J’avais donner leur semaine au gars, on revenait du Ban, ce qui avait été un peu éprouvant et je pensais passer une semaine sans foutre grand-chose : me reposer, visiter le paternel, visiter les forges et peut être faire comme les mecs normaux de mon âge draguer…ce qui aurait été plus simple si je n’avais pas un loup d’un mètre de haut…et que je n’étais pas couvert de bandage…je chassais une mèche qui étais tombé devant les yeux…faudrait peut être que je les coupes…non finalement être chevelu c’est la classe.
Je me trouvais actuellement sur mon ile natale notamment connue pour le carbofribidon … ce nom barbare à l’allure scientifique n’était autre que le menu d’un restaurateur local…carbonade à la flamande, accompagné de frite dans un cornet avec une bière maison et un assortiment de Donuts pour le dessert (si on était capable de répéter le nom à la fin du repas, la bière était gratuite)…je me regardais dans une glace…j’avais presque un look normal…cheveux long, bandana de bandage, t-shirt des Beatles, bracelet de bandage et jeans …un gros presque quoi…
*On fait quoi ?*
-*J’propose que l’on aille bouffer un truc, puis voir mon vieux*
Une vielle s’arrêta, essoufflée, à notre rencontre, la septantaine, un chignon serré et un tailleur strict.
-Etes-vous Le colonel Yamamoto Kogaku ?
On connaissait mon nom …Il avait quand même pas diffusé en gros tous les articles sur mes faits….remarque c’est possible…je n’étais pas colo mais bon…
-effectivement
-suivez moi y’a un p’tit souci.
Hein ?...ok c’était le genre de personne qui avait l’habitude de commander…allez mémé, j’arrive sauver ton chat…
-Je pensais aller chercher un marin, mais tous ces incompétents, restent dans leur baraquement et je suis tombé sur vous…et puis le fils des Kogaku peut pas être un mauvais gars…c’est la
Et elle partit sans se retourner ni m’informer, de la situation…j’espère que ce n’est pas un traquenard, j’suis pas armé, je regardais, le bâtiment qu’elle m’avait montré. Ca ressemblait à une banque, je jetais un coup d’œil par la fenêtre…3 gars en feutre avec une pétoire en main…et 5 civils…
-*Tu reste dehors, et je rentre pour parlementer*
*Tu veux pas que les bouffes ?*
-Juste besoin de toi dehors pour entrer si ca la merde*
Je glissais néanmoins un galet dans ma poche…Je poussais, la porte et directement trois pistolets se pointèrent sur la poitrine…non sans trembler (les pistolets je parle...moi trembler…n’importe quoi…). Je levais les mains.
-Je viens pour parlementer
-Attend t’es pas le marin la Kocratoau ?
Mentir ou pas… allez on va jouer sur la réputation…
-Oui…
-Oh…putain
Ils tremblèrent encore plus…
-J’ai simplement une demande avant…relâcher ces innocents
Ils se consultèrent du regard, et firent signes aux victimes de partir.
-Nous on veut juste de l’argent !
-Voila déposer vos armes maintenant, si vous ne faites pas de conneries vous vous en sortirez sans gros problèmes, d’accord
-Nous on a besoin d’argent et vite, alors on est obligé
Besoin ?
Obligé ?
-Dans ce cas la il suffit de travailler
Ils continuaient de me tenir en joue, si l’on oubliait que l’arme était soit tendue soit au niveau du ventre, qu’elle tremblait abondamment et que l’on pouvait observer une partie de la marque du fabricant de jouet sur la crosse.
-Oaui mais on n’a pas le temps
-Vous savez les fausses armes ne font peur qu’aux civils, lâcher ces machins encombrants et asseyons nous pur discuter d’accord et enlevez vos masque ce sera plus pratique pour parler ?
