Petit pas, petit pas. Petite base de la marine sur une certaine ile. Bon, on va arrêter avec les petits, parce que ça devient lourd. Alors Yamashita habillé comme un simple mousse avance. D’un pas lent mais serein il découvre les lieux. Le soleil agresse légèrement ses yeux. Pourtant nous sommes en pleine journée, alors la raison de cela est que le soldat vient juste de faire une sieste pour être en forme.
Avec sa petite casquette de marine sur la tête, l’homme entre dans le domaine. Les locaux semblent propres, c’est déjà un bon point. Conduis dans sa chambre comme les autres recrues, Yamashita dépose ses affaires tranquillement. Une chambre pour quatre personnes avec deux superposée. Son lit lui est désigné tout comme son placard. Un petit sourire de sa part pour remercier son guide.
Rien à dire. Au garde-à-vous. Il ne bouge pas d’un cil et attend les ordres comme un bon petit matelot. Lorsqu’il entend au repos le sabreur peut continuer d’installer ses affaires. Cela est fait rapidement. Il sort sa montre à gousset.
Faut faire attention à ne pas sous-estimer un agent du Ciper pole. Certaines histoires mettent du temps à être résolu. D’autre se fond très rapidement. Un homme entre dans la chambre alors que le soldat est allongé. Il attend. Dans trente minutes le déjeuner sera servi. Il calcule, dix minutes avant l’heure pour arriver ni trop tôt, ni trop tard.
Attention, là c’est marrant. Enfin, pas le fait qu’il dit s’appeler Gamon, ça c’est normal pour un agent infiltré. Mais le sourire amical qu’il lance. Comme s’il voulait vraiment sourire. Ça ne se voit pas, mais c’est pas un vrai sourire. Juste une action parfaite du petit homme parfait. Voir un homme qui vous sourit est plus agréable et ça met en confiance. Les hommes qui partagent la chambre sont une source d’information non négligeable. Il en est bien conscient le petit coquin.
Innocent, blanc comme la neige. On ne le suspecterait pas d’appartenir au CP3. C’est accompagné de sa connaissance qu’il se rend au réfectoire. C’est pas les soldats qui manque, je sais pas toi mais moi j’aime pas trop quand c’est rempli de gens. La moindre erreur et c’est la honte internationale. Imagine, tu trébuches devant tout le monde lors de ton premier jour ? T’es identifié comme le mec qui ne sait pas marcher. Moi ça m’est déjà arrivé… Enfin là on parle de Yamashita. Crois pas que lui c’est le genre de mec à tomber comme ça. Je te le dis clairement. Non. Il fait la queue, prend la nourriture et s’installe. Tout ce passe à merveille sans le moindre problème. Après tout c’est pas comme si c’est une prison l’endroit.
Tranquille, après avoir fait la connaissance des amis de son compagnon de chambre, il part au bureau. Après trois coups à la porte et pas un de plus, il n’entend rien. L’endroit est-il vide ? Peu probable mais bon. Le soldat retente sa chance. Rien à faire. Après avoir attendu droit comme un I devant la porte, sa montre lui fait signe. Enfin façon de parler, elle ne va pas lui dire t’as vu l’heure faut aller s’entrainer. Mais c’est tellement calme qu’on l’entendait crier tik et tak. Fin bon. C’est dans la cours équipé d’un joli petit bokken que se trouve le sabreur. Il n’a pas oublié le bout de bois comme d’autre novice. Lui marché tranquillement et du coin de l’œil a remarqué une pancarte n’oubliez pas votre bokken. Il faut dire que c’était bien cacher, juste derrière un mur à droite. Le temps passe et l’entrainement ne commence toujours pas.
Les gens parlent… Le temps passe.
Avec sa petite casquette de marine sur la tête, l’homme entre dans le domaine. Les locaux semblent propres, c’est déjà un bon point. Conduis dans sa chambre comme les autres recrues, Yamashita dépose ses affaires tranquillement. Une chambre pour quatre personnes avec deux superposée. Son lit lui est désigné tout comme son placard. Un petit sourire de sa part pour remercier son guide.
Le déjeuner est servi à 12h30. L’entrainement pour les nouvelles recrues est à 14h mais vous devrez vous identifiez au bureau du sergent-chef qui désignera un caporal comme tuteur et cela à 13h
A vos ordre!
A vos ordre!
Rien à dire. Au garde-à-vous. Il ne bouge pas d’un cil et attend les ordres comme un bon petit matelot. Lorsqu’il entend au repos le sabreur peut continuer d’installer ses affaires. Cela est fait rapidement. Il sort sa montre à gousset.
Tik Tak Tik Tak . . . .
Faut faire attention à ne pas sous-estimer un agent du Ciper pole. Certaines histoires mettent du temps à être résolu. D’autre se fond très rapidement. Un homme entre dans la chambre alors que le soldat est allongé. Il attend. Dans trente minutes le déjeuner sera servi. Il calcule, dix minutes avant l’heure pour arriver ni trop tôt, ni trop tard.
Ils ont finalement complété notre chambre. Bienvenue, moi c’est Matuidi.
Enchanter, moi c’est Gamon.
Enchanter, moi c’est Gamon.
Attention, là c’est marrant. Enfin, pas le fait qu’il dit s’appeler Gamon, ça c’est normal pour un agent infiltré. Mais le sourire amical qu’il lance. Comme s’il voulait vraiment sourire. Ça ne se voit pas, mais c’est pas un vrai sourire. Juste une action parfaite du petit homme parfait. Voir un homme qui vous sourit est plus agréable et ça met en confiance. Les hommes qui partagent la chambre sont une source d’information non négligeable. Il en est bien conscient le petit coquin.
Innocent, blanc comme la neige. On ne le suspecterait pas d’appartenir au CP3. C’est accompagné de sa connaissance qu’il se rend au réfectoire. C’est pas les soldats qui manque, je sais pas toi mais moi j’aime pas trop quand c’est rempli de gens. La moindre erreur et c’est la honte internationale. Imagine, tu trébuches devant tout le monde lors de ton premier jour ? T’es identifié comme le mec qui ne sait pas marcher. Moi ça m’est déjà arrivé… Enfin là on parle de Yamashita. Crois pas que lui c’est le genre de mec à tomber comme ça. Je te le dis clairement. Non. Il fait la queue, prend la nourriture et s’installe. Tout ce passe à merveille sans le moindre problème. Après tout c’est pas comme si c’est une prison l’endroit.
Tranquille, après avoir fait la connaissance des amis de son compagnon de chambre, il part au bureau. Après trois coups à la porte et pas un de plus, il n’entend rien. L’endroit est-il vide ? Peu probable mais bon. Le soldat retente sa chance. Rien à faire. Après avoir attendu droit comme un I devant la porte, sa montre lui fait signe. Enfin façon de parler, elle ne va pas lui dire t’as vu l’heure faut aller s’entrainer. Mais c’est tellement calme qu’on l’entendait crier tik et tak. Fin bon. C’est dans la cours équipé d’un joli petit bokken que se trouve le sabreur. Il n’a pas oublié le bout de bois comme d’autre novice. Lui marché tranquillement et du coin de l’œil a remarqué une pancarte n’oubliez pas votre bokken. Il faut dire que c’était bien cacher, juste derrière un mur à droite. Le temps passe et l’entrainement ne commence toujours pas.
Encore en retard...
C’est quoi ce bordel, y’en a marre ! J’ai pas rejoint la marine pour me tourner les pouces !
C’est quoi ce bordel, y’en a marre ! J’ai pas rejoint la marine pour me tourner les pouces !
Les gens parlent… Le temps passe.