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Mao Kayshu ou l'Idéalisme mortel

Salut ! Me revoilà, Mahach, pour le DC tant espéré !


>> Mao Kayshu

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Pseudonyme : Jack de Diamantes
Age: 24 ans
Sexe : Femme
Race : Humaine

Métier : Ancienne journaliste
Groupe : Révolutionnaire
But : Abolir l'esclavage et le racisme, purifier la Marine des pourris, en apprendre plus sur la mort de son grand frère.

Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Le Mane mane no Mi.
Équipements : Si possible du matos de combat de navigateur-météorologiste.

Codes du règlement (2) :

Parrain :

Ce compte est-il un DC ? : Oui
Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Soren

>> Physique

Mao est une jeune femme ordinaire. Moyenne même. Elle n'a pas un charisme de diva, sans être laide pour autant. Elle n'est pas petite, mais elle n'est pas non plus très grande. Ni même grande tout court.

Non, à la rigueur, elle est légèrement typée asiatique, à cause de sa mère. Ou grâce. C'est selon. Une femme parmi les femmes. Ses traits sont fins, mais c'est une femme et comme beaucoup de femmes, elle fait attention à elle sans pour autant passer son temps à se regarder dans la glace.
Elle a quand même quelques petites particularités, nul ne ressemble à autrui. Par exemple ses yeux bleus dont la couleur tire légèrement sur le gris et ses petits seins. Sauf que d'autres femmes également ont une petites poitrines ou les yeux bleu-gris. Elle, elle a les deux.
Ah, par contre, elle est toujours vêtue de sa veste en cuir et de son écharpe de laine rouge. Pas quand il y a des grandes chaleurs, bien entendu.

Elle aussi relève le col de son manteau quand elle a froid et défait un bouton de son chemisier quand elle a chaud l'été. Elle marche vite dans la rue pour ne pas être en retard et dérangée par des gens qui pourrait la solliciter : une petite pièce, une signature pour une grande cause, etc. Comme beaucoup de monde, elle a le sens de la morale mais elle veut rester discrète, rentrer dans le rang, dans la norme.

Son apparence fade sans être peu ragoutant, voire peut être même une petite pointe séduisant pour quelqu'un de banal ne fait pas d'elle une personne froide, son ton est plutôt amical, loin d'être brusque mais plutôt pleine de tact. Elle envoie sur les roses dans un matelas de plume, ou se clous rouillés si vous la cherchez vraiment car, oui, si vous énervez cette femme d'apparence médiocre -médiocre dans le sens moyen, banal- sachez que son tempérament est loin d'être aussi tiédasse. Ordinaire mais pas déplaisante.


>> Psychologie

Sous sa grande placidité physique se cache un volcan. N'entendez pas par là qu'elle est prête à coucher le premier soir, mais qu'elle se met à bouillir pour un oui ou pour un non. Seuls ses vrais proches la connaissent sous cette folie furieuse là.

C'est une poète, l'âme à vif, ses idéaux sont monumentaux, les hauts et les bas qu'elle vit sont vertigineux. C'est une rêveuse idéaliste qui par joie ou colère se biaise facilement la réalité, encore plus qu'en temps normal. Souvent elle s'écrase contre le mur du retour à la réalité, s’effondre et se relève. Mais quand elle aime, elle aime avec passion, ardemment.

Elle est comme une adolescente contre le monde, elle est pour l'égalité la plus parfaite, contre l'esclavagisme, elle rêve d'un monde de paix et y croit dur comme fer. Mais du haut de sa vie plus que banale, elle ne s'engage dans rien, et peste à la moindre mauvaise nouvelle. Elle veut recréer la Marine pour l'épurer des pourritures, mais s'écrase devant le premier mousse venu.

Au delà de ça, elle complexe totalement sur la taille de sa poitrine -ne plaisantez pas là dessus. Elle est prête à talocher violemment ses amis auxquels elle tient comme à sa propre vie. Elle est très solaire, très amicale, très sensible, elle se lie vite d'amitié, surtout quand le contexte dégouline de pathos.