Ils échangèrent des regards, après tout, pourquoi faire quelques choses dont ils n’avaient pas envie…ils glissèrent les jouets dans leur poche dénouèrent leur foulard (sans doute un rideau dont on avait coupé l’un ou l’autre morceaux…) et s’assirent en tailleur, je m’assis à mon tour en sheiza…le maitre et les élèves… Je regardais mieux les gars, c’était trois ados ou de jeunes adultes, leur armes étaient fausse et ils semblaient apeuré, je m’adressais au plus vieux, qui semblait à peine commencer à se raser au vu des pansements…j’étais pas mieux mais bon…
-Maintenant expliquez moi ce besoin sur le temps…casino…non…et pis z’etes trop jeune (même moi j’ai pas le droit bouhou) . Y’en a pas ici et vous avez les intonations du coin, donc c’est quoi ?
-T’es d’ici ?
-Oui, le fils des Kogaku, mais ca m’étonnerait que vous vous ne souvenez, ils sont mort, y a plus de dix ans, ensuite j’ai été élevé par Walter Bron, le forgeron du coin .
-Ah déso, bro, on savait pas
-T’avais pas un grand frère ?...Henry, appelle le pas bro
-Non, désolé
-Beh y’a pas Kunwan Kogaku, il nous a demandé de le conduire sur la tombe de Kyo et tsun Kogaku, puis nous a demandé si on avait des nouvelles de son p’tit frère…c’était y’a deux trois ans non ?
Merde…j’aurais un frère, pourquoi Walt, m’as rien dit ?
-Attendez vous ne seriez pas les fils (je faillis dire du vieux) de Jasper Yoriku ?
Un mec, tordu et prématurément vieilli et pas très sympa qui s’occupait du cimetière du village.
-Oui, il est mort y’a 2 ans, on es seul avec notre mère qu’est malade et on n’a pas d’argent pour la soigner
Aie
-Vous ne saviez pas demandez au village, ou au vieux Sid, il vous la soignera gratis.
-Bah, il est mort aussi et on n’est pas très aimé…
C’est vrai que c’était des « racaille » et que tous le monde avait un peu peur des fossoyeur sur l’ile…
-Venez, on sort, vous aurez peut être une petite peine d’emprisonnement, mais avec circonstance atténuante…je paierai la note…
-Tu ferais ca ?
Ils étaient au bord des larmes, et souriant…et ils finirent par finalement chialer totalement, les hommes totalement mauvais n’existait pas, je passais mon doigt, sur une fine cicatrice qui courait sur mon torse sous mon t-short…Yukisame…tu deviens quoi ?
Je conduisais, les gars dehors, les mains dans les poches, y’avait quelques marins en joue…je sortis ma carte et leur ordonnais de baisser leur armes…Si je me trompais pas, selon la loi, ils auraient un mois d’emprisonnement…je ferais en sorte qu’il la purge chacun à leur tour…pour qu’y en aie toujours au moins un avec leur mère…ce serait la vraie punition…
Je les amenais au toubib du coin, leur mère avait une sale maladie mais rien d’incurable…Je remplis la paperasse afin de leur donner la peine minimale et pas en même temps.
Une fois l’affaire terminée, la petite vieille, me fonça dessus, l’air apeurée.
-Il y a une urgence venez vite
Si pour elle un braquage, était un petit souci…qu’était une urgence…un Yonkou ?
Je m’élançais à sa suite…on arriva près d’un chat miaulant dans un arbre.
*Elle veut qu’on l’achève je pense…*
-Sauvez princesse
Les poches pleines de cookies, je partis voir mon père adoptif, on aurait un « problème » à régler…
Je toquais à la porte personne…je sortis la clé de la maison, et rentrais, je fis un rapide tour du propriétaire…c’était trop en ordre…personne, soudain, je remarquai quelque chose dans la cuisine, une chaise était renversée…et un stickman manchot avait été dessiné à l’aide d’une matière grumeleuse rose….du chewing gum…il s’était mis à l’art ?
