stupéfait. Que s’est-il passé ensuite ? - J’étais dans ma bulle quand soudain, je fus comme aspiré vers un vide incroyable, le néant. Puis j’ai ouvert délicatement les yeux et une lumière aveuglante vint me les bruler. Des tubes étaient dans mon nez, dans ma bouche, j’ai doucement tourné la tête et là je l’ai vu ! Je l’ai vu l’homme en blouse blanche qui avait détruit ma vie, j’ai alors fait tomber une petite fiole qui se brisa au contact de ma main. L’homme en blouse blanche se tourna vers moi et me vit face à lui titubant se mit à hurler et comme pour le faire taire j’ai écrasé sa tête contre le sol. Je fus prise alors de vomissement et je m’écroulai lourdement sur le sol. Un peu trop lourdement à mon gout ! Petit à petit, j’ai ouvert les yeux et j’ai tourné ma tête vers mon bras droit … enfin vers la chose qui me servait de bras droit : une énorme masse mécanique en forme de main trônait au bout de mon avant-bras. Je me suis alors mise à hurler et plus rien … les ignominies de métal avait disparu … Je me suis donc levé difficilement et je m’écroulai instantanément. Après les plus longues minutes de toute mon existence je me suis levée et assise sur le siège de l’homme destructeur de vie. Une fois remise de mes efforts, j’ai ouvert la porte verrouillée avec un simple coup d’épaule et j’ai entrepris la descente des escaliers, la tête en vrac, le cerveau retourné et la lumière aveuglante du jour n’ont pas arrangé mon état. La rue était déserte … où étais-je ? Après quelques minutes de marche et après que mes yeux se soient réhabitués à la lumière du jour, je me suis approchée d’un poteau sur lequel le nom d’une rue était indiqué. Avant de lire les inscriptions je vomis encore une fois et j’ai alors pu lire ce qui avait d’indiqué … Ma rue … c’était ma rue ! J’ai alors regardé autour de moi et oui ! Je reconnaissais l’endroit. Papa, Maman j’arrive. Marchant dans l’ombre des façades et en rasant les murs, j’atteins ma belle maison … ma maison ! Comme d’habitude la barrière était fermée et je dus escalader le flanc gauche de la demeure. Une main, puis l’autre, un pied puis l’autre et l’inévitable se produit. Au moment où j’allais attraper la bordure de ma fenêtre, ma main glissa. C’est fini sept mètres de haut, une chute mortelle … - Et vous êtes morte ? - Euh … Vous le faites exprès … n’est-ce pas ? - Bien sur … bien sur … - Donc fermant les yeux, le vent me caressant les joues, je chutais et durant la dégringolade je me suis tournée de façon à tomber sur le ventre et que personne ne puisse me reconnaître mais au dernier moment dans un élan de survie j’ai mis mes mains vers l’avant et j’ai crié. Plus rien … plus de vent sur mes joues, juste une douleur horrible dans les épaules comme si quelque chose avait voulu les faire sortir de mon corps. J’ai doucement ouvert les yeux et les deux grosses machines-mains avaient réapparu … mais comment ? J’ai alors serré mon poing de toutes mes forces et j’ai souhaité retrouver ma main et c’est alors que tout le mécanisme se recroquevilla et laissa place à mes mains si douces et si belles. J’ai placé ma main sur le mur et sans même faire attention j’ai escaladé et suis entré dans ma chambre par la fenêtre. Elle … elle était vide ... vide … plus rien ! Discrètement, je suis sorti de ma chambre et j’ai descendu les longs escaliers et dans le salon, mon père et ma mère restaient de marbre devant la bonne jetant mes affaires dans le cheminer les larmes aux yeux. « Vous n’avez pas le droit … VOUS N’AVEZ PAS LE DROIT !! » J’ai alors frappé violemment au sol avec mes poings mécaniques créant ainsi un écran de poussière dense et j’ai répété l’action une dizaine de fois pour emplir totalement la salle de poussière. Je me suis précipité vers la bonne tenant dans ses mains mes instruments de soudure et ma paire de lunettes. Et en brisant la porte d’entrée je suis sorti de la maison, courant une larme à l’œil … Je n’ai plus ma place parmi eux. Je fis disparaître mes poings pour passer inaperçu. A partir de ce moment, j’ai compris que plus rien ne me retenait ici … mais … depuis tout à l’heure je n’y fais pas attention mais je suis en blouse d’opération ! Où sont mes vêtements ! A ce moment j’ai couru en direction de l’appartement du savant fou ! Je suis bien plus rapide qu’avant et plus agile aussi. Je suis entré dans la seule pièce exiguë de l’habitation et l’odeur putride de sang mélanger aux produits chimiques avait empli la pièce. Devant moi un triste spectacle l’homme étalé au sol le crâne à moitié fondu par les gouttes d’acides perlant de sa table d’expérience. Deux petits rats avaient trouvé refuge dans la boite crânienne vide de l’homme