Mais depuis quelques temps, elle se sert de sa petite poitrine et de son physique banale pour assouvir son immense curiosité en se déguisant. En effet, elle prend très à cœur son métier de journaliste qui l'a poussé au delà des limites qu'elle aurait du franchir.


>> Biographie

Mao est née à Saint Uréa en 1601, trois ans après la naissance de son frère. La famille est plutôt modèle, tout le monde s'entend bien. Le père, Luo Min, est Marine, la mère, Ran Fan, gère une petite équipe d'un grand stand de marché qui fait un tabac sur la place marchande de la grande ville de ce royaume.

Les enfants grandissent et sont normalement éduqués, si bien qu'en 1609 Mao se lie d'amitié avec Darion Livingston qu'elle ne veut plus quitter. Lui aussi à la chance d'avoir une vie aisée et continueront leur éducation ensemble. Mais bizarrement, très tôt dans leur adolescence, Shin (le frère de Mao), Darion et elle semblent être attirés par l'excitation révolutionnaire. L'ambiance y est pour quelque chose, le Royaume de Saint Uréa est aussi connu pour être une ville à tendance révolutionnaire.

La confrontation avec les parents commence. D'abord Shin.
Ses parents luttent contre ses envies et suent sang et eau pour lui offrir une belle vie et s'y maintenir. Lui, derrière leur dos, vient gonfler les rangs des révolutionnaires à sa majorité en 1614. Du coup, il fait mine d'obéir à ses parents jusqu'au jour où il apprend que ses parents sont également des révolutionnaires plus très attirés par le champ de bataille, mais qui luttent à leur façon, de chez eux. Mao est écartée de cette révélation mais trois ans plus tard, ses parents lui divulguent à elle aussi leur réelle identité. Darion lui, s'est engagé mais prétend qu'il est simple marin sur un gros bateau de pêcheur. Il a perdu les siens et comme il devait prendre la mer à son tour, il a perdu contact avec Mao, revenant uniquement de temps en temps à Saint Uréa.

Les parents de Mao décèdent tous deux en 1622, son père ne supportant pas la mort de sa femme. Entre temps, après un gros coup sur la ville, Shin Kayshu décède sous les coups du Marine Red qui deviendra pirate. Cela calme momentanément les ardeurs de Mao qui devient journaliste en 1624. Elle se donne à fond dans son travail, assouvissant pleinement sa curiosité. Un jour, elle découvre que Darion est en réalité un Révolutionnaire. Elle plaque ce qu'elle était devenue et ce qu'elle avait gagné pour s'engager et partir avec lui. Ils avaient toujours eu les mêmes idéaux d'adolescents, mais lui ne souhaitait pas la voir se mettre en danger. Lors d'un retour à Saint Urea, il revient en boitant, handicapé à vie.

Mao l'inonde de questions et de noms d'oiseaux, furieuse qu'il lui aie caché tout cela. Il est devenu ingénieur et navigateur mais a été touché gravement au genou durant un assaut, ce qui l'oblige à marcher avec une canne à vie. Il a donc, à l'image de Luo Min et Ran Fan, décidé de vivre sa vie de Révolutionnaire tranquillement à Saint Uréa.

Il a fallu un an de dialogue survolté pour Mao pour convaincre Darion de reprendre du service comme superviseur dans son propre équipage. Quelque soit la raison, il n'est pas du genre à se lancer à corps perdu dans la bataille sans réfléchir.

L'on ne peut pas résister à ses vieux démons. Darion le sait, Mao, l'éternelle adolescente idéaliste révoltée, va l'apprendre.


>> Test RP

Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation.
Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.

Quand vous estimez avoir terminé votre présentation, signalez le et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous titre de votre présentation [En attente de Test RP] Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs vous loupent.