Je me rendis à la forge où je rencontrais un p’tit gars (dont j’avais oublié le nom), qui si mes souvenirs étaient bon, étaient mon remplaçant. Il m’expliqua qu’une nuit, le boss était venu pour lui dire qu’il partait en vacance, visiter des forges…
*On fait quoi ?*
-*On va voir mon oncle*
Ce dit Oncle, Touma Kogaku, était revenus à mes dix ans, hémiplégique, il ne pouvait donc pas me prendre en charge et c’est pourquoi je me suis retrouvé avec un ami de famille. Mais mon oncle était un bon gars, toujours heureux et serviable et il avait toujours une histoire pour moi.
Je le trouvais sur sa terrasse en train de profiter du soleil sur son fauteuil roulant.
-Salut Toutou (le petit nom qu’on lui avait donné)
-T’es plus sur Grand-Line et les rumeurs sur ton loup était vrai…Salut en passant
-Non, j’ai préféré rentrer et oui…il s’appelle Œil-de-nuit
-Rentre boustifailler un peu
Il me sourit, mes visites chez lui étaient relativement rare…elles me faisaient peur, il y a quelques années de cela
-Alors, comme ca j’ai vu que t’as fais pas mal de coups d’éclat comme Walter, ton père et moi…Je te l’avais pas dit ?...J’étais colonel à la marine avant de me faire Peter les vertèbres par un pirate…Walter avait raison de ne pas me laisser la garde…un bon gars…j’étais un connard à l’époque prêt à tout pour choper ce pirate…il a gagné…éssaye de pas faire mes conneries …j’étais peut-être colonel, mais je voulais pas aller dans les bureaux…je parle je parle, ton père me l’as toujours reproché
Voila ce qui me faisait peur...Il me parlait de quelqu’un dont je n’avais aucun souvenir et dont je me souvenais à peine du visage…Je ne voulais pas le lui dire et j’inventais des histoires…je ne voulais pas lui faire de la peine en plus.
-Ca va ici ?
-C’est calme…j’ai peut-être trouvé une femme…héhé
-Félicitaton, sinon tu sais où Walter
-Ouep il est partit sur l’ile du karaté rencontré Bruce…Tu vois le mec qui racontait que des conneries et qui a fait plus de métier qu’il n’en existe
J’essayais de cacher mon trouble…Walter n’était pas du genre à mentir
-Il a dit quelque chose de spécial ?
-Nope…tu ressemble tellement au frérot et un peu à ta mère…je…non j’vais pas t’en parler…
-Où est le problèmes ?
Il se mordit la lèvre et regarda une photo où l’on voyait toute la famille réunie et parla silencieusement.
-J’ai aimé ta mère mais c’est lui qui a gagné drôle non, je me demande souvent comment ma vie serait devenue si cela s’était passé différemment…
Nous parlâmes longtemps sur la famille, mon père, ma mère, l’ile, Walter, son passé…Mais rien sur mon possible frère…
-Et que devient…Kunwan, mon frangin
Il pâlit d’un coup et me fit un sourire gêné…ses battements de cœur avait accéléré…mais j’étais incapable de dire si c’était de peur…ou pour mentir…ou les deux…
-Mais voyons….Yaya, qu’es ce que tu raconte t’as jamais eu de frangins…tu va bien…t’as rien pris avant de venir ?
Ou alors à cause d’un choc émotionnel…
-Désolé, je suis assez fatigué…c’est sortit tout seul…allez je vais te laisser je dois rentrer sur le bateau
-Tu ne dois pas ca arrive à tous le monde…allez à la revoiure
Donc résumons…Walter a sortit deux excuses différente…il y a une sorte de trace de lutte dans la cuisine….et un…chewing-Gum….merde…l’enfoiré…jeanmerde…Tu veux ta revanche c’est ca trou-du-cul…Je vais te trouver…et tu regretteras d’être né…m’occuperais du frangin plus tard…
Donc…résumons enlèvement…mais pas de rançon…chewing-gum…tout rangé…sauf une chaise et si … Je me dirigeais vers la maison, retournais la table et y trouvais collé à l’aide d’un chewing-gum une note…les dessous de table ne servait qu’a cela de toute façon…Je la parcourus rapidement, la demande type vient seul, voir vivant, tel coin…et pas de dates…je lus la lettre au loup.
