Cannibale, c’est quoi ça ? Manger des hommes… Ouais j’vois. Hé alors ? Si je ma mémoire est bonne… Dans la prison de south blue j’me suis fait attaquer par un cannibale. Il voulait me bouffer. C’était un vrai prédateur. Je comprends ce qu’il ressent. La sensation d’être le chasseur et non le chassé. C’est … Oui c’est ça ! Manger les autres joueurs. Soit ils deviennent mes esclaves, soit mon repas. Hé hé hé hé. L’idée me plait bien. HA HA HA HA !
Après un repas à base de viande d’homme, l’équipage du blond prend l’option repos. Une bonne nuit de sommeil. Sans doute une nuit bien calme. Les hommes blessés se font soigner, le cuisinier lave la vaisselle, le schizophrène parle à lui-même. Notre pirate est assis sur un pic du Sanbi. Il balance ses pieds tout en regardant les photos de ses filles. Devenir un bon père, un bon mari. Voilà ce qu’il souhaite désormais. Ce nouvel objectif est encore plus important que ses plaisirs personnels. Cela est étrange. Pourquoi maintenant, pourquoi si soudainement. Il est vrai qu’il aurait aimé avoir des parents qui s’occupent de lui. Il est vrai que son amour pour sa famille est incommensurable. Mais je suppose que cela vient surtout de la rencontre faite plus tôt. La rencontre d’un orphelin. Peut-être qu’il se voit dans ce petit. En tout cas c’est le petit élément qui lui a ouvert les yeux sur la famille.
-Debout bande de limace ! La partie va commencer.
Le réveil est brutal. Des coups de pied, des hurlements et des jets d’eau. Le soleil ne s’est pas encore levé, mais l’équipage est déjà debout. Après un petit déjeuner les hommes attendent les directives du chef. Celui-ci se place devant tout le monde. Légèrement en hauteur, à sa gauche le schizophrène, à droite le Dimitri.
-Bon.
Puis il se met en route. Il n’a absolument rien à dire. Les yeux encore rouges de sommeil, il baille et avance tout en s’étirant.
-Louis tu gardes le navire. Reste pas dans le secteur, j’ai pas envie que tu te fasses attaqué et qu’on père nos navires.
‘tin j’ai même pas envie de faire d’la recherche aujourd’hui. Pourquoi il a vendu le dial l’autre abruti de Croquette. J’savais pas que dans ce monde des êtres aussi idiots exister. Si je le savais, mais bon. C’est toujours aussi surprenant d’le voir. Puis les rues sont encore désertes à cette heure. Il y a quelques têtes d’ivrogne dans les coins. Mais bon, frapper des ivrognes c’est pas drôle. Alors on avance dans la ville. Sauf que là j’tombe sur un truc. OUAA ! La classe. Un bâtiment trop beau. J’me demande bien à qui ça peut être. Un riche dans cette ville. Hé hé hé, il va avoir un drôle de réveil.
-Bon, restez là. J’vais faire un tour des lieux. Si c’est top alors on habitera ici. En attendant regardez si les passant ne connaisse pas une personne qui a acheté un dial hier. Enfin, un dial de chez Criquounette. Dimitri il est trop tôt pour chasser la viande du déjeuner, tu ferras ça plus tard.
Les gars aiment bien l’idée. Les hôtels de luxe. Rien que l’extérieure donne envie. Les hommes de Roger commencent à interroger les passants. C’est pas des tendres. Ils cognent de bon matin. Ils cognent avant de demander, c’est pour vous dire à quel point ce sont des êtres primitifs. En tout cas, notre pirate peut infiltrer les lieux en toute discrétion. Il est assez doué pour ça.
Le lieu semble désert. Tout le monde dort. Enfin, il y a toujours des vigies dans ce genre de ville. Le blond avance donc doucement tout en regardant bien de partout. Il finit par repérer un homme qui effectue sa ronde. Celui-ci sort du bâtiment et se trouve devant une belle piscine. Son regard scrute les environs, puis il se remet en marche. Roger caché derrière un buisson attend le bon moment. Puis il avance jusqu’au vigil.
Juste derrière l’homme. Ils avancent et entrent dans le bâtiment. Le surveillant a l’impression d’être suivi et lance rapidement un regard derrière lui, mais le pirate se baisse et se décale tout en restant dans l’angle mort. Rien à signaler alors il se remet en route. Après avoir parcouru le couloir, un grand escalier s’offre à eux. L’individu reste au rez de chausser et se dirige vers une salle à droite. L’infiltrer monte sans bruit. A l’étage il trouve un long couloir. Les portes sur les côtés doivent être des chambres de sous fifre. La porte du fond est plus belle que les autres. C’est probablement celle du chef.