Dernière édition par Mao Kayshu le Mar 3 Déc 2013 - 14:44, édité 1 fois
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Salut Mao

Voilà ton test rp

À la rédaction, ça parle de temps en temps de géopolitique, de GM et de révolution. Sauf que le rédac' en chef et quelques-uns du service semblent être vachement pour le GM, le royaume et n'hésitent pas à cracher copieusement sur la révo. En même temps, il parait qu'il y a eu quelques pots-de-vin ces derniers temps, mais ils restent les chefs et imposent leur loi. Cette loi, c'est de mettre dehors tous ceux qui auraient des idéaux prorévolutionnaires. De les griller sur la scène du journalisme, voire même de les livrer aux autorités ; ils pourraient donner des infos sur ces enfoirés de révos.
Et dans la rédac, c'est probablement le vieux Bill, le plus vieux qui n'a jamais caché ses grands principes de libertés, qui risquent d'y passer en premier.

Raconte-nous comment ça s'est passé.
Pluche !
  • https://www.onepiece-requiem.net/t2303-fiche-du-vieux-pludbus
  • https://www.onepiece-requiem.net/t2255-toujours-pas-six-pieds-sous-terretermine-meme
Mao marchait timidement, légèrement stressée à l'idée d'entrer dans le bureau de son patron, même si elle y était habituée et qu'elle voulait simplement lui rendre son article pour l'imprimer le lendemain. Sa réaction était habituelle, il faut dire que l'homme, Lucien De Fielsang, est sec, bourru et n'envoie pas quelqu'un dire ce qu'il pense. Chez lui, tout était grisonnant : ses cheveux, sa mouche, son costume, son humeur. Il avait le visage ridé et fermé, l'air dur, comme paraissaient être ses cheveux ou sa moustache. Mao aimait l'imaginer en compagnie de sa femme ou de ses amis, mais ne parvenais jamais à lui donner des signes d'amour ou d'amitié.

Elle était désormais devant la porte qui donnait sur le bureau de la rédaction en chef. Et comme à chaque fois, elle se trouvait bête qu'il ne lui paraisse aussi difficile de frapper à une porte. Pourtant, elle savait que c'était simple, un enfant de quatre ans y arriverait. Il suffisait de lever légèrement le bras, de fermer le poing et du haut de la phalange de l'index, frapper trois petits coups. Elle ne risquait rien pourtant, la porte n'allait pas lui rendre les coups. Mais le plus important n'était pas la porte en elle même, c'était sur quoi elle allait s'ouvr ...

Elle s'aperçut enfin qu'elle était ouverte et qu'on pouvait entendre quelque voix. Elle en profita pour jeter un coup d'oeil, animée par sa curiosité brulante.


- ... ces sales chiens galeux de Révolutionnaires ! Je te foutrais au billot moi !


C'était celle de Fielsang, à demi-assis sur son bureau. Il comptait une grosse liasse de billet dans une enveloppe. D'autres hommes ou femmes se mirent à ricaner comme de bons moutons autour de lui.




- Regardez le vieux Bill, il s'acharne à se débattre comme un perdu, il se tue à beugler dans tous les sens ... Il ne sert plus à rien, il fait partie du décor. Enfin, "ferait", s'il bougonnait pas à longueur de journée.

Il partit se rasseoir dans son fauteuil, derrière son bureau pour y cacher son argent.

- D'ailleurs, je commence à en avoir assez de lui. Et de tous ces faux rêveurs ! Qu'ils se plient à l'autorité ou qu'ils finissent à l'ombre ! Je pense que je vais prévenir les autorités compétentes, après tout, il ne s'en cache pas et ce n'est pas toléré.


Mao inspira longuement pour renfouir toutes ses pensées qui allaient à l'encontre de son chef, et de la morale selon elle. Puis elle pris son courage à deux mains et frappa doucement à la porte.

- Entrez.
- Bonjour Monsieur. Je viens vous apporter mon article, et vous prévenir que j'ai fini ma journée.