-*va surveiller mon oncle s’il te plait… *
Il n’était pas dupe
*ok, revient vite*
Le rendez vous avait été prévus dans un hôtel sur bliss (avec adresse, numéros,…), il suit même les conseils de Derick…toujours revenir sur le lieu du crime…faut arrêter de suivre les stéréotypes les gens…j’aurais même le temps de me préparer…
Je farfouillais dans mes affaires laissée sur place et sortis de vielles lunettes d’ingénieur, avec des verres teinté…idéal pour éviter son hypnose colorée…je me rendis dans la droguerie de l’ile pris du somnifère et plusieurs marques de chewing-gums et du dissolvant à chewing-gum (ce n’était pas du prévu pour chewing-gum mais ca marchait). Je m’installais à la table fabriquais une boule « empoissonnée » que j’emballais dans de la cellophane et les glissais dans une poche cylindrique…je préférais éviter de les utiliser mais bon…je jetais ensuite les paquets dans la poubelle, j’appelai l’un de mes subordonné sur le bateau pour amener mes affaires…je prendrais un navire civile pour y aller…je leur dis simplement de rentrer à leur base pendant que je ferais une croisière avec des amis…désolé Œil, mais je partirais sans toi…J’enfilais mon indémodable ceinture à poche où tenait mes armes et préparatif, j’enfilais mon trench-coat de façon a dissimuler mes armes et prêt à partir, j’appelais l’hôtel en question.
-Hotel schri ?
-Allo, ici Yamamata Kaoru…je viens prendre une chambre
-une chambre en particulier ?
Petit test…pas très professionnel soit dit en passant
-Un ami m’a conseillé la 17
-ah elle est prise…je vous donne la 16 (il raccrocha…étrange)
Quelqu’un toqua à la porte, j’étais prêt à partir et j’avais la flemme de retirer mon stuff…je ferais peur mais tant pis…j’ouvris la porte…grand Baraqué, un gourdin à la main…je n’eu pas le temps de réagir…au moins le trajet sera gratis…le numéro était sans doute celui d’a coté…j’aurais du demander quand il était partis…le carbofridon…
Je me trouvais actuellement sur mon ile natale notamment connue pour le carbofribidon … ce nom barbare à l’allure scientifique n’était autre que le menu d’un restaurateur local…carbonade à la flamande, accompagné de frite dans un cornet avec une bière maison et un assortiment de Donuts pour le dessert (si on était capable de répéter le nom à la fin du repas, la bière était gratuite)…je me regardais dans une glace…j’avais presque un look normal…cheveux long, bandana de bandage, t-shirt des Beatles, bracelet de bandage et jeans …un gros presque quoi…
*On fait quoi ?*
-*J’propose que l’on aille bouffer un truc, puis voir mon vieux*
Une vielle s’arrêta, essoufflée, à notre rencontre, la septantaine, un chignon serré et un tailleur strict.
-Etes-vous Le colonel Yamamoto Kogaku ?
On connaissait mon nom …Il avait quand même pas diffusé en gros tous les articles sur mes faits….remarque c’est possible…je n’étais pas colo mais bon…
-effectivement
-suivez moi y’a un p’tit souci.
Hein ?...ok c’était le genre de personne qui avait l’habitude de commander…allez mémé, j’arrive sauver ton chat…
-Je pensais aller chercher un marin, mais tous ces incompétents, restent dans leur baraquement et je suis tombé sur vous…et puis le fils des Kogaku peut pas être un mauvais gars…c’est la
Et elle partit sans se retourner ni m’informer, de la situation…j’espère que ce n’est pas un traquenard, j’suis pas armé, je regardais, le bâtiment qu’elle m’avait montré. Ca ressemblait à une banque, je jetais un coup d’œil par la fenêtre…3 gars en feutre avec une pétoire en main…et 5 civils…
-*Tu reste dehors, et je rentre pour parlementer*
*Tu veux pas que les bouffes ?*
-Juste besoin de toi dehors pour entrer si ca la merde*
Je glissais néanmoins un galet dans ma poche…Je poussais, la porte et directement trois pistolets se pointèrent sur la poitrine…non sans trembler (les pistolets je parle...moi trembler…n’importe quoi…). Je levais les mains.
