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Gruugius mesure 1 m 80, et pèse 70 kg. Il a un corps athlétique sculpter par une pratique intensive du Zui Kan et du Jet Kun Do. Il est blond et porte un bob blanc à rayure verte sur sa tête. Il porte une chemise verte recouverte par un kimono noir dont le haut possède une capuche : le vert représente pour l’espoir, la nature qui repousse après la destruction et le noir le deuil ainsi que la couleur du drapeau des pirates. Il porte toujours un éventail et une canne épée avec lui.
Il a des yeux bleu marine dotés d'un regard pénétrant et profond. Il est plutôt séduisant et aime réaliser des actions avec panache. Il a teint de la peau légèrement halé et couvert de pas mal de cicatrice du à son passage sur l'île de Torino. Il ne porte aucun tatouage.
On pourrait dire que Gruugius à l'aire la plus part du temps, joyeux son rire communicatif étant souvent ce que l'on entend surtout lorsque ce dernier à bu une bonne quantité de saké. Il affiche souvent un air d'idiot mais ce n'est que pour dissimuler sa vrai force. Lorsqu'il devient sérieux qu'il croise quelqu'un qui piétine la créativité ou la liberté de l'autre il prends un air sombre et son air d'idiot et de bourré s'efface complètement.
Gruugius est un homme foncièrement bon, il croit dur comme fer en la bonté et à la capacité illimité des êtres humains.
Il ne fuit jamais un combat car il aime se battre, mais ne provoque pas des combats sans intérêt. C’est plutôt quelqu’un qui observe et réfléchit avant d’agir.
Il aime boire (surtout du saké, il en est dépendant en fait) et faire la fête avec ses amis.
Si on fait du mal à ses derniers il est prêt à prendre des risques inconsidérés pour écrasé les tortionnaires après conception d’un plan diabolique car il aime faire les choses avec classes et panache.
Gruugius aime la liberté et il a fait de la phrase de Gold D Roger : « La passion et les rêves sont comme le temps, rien ne peut les arrêter, et il en sera ainsi tant qu'il y'aura des hommes prêts à donner un sens au mot "liberté". » sont crédo.
Ce pourquoi il se bat contre toutes formes d’oppression. Et veut renverser le gouvernement mondial et l’ordre des Tenryubito (il veut leurs enseigner cellulairement parlant la signication du mot terreur.)
Et pour cela il s’est engagé comme pirate pour renverser la marine qui pour lui est le premier échelon de l’organisme à faire tomber.
Il ne s’en prendra pas pour autant au innocent, car il est foncièrement bon.
Il a pris le pseudonyme de Bartholomew en l’hommage du précédent porteur de nom.
l’Ile du Karaté an 1626 , 01H30, au Restaurant la Table du Vaux Rien.
L’adjudant de la marine vient de tomber face contre-terre, il était le dernier des marines qui l’avait attaquer. Il y avait eu d’abord les deux premières classes, puis les 5 caporaux, leur sergent, le sergent chef et leur adjudant. Tous étaient venu fêtaient leur victoire sur un équipage de pirate.Lorsque la bagarre avait commencé le monde était partit.
Couvert de bleus un sacré œil au beurre noir, sa canne épée posée à côté de lui et son éventail posé sur le bar, le vainqueur sirotait la fin de sa cinquième bouteille de rhum.
- Oy Shiiiinji !!! Ton rhum arrangé à la ceriiise c’est vraiiiment le best des best de toutes les blues !... Dommage que ces crétins de marine aient gachés son goût pour la soirée.
- Dépêche toi de finir ton verre je vais bientôt fermer la boutique. A cause du grabuge que tu viens de faire d’autres « crétins » eux gratinés risquent d’arrivés.
- Ouais je crois que t’as raison, mais cette baston m’a rappelé un mauvais souvenir, vraiment m…
Gruugius ne fini pas sa phrase, plongé dans la couleur hypnotique du rhum dans son vers il se perdit, le regard voguant dans le vide de ses pensées, pensées du passé, pensées remplies d’amertume et de souffrance. . .
Saint-Urea 1611, Quelque part dans le quartier des ferronniers
Le jeune Gruugius O’Brian âgé de seulement 9 ans se cachait derrière la porte de la salle commune. Il espionnait ses parents car dans une semaine ce sera son anniversaire et il voulait savoir quel sera son cadeau d'anniversaire. Ce sera certainement un cadeau symbolique, car fêter ses dix ans est un passage important pour un enfant, en effet à dix ans on est plus un enfant, à dix ans on est un grand.
Pulu, pulu . . .
- La terre ? C’est les nuages ?
- Que se passe t-il ?
- Nous avons été grillé le gratin de la marine va bientôt débarquer sur l’île ce n’est qu’une question de temps avant que Tahar Taghel ne me tombe dessus. Prenez tout les documents que je vous ai confiés la semaine dernière et fuyaient une embarcation est cachée, elle vous attend l’autre côté de l’île. Ces documents doivent impérativement être remis à l « Oeil de la justice ».
- …
- Magnus-san je suis désolé, je sais que dans une semaine ce sera l’anniversaire de Gruugius, mais si nous tardons à transmettre ses documents il sera trop tard la marine aura eu le temps de créer son blocus maritime.
- Je n’ai pas le choix toute façon. Les documents seront partis dès demain ne vous en faîtes pas.
Un long silence régnait dans la maison des O’Brian, l’atmosphère était des plus pesante. Jusqu’à ce que la voie douce de la mère de Gruugius retentisse.
- Entre Grugru nous savons que tu es derrière la porte, viens nous voir.
Le jeune enfant rentra et se rua dans les bras de ses parents, chacun le serra dans ses bras et lui apporta toute l’affection qu’ils pouvaient.
- Ton Papa va partir pour un long, très long voyage alors on va fêter ton anniversaire ce soir d’accord ?
- Ouuuaaaiiiissss !!!!
- Allez viens, ta maman avait déjà prévu un gâteau en avance au cas où.
Ca fut la plus belle fête d’anniversaire de sa vie, ses parents riant aux éclats, jouant en se chamaillant avec lui. Servant du jus de pomme faisant comme si c’était du champagne. Puis vint le cadeau, un bob blanc à rayures vertes celui qu’il avait toujours rêver de porter.
Puis juste avant qu’il ne s’endorme son père se pencha vers lui et lui caressant la tête.
- Maintenant que tu es un grand je te confie ma canne garde la précieusement tu me la rendra quand on se retrouvera.
Gruugius fit un signe de tête pour dire oui avec un grand sourire avant d’aller se coucher. Et se fut la dernière fois qu’il vit son père.
Sa mère lui fit vivre la plus belle semaine de sa vie. Une semaine de rêve avant que ne débute le cauchemard.
La suite de ses souvenirs fut remplit d’explosions de boulet de canons, de cris, de pleurs. Il n’y avait plus d’humanité. Lui qui avait entendu parler en bien de la marine par ses parents même, pourquoi cestte dernière massacrait tout son univers, tous les gens qu’il connaissait.
Puis vint la scène d’horreur lors de la dernière descente sur les quais. Un lieutenant-colonel rentra dans la maison familiale.
Sa mère avait eu le temps de cacher Gruugius quelques minutes avant que le haut gradé ne défonce la porte d’entrée à coup de pied. Aussitôt suivi par deux lieutenants imposants et un commandant.
Inue la mère de G. elle restait de marbre stoïque. Les hommes du lieutenant-colonel eux fouillaient de partout, renversaient les livres des étagères au sol, vidèrent le frigo, cassèrent les murs à coup de masses, démontèrent les lames du plancher.
- Rien mon lieutenant-colonel, il n’y a rien il n’y a aucun document ici.
- Vous aurez beau chercher à l’heure actuel le but de votre visite doit déjà être entre les mains de l’ « œil ».
Un lieutenant souleva la mère du jeune enfant.
- Tu vas parler femme dans quelle direction est partit ton mari ! Dans quelle direction est parti Magnus ?
- Je n’en sais rien et si je le savais jamais je ne vous donnerais de renseignements sur l’homme que j’aime. Vous perdez votre temps ici arrêtez moi.
Le lieutenant leva la main pour gifler la femme, mais le commandant l’arrêta dans son geste.
- Ce ne sera pas utile, d’en arriver au main, cette femme n’en dira pas plus menottez la nous perdons notre temps ici.