Elle avait pris tout le tact nécessaire pour ne pas le froisser en lui adressant simplement la parole, le bonhomme s'énervant avec pas grand chose.

- C'est bien mon petit.

Il n'y avait là aucune condescendance dans ce ton froid.


- Vous voyez, chers collaborateurs, cette jeune femme n'est pas comme tous ces tire-au-flanc de Révolutionnaires ! Elle obéit et travaille comme une forcenée pour gagner son pain quotidien. N'est ce pas, Mademoiselle Kayshu ?
- Oui Monsieur.

Elle avait tenté de cacher sa déception dans cette fausse affirmation.

---

Enfin, elle rentra chez elle, ressassant ce moment désagréable dans sa mauvaise humeur générale. Darion, infirme, avait préféré vivre chez elle en tant qu'ami et colocataire.

- Qu'est ce que tu as encore à râler, Petits-seins ?


Mao ne releva même pas la petite moquerie, ce qui étonna Darion.

- Fielsang crache sur les Révolutionnaires.
- Tu sais, nous ne sommes pas aimés partout. Il faudra t'y faire.
- Oui, mais il veut virer et emprisonner le vieux Bill, son plus vieux employé ! Un journaliste hors pair relégué à la critique culinaire qu'il déglingue toujours à cause de sa mauvaise humeur !
- Et alors ? Qu'est ce que tu as fait ?
- Quoi ? Qu'est ce que tu veux que je fasse ? Ca me bouffe mais j'ai pas le choix, il faut que je la ferme et que je file droit si je veux garder ma place ! Et ... Et il a caché de l'argent sale dans son bureau, ça m'bousille !


Darion afficha un large rictus désinvolte et plein d'assurance.

- Tu veux être Révolutionnaire, pas vrai ?
- Bah oui !
- Et tu crois que tu peux le devenir en restant assise dans un bon gros fauteuil en cuir, en obéissant comme un chien docile à ce qui se proclame comme ton maitre ?
- Non !
- Eh bien alors, c'est le bon moment ! Rebelle toi !
- Quoi ?!
- C'est le moment de prendre ta vie à pleine main ! C'est le moment de vivre ta vie, ton histoire, tes aventures ! C'est le moment de crier la vérité au monde entier, de prendre la mer !
- Mais comment ?
- Ca, c'est moi qui gère !


D'un geste de la main, il l'invita à aller dans la salle d'à côté où il lui expliqua tout ce qu'elle avait à faire : enregistrer un message dans ce dial, aller au travail, prendre l'argent quand il fera diversion et continuer à travailler jusqu'au soir si elle le peut. Lui aller s'occuper du reste.

---

Le lendemain matin, à l'heure où tout Saint Uréa commençait à se réveiller pour commencer à travailler, une voix s'éleva dans la ville toute entière par les escargophones.
Pendant ce temps, les journalistes étaient en réunion. Mao était particulièrement stressée, mais c'était également le quotidien de l'équipe, donc son appréhension passait inaperçue. Fielsang pâlit quand il entendit l'annonce d'une voix masculine troublée, comme si plusieurs personnes parlaient en même temps :


- Citoyens du Royaume de Saint Uréa ! Révolutionnaires cachés, Révolutionnaires de coeur, j'en appelle à vous. Il y a, dans notre belle ville à l'aura révolutionnaire, un parasite qui vit pour le gouvernement. Il vous nourrit chaque jour, il vous pourrit peu à peu, ce parasite porte un nom : Lucien de Fielsang ! Après les pots de vins, le voilà qui veut dénoncer ses propres employés à la Marine ! Le premier ? Le vieux Bill ! Un monstre de la ville !
- Qu-Qui ? Qui ? Qui as osé ?
- De Fielsang, je sais que tu m'entends. Tu es ma première proie. Je vois la corruption partout où elle grouille. Je vais purifier le monde des gens comme toi ! Rappelez vous qui je suis. Je suis Jack de Diamantes.