-Je viens pour parlementer
-Attend t’es pas le marin la Kocratoau ?
Mentir ou pas… allez on va jouer sur la réputation…
-Oui…
-Oh…putain
Ils tremblèrent encore plus…
-J’ai simplement une demande avant…relâcher ces innocents
Ils se consultèrent du regard, et firent signes aux victimes de partir.
-Nous on veut juste de l’argent !
-Voila déposer vos armes maintenant, si vous ne faites pas de conneries vous vous en sortirez sans gros problèmes, d’accord
-Nous on a besoin d’argent et vite, alors on est obligé
Besoin ?
Obligé ?
-Dans ce cas la il suffit de travailler
Ils continuaient de me tenir en joue, si l’on oubliait que l’arme était soit tendue soit au niveau du ventre, qu’elle tremblait abondamment et que l’on pouvait observer une partie de la marque du fabricant de jouet sur la crosse.
-Oaui mais on n’a pas le temps
-Vous savez les fausses armes ne font peur qu’aux civils, lâcher ces machins encombrants et asseyons nous pur discuter d’accord et enlevez vos masque ce sera plus pratique pour parler ?
Ils échangèrent des regards, après tout, pourquoi faire quelques choses dont ils n’avaient pas envie…ils glissèrent les jouets dans leur poche dénouèrent leur foulard (sans doute un rideau dont on avait coupé l’un ou l’autre morceaux…) et s’assirent en tailleur, je m’assis à mon tour en sheiza…le maitre et les élèves… Je regardais mieux les gars, c’était trois ados ou de jeunes adultes, leur armes étaient fausse et ils semblaient apeuré, je m’adressais au plus vieux, qui semblait à peine commencer à se raser au vu des pansements…j’étais pas mieux mais bon…
-Maintenant expliquez moi ce besoin sur le temps…casino…non…et pis z’etes trop jeune (même moi j’ai pas le droit bouhou) . Y’en a pas ici et vous avez les intonations du coin, donc c’est quoi ?
-T’es d’ici ?
-Oui, le fils des Kogaku, mais ca m’étonnerait que vous vous ne souvenez, ils sont mort, y a plus de dix ans, ensuite j’ai été élevé par Walter Bron, le forgeron du coin .
-Ah déso, bro, on savait pas
-T’avais pas un grand frère ?...Henry, appelle le pas bro
-Non, désolé
-Beh y’a pas Kunwan Kogaku, il nous a demandé de le conduire sur la tombe de Kyo et tsun Kogaku, puis nous a demandé si on avait des nouvelles de son p’tit frère…c’était y’a deux trois ans non ?
Merde…j’aurais un frère, pourquoi Walt, m’as rien dit ?
-Attendez vous ne seriez pas les fils (je faillis dire du vieux) de Jasper Yoriku ?
Un mec, tordu et prématurément vieilli et pas très sympa qui s’occupait du cimetière du village.
-Oui, il est mort y’a 2 ans, on es seul avec notre mère qu’est malade et on n’a pas d’argent pour la soigner
Aie
-Vous ne saviez pas demandez au village, ou au vieux Sid, il vous la soignera gratis.
-Bah, il est mort aussi et on n’est pas très aimé…
C’est vrai que c’était des « racaille » et que tous le monde avait un peu peur des fossoyeur sur l’ile…
-Venez, on sort, vous aurez peut être une petite peine d’emprisonnement, mais avec circonstance atténuante…je paierai la note…
-Tu ferais ca ?
Ils étaient au bord des larmes, et souriant…et ils finirent par finalement chialer totalement, les hommes totalement mauvais n’existait pas, je passais mon doigt, sur une fine cicatrice qui courait sur mon torse sous mon t-short…Yukisame…tu deviens quoi ?