Le lieutenant jeta un coup d’œil vers le son autre supérieur pour voir sa réaction :
- Pourquoi vous me regardez le commandant à raison. Quittons cet endroit et allons fouetter les chats du quai.
Ils menottèrent Inue est sortir de la maison un à un. Juste avant de franchir le seuil le lieutenant-colonel s’arrêta et regarda en direction de la trappe cachée non découverte en granit marin derrière laquelle Gruugius était caché. L’enfant avait l’impression que le regard de l’officier traversait la roche, passait à travers la fine serrure et qu’il le fixer lui. Le temps lui sembla infini il n’oublia jamais ce regard perçant.
Puis le marine quitta la maison et malgré les coups de feu à l’extérieur, les bruits de sabre, de cri de douleur le jeune enfant sombra dans l’inconscience. Il n’avait plus ni maison, ni famille il était seul.
Combien de jours l’enfant avait dormi ? Il ne saurait le dire. Il fut réveillé par la trappe qui s’ouvrit sur le visage d’un homme souriant la cigarette en coin.
- Ha tu es donc bien là ? Ton père m’avais dis que je te trouverais là il m’a confié le double de la clé lorsqu’il est parti en mission. N’aie pas peur je suis un ami de longue date.
Epuisé l’enfant s’endormit dans les bras de l’homme. Il se réveilla plusieurs jours plus tard dans un lit confortable.
Île du Karaté. 1616, dans une rhumerie.
C’est le soir et le jeune adolescent adopté étudiait les parchemins de Jet Kun Do et de philosophie dans la bibliothèque de son maître et père adoptif. Encore une fois il butait sur un concept. Il se dirigea dans sa chambre mais il n’était pas là.
Gruugius soupira, s’il n’était pas là, il ne pouvait être qu’à la rhumerie du quartier.
Sur le chemin ses souvenirs revinrent depuis son adoption.
Spike Lee était venu le chercher à la demande de son père après le massacre des révolutionnaires de Saint-Urea. Il continua l’entraînement au Jet Kun Do de l’enfant que Magnus avait commençai à lui faire à l’âge de ses six ans. Devant tant d’horreur l’enfant s’était jurer de devenir fort pour protéger ceux qu’il aimait et qui comptait pour lui.
Il fit des progrès spectaculaires ses six dernières années. Et avais acquis un certain niveau dans cet art-martial qui faisaient de lui l’un des meilleurs.
Alors qu’il arriva devant le petit portillon à double battant de la rhumerie il vit un marine l’ouvrir violemment et venir s’étaler dans la rue. Un spectacle étrange s’offrit alors à ses yeux, pour défendre une jolie serveuse qu’un caporal voulait tripoter, son maître était en train de se battre contre eux. Mais il se battait comme un saoul, il mimait des poses, et semblait faire comme s’il perdait et à chaque fois taper dans les articulations de son adversaire, ou feinter un coup qui était en réalité un coup de coude. Il fit détaler ainsi une brassée de marine.
Gruugius l’emmena au dojo et le lendemain lui demanda tout excité quel était cet art qu’il avait vu son maître pratiquer hier et qu’il ne connaissait pas. Celui-ci lui dit que c’était du Zui Kan/ La Boxe de l’Homme Ivre, très utile quand tu es saoul. Gruugius lui demanda s’il pouvait lui apprendre et Spike ne pu lui refuser.
Île du Karaté, Dojo Familial, 1919, dans la salle de combat.
En position de Garde les deux adversaires se toisent, tout en décrivant un cercle c’est l’heure de vérité pour savoir qui est le plus fort. Gruugius sait qu’il n’a pas le droit de perdre il n’a pas le droit pour l’arrestation de sa mère la fuite de son père. Pour tout ce que Spike a fait pour lui.
Après une heure de combat, de coup de poing, coup de pieds, de clés de bras et autre, les deux assaillants sont à Terre. Tous deux combattants couverts de bleus, leurs Jo fendus l’un à côté de l’autre, les bokens étalés plus loin sur le tatami, leurs gants toujours aux mains mais déchiquetés.
Inconscients . . . des perles de sueur coulent sur le visage des autres disciples qui n’ont jamais vu un combat d’une telle violence et d’un tel acharnement.
Puis Gruugius se relève avec le regard d’un démon il est debout, il a gagné il pousse un cri qui résonne dans tout le quartier. Spike éclate de rire et sort une énorme bouteille de saké.
Après avoir bien picolé le jeune fils adoptif s’endort comme une masse alors que le soleil se lève.
Île Inconnue au large de l’île du Karaté, 1919, quelques jours après la fête de sa victoire.
Gruugius se réveille, couvert de bandage le bruit des mouettes, et des vagues, l’odeur du sel. Un mot sur un bout de papier : « Hello mon ptit, Grugru, félicitation pour ta victoire ! Tu as mérité le droit de passé ton Gempukku ! Au centre de l’île se trouve un magnifique cerisier dont les cerises font le meilleur saké des Blues ! Si tu arrives à en remplir le sac que je t’ai préparé et me rejoindre de l’autre côté de l’île tu auras réussi. »
« C’est tout » pensa Gruugius il était loin de se douter que ce ne sera pas une partie de plaisir, car l’île était remplie d’animaux sauvages tous plus dangereux les uns que les autres. Les pires était une sorte de kangourou boxeurs carnivores qui se battait comme un diable de maitre de la boxe et qui était le gardien de l’arbre.
Un an après, beaucoup de bleus sur la tronche des animaux, et la sienne, et après un sauté kangourou, Gruugius arriva de l’autre côté de l’île où son maître pionçait sur un hamac improvisé. Son petit bateau à quelques km de la plage.
Saint-Urea, 1622, la Frange, place de l’obélisque.
Le jeune Bartholomew marchait en direction de son ancienne maison, pour un dernier détour, une sorte de passage symbolique. L’atmosphère remplit des étincelles, les bruits de contestation. Les premières échauffourées entre la pingre. Apparemment encore une fois la noblesse et la bourgeoisie et le noblesse voulait saigner le peuple à coup de grand surtaxage, une sorte de péage entre chaque muraille.
Le jeune Bartholomew eu tout juste le temps de revoir son ancienne maison et d’y sortir, que la foule se regroupé en masse dans les grands axes. Du haut d’un toi Gruugius pouvait ressentir la colère se rassemblée comme un raz-de-marée.
Des milliers non près d’un million de personne se retrouvait devant la deuxième zone de l’île. « vendu ! » criaient les uns ! « Vampire vous nous suceraient jusqu’à la moelle ! ». Les gens s’organisent commencent à saborder les portes. « Dégagez crient les gardes du haut des murailles ! », « chien du gouvernement retournez bouffez vos croquettes ! » Gruugius pouvait la sentir l’étincelle allait arriver. Déjà des groupes encapuchonnés commencer à distribuer dague, épée, fusil, fourche, bâton . . . La foule est de plus en plus nombreuse.
Puis un soldat sur les nerfs tire sur un homme, les pavés fusent vers les murailles, la foule envahit les la zone bourgeoise. Une semaine de sang versé à nouveau, combien de matelots as-t-il tabassé et tué peut-être une trentaine il n’eut pas le temps de les compter. Les gens chargeait comme des bêtes enragées.
Les premières lignes se faisaient fusiller, et leurs camarades devaient marcher sur le corps de leurs compagnons morts pour charger au corps à corps. 5 ème jour Gruugius sent que l’avantage va revenir à la marine, discrètement couvert de bleu, de bandage camouflés sous une cape il repart direction l’île du Karaté à bord un bateau de pêche abandonné. . .
Un an après il lira le journal et le fiasco des pirates et révolutionnaires au G3 batailles que tout South Blue a suivie à l’époque. . .
l’Île du Karaté an 1626 , 02H00, au Restaurant la Table du Vaux Rien.
- Hé le rêveur, on se réveille !
La voix de Shinji le réveilla, perdu dans ses pensées Gruugius c’était endormi.
- Si tu grouilles pas un gradé ne va pas tarder à venir te botter le cul pour la nouvelle moquette que tu m’as offerte ce soir.
- Ils dorment toujours c’est put’hic de mar’hicne.?
- Qu’est-ce que tu vas faire alors maintenant.
- Spike m’a conseillé d’aller sur Grande Line, que peut-être j’y trouverais un maître pour m’apprendre à maîtriser le Haki, qu’entre temps je devrais avoir du temps pour atteindre le niveau. Je vais donc me mettre en route pour trouver un équipage de Pirate pour y aller.