Fielsang s'évanouit de son bureau dans la seconde qui suivait, ses collaborateurs le talonnant. L'équipe de journalistes ne savaient que penser, certains semblaient heureux ou réjouis d'après leurs visages, d'autres étaient inquiets.

Avec la douce folie qui régnait, Mao n'eut pas de mal à s'emparer de l'argent et s'enfuir. Elle demanda au vieux Bill qui exultait en riant de la suivre dans l'ascenceur. Il lui obéit sans réfléchir, trop occuper à jubiler ce qui arrivait à Fielsang pour douter.


- Je suis à l'origine de tout ça. Avec mon ami Révolutionnaire. Il a trafiqué les escargophones de la ville pour passer un message qu'on a enregistré. Fielsang voulait te virer et t'emprisonner. Tu nous accompagnes ?
- J'suis trop vieux pour ça !
- Ne dis pas n'importe quoi ! On a prévu de s'installer dans une base !
- C'est plus d'mon âge j'te dis !
- Elle sera cachée, protégée, tu ne risqueras rien !
- Ecoute ma belle, les Révolutionnaires vont débarquer dans moins de temps qu'il ne le faut pour le dire, la Milice doit être sur les traces de ton ami. J'ai toujours vécu à Saint Uréa, j'vais rester là. Pars, t'as tout mon soutien !


---

En effet, alors que Mao confiait l'argent du pot de vin au vieux Bill pour s'éclipser, le bâteau prêt à partir, il l'éparpilla en pluie pour les passant depuis le toit de l'agence attaqué par les révolutionnaires.
Mao et Darion prirent la mer, le vieux Bill le poste de Rédacteur en Chef.

C'était le début des aventures de Mao, et de sa face cachée : Jack de Diamantes. Deux personnes connaissait la réelle identité de ce qui c'était proclamé super héros de la Révolution : deux amis.

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Salut Mahach !

Me voilà pour ton premier avis, y’a une de ces fournées de révo aujourd’hui, c’est magique ça ! ^^

Niveau forme, y’a quelques erreurs de concordance des temps, surtout dans le test rp : « marchait » / « il faut dire » je prends celui-là en exemple car il est au début et c’est le plus frappant.

Aussi quelques soucis de compréhension (encore le test) notamment sur cette phrase : « Sa réaction était habituelle, il faut dire que l'homme, Lucien De Fielsang, est sec, bourru et n'envoie pas quelqu'un dire ce qu'il pense. » => là dessus, y’a les virgules qui viennent brouiller ton texte une erreur à la fin qui ne me permet pas d’en saisir clairement la fonction : ne pas envoyer quelqu’un dire ce qu’il pense ? quésaco ? Enfin, tu vois où je veux en venir

Y’a quelques fautes aussi, mais tellement peu que c’est plus de l’erreur d’inattention, du truc qui passe même quand tu relis trois fois, donc j’insisterai pas là dessus ( ex : « on pouvait entendre quelques voix », « je te les foutrais au billot » etc.) et des oublis de mots, aussi

Un détail aussi, le cyan ... ça fait mal, c’est horrible, je te hais ! Voilà, c’est dit :p


Niveau descro’, un peu court à mon goût, je dois l’avouer. Mais c’est toujours dur de décrire son perso alors qu’on commence à peine à le construire, hein ? Surtout quelqu’un qualifié de banal. T’aurais pu insister sur ses tics, par exemple. Quelques petits traits particuliers, en vérité, car tu décris une personne comme les autres qui ne suscite pas mon intérêt. J’te parle en temps que lecteur : tu nous montres quelqu’un d’insignifiant, hors le fait que tu en fasses une présentation pour la jouer, et bien c’est le contraire, hé hé : tu la jouerais pas si elle était pas hors norme ;)

