Rappel du premier message :
Je me trouvais là, dans une pièce sombre d’une maison grandiose. Un homme était attaché à une table et une femme gisait dans un coin de la pièce. Cet homme allait mourir, et d’une façon bien spéciale. Comment me suis-je retrouvé là ? Je vais vous l’expliquer…
J’étais arrivé je ne sais comment dans une grande ville d’une des îles Académia, un archipel d’East Blue. Dès mon accostage j’avais pressentis une belle aventure… Je me rendis dans un bar histoire de voir si quelqu’un avait quelque chose pour moi. Il n‘y avait que de vieux pirates dégoutants, dont le peau tombait en flambeau, mettant des morceau de chair partout sur leurs vêtements qui n’avaient pas dû être nettoyés depuis belle lurette. Leurs dents, noires, étaient soit toutes tombées, soit ne tenaient plus que sur quelques fils de peau. Ils étaient, certes, répugnants, mais c’étaient en général ceux-là qui avaient les meilleures infos de la ville. Je m’approchais vers un, et lui demanda s’il n’avait pas quelque chose pour moi. On me répondit que l’on cherchait un gars comme moi depuis bien longtemps : la situation était que le maire de la ville, ayant une côte de popularité très favorable, touchait des pots-de-vin de la marine en échange de quelques services rendus pas très légale… Les prisonniers innocents étaient torturés ou brûlés vif derrière le visage niais du maire. Les nombreux anciens pirates du bar avaient voulus le signaler, mais, faute de preuve et de popularité, personne ne les avait crus. Voilà qui méritait une bonne correction…
Je partis de suite dans les rues de la ville pour trouver la villa du maire. On me dit qu’elle se trouvait de l’autre côté de la ville, sur une colline, pour pouvoir regarder de haut la population. En gros, il se prenait pour un dieu, raison de plus pour lui flanquer une raclée. Mais une question se posait, comment allais-je faire pour m’infiltrer chez lui, et qu’allais-je faire une fois là-haut ? Une bonne torture fera l’affaire, c'est si distrayant en plus de cela ! Problème, je ne savais pas où trouver de nouveaux instruments de torture, du style des couteaux rouillés, enfin tout le tralala quoi. Je rebroussai encore une fois chemin pour trouver un magasin de cuisine.
Les choix étaient multiples, ça passait des couteaux effilés comme des lames de rasoirs, aux couteaux bas de gamme avec lequel il nous faut une heure pour trancher un seul morceau de viande. Je pris des deux, pour la torture, tout est bon ! Je pris la fuite sans payer : si je tuais quelqu’un dès maintenant, mon plan tomberait à l’eau. Les sirènes des caisses se firent entendre, je me faisais poursuivre par la caissière qui gueulait comme un putois. Je courrais aussi vite que je le pouvais, il ne fallait pas qu’elle voit mon visage ! J’allai la semer quand je me pris les pieds dans quelque chose. Je me relevai difficilement, un homme se tenait là, à quelques centimètres de moi, et la caissière approchait…
Quelques mois avant le naufrage du Liokawa Ferry...
Je me trouvais là, dans une pièce sombre d’une maison grandiose. Un homme était attaché à une table et une femme gisait dans un coin de la pièce. Cet homme allait mourir, et d’une façon bien spéciale. Comment me suis-je retrouvé là ? Je vais vous l’expliquer…
J’étais arrivé je ne sais comment dans une grande ville d’une des îles Académia, un archipel d’East Blue. Dès mon accostage j’avais pressentis une belle aventure… Je me rendis dans un bar histoire de voir si quelqu’un avait quelque chose pour moi. Il n‘y avait que de vieux pirates dégoutants, dont le peau tombait en flambeau, mettant des morceau de chair partout sur leurs vêtements qui n’avaient pas dû être nettoyés depuis belle lurette. Leurs dents, noires, étaient soit toutes tombées, soit ne tenaient plus que sur quelques fils de peau. Ils étaient, certes, répugnants, mais c’étaient en général ceux-là qui avaient les meilleures infos de la ville. Je m’approchais vers un, et lui demanda s’il n’avait pas quelque chose pour moi. On me répondit que l’on cherchait un gars comme moi depuis bien longtemps : la situation était que le maire de la ville, ayant une côte de popularité très favorable, touchait des pots-de-vin de la marine en échange de quelques services rendus pas très légale… Les prisonniers innocents étaient torturés ou brûlés vif derrière le visage niais du maire. Les nombreux anciens pirates du bar avaient voulus le signaler, mais, faute de preuve et de popularité, personne ne les avait crus. Voilà qui méritait une bonne correction…
Je partis de suite dans les rues de la ville pour trouver la villa du maire. On me dit qu’elle se trouvait de l’autre côté de la ville, sur une colline, pour pouvoir regarder de haut la population. En gros, il se prenait pour un dieu, raison de plus pour lui flanquer une raclée. Mais une question se posait, comment allais-je faire pour m’infiltrer chez lui, et qu’allais-je faire une fois là-haut ? Une bonne torture fera l’affaire, c'est si distrayant en plus de cela ! Problème, je ne savais pas où trouver de nouveaux instruments de torture, du style des couteaux rouillés, enfin tout le tralala quoi. Je rebroussai encore une fois chemin pour trouver un magasin de cuisine.
Les choix étaient multiples, ça passait des couteaux effilés comme des lames de rasoirs, aux couteaux bas de gamme avec lequel il nous faut une heure pour trancher un seul morceau de viande. Je pris des deux, pour la torture, tout est bon ! Je pris la fuite sans payer : si je tuais quelqu’un dès maintenant, mon plan tomberait à l’eau. Les sirènes des caisses se firent entendre, je me faisais poursuivre par la caissière qui gueulait comme un putois. Je courrais aussi vite que je le pouvais, il ne fallait pas qu’elle voit mon visage ! J’allai la semer quand je me pris les pieds dans quelque chose. Je me relevai difficilement, un homme se tenait là, à quelques centimètres de moi, et la caissière approchait…
Dernière édition par Akaido Blood le Sam 19 Mar 2011 - 14:22, édité 2 fois