- On attendra ta première prime avec impatience alors!
- Haaa !! Ta santé mon ptit Shinji !
-A la tienne!
Les deux hommes trinquèrent ett burent d’une traite le reste de rhum de la bouteille, puis le futur pirate disparu dans l’encadrement de la porte, s’enfonçant dans les ténèbres de la nuit direction le port.
Partie I Milles ans de souffrances.
Quelque part dans sur le quai de la ville de Shelltown, East Blue, Année 1626.
Gruugius est en train de dormir paisiblement un bras posé sur un gros vase en céramique remplit de saké. Son bob posé sur ses yeux pour ne pas être dérangé par la lumière des lanternes, sa canne est juste posée contre son buste.
Il est juste en train de faire des beaux rêves, naviguant au vent devant tenir son bob d’une main. Le sourire affiché des pirates déterminer et libre. Gruugius était libre et ça se voyait car un filet de bave dégoulinait de sa bouche.
Soudainement une douleur lui lançe dans les côtes de gauche, qui le sort brutalement de ses rêves de liberté. Le filet de bave remonte instantanément dans sa bouche, et manque l’étouffer avant qu’on lui cri.
- Dégage de là le clodo, déguerpis !
Non seulement le gars vient de le réveiller mais en plus il le traite de clodo. Faisant style de s’étirer en se levant Gruugius associe un léger uppercut dans le menton de l’infâme être abjecte qui ose le tirer de son Paradis.
L’homme sonné fit quelque pas en arrière après, titube quelques secondes en arrière et fini par reprendre ses esprits visiblement très en colère.
- Hey tu joues à quoi l’abruti ! Tu ne vois pas le tatouage sur mon torse, je vais te péter la gueule enfoiré !
- Heeeuu étant donné que tu viens de me réveiller je suis désolé mains non ?
Gruugius observe rapidement son adversaire qui vient de dégainer un Katana. Il porte en effet un tatouage de dragon sur tout le torse. Bordel c’est un Yakusa, le dernier endroit où il pensait en rencontrer.
- Heu écoutes je suis vraiment désolé pour ce qui vient d’arriver mais je ne l’ai pas fait expr …
Le Yakuza ne lui laisse pas le temps de finir il charge avant, heureusement il est mauvais et ne compte que sur la possession de son tatouage et de son Katana, comptant insuffler la peur. L’homme attaque gauchement par une attaque verticale descendante. Puis une autre latérale et continue ainsi pendant cinq minutes.
- Oy ! Ce n’est pas un jouet que tu tiens là ! C’est fait pour trancher la chair et tuer tu sais, pas pour couper des particules d’air. Ceux qui ne savent pas s’en servir ne devraient pas en posséder.
- Tu me prends pour qui un pour un bleu !
- Heu « je ne te prends pas pour » une bleu, tu es un bleu.
L’homme chargea comme un enragé, Gruugius n’eut aucun mal a esquivé l’attaque, en un éclaire de seconde il se déplaçe sur le côté, passe son bras sur celui de son assaillant, lui saisi le poignet, le renverse au sol et lui écrase son poing dans le nez. L’homme s’effondre au sol. Gruugius sentit trop tard le « crac » sous le choc, venant de mettre cette vermine dans le coma.
- Et merd.. credi bon qu’est ce que je fais maintenant.
Ha ce moment là un cri strident surgi de nulle part. D’abord le coup de pied dans les côtes, puis l’ « abruti », « clodo » décidemment Grugru est de mauvaise humeur car il ne peut pas finir sa nuit. Il faut qu’il se débarrasse des parasites qui l’empêchent de dormir.
Il prend sa gourde de saké en Baluchon, la gueule de bois le tire sévère. Il ne marche pas tout à fait droit.
« saké + manque de dodo décidemment ça ne va pas ensemble » penses-t-il Alors il s’aide de sa canne pour marcher.
Lorsqu’il arrive il voit qu’une famille de civils est encerclée par le reste des Yakuzas. Le père de famille est attaché face à sa femme avec le vieux. Les enfants mineurs eux ont les yeux bandés pour ne pas voir le reste de la scène. La mère et sa fille la plus âgée sont attachées aux poignets à des pics, les vêtements déchirés aucun doute sur la torture que vont faire subire ce groupe de Yakuzas à la famille.
Devant les femmes un brave caporal tient pour le moment en respect les deux hommes qui vont torturer ces pauvres femmes. Mais pour combien de temps …
Gruugius lui reste dissimulé dans l’ombre et observe la partie adverse.
Visiblement une dizaine d’homme équipés de katana. Les hommes que tient en joue le sergent ont l’air de petite frappe comme l’imbécile qui l’a réveillé plus tôt. Les huit autre ont l’air plus aguerris, ils sentent la violence contenue. Et pour finir un molosse de 2 mètres 50 qui semble se battre avec une énorme épée. Certainement une cérémonie dégueulasse d’intronisation.
Ce sera serré mais jouable. Les deux bleus attaquèrent le caporal, qui n’eu aucune difficulté à les mettre à terre mais tout de suite après deux plus anciens l’attaquèrent il tenu bon 5 minutes, puis une blessure dans la côte et alors qu’il pare d’un côté Gruugius vit arriver le coût de grâce.
Le Katana du « Bleu » vole à travers la ruelle pour finir par se planter dans la tête du sabreur qui allait achever le marine. PAF ou SPLUTCH comme on veut, de yakuza il devient un punk iroquois.
La scène laisse un bide complet, pendant une bonne minute car Gru se trouve toujours dans l’ombre, même le marine reste coi.
Puis le boss prend la parole reprenant ses esprits plus vite que les autres.
- Qui est là montre toi ! Raaclure je vais te broyer les os !
- Naaaanniiiii ! C’est moi la raclure, nan mais jeeee rêêêve MOOOOOOONSIIIIIIIIIIEUR organise une tournante party est même pas je suis invité ? Et c’est moi la raclure ?
Gruugius sort de l’ombre tel un homme bourré. Puis il longe le mur et vient se placer dos à dos avec le marine ?
- Hoy caporal, tu ti’hips le coup whiiiips.
- Ce serait plutôt à moi de vous le demander[/color].
Les 6 hommes du molosse se regardent hésitant à lancé une attaque sur deux hommes experts la donne changé du tout au tout pour eux.
- Qu’est ce que vous attendez bandes de larves !!! Attaquez les vous voyez bien qu’il est bourré !
Les hommes chargent comme des fous. Gruugius exécute un premier renversement latéral pour esquiver l’attaque du premier, le faisant trébucher en lui crochetant sa jambe d’appuis grâce à l’arrondit de sa canne. Il posa son énorme cruche en céramique ensuite sur le personnage immobilisé au sol, puis réalise un renversement arrière pour esquiver un coup latéral.
L’action eut l’effet d’écraser les vertèbres du premier qui hurla de douleur. Minant l’air surpris Gru se retourne mimant de perdre l’équilibre en arrière et tombe de tout son poids sur le second l’écrasant sous ses coudes. Les deux premiers assaillants étaient chaos.
Gruugius revient dos à dos avec le Caporal, qui commençent à être à bout de souffle mais vainqueur de ses deux assaillants.
- Oyo ! Tu t’en sor’hic b’hic en caporwhiiic al’, je peux te laisser les deux derniers mister molosse est à moi.
- Si tu veux le bourré, ou pas, impressionnante ta technique. Bonne chance.
- Ooyo ! Tu as entendu tas de muscles sans cervelle je vais te bottez les deux bosses qui te servent de fesses !
- C’est ce qu’on va voir le moucheron.
Le molosse dégaina son énorme épée, Gru devient sérieux et passe en mode Jet Kun Do, il commence à esquiver les coups de son adversaire, mais cette fois-ci son adversaire est d’un tout autre niveau, il enchaine de vrai combinaison, plusieurs des attaques du molosse égratigne le jeune martialiste.
Chaque fois qu’il esquive une attaque Gruugius place des coups suffisamment puissant dans les articulations du molosse.
Il commença cependant à être épuisé, sans tenir compte de l’étroitesse de la ruelle et la présence des civils.
Ce qui devait arriver arriva. Gruugius ne vit pas le coup arriver, il se prend un coup d’épée qui le blesse dans le bas des abdominaux puis un coup de pied puissant dans le lieu de la blessure qui fini par l’envoyer en vol plané dans la rue la plus juxtaposé plus large.