Le fou avance tandis qu’une porte s’ouvre à dix mètres devant lui. Un homme qui vient de se lever, le tant qu’il remarque l’intrus qui avance vers lui sans bruit, c’est déjà trop tard. Un coup de poing dans le visage, l’homme riposte avec un coup, mais ses muscles son encore endormi alors c’est facile d’esquiver cela et un bon coup de tête est lancé. Bim assommé. Cela fait du bruit. Alors Roger traine l’homme et ferme la porte. Maintenant c’est lui qui sent une présence derrière lui. Il se retourne et voix une femme probablement nue sous sa couverture.
-YIAAAAAAAAAAAA
Elle lance un cri strident qui réveille tout le bâtiment. Là les choses vont se corser. Heureusement que c’est un hôtel de luxe. Il y a une belle fenêtre pour s’enfuir. Sauf que…
- Non mais ho! Ferme là à tout jamais ! Tu m’as fait mal aux oreilles là. Tu sais ce que ça veut dire ?
Un cri de bon matin, j’te jure que j’vais être sans pitié avec elle. J’saute sur le lit et j’lui file une droite puis une gauche. J’m’assois sur elle et je continue de frapper. Droite gauche, Droite gauche. Le sang gicle, mais j’arrête pas. Son visage ne ressemble plus à rien. Elle était charmante à la base. Maintenant même un mec comme Criquette, un homme vierge à trente ans n’en voudrait pas hé hé hé. En plus ce genre de femme me rappel ma mère. Une trainée. J’peux pas supporter ça. J’ai pas pour habitude de tuer des gens mais là. J’pourrais même pas gouter à sa cher. Elle me dégoute. Je finis pars m’arrêter alors qu’elle est inconsciente. J’l’attrape par les cheveux et lui relève légèrement la tête puis je donne un gros coup dans la gorge qui la tue.
Les mains pleines de sang, le visage fermé. Il est rempli de haine. Le fait de s’être rappelé de sa mère l’a rendu fou furieux. Les poings serrés. Il aimerait tué toutes les catin du monde immédiatement.
Après un repas à base de viande d’homme, l’équipage du blond prend l’option repos. Une bonne nuit de sommeil. Sans doute une nuit bien calme. Les hommes blessés se font soigner, le cuisinier lave la vaisselle, le schizophrène parle à lui-même. Notre pirate est assis sur un pic du Sanbi. Il balance ses pieds tout en regardant les photos de ses filles. Devenir un bon père, un bon mari. Voilà ce qu’il souhaite désormais. Ce nouvel objectif est encore plus important que ses plaisirs personnels. Cela est étrange. Pourquoi maintenant, pourquoi si soudainement. Il est vrai qu’il aurait aimé avoir des parents qui s’occupent de lui. Il est vrai que son amour pour sa famille est incommensurable. Mais je suppose que cela vient surtout de la rencontre faite plus tôt. La rencontre d’un orphelin. Peut-être qu’il se voit dans ce petit. En tout cas c’est le petit élément qui lui a ouvert les yeux sur la famille.
. . .
-Debout bande de limace ! La partie va commencer.
Le réveil est brutal. Des coups de pied, des hurlements et des jets d’eau. Le soleil ne s’est pas encore levé, mais l’équipage est déjà debout. Après un petit déjeuner les hommes attendent les directives du chef. Celui-ci se place devant tout le monde. Légèrement en hauteur, à sa gauche le schizophrène, à droite le Dimitri.
-Bon.
Puis il se met en route. Il n’a absolument rien à dire. Les yeux encore rouges de sommeil, il baille et avance tout en s’étirant.
-Louis tu gardes le navire. Reste pas dans le secteur, j’ai pas envie que tu te fasses attaqué et qu’on père nos navires.
‘tin j’ai même pas envie de faire d’la recherche aujourd’hui. Pourquoi il a vendu le dial l’autre abruti de Croquette. J’savais pas que dans ce monde des êtres aussi idiots exister. Si je le savais, mais bon. C’est toujours aussi surprenant d’le voir. Puis les rues sont encore désertes à cette heure. Il y a quelques têtes d’ivrogne dans les coins. Mais bon, frapper des ivrognes c’est pas drôle. Alors on avance dans la ville. Sauf que là j’tombe sur un truc. OUAA ! La classe. Un bâtiment trop beau. J’me demande bien à qui ça peut être. Un riche dans cette ville. Hé hé hé, il va avoir un drôle de réveil.