Je conduisais, les gars dehors, les mains dans les poches, y’avait quelques marins en joue…je sortis ma carte et leur ordonnais de baisser leur armes…Si je me trompais pas, selon la loi, ils auraient un mois d’emprisonnement…je ferais en sorte qu’il la purge chacun à leur tour…pour qu’y en aie toujours au moins un avec leur mère…ce serait la vraie punition…
Je les amenais au toubib du coin, leur mère avait une sale maladie mais rien d’incurable…Je remplis la paperasse afin de leur donner la peine minimale et pas en même temps.
Une fois l’affaire terminée, la petite vieille, me fonça dessus, l’air apeurée.
-Il y a une urgence venez vite
Si pour elle un braquage, était un petit souci…qu’était une urgence…un Yonkou ?
Je m’élançais à sa suite…on arriva près d’un chat miaulant dans un arbre.
*Elle veut qu’on l’achève je pense…*
-Sauvez princesse
Les poches pleines de cookies, je partis voir mon père adoptif, on aurait un « problème » à régler…
Je toquais à la porte personne…je sortis la clé de la maison, et rentrais, je fis un rapide tour du propriétaire…c’était trop en ordre…personne, soudain, je remarquai quelque chose dans la cuisine, une chaise était renversée…et un stickman manchot avait été dessiné à l’aide d’une matière grumeleuse rose….du chewing gum…il s’était mis à l’art ?
Je me rendis à la forge où je rencontrais un p’tit gars (dont j’avais oublié le nom), qui si mes souvenirs étaient bon, étaient mon remplaçant. Il m’expliqua qu’une nuit, le boss était venu pour lui dire qu’il partait en vacance, visiter des forges…
*On fait quoi ?*
-*On va voir mon oncle*
Ce dit Oncle, Touma Kogaku, était revenus à mes dix ans, hémiplégique, il ne pouvait donc pas me prendre en charge et c’est pourquoi je me suis retrouvé avec un ami de famille. Mais mon oncle était un bon gars, toujours heureux et serviable et il avait toujours une histoire pour moi.
Je le trouvais sur sa terrasse en train de profiter du soleil sur son fauteuil roulant.
-Salut Toutou (le petit nom qu’on lui avait donné)
-T’es plus sur Grand-Line et les rumeurs sur ton loup était vrai…Salut en passant
-Non, j’ai préféré rentrer et oui…il s’appelle Œil-de-nuit
-Rentre boustifailler un peu
Il me sourit, mes visites chez lui étaient relativement rare…elles me faisaient peur, il y a quelques années de cela
-Alors, comme ca j’ai vu que t’as fais pas mal de coups d’éclat comme Walter, ton père et moi…Je te l’avais pas dit ?...J’étais colonel à la marine avant de me faire Peter les vertèbres par un pirate…Walter avait raison de ne pas me laisser la garde…un bon gars…j’étais un connard à l’époque prêt à tout pour choper ce pirate…il a gagné…éssaye de pas faire mes conneries …j’étais peut-être colonel, mais je voulais pas aller dans les bureaux…je parle je parle, ton père me l’as toujours reproché
Voila ce qui me faisait peur...Il me parlait de quelqu’un dont je n’avais aucun souvenir et dont je me souvenais à peine du visage…Je ne voulais pas le lui dire et j’inventais des histoires…je ne voulais pas lui faire de la peine en plus.
-Ca va ici ?
-C’est calme…j’ai peut-être trouvé une femme…héhé
-Félicitaton, sinon tu sais où Walter
-Ouep il est partit sur l’ile du karaté rencontré Bruce…Tu vois le mec qui racontait que des conneries et qui a fait plus de métier qu’il n’en existe
J’essayais de cacher mon trouble…Walter n’était pas du genre à mentir
-Il a dit quelque chose de spécial ?
-Nope…tu ressemble tellement au frérot et un peu à ta mère…je…non j’vais pas t’en parler…
-Où est le problèmes ?