Entre temps une foule de personne s’est rassemblée dans la rue et forme maintenant un cercle, observant le combat.
- Ooooy Bob, j’en ai fini avec les deux autres je te laisse la fin alors t’as intérêt à assurer
Le caporal es recouvert de blessure il ne pas plus aider à continuer, il se tient à peine debout et grâce à son sabre.
- Pas de soucis ! Occupe toi des civils je m’occupe du buffle.
- T’occuper de moi laisse moi rire haaaahahahaa, très bien je vais continuer à m’amuser avec toi le moucheron, au moins tu m’auras diverti !
Le géant couru vers Gruugius qui se relevait péniblement, mais au moment de donner un coup d’épée le géant se rend compte que son épée est plus lourde, beaucoup plus lourde.
Le molosse s’arrêta net son épée levée en cours de route.
- Heeeiiin qu’est ce que tu as fait à mon épée !!!
- A ton épée rien héhé mais en revanche j’ai fais éclater tout les circuits d’énergie qui alimentent tes poignets, tes coudes et tes avants bras. Moins d’énergie alimente tes muscles tu as donc moins de force. Un sage disait, si tu es face à plus fort que toi physiquement fait en sorte de rééquilibrer la balance Kukuku.
Le Molosse lâcha son épée, Grugru fini de se relever son pantalon rougit par le sang de sa blessure au ventre, s’appuyant sur sa canne pour rester debout. Il se fit un bandage improvisé avec sa ceinture en tissu. La ceinture jaune fini par devenir orange.
- Avec ou sans épée je peux toujours te battre !
Le chef chargea de nouveau, Gruugius esquiva de justesse il sentit le poing du géant frotter sa joue de gauche et BAAAAAAAAAAAAM le poing du molosse vint heurter le pied du lampadaire l’oreille juste à côté Grugu eu juste le temps d’entendre un « crrrrr » les phalanges de son adversaire venait de se briser.
Dans un effort conséquent le « moucheron » passe derrière la garde de son adversaire et avec l’aide de sa canne envoya un grand coup dans le tendon d’Achille de ce dernier. Entre deux cris de douleur ce dernier recule face à Gruugius.
- Je t’ai sous-estimé le moucheron je vais en finir avec toi en un coup !
- Pareil je commence à être crevé.
Les deux hommes se mirent en position, et s’observe à n’en plus finir. Le temps semble s’arrêter les spectateurs retiennent leur souffle, on entend les déglutitions difficiles, on peut dire combien de mouche volent en ce moment même.
ambiance :
La douleur au ventre de l’un et au poing droit de l’autre rendait leur concentration difficile. Gruugius doit tenir coûte que coûte car s’il abandonne il perd ce duel et il en est pas question, il fit le vide dans ses pensées, la douleur n’est qu’un message nerveux, au bout d’un moment il ressentit une sensation de bien-être, son corps se détendit.
Le malfrat croit lui que c’est un relâchement de fatigue, il balançe toute sa rage dans un coup d’épée monumental qui fit voler de la poussière autour des deux combattants.
Tous les spectateurs sont sidérés, Gruugius est perdu. Le coup à fendit une bonne partie du ampadaire en bois.
C’est sans compter qu’il économisait en réalité ses forces jusqu’au bout. Sant la lame lui faire une égratignure, le coup de son adversaire, Grugru glisse entre les jambes de son adversaire.
Alors que ce dernier croit qu’il a gagné il entend derrière lui.
- Top lent…. TECHNIQUES ANCESTRALE DE L’ILE DU KARATE
Gruugius concentra toute son énergie dans sa canne, et mis toute ses forces dans un dernier coup, droit dans l’anus de son adversaire.
- SENNEN GOROSHI ! 1000 ANS DE SOUFFRANCES ! RHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !
Grugru poussa de toutes ses forces sur ses jambes et dans ses bras il envoya toute sa rage, dans sa canne : droit dans l’anus de son adversaire.
Empli de douleur celui-là pousse un cri qui illustre parfaitement le nom de la technique avant de s’envoler et de s’écraser deux mètres plus loin face contre terre, le visage exprimant une expression de douleur et d’horreur infini.
Le jeune vainqueur n’entendit pas les acclamations de la foule il s’évanouit sur le champ, son pantalon noir était devenu Marron. Grugru s’effondre dans sa propre flaque de sang.
II ème partie Hôpital et Décision.
5 jours après l’incident du port, dans un hôpital de Shelltown.
- Ha ben c’est pas trop tôt la marmotte se réveille enfin.
Les yeux qui s’ouvrent difficilement le jeune Bartholomew observent ce qui l’entoure. A sa droite un présentoir à roulette sur lequel lui est attaché une dizaine de poche de sang qui lui sont introjecter dans le corps un peu partout mais surtout au niveau des abdominaux inférieurs.
A sa droite lisant un journal le jeune officier qu’il avait aidé quelque temps plus tôt en train de le regarder d’un air soulagé. Lui aussi est couvert de bandelettes.
« Quoi tu veux ma photo ou quoi » pensa Grugru, « J’ai un grain de beauté mal placé au milieu du pif ? »
- Haaa ! Caporal c’est sympas d’être passez me voir !
- Désormais c’est sergent .Je le devais bien. Sans vous je serais mort embroché est deux femmes se serait faite violées devant les yeux de leurs proches. Ils ont d’ailleurs tenu à vous remercier. Le père est pharmacien il avait décidé d’arrêter de faire de la drogue, et les yakuzas voulaient lui administrer une leçon pour qu’il s’y remettent. Ils ont tenu en sécurité votre jar de saké en la remplissant et votre canne. C’est eux qui ont payé les frais d’hospitalisation aussi.
- Waaah ben félicitations pour votre montée en grade ! ça fait plaisir je suis content pour vous va falloir qu’on fêtes ça !
- Merci à ce propos le bestiau que vous avez mis KO avait une prime sur sa tête pas tellement conséquente mais ça vous fera un peu de sous tenez. Et puis l’adjudant de la base de Shelltown tenez à vous faire savoir qu’il était prêt à vous faire passer le BAN et vous nommer directement caporal d’élite.
Gruugius émit un sifflement admiratif.
- Et bien, bien caporal Gruugius Bartholomew ça sonne plutôt bien . . . . Zzzzihihiiihi …ziiihaaahahaïe, aïe , aïe foutu blessure si on peut plus rigoler maintenant
- Et bien pourquoi riez vous c’est très sérieux j’ai même les papiers officiels.
- Je suis fatigué, je crois que je n’ai pas l’esprit à tout ça. Retrouvons nous quand je serais rétabli chez la personne que nous avons tout les deux sauvé.
- Très bien vous devrez être remis complètement sur pieds dans trois jours on se voit d’ici là.
Le dernier combat avait profondément marqué Gruugius, lui qui avait vu la marine brimer les élans de liberté du peuple, voilà que la vision d’un marine courageux luttant seul pour la survie d’une famille venait hantait sa mémoire. On ne pouvait pas mettre tous les marines dans le même sac. Il y en avait qui réfléchissent avec leur cœur.
Tout cela le travaillait, il se retourna plusieurs fois dans son lit, eu des démangeaisons au crâne, on dut même lui donner de l’aspirine tellement sa boite crânienne chauffait.
C’est vrai qu’être un marine d’élite apporte plus de liberté qu’un marine normale, plus libre d’agir où et quand on veut, du moment qu’on est efficace on ne nous dit rien. Puis sans cesse la phrase du Dojo de son maître lui revenait, une citation du très célèbre pirate Gol D Roger : « La passion et les rêves sont comme le temps, rien ne peut les arrêter, et il en sera ainsi tant qu'il y'aura des hommes prêts à donner un sens au mot "liberté". » .
S’il s’engagerait dans la marine d’élite il pourrait trouvait aussi un maître qui enseigne le Haki plus rapidement, il aurait accès à une foule de documents. Tout cela le travaillait. Sans compter qu’intégrer un équipage d’élite c’est atteindre plus rapidement Grand Line aussi. C’est avoir moins de tracas d’être traqué …
Une évidence se faisait le monde à besoin de la Marine, pour le protéger des actions destructrices de la sombre nature de l’être humain. Mais qui protègent la marines des ses propres démons, qui protègent les gens ordinaires de l’ombre de la marine, seuls les révolutionnaires et les pirates le peuvent. Ce sont le yin et le yang. Les Tenryubitos et les 5 étoiles sont les seuls à créer les chaines qui entravent la liberté et la créativité des êtres humains. Ce sont eux qu’il faut éliminer. Ces gens là n’ont de respect qu’entre eux.