-Bon, restez là. J’vais faire un tour des lieux. Si c’est top alors on habitera ici. En attendant regardez si les passant ne connaisse pas une personne qui a acheté un dial hier. Enfin, un dial de chez Criquounette. Dimitri il est trop tôt pour chasser la viande du déjeuner, tu ferras ça plus tard.
Les gars aiment bien l’idée. Les hôtels de luxe. Rien que l’extérieure donne envie. Les hommes de Roger commencent à interroger les passants. C’est pas des tendres. Ils cognent de bon matin. Ils cognent avant de demander, c’est pour vous dire à quel point ce sont des êtres primitifs. En tout cas, notre pirate peut infiltrer les lieux en toute discrétion. Il est assez doué pour ça.
Déplacement de félin
- Spoiler:
- Gord Roger se déplace sans bruit. Il est particulièrement stable dans ses déplacements.
Le lieu semble désert. Tout le monde dort. Enfin, il y a toujours des vigies dans ce genre de ville. Le blond avance donc doucement tout en regardant bien de partout. Il finit par repérer un homme qui effectue sa ronde. Celui-ci sort du bâtiment et se trouve devant une belle piscine. Son regard scrute les environs, puis il se remet en marche. Roger caché derrière un buisson attend le bon moment. Puis il avance jusqu’au vigil.
Les pas des ténèbres
- Spoiler:
- Roger reste dans l’angle mort de son adversaire, il associe cette technique au déplacement de félin.
Juste derrière l’homme. Ils avancent et entrent dans le bâtiment. Le surveillant a l’impression d’être suivi et lance rapidement un regard derrière lui, mais le pirate se baisse et se décale tout en restant dans l’angle mort. Rien à signaler alors il se remet en route. Après avoir parcouru le couloir, un grand escalier s’offre à eux. L’individu reste au rez de chausser et se dirige vers une salle à droite. L’infiltrer monte sans bruit. A l’étage il trouve un long couloir. Les portes sur les côtés doivent être des chambres de sous fifre. La porte du fond est plus belle que les autres. C’est probablement celle du chef.
Le fou avance tandis qu’une porte s’ouvre à dix mètres devant lui. Un homme qui vient de se lever, le tant qu’il remarque l’intrus qui avance vers lui sans bruit, c’est déjà trop tard. Un coup de poing dans le visage, l’homme riposte avec un coup, mais ses muscles son encore endormi alors c’est facile d’esquiver cela et un bon coup de tête est lancé. Bim assommé. Cela fait du bruit. Alors Roger traine l’homme et ferme la porte. Maintenant c’est lui qui sent une présence derrière lui. Il se retourne et voix une femme probablement nue sous sa couverture.
-YIAAAAAAAAAAAA
Elle lance un cri strident qui réveille tout le bâtiment. Là les choses vont se corser. Heureusement que c’est un hôtel de luxe. Il y a une belle fenêtre pour s’enfuir. Sauf que…
- Non mais ho! Ferme là à tout jamais ! Tu m’as fait mal aux oreilles là. Tu sais ce que ça veut dire ?
Un cri de bon matin, j’te jure que j’vais être sans pitié avec elle. J’saute sur le lit et j’lui file une droite puis une gauche. J’m’assois sur elle et je continue de frapper. Droite gauche, Droite gauche. Le sang gicle, mais j’arrête pas. Son visage ne ressemble plus à rien. Elle était charmante à la base. Maintenant même un mec comme Criquette, un homme vierge à trente ans n’en voudrait pas hé hé hé. En plus ce genre de femme me rappel ma mère. Une trainée. J’peux pas supporter ça. J’ai pas pour habitude de tuer des gens mais là. J’pourrais même pas gouter à sa cher. Elle me dégoute. Je finis pars m’arrêter alors qu’elle est inconsciente. J’l’attrape par les cheveux et lui relève légèrement la tête puis je donne un gros coup dans la gorge qui la tue.
Les mains pleines de sang, le visage fermé. Il est rempli de haine. Le fait de s’être rappelé de sa mère l’a rendu fou furieux. Les poings serrés. Il aimerait tué toutes les catin du monde immédiatement.