en blanc. Un bien pitoyable spectacle. J’ai alors rebouché la fiole d’acide et j’ai saisi une petite. Tout en m’habillant, j’ai remarqué le petit enregistreur vocal qu’il tenait fermement dans sa main. J’ai dû lui en casser deux pour avoir accès au petit objet. J’ai pressé le bouton et j’ai écouté une première fois l’enregistrement … c’était ma vie. J’ai alors attrapé un stylo et un petit carnet. J’ai alors lu à Mr Nedark, le petit carnet que j’ai toujours avec moi. - J’ai la gorge un peu sèche … - Bien ! Qu’est-ce qui te ferais plaisir ? - Un scotch. - Bien … si c’est ce que tu veux J’ai alors bu cul-sec et sans attendre j’ai repris. - Après avoir écrit mon propre petit mot sur le carnet pour que le jour où je mourrais quelqu’un puisse le mettre sur ma tombe … enfin s’il en a la présence d’esprit. Juste avant de sortir de l’endroit lugubre dans lequel mes bras ont été transformés, je me suis approché de la table d’opération et j’ai pris un second carnet avec à l’intérieur : différents schémas, dessins et explications. J’ai alors attendu la nuit pour pouvoir partir tranquillement et ne croiser personne à part peut-être quelques mecs bourrés. La nuit est plus noire que jamais, je me suis donc mise à courir vers le petit bois qui délimitait la fin de notre village « Byebye les loosers …» Me voilà donc parti en direction de la ville voisine … heureusement que l’ile est grande,quelqu’unais m’y réfugier sans que personne ne puisse me reconnaître mais d’abord il faut que j’aille voir quelqu’un … mon psy ! Il n’y a que lui qui m’a écouté durant toutes ces années. Au beau milieu de la forêt se cache un petit village tout à fait civilisé doué des mêmes technologies que les autres sauf qu’il n’y a aucune route pour y accéder. Une fois à l’intérieur du petit bourg sans attendre, je fonce vers le cabinet du docteur "je sais plus quoi" et je m’installe dans son canapé … la suite relève du secret médical donc Chuuut. Et me voilà … dans la fameuse ville voisine un verre de scotch vide en compagnie d’un gentil monsieur. - C’était une bien belle histoire … Les gars ! Emmenez-la ! - Quoi ! Mais … mmmh Oh le fils de … de sa mère ! Je … je … oh … du chloroforme … A ma tête … J’ai mal … - Patron ! Elle n’a pas l’air d’un Cyborg la gonzesse … - Tu verras une fois dans le bateau, tu pourras regarder ce que fait le docteur sur elle ! Je dois être sur l’épaule d’un des gros bras de Jean … mieux vaux faire la morte … On est monté sur quelque chose, surement le bateau. - Allez ! On se réveille ! J’ai alors fait mine de me réveiller et Jean, un grand balafré et un pseudo médecin se trouvaient au-dessus de moi. Jean c’est alors éclipsé et le médecin commença à aiguiser son scalpel, le gros bras en entendant le bruit du métal fut pris d’une frayeur incompréhensible et partit en courant. - Pas bien courageux votre Hulk … - C’est bien vrai mais on peut compter sur lui … je parle trop ! Je me suis alors mise à gesticuler et d’un geste rapide j’ai saisi avec les dents le flacon d’acide qui se trouvait dans ma poche de veste (celle du haut … au niveau de la poitrine). Il n’a rien vu … enfin je crois, je vais faire une chose : si je réussis je me barre … si je foire je meure. Je garde donc le flacon dans ma bouche un petit moment, juste le temps pour que ma salive fasse un peu fondre le bouchon … Voilà le bouchon vient de tomber dans la fiole … 1 … 2 … 3 ! Je viens de lui cracher le flacon à la figure et ouai ! Touché ! Je transforme alors mes mains en machine de guerre et déchire les liens qui me retenaient prisonnière et avant qu’il ait eu le temps de crier j’enfonce sa tête dans la coque du bateau créant ainsi un trou. Malgré le fait qu’il se débatte il se noya lamentablement. Ensuite je retire une latte du bateau et après avoir pris une longue … très longue inspiration et après avoir retrouvé mes mains humaines je plonge laissant ainsi derrière moi le navire sombrant petit à petit vers les eaux glacées des abysses. |
Informations IRL
Prénom : 3 ans et demi
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Aime : Le rp, le théâtre et les patates surtout les patates.
N'aime pas :Les gens avec des avatars pas beau ... euh ... le mien est très bien !
Personnage préféré de One Piece :Bon Clay alias Mr 2
Caractère : (définissez vous en quelques mots)Carct' quoi ? Je sais, à coté de la plaque et un peu schizophrène
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Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif)7/7 et deux trois heures par jour et plus le week-end
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Dernière édition par Saky Yoshiki le Mar 29 Oct 2013 - 21:08, édité 6 fois