Il en va de même pour la partie mentale. Elle est comme nous tous : parle dans le dos, mais fait la tortue face aux véritables problèmes. Pareil pour le fait d’user de sa poitrine. Depuis quelques temps ? C’est vague, on a pas d’indices, dommage. En bref, niveau descro’, j’en apprends pas plus et ça me satisfait pas en ce sens. Vends-nous une accroche, un petit truc qu’on a envie de croustiller. Quelque chose de pointilleux, d’hors norme, car c’est ainsi qu’elle sera, non ? [tous les révos sont hors normes et ont la classe, alors t’as pas le choix ;)]

La même sur la liste d’adjectifs que tu nous lances, concrètement, ça veut dire quoi ? Ce ne sont que des mots, là est la magie du rp : nous faire vivre un personnage, nous faire ressentir ses peurs, ses doutes.
=> « Elle est très solaire, très amicale, très sensible, elle se lie vite d'amitié, surtout quand le contexte dégouline de pathos. » c’est pas clair : si elle est amicale, elle se lie d’amitié, c’est la même chose ; solaire ? genre lumineuse, toujours rayonnante de bonne humeur ? pas clair

Niveau histoire, déjà y’a un truc qui me choque : les parenthèses. Ah, j’aime pas ça dans une histoire, dans un récit. Mais s’t’un point personnel. Pour le reste, c’est très léger. Tu aurais même pu résumer ça en quelques mots, mais t’as brodé pour faire le minimum de lignes requis. On sait pas comment elle vit vraiment, on a pas d’instant de vie palpitant. Bref, née dans la révo, reste dans la révo. Un peu binaire. Dans la même veine, le père qui supporte pas la mort de sa femme : comment elle est morte ? Il s’est suicidé ? etc etc. Comme Red qui fait un caméo. Marine Red qui deviendra pirate. Non, c’est beaucoup trop simple, c’est pas ça. Déjà, je suis même pas sûr qu’en 1622 Red était Marine, mais plutôt CP. L’apparition est sympa, mais je trouve ça trop réducteur vis à vis de l’importance de l’évènement pour le personnage et le BG (trahison de la marine, évasion d’ID) et j’t’embête avec ça juste parce que tu es un DC, t’inquiète.

Après, j’ai l’impression que ton histoire est anecdotique. Une liste de choses que tu poses sur le papier pour leur donner une importance relative. Je termine par exactement la même sensation qu’en lisant tes descro’ : et alors ? Je la connais même pas cette gamine, elle ressemble à n’importe qui, pourquoi je m’y attacherais ? etc. C’est dommage, y’a beaucoup de matière à creuser côté révo. Pareil, Darion qui revient handicapé. Elle était pas avec lui Mao, vu qu’elle le suit ? L’équipage, son équipage ? L’équipage de qui ? Pourquoi, il sort d’où ? Y’a d’autres personnes intéressantes sur cet équipage ?

En bref, une histoire bien trop légère, avec plus de blanc que d’explications. Il existe des histoires d’amnésiques plus remplies, tout comme des histoires avec aussi peu de ligne et beaucoup plus de matière, dommage.

Niveau test rp, le truc est bien mené. Crédible. Pourtant (j’deviens chiant, je sais ^^’) c’est léger. Tout ça semble si soudain : elle veut garder sa place et trois paroles plus loin, elle est prête à prendre tous les risques au nom de la révolution. Elle choisit un pseudo rapidement et monte un stratagème de dingue. Heu ... c’était pas une madame tout le monde qui osait jamais passer à l’action ? Je retrouve pas trop la description, sauf le côté petit-seins et son indécision du départ. C’est pas assez creusé, du moins pas tel que tu le présentes. Perso, j’ai beau dire ce que je veux, j’vais pas décider d’agir parce que mon meilleur pote me dit que ça s’rait cool, ou parce qu’il me fait un sermon de deux phrases, tu vois où je veux en venir ?

