Ça a commencé comme ça. Une petite rafale de vent qu'est venu faire voler les cheveux d'Adrienne. Une minuscule petite rafale qu'on aurait pu prendre pour les prémices d'une jolie journée. Et puis la rafale est devenue grande. Elle s'est étirée pour prendre en force. Elle a poussé son souffle pour commencé à faire tanguer les bouts, puis les hommes. Et enfin, le navire. Il s'est mis à cogner de tous les côtés tant et si bien, que malgré les cris d'Adrienne, malgré les hurlements de Blake, malgré les ronflements de Gnuh, la tempête gagnait tout. Elle avait gagné le bateau par son souffle immonde et détrempé qui soulevait le corps de bois au gré des rafales humides comme une vulgaire marionnette que l'on écrase entre ses doigts.
La tempête était là. Immense, à perte de vue. Les nuages avaient viré du blanc neigeux au noir des abysses en un instant. Il se mettait à tomber des bourrasques de vents et de pluie. Les éclaires zébraient le ciel à chaque seconde envoyant avec eux leurs tonnerres.
Et au milieu de ça, il y avait Ishii qui tanguait d'un bout à l'autre du bateau en fonction des vagues. Sa main tentait de tenir un bout qu'elle lâchait sous la pression des becs d'eau qui se cognaient à son corps. Ses ordres volaient pour tenter d’éloigner la coque. Sa grosse voix tentait de percer le bruit des vagues et du tonnerre. Mais il était trop tard. Le Bel Espoir fonçait vers la tempête. Vers l'énorme œil noir de cyclope où la mort était la seule iris.
Adrienne regarda un instant son capitaine, entre deux vagues se fracassant. Elle avait peur, il le voyait. Et lui aussi avait peur parce qu'à observer Shishou et Iwa se battre avec la barre, c'était la fin.
Un goût de fin, comme ça, qu'apparaissait et qui ne laissait pas le temps d'y croquer. Parce qu'il fallait se battre. Et malgré la tempête énorme, Adrienne et son capitaine sautèrent d'un même saut. Il fallait baisser la grande voile ; Elle brisait les efforts des deux hommes poisson. Les bouts étaient imbibés d'eau. La voilé déchaînée virait et revirait à chaque instant manquant d’assommer l'équipage. Mais les deux têtus tinrent bons.
-Ne laissez que la fortune carré !!!
La voix de Shishou avait réussi à percer les vagues. Ne laissait que les espoirs de réaliser les ordres. Et c’était le le capitaine qui obéissait. C'était lui avec Adrienne qui se remettait à jongler avec les bouts.
La tempête était là. Immense, à perte de vue. Les nuages avaient viré du blanc neigeux au noir des abysses en un instant. Il se mettait à tomber des bourrasques de vents et de pluie. Les éclaires zébraient le ciel à chaque seconde envoyant avec eux leurs tonnerres.
Et au milieu de ça, il y avait Ishii qui tanguait d'un bout à l'autre du bateau en fonction des vagues. Sa main tentait de tenir un bout qu'elle lâchait sous la pression des becs d'eau qui se cognaient à son corps. Ses ordres volaient pour tenter d’éloigner la coque. Sa grosse voix tentait de percer le bruit des vagues et du tonnerre. Mais il était trop tard. Le Bel Espoir fonçait vers la tempête. Vers l'énorme œil noir de cyclope où la mort était la seule iris.
Adrienne regarda un instant son capitaine, entre deux vagues se fracassant. Elle avait peur, il le voyait. Et lui aussi avait peur parce qu'à observer Shishou et Iwa se battre avec la barre, c'était la fin.
Un goût de fin, comme ça, qu'apparaissait et qui ne laissait pas le temps d'y croquer. Parce qu'il fallait se battre. Et malgré la tempête énorme, Adrienne et son capitaine sautèrent d'un même saut. Il fallait baisser la grande voile ; Elle brisait les efforts des deux hommes poisson. Les bouts étaient imbibés d'eau. La voilé déchaînée virait et revirait à chaque instant manquant d’assommer l'équipage. Mais les deux têtus tinrent bons.
-Ne laissez que la fortune carré !!!
La voix de Shishou avait réussi à percer les vagues. Ne laissait que les espoirs de réaliser les ordres. Et c’était le le capitaine qui obéissait. C'était lui avec Adrienne qui se remettait à jongler avec les bouts.