Il se mordit la lèvre et regarda une photo où l’on voyait toute la famille réunie et parla silencieusement.
-J’ai aimé ta mère mais c’est lui qui a gagné drôle non, je me demande souvent comment ma vie serait devenue si cela s’était passé différemment…
Nous parlâmes longtemps sur la famille, mon père, ma mère, l’ile, Walter, son passé…Mais rien sur mon possible frère…
-Et que devient…Kunwan, mon frangin
Il pâlit d’un coup et me fit un sourire gêné…ses battements de cœur avait accéléré…mais j’étais incapable de dire si c’était de peur…ou pour mentir…ou les deux…
-Mais voyons….Yaya, qu’es ce que tu raconte t’as jamais eu de frangins…tu va bien…t’as rien pris avant de venir ?
Ou alors à cause d’un choc émotionnel…
-Désolé, je suis assez fatigué…c’est sortit tout seul…allez je vais te laisser je dois rentrer sur le bateau
-Tu ne dois pas ca arrive à tous le monde…allez à la revoiure
Donc résumons…Walter a sortit deux excuses différente…il y a une sorte de trace de lutte dans la cuisine….et un…chewing-Gum….merde…l’enfoiré…jeanmerde…Tu veux ta revanche c’est ca trou-du-cul…Je vais te trouver…et tu regretteras d’être né…m’occuperais du frangin plus tard…
Donc…résumons enlèvement…mais pas de rançon…chewing-gum…tout rangé…sauf une chaise et si … Je me dirigeais vers la maison, retournais la table et y trouvais collé à l’aide d’un chewing-gum une note…les dessous de table ne servait qu’a cela de toute façon…Je la parcourus rapidement, la demande type vient seul, voir vivant, tel coin…et pas de dates…je lus la lettre au loup.
-*va surveiller mon oncle s’il te plait… *
Il n’était pas dupe
*ok, revient vite*
Le rendez vous avait été prévus dans un hôtel sur bliss (avec adresse, numéros,…), il suit même les conseils de Derick…toujours revenir sur le lieu du crime…faut arrêter de suivre les stéréotypes les gens…j’aurais même le temps de me préparer…
Je farfouillais dans mes affaires laissée sur place et sortis de vielles lunettes d’ingénieur, avec des verres teinté…idéal pour éviter son hypnose colorée…je me rendis dans la droguerie de l’ile pris du somnifère et plusieurs marques de chewing-gums et du dissolvant à chewing-gum (ce n’était pas du prévu pour chewing-gum mais ca marchait). Je m’installais à la table fabriquais une boule « empoissonnée » que j’emballais dans de la cellophane et les glissais dans une poche cylindrique…je préférais éviter de les utiliser mais bon…je jetais ensuite les paquets dans la poubelle, j’appelai l’un de mes subordonné sur le bateau pour amener mes affaires…je prendrais un navire civile pour y aller…je leur dis simplement de rentrer à leur base pendant que je ferais une croisière avec des amis…désolé Œil, mais je partirais sans toi…J’enfilais mon indémodable ceinture à poche où tenait mes armes et préparatif, j’enfilais mon trench-coat de façon a dissimuler mes armes et prêt à partir, j’appelais l’hôtel en question.
-Hotel schri ?
-Allo, ici Yamamata Kaoru…je viens prendre une chambre
-une chambre en particulier ?
Petit test…pas très professionnel soit dit en passant
-Un ami m’a conseillé la 17
-ah elle est prise…je vous donne la 16 (il raccrocha…étrange)
Quelqu’un toqua à la porte, j’étais prêt à partir et j’avais la flemme de retirer mon stuff…je ferais peur mais tant pis…j’ouvris la porte…grand Baraqué, un gourdin à la main…je n’eu pas le temps de réagir…au moins le trajet sera gratis…le numéro était sans doute celui d’a coté…j’aurais du demander quand il était partis…le carbofridon…
Dernière édition par Yamamoto Kogaku le Dim 23 Mar 2014 - 10:38, édité 2 fois