Pour ça Grugru doit devenir un pirate célèbre le plus terribles des pirates, et il devra écrire un CODE pour les pirates une sorte de code morale sur lequel chacun devra jurer. Oui Gruugius deviendra un des 4 empereurs, où sera proche d’un pour faire connaître dans toutes les îles le code des pirates.
Et pour ça Gruugius est prêt à tout tenter : devenir pirates, être traquer, et de mourir s’il le faut car même si l’homme meurt ses idées reste impregnées dans le cœur des gens, alors il doit imprégner le plus de gens. Et quiconque se mettra sur son chemin, s’il s’y oppose par les armes, Gruugius lui montrera ses armes à lui.
Trois jours plus tard se réveillant dans sa chambre d’hôpital Gruugius se réveille s’étire, plus de bandage ni de perfusion massive de sang. Une infirmière vient lui faire signer un document officiel comme quoi il est libre de partir. L’adresse en main des personnes qu’il avait sauvées, Gruugius sorti d’un pat décidé vers la maison du pharmacien.
- Domo, domo, domo, domo, domo, do . . .
- Oui ça va j’ai compris relevez-vous tout de même je vais être gêné à force, et puis c’est moi qui devrais vous remercier pour avoir garder mes affaires… Allez sakééééé pour tout le monde !!! Nhyyaaahhahahaaaa ça fait du bien de rire à nouveau jhijhiihihihiiii !
Gruugius ouvre sa jar et se met à distribuer généreusement le saké au sergent et au pharmacien, pendant que la femme de ce dernier apporta un repas digne de ce nom un banquet phénoménal on pourrait croire que toutes leurs économies y sont passées.
Trois bouteilles vidées par personne plus tard, alors que le pharmacien sombre sur la table sa bouteille à la main. Gruugius prend la parole.
- Je t’ai pas demandé ton nom caporal ?
- Marcus.
- Marcus j’ai bien réfléchit à ta proposition et je la refuse. C’est vrai que j’ai appréciais de me battre à tes côtés. Toute cette histoire tu vois, m’a bien travaillée. Avant de te rencontrer je voulais devenir pirate, pour foutre une raclée à tous les marines que je croiserais !!! Mes je me suis rendu compte que dans la marine il y a des gens qui se servent de leur cervelle pour vraiment permettre au gens de pouvoir vivre en paix et dans une relative tranquillité. Mon regard sur la marine à changer.
- Alors pourquoi refuses-tu ! N’importe quel marine rêverais d’avoir cette proposition pourquoi décides-tu devenir forban ! Tu vas devenir comme ces malfrats !!!!
- Je veux être pirate car je veux libres de me rendre où je veux et quand je veux, et je voudrais que tous les hommes de cette terre puissent l’être aussi. Hors si je suis marine, même d’élite je n’aurais aucune liberté, je devrais répondre et obéir à des supérieurs. Si ton supérieur te dis que tu dois tues quelqu’un tu le feras. Même si cette personne est innocente.
- Mais les marines ne tuent pas des innocents !
- Tu es bien brave Marcus mais je sais ce que j’ai vu, quand des boulets de canon fracassent tout un quartier parce qu’il y a soit disant quatre révolutionnaires, au final les autres familles en pâtissent.
- Et tu ne crois pas que les pirates font de même des fois !
- Bien sûr qu’il y en a mais là on rentre en réalité dans des questions profondes et nébuleuses de la nature de l’être humain. C’est pour ça que je veux devenir Pirate, je vais établir le CODE de la Piraterie, ce sera un code de liberté et d’honneur. Et puis une dernière chose les pirates sont moins pris par l’emprise des Tenryubitos.
- Mais ce sont ces derniers qui ont décrétés les lois d’ordres et de justice qui régissent notre monde pourtant.
- Sur quoi sont basées ces lois alors que leurs soi disant créateurs pratiquent le commerce d’esclaves et refusent de respirer le même air que nous, nous considèrant comme inférieur.
Marcus ne trouva rien à dire à cela. Un silence se mit à régner dans la pièce comme un air nostalgique. Tout en souriant au jeune sergent, il se lève prend sa canne épée son éventail qu’il met dans une poche. Il prend sa jar de Saké bien allégée après cette fête mémorable.
- Deviens fort Marcus. Et un jour tu m’arrêteras.. ou pas… J’hyaaaahaaahahahahaa. Je veux vivre en homme libre, même si la marine a des types qui réfléchissent avec leur coeur et peut faire de belle chose, je renverserais quiconque se mettra en travers de mon chemin : marine, révolutionnaire, Tenryubito . . . Parce que rien n’arrête la liberté ! La liberté et la créativité sont la vraie nature de l’homme, rien ne devrait la contraindre. Et si un jour tu veux rejoindre mon équipage d’homme libre tu seras le bienvenu hahaahahaa !
- Merci pour tes paroles qui me touchent profondément, je te promets de devenir plus fort et de ne jamais m’arrêter !!!
- Jyyhaaaaahahahahaha voilà un bon esprit ! Remercie nos hôtes maintenant « chacun sa route, chacun son chemin, chacun son destin » comme le dis un viel adage. Et n’oublie jamais que tu es libre de créer ton propre destin, rien n’y personne ne peux t’en empêcher jyyyyhahahahaahaaaa. A notre prochaine rencontre hahaha j’ai hâte !
- Moi aussi !
Gruugius quitte la maison familiale et repartit à la recherche d’un équipage de pirate qui voudrait bien de lui. . .
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>> Gruugius Batholomew
[/size]Pseudonyme : Votre surnom s’il y a lieu. Age: ... 25 ans Sexe : Homme Race : Humain... Métier : Artiste Martial Groupe : Pirate But : Libérer le monde des Tenryubito. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : - Zui Kan (Boxe de l’homme ivre)/ Jet Kun Do. - Haki empathie ( armements biiiiieeen pluuuus taaaard) - Tori Tori no Mi modèle : Tengu (Zoan Mythique : à reserver si possible) - Comédien - Discrétion - Athlétisme Équipement :. - Ces Vêtements - Une bourse avec quelques Berrys - Sa canne épée et un éventail - Une bouteille de saké Codes du règlement : [ [ |
>> Physique
Gruugius mesure 1 m 80, et pèse 70 kg. Il a un corps athlétique sculpter par une pratique intensive du Zui Kan et du Jet Kun Do. Il est blond et porte un bob blanc à rayure verte sur sa tête. Il porte une chemise verte recouverte par un kimono noir dont le haut possède une capuche : le vert représente pour l’espoir, la nature qui repousse après la destruction et le noir le deuil ainsi que la couleur du drapeau des pirates. Il porte toujours un éventail et une canne épée avec lui.
Il a des yeux bleu marine dotés d'un regard pénétrant et profond. Il est plutôt séduisant et aime réaliser des actions avec panache. Il a teint de la peau légèrement halé et couvert de pas mal de cicatrice du à son passage sur l'île de Torino. Il ne porte aucun tatouage.
On pourrait dire que Gruugius à l'aire la plus part du temps, joyeux son rire communicatif étant souvent ce que l'on entend surtout lorsque ce dernier à bu une bonne quantité de saké. Il affiche souvent un air d'idiot mais ce n'est que pour dissimuler sa vrai force. Lorsqu'il devient sérieux qu'il croise quelqu'un qui piétine la créativité ou la liberté de l'autre il prends un air sombre et son air d'idiot et de bourré s'efface complètement.
>> Psychologie
Gruugius est un homme foncièrement bon, il croit dur comme fer en la bonté et à la capacité illimité des êtres humains.
Il ne fuit jamais un combat car il aime se battre, mais ne provoque pas des combats sans intérêt. C’est plutôt quelqu’un qui observe et réfléchit avant d’agir.
Il aime boire (surtout du saké, il en est dépendant en fait) et faire la fête avec ses amis.
Si on fait du mal à ses derniers il est prêt à prendre des risques inconsidérés pour écrasé les tortionnaires après conception d’un plan diabolique car il aime faire les choses avec classes et panache.
Gruugius aime la liberté et il a fait de la phrase de Gold D Roger : « La passion et les rêves sont comme le temps, rien ne peut les arrêter, et il en sera ainsi tant qu'il y'aura des hommes prêts à donner un sens au mot "liberté". » sont crédo.
Ce pourquoi il se bat contre toutes formes d’oppression. Et veut renverser le gouvernement mondial et l’ordre des Tenryubito (il veut leurs enseigner cellulairement parlant la signication du mot terreur.)
Et pour cela il s’est engagé comme pirate pour renverser la marine qui pour lui est le premier échelon de l’organisme à faire tomber.
Il ne s’en prendra pas pour autant au innocent, car il est foncièrement bon.
Il a pris le pseudonyme de Bartholomew en l’hommage du précédent porteur de nom.
Biographie
l’Ile du Karaté an 1626 , 01H30, au Restaurant la Table du Vaux Rien.
L’adjudant de la marine vient de tomber face contre-terre, il était le dernier des marines qui l’avait attaquer. Il y avait eu d’abord les deux premières classes, puis les 5 caporaux, leur sergent, le sergent chef et leur adjudant. Tous étaient venu fêtaient leur victoire sur un équipage de pirate.Lorsque la bagarre avait commencé le monde était partit.
Couvert de bleus un sacré œil au beurre noir, sa canne épée posée à côté de lui et son éventail posé sur le bar, le vainqueur sirotait la fin de sa cinquième bouteille de rhum.
- Oy Shiiiinji !!! Ton rhum arrangé à la ceriiise c’est vraiiiment le best des best de toutes les blues !... Dommage que ces crétins de marine aient gachés son goût pour la soirée.
- Dépêche toi de finir ton verre je vais bientôt fermer la boutique. A cause du grabuge que tu viens de faire d’autres « crétins » eux gratinés risquent d’arrivés.
- Ouais je crois que t’as raison, mais cette baston m’a rappelé un mauvais souvenir, vraiment m…
Gruugius ne fini pas sa phrase, plongé dans la couleur hypnotique du rhum dans son vers il se perdit, le regard voguant dans le vide de ses pensées, pensées du passé, pensées remplies d’amertume et de souffrance. . .
Saint-Urea 1611, Quelque part dans le quartier des ferronniers
Le jeune Gruugius O’Brian âgé de seulement 9 ans se cachait derrière la porte de la salle commune. Il espionnait ses parents car dans une semaine ce sera son anniversaire et il voulait savoir quel sera son cadeau d'anniversaire. Ce sera certainement un cadeau symbolique, car fêter ses dix ans est un passage important pour un enfant, en effet à dix ans on est plus un enfant, à dix ans on est un grand.
Pulu, pulu . . .
- La terre ? C’est les nuages ?
- Que se passe t-il ?
- Nous avons été grillé le gratin de la marine va bientôt débarquer sur l’île ce n’est qu’une question de temps avant que Tahar Taghel ne me tombe dessus. Prenez tout les documents que je vous ai confiés la semaine dernière et fuyaient une embarcation est cachée, elle vous attend l’autre côté de l’île. Ces documents doivent impérativement être remis à l « Oeil de la justice ».
- …
- Magnus-san je suis désolé, je sais que dans une semaine ce sera l’anniversaire de Gruugius, mais si nous tardons à transmettre ses documents il sera trop tard la marine aura eu le temps de créer son blocus maritime.
- Je n’ai pas le choix toute façon. Les documents seront partis dès demain ne vous en faîtes pas.
Un long silence régnait dans la maison des O’Brian, l’atmosphère était des plus pesante. Jusqu’à ce que la voie douce de la mère de Gruugius retentisse.
- Entre Grugru nous savons que tu es derrière la porte, viens nous voir.
Le jeune enfant rentra et se rua dans les bras de ses parents, chacun le serra dans ses bras et lui apporta toute l’affection qu’ils pouvaient.
- Ton Papa va partir pour un long, très long voyage alors on va fêter ton anniversaire ce soir d’accord ?
- Ouuuaaaiiiissss !!!!
- Allez viens, ta maman avait déjà prévu un gâteau en avance au cas où.
Ca fut la plus belle fête d’anniversaire de sa vie, ses parents riant aux éclats, jouant en se chamaillant avec lui. Servant du jus de pomme faisant comme si c’était du champagne. Puis vint le cadeau, un bob blanc à rayures vertes celui qu’il avait toujours rêver de porter.
Puis juste avant qu’il ne s’endorme son père se pencha vers lui et lui caressant la tête.
- Maintenant que tu es un grand je te confie ma canne garde la précieusement tu me la rendra quand on se retrouvera.
Gruugius fit un signe de tête pour dire oui avec un grand sourire avant d’aller se coucher. Et se fut la dernière fois qu’il vit son père.
Sa mère lui fit vivre la plus belle semaine de sa vie. Une semaine de rêve avant que ne débute le cauchemard.
La suite de ses souvenirs fut remplit d’explosions de boulet de canons, de cris, de pleurs. Il n’y avait plus d’humanité. Lui qui avait entendu parler en bien de la marine par ses parents même, pourquoi cestte dernière massacrait tout son univers, tous les gens qu’il connaissait.
Puis vint la scène d’horreur lors de la dernière descente sur les quais. Un lieutenant-colonel rentra dans la maison familiale.
Sa mère avait eu le temps de cacher Gruugius quelques minutes avant que le haut gradé ne défonce la porte d’entrée à coup de pied. Aussitôt suivi par deux lieutenants imposants et un commandant.
Inue la mère de G. elle restait de marbre stoïque. Les hommes du lieutenant-colonel eux fouillaient de partout, renversaient les livres des étagères au sol, vidèrent le frigo, cassèrent les murs à coup de masses, démontèrent les lames du plancher.
- Rien mon lieutenant-colonel, il n’y a rien il n’y a aucun document ici.
- Vous aurez beau chercher à l’heure actuel le but de votre visite doit déjà être entre les mains de l’ « œil ».
Un lieutenant souleva la mère du jeune enfant.
- Tu vas parler femme dans quelle direction est partit ton mari ! Dans quelle direction est parti Magnus ?
- Je n’en sais rien et si je le savais jamais je ne vous donnerais de renseignements sur l’homme que j’aime. Vous perdez votre temps ici arrêtez moi.
Le lieutenant leva la main pour gifler la femme, mais le commandant l’arrêta dans son geste.
- Ce ne sera pas utile, d’en arriver au main, cette femme n’en dira pas plus menottez la nous perdons notre temps ici.
Le lieutenant jeta un coup d’œil vers le son autre supérieur pour voir sa réaction :
- Pourquoi vous me regardez le commandant à raison. Quittons cet endroit et allons fouetter les chats du quai.
Ils menottèrent Inue est sortir de la maison un à un. Juste avant de franchir le seuil le lieutenant-colonel s’arrêta et regarda en direction de la trappe cachée non découverte en granit marin derrière laquelle Gruugius était caché. L’enfant avait l’impression que le regard de l’officier traversait la roche, passait à travers la fine serrure et qu’il le fixer lui. Le temps lui sembla infini il n’oublia jamais ce regard perçant.
Puis le marine quitta la maison et malgré les coups de feu à l’extérieur, les bruits de sabre, de cri de douleur le jeune enfant sombra dans l’inconscience. Il n’avait plus ni maison, ni famille il était seul.
Combien de jours l’enfant avait dormi ? Il ne saurait le dire. Il fut réveillé par la trappe qui s’ouvrit sur le visage d’un homme souriant la cigarette en coin.
- Ha tu es donc bien là ? Ton père m’avais dis que je te trouverais là il m’a confié le double de la clé lorsqu’il est parti en mission. N’aie pas peur je suis un ami de longue date.
Epuisé l’enfant s’endormit dans les bras de l’homme. Il se réveilla plusieurs jours plus tard dans un lit confortable.
Île du Karaté. 1616, dans une rhumerie.
C’est le soir et le jeune adolescent adopté étudiait les parchemins de Jet Kun Do et de philosophie dans la bibliothèque de son maître et père adoptif. Encore une fois il butait sur un concept. Il se dirigea dans sa chambre mais il n’était pas là.
Gruugius soupira, s’il n’était pas là, il ne pouvait être qu’à la rhumerie du quartier.
Sur le chemin ses souvenirs revinrent depuis son adoption.
Spike Lee était venu le chercher à la demande de son père après le massacre des révolutionnaires de Saint-Urea. Il continua l’entraînement au Jet Kun Do de l’enfant que Magnus avait commençai à lui faire à l’âge de ses six ans. Devant tant d’horreur l’enfant s’était jurer de devenir fort pour protéger ceux qu’il aimait et qui comptait pour lui.
Il fit des progrès spectaculaires ses six dernières années. Et avais acquis un certain niveau dans cet art-martial qui faisaient de lui l’un des meilleurs.
Alors qu’il arriva devant le petit portillon à double battant de la rhumerie il vit un marine l’ouvrir violemment et venir s’étaler dans la rue. Un spectacle étrange s’offrit alors à ses yeux, pour défendre une jolie serveuse qu’un caporal voulait tripoter, son maître était en train de se battre contre eux. Mais il se battait comme un saoul, il mimait des poses, et semblait faire comme s’il perdait et à chaque fois taper dans les articulations de son adversaire, ou feinter un coup qui était en réalité un coup de coude. Il fit détaler ainsi une brassée de marine.
Gruugius l’emmena au dojo et le lendemain lui demanda tout excité quel était cet art qu’il avait vu son maître pratiquer hier et qu’il ne connaissait pas. Celui-ci lui dit que c’était du Zui Kan/ La Boxe de l’Homme Ivre, très utile quand tu es saoul. Gruugius lui demanda s’il pouvait lui apprendre et Spike ne pu lui refuser.
Île du Karaté, Dojo Familial, 1919, dans la salle de combat.
En position de Garde les deux adversaires se toisent, tout en décrivant un cercle c’est l’heure de vérité pour savoir qui est le plus fort. Gruugius sait qu’il n’a pas le droit de perdre il n’a pas le droit pour l’arrestation de sa mère la fuite de son père. Pour tout ce que Spike a fait pour lui.
Après une heure de combat, de coup de poing, coup de pieds, de clés de bras et autre, les deux assaillants sont à Terre. Tous deux combattants couverts de bleus, leurs Jo fendus l’un à côté de l’autre, les bokens étalés plus loin sur le tatami, leurs gants toujours aux mains mais déchiquetés.
Inconscients . . . des perles de sueur coulent sur le visage des autres disciples qui n’ont jamais vu un combat d’une telle violence et d’un tel acharnement.
Puis Gruugius se relève avec le regard d’un démon il est debout, il a gagné il pousse un cri qui résonne dans tout le quartier. Spike éclate de rire et sort une énorme bouteille de saké.
Après avoir bien picolé le jeune fils adoptif s’endort comme une masse alors que le soleil se lève.
Île Inconnue au large de l’île du Karaté, 1919, quelques jours après la fête de sa victoire.
Gruugius se réveille, couvert de bandage le bruit des mouettes, et des vagues, l’odeur du sel. Un mot sur un bout de papier : « Hello mon ptit, Grugru, félicitation pour ta victoire ! Tu as mérité le droit de passé ton Gempukku ! Au centre de l’île se trouve un magnifique cerisier dont les cerises font le meilleur saké des Blues ! Si tu arrives à en remplir le sac que je t’ai préparé et me rejoindre de l’autre côté de l’île tu auras réussi. »
« C’est tout » pensa Gruugius il était loin de se douter que ce ne sera pas une partie de plaisir, car l’île était remplie d’animaux sauvages tous plus dangereux les uns que les autres. Les pires était une sorte de kangourou boxeurs carnivores qui se battait comme un diable de maitre de la boxe et qui était le gardien de l’arbre.
Un an après, beaucoup de bleus sur la tronche des animaux, et la sienne, et après un sauté kangourou, Gruugius arriva de l’autre côté de l’île où son maître pionçait sur un hamac improvisé. Son petit bateau à quelques km de la plage.
Saint-Urea, 1622, la Frange, place de l’obélisque.
Le jeune Bartholomew marchait en direction de son ancienne maison, pour un dernier détour, une sorte de passage symbolique. L’atmosphère remplit des étincelles, les bruits de contestation. Les premières échauffourées entre la pingre. Apparemment encore une fois la noblesse et la bourgeoisie et le noblesse voulait saigner le peuple à coup de grand surtaxage, une sorte de péage entre chaque muraille.
Le jeune Bartholomew eu tout juste le temps de revoir son ancienne maison et d’y sortir, que la foule se regroupé en masse dans les grands axes. Du haut d’un toi Gruugius pouvait ressentir la colère se rassemblée comme un raz-de-marée.
Des milliers non près d’un million de personne se retrouvait devant la deuxième zone de l’île. « vendu ! » criaient les uns ! « Vampire vous nous suceraient jusqu’à la moelle ! ». Les gens s’organisent commencent à saborder les portes. « Dégagez crient les gardes du haut des murailles ! », « chien du gouvernement retournez bouffez vos croquettes ! » Gruugius pouvait la sentir l’étincelle allait arriver. Déjà des groupes encapuchonnés commencer à distribuer dague, épée, fusil, fourche, bâton . . . La foule est de plus en plus nombreuse.
Puis un soldat sur les nerfs tire sur un homme, les pavés fusent vers les murailles, la foule envahit les la zone bourgeoise. Une semaine de sang versé à nouveau, combien de matelots as-t-il tabassé et tué peut-être une trentaine il n’eut pas le temps de les compter. Les gens chargeait comme des bêtes enragées.
Les premières lignes se faisaient fusiller, et leurs camarades devaient marcher sur le corps de leurs compagnons morts pour charger au corps à corps. 5 ème jour Gruugius sent que l’avantage va revenir à la marine, discrètement couvert de bleu, de bandage camouflés sous une cape il repart direction l’île du Karaté à bord un bateau de pêche abandonné. . .
Un an après il lira le journal et le fiasco des pirates et révolutionnaires au G3 batailles que tout South Blue a suivie à l’époque. . .
l’Île du Karaté an 1626 , 02H00, au Restaurant la Table du Vaux Rien.
- Hé le rêveur, on se réveille !
La voix de Shinji le réveilla, perdu dans ses pensées Gruugius c’était endormi.
- Si tu grouilles pas un gradé ne va pas tarder à venir te botter le cul pour la nouvelle moquette que tu m’as offerte ce soir.
- Ils dorment toujours c’est put’hic de mar’hicne.?
- Qu’est-ce que tu vas faire alors maintenant.
- Spike m’a conseillé d’aller sur Grande Line, que peut-être j’y trouverais un maître pour m’apprendre à maîtriser le Haki, qu’entre temps je devrais avoir du temps pour atteindre le niveau. Je vais donc me mettre en route pour trouver un équipage de Pirate pour y aller.
- On attendra ta première prime avec impatience alors!
- Haaa !! Ta santé mon ptit Shinji !
-A la tienne!
Les deux hommes trinquèrent ett burent d’une traite le reste de rhum de la bouteille, puis le futur pirate disparu dans l’encadrement de la porte, s’enfonçant dans les ténèbres de la nuit direction le port.
>>Test RP
Partie I Milles ans de souffrances.
Quelque part dans sur le quai de la ville de Shelltown, East Blue, Année 1626.
Gruugius est en train de dormir paisiblement un bras posé sur un gros vase en céramique remplit de saké. Son bob posé sur ses yeux pour ne pas être dérangé par la lumière des lanternes, sa canne est juste posée contre son buste.
Il est juste en train de faire des beaux rêves, naviguant au vent devant tenir son bob d’une main. Le sourire affiché des pirates déterminer et libre. Gruugius était libre et ça se voyait car un filet de bave dégoulinait de sa bouche.
Soudainement une douleur lui lançe dans les côtes de gauche, qui le sort brutalement de ses rêves de liberté. Le filet de bave remonte instantanément dans sa bouche, et manque l’étouffer avant qu’on lui cri.
- Dégage de là le clodo, déguerpis !
Non seulement le gars vient de le réveiller mais en plus il le traite de clodo. Faisant style de s’étirer en se levant Gruugius associe un léger uppercut dans le menton de l’infâme être abjecte qui ose le tirer de son Paradis.
L’homme sonné fit quelque pas en arrière après, titube quelques secondes en arrière et fini par reprendre ses esprits visiblement très en colère.
- Hey tu joues à quoi l’abruti ! Tu ne vois pas le tatouage sur mon torse, je vais te péter la gueule enfoiré !
- Heeeuu étant donné que tu viens de me réveiller je suis désolé mains non ?
Gruugius observe rapidement son adversaire qui vient de dégainer un Katana. Il porte en effet un tatouage de dragon sur tout le torse. Bordel c’est un Yakusa, le dernier endroit où il pensait en rencontrer.
- Heu écoutes je suis vraiment désolé pour ce qui vient d’arriver mais je ne l’ai pas fait expr …
Le Yakuza ne lui laisse pas le temps de finir il charge avant, heureusement il est mauvais et ne compte que sur la possession de son tatouage et de son Katana, comptant insuffler la peur. L’homme attaque gauchement par une attaque verticale descendante. Puis une autre latérale et continue ainsi pendant cinq minutes.
- Oy ! Ce n’est pas un jouet que tu tiens là ! C’est fait pour trancher la chair et tuer tu sais, pas pour couper des particules d’air. Ceux qui ne savent pas s’en servir ne devraient pas en posséder.
- Tu me prends pour qui un pour un bleu !
- Heu « je ne te prends pas pour » une bleu, tu es un bleu.
L’homme chargea comme un enragé, Gruugius n’eut aucun mal a esquivé l’attaque, en un éclaire de seconde il se déplaçe sur le côté, passe son bras sur celui de son assaillant, lui saisi le poignet, le renverse au sol et lui écrase son poing dans le nez. L’homme s’effondre au sol. Gruugius sentit trop tard le « crac » sous le choc, venant de mettre cette vermine dans le coma.
- Et merd.. credi bon qu’est ce que je fais maintenant.
Ha ce moment là un cri strident surgi de nulle part. D’abord le coup de pied dans les côtes, puis l’ « abruti », « clodo » décidemment Grugru est de mauvaise humeur car il ne peut pas finir sa nuit. Il faut qu’il se débarrasse des parasites qui l’empêchent de dormir.
Il prend sa gourde de saké en Baluchon, la gueule de bois le tire sévère. Il ne marche pas tout à fait droit.
« saké + manque de dodo décidemment ça ne va pas ensemble » penses-t-il Alors il s’aide de sa canne pour marcher.
Lorsqu’il arrive il voit qu’une famille de civils est encerclée par le reste des Yakuzas. Le père de famille est attaché face à sa femme avec le vieux. Les enfants mineurs eux ont les yeux bandés pour ne pas voir le reste de la scène. La mère et sa fille la plus âgée sont attachées aux poignets à des pics, les vêtements déchirés aucun doute sur la torture que vont faire subire ce groupe de Yakuzas à la famille.
Devant les femmes un brave caporal tient pour le moment en respect les deux hommes qui vont torturer ces pauvres femmes. Mais pour combien de temps …
Gruugius lui reste dissimulé dans l’ombre et observe la partie adverse.
Visiblement une dizaine d’homme équipés de katana. Les hommes que tient en joue le sergent ont l’air de petite frappe comme l’imbécile qui l’a réveillé plus tôt. Les huit autre ont l’air plus aguerris, ils sentent la violence contenue. Et pour finir un molosse de 2 mètres 50 qui semble se battre avec une énorme épée. Certainement une cérémonie dégueulasse d’intronisation.
Ce sera serré mais jouable. Les deux bleus attaquèrent le caporal, qui n’eu aucune difficulté à les mettre à terre mais tout de suite après deux plus anciens l’attaquèrent il tenu bon 5 minutes, puis une blessure dans la côte et alors qu’il pare d’un côté Gruugius vit arriver le coût de grâce.
Le Katana du « Bleu » vole à travers la ruelle pour finir par se planter dans la tête du sabreur qui allait achever le marine. PAF ou SPLUTCH comme on veut, de yakuza il devient un punk iroquois.
La scène laisse un bide complet, pendant une bonne minute car Gru se trouve toujours dans l’ombre, même le marine reste coi.
Puis le boss prend la parole reprenant ses esprits plus vite que les autres.
- Qui est là montre toi ! Raaclure je vais te broyer les os !
- Naaaanniiiii ! C’est moi la raclure, nan mais jeeee rêêêve MOOOOOOONSIIIIIIIIIIEUR organise une tournante party est même pas je suis invité ? Et c’est moi la raclure ?
Gruugius sort de l’ombre tel un homme bourré. Puis il longe le mur et vient se placer dos à dos avec le marine ?
- Hoy caporal, tu ti’hips le coup whiiiips.
- Ce serait plutôt à moi de vous le demander[/color].
Les 6 hommes du molosse se regardent hésitant à lancé une attaque sur deux hommes experts la donne changé du tout au tout pour eux.
- Qu’est ce que vous attendez bandes de larves !!! Attaquez les vous voyez bien qu’il est bourré !
Les hommes chargent comme des fous. Gruugius exécute un premier renversement latéral pour esquiver l’attaque du premier, le faisant trébucher en lui crochetant sa jambe d’appuis grâce à l’arrondit de sa canne. Il posa son énorme cruche en céramique ensuite sur le personnage immobilisé au sol, puis réalise un renversement arrière pour esquiver un coup latéral.
L’action eut l’effet d’écraser les vertèbres du premier qui hurla de douleur. Minant l’air surpris Gru se retourne mimant de perdre l’équilibre en arrière et tombe de tout son poids sur le second l’écrasant sous ses coudes. Les deux premiers assaillants étaient chaos.
Gruugius revient dos à dos avec le Caporal, qui commençent à être à bout de souffle mais vainqueur de ses deux assaillants.
- Oyo ! Tu t’en sor’hic b’hic en caporwhiiic al’, je peux te laisser les deux derniers mister molosse est à moi.
- Si tu veux le bourré, ou pas, impressionnante ta technique. Bonne chance.
- Ooyo ! Tu as entendu tas de muscles sans cervelle je vais te bottez les deux bosses qui te servent de fesses !
- C’est ce qu’on va voir le moucheron.
Le molosse dégaina son énorme épée, Gru devient sérieux et passe en mode Jet Kun Do, il commence à esquiver les coups de son adversaire, mais cette fois-ci son adversaire est d’un tout autre niveau, il enchaine de vrai combinaison, plusieurs des attaques du molosse égratigne le jeune martialiste.
Chaque fois qu’il esquive une attaque Gruugius place des coups suffisamment puissant dans les articulations du molosse.
Il commença cependant à être épuisé, sans tenir compte de l’étroitesse de la ruelle et la présence des civils.
Ce qui devait arriver arriva. Gruugius ne vit pas le coup arriver, il se prend un coup d’épée qui le blesse dans le bas des abdominaux puis un coup de pied puissant dans le lieu de la blessure qui fini par l’envoyer en vol plané dans la rue la plus juxtaposé plus large.
Entre temps une foule de personne s’est rassemblée dans la rue et forme maintenant un cercle, observant le combat.
- Ooooy Bob, j’en ai fini avec les deux autres je te laisse la fin alors t’as intérêt à assurer
Le caporal es recouvert de blessure il ne pas plus aider à continuer, il se tient à peine debout et grâce à son sabre.
- Pas de soucis ! Occupe toi des civils je m’occupe du buffle.
- T’occuper de moi laisse moi rire haaaahahahaa, très bien je vais continuer à m’amuser avec toi le moucheron, au moins tu m’auras diverti !
Le géant couru vers Gruugius qui se relevait péniblement, mais au moment de donner un coup d’épée le géant se rend compte que son épée est plus lourde, beaucoup plus lourde.
Le molosse s’arrêta net son épée levée en cours de route.
- Heeeiiin qu’est ce que tu as fait à mon épée !!!
- A ton épée rien héhé mais en revanche j’ai fais éclater tout les circuits d’énergie qui alimentent tes poignets, tes coudes et tes avants bras. Moins d’énergie alimente tes muscles tu as donc moins de force. Un sage disait, si tu es face à plus fort que toi physiquement fait en sorte de rééquilibrer la balance Kukuku.
Le Molosse lâcha son épée, Grugru fini de se relever son pantalon rougit par le sang de sa blessure au ventre, s’appuyant sur sa canne pour rester debout. Il se fit un bandage improvisé avec sa ceinture en tissu. La ceinture jaune fini par devenir orange.
- Avec ou sans épée je peux toujours te battre !
Le chef chargea de nouveau, Gruugius esquiva de justesse il sentit le poing du géant frotter sa joue de gauche et BAAAAAAAAAAAAM le poing du molosse vint heurter le pied du lampadaire l’oreille juste à côté Grugu eu juste le temps d’entendre un « crrrrr » les phalanges de son adversaire venait de se briser.
Dans un effort conséquent le « moucheron » passe derrière la garde de son adversaire et avec l’aide de sa canne envoya un grand coup dans le tendon d’Achille de ce dernier. Entre deux cris de douleur ce dernier recule face