Bref, même s’il me satisfait bien plus que le reste de la présentation, il garde ce manque de contenu qui me laisse perplexe. En effet, ça fait bouger ton perso, en effet elle a des idéaux depuis le départ ... mais elle est trop facile à convaincre. Tout ça se fait trop facilement : on s’attendrait à une bonne réunion de préparation avec Darion pour mettre ça en place, par exemple. Après, pareil : pourquoi Bill prend le poste de rédacteur en chef ? J’ai bien une piste de réflexion mais ... bah non, c’est trop simple. Ce sont juste trois mots lancés comme ça, je sens pas la puissance de l’impact derrière : imagine, un pro-révo dans un journal. Ça a une puissance monstre, c’est un changement capital, crucial même !



Tu dois te dire que je suis qu’un méchant révo, et que les légendes sont vraies après ça, mais il se trouve que ta présentation est pas mauvaise. Bon style, très peu de fautes. Manque de fantaisie et pas de prises de risques, ni de liberté. C’est ça qui te fait pêcher, mon brave, alors je te donne tout de même une note de 620 dorikis !

Faudra que tu penses à faire valider tes PNJs tout de même ^^


à bientôt chez les gris ! Very Happy
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Haluuut ! On se connaît maintenant donc j'te resouhaite pas la bianvenu °^°

C'moiiii !
Et pis moi j'viens te donner ton second aviiis ! D'abord °^°

~~~~~~~~~~~~~~

Alors niveau forme, j'ai relevé quelques pitites fautes mais rien de trop grave, c'juste, je pense que en cherchant parfois à faire des formulations plus complexes, on s'emmêle des fois les pinceaux ><

Pitit n'exemple :

"Son apparence fade sans être peu ragoutant, voire peut être même une petite pointe séduisant "

Ou encore :

"Elle envoie sur les roses dans un matelas de plume, ou se clous rouillés si vous la cherchez vraiment car..."

Où ça rend la phrase moins claire... Ou alors c'juste des expressions que ne connaît pas, j'te dirais qu'c'est bien alors puisque t'as plein de culture en temps normal, mais sur le coup, ptet que simplifier un pitit peu rendra le tout plus fluide pour le lecteur :3

Ensuite, moi, pas comme Rawf, chuis plutôt satisfait des descriptions et n'ai rien de particulier à rajouter dessus °^°

C'est au niveau de la bio où j'ai les mêmes problèmes qu'avec Rawf ! Le coup de la mort subite des deux parents sans aucune raison / motif et la famille qui continue d'aller de l'avant, le passage de Red qui tombe d'un coup, on sait que c'red qui l'a fait mais logiquement j'me demanderais, comment elle sait ? (Plus l'incohérence qu'à cite Rawf). Brefouille, c'court, et avec ces fautes, ça pardonne pas éè

Ensuite niveau test Rp, j'ai bien aimé, j'ai trouvé ça assez crédible et normal, nan c'était bien ! Juste c'vrai que comme Rawf l'a souligné, elle se laisse influencer facilement maiiis... Sincèrement, s'il ne l'avait pas relevé j'aurais rien remarqué donc j'te jugerais pas la dessus hé hé x3
Moi ce qui m'a dérangé c'est la facilité de ton ami a tout traficoter et le fait que Bill n'ait pas eu de problème vu qu'à la base si on se sert des marines pour arrêter le méchant, y aurait eu des soupcons sur le fait que oui, Bill soutient la révolution (L'accusation qui se fait pas sans raison quoi. éè).

Mais sinan rien d'autres à redire :3

Du coup.... Allez je tombe à peu près pareil que Rawf, j'dirais ok pour du 660 bonbons !
Ce qui te donne la modique somme de 640 bonbooons !

~~~~~~~~~~~~~

J'te validouille !
Et t'as droit à ton second câlin de bianvenuuuu ! *Huug*
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Merci à vous deux !

Juste, pour préciser, pour certaines choses inexpliquées, c'est que j'ai voulu raccourcir dans la peur d'en faire trop. ^^'

Mais merci encore !

Owi, du gris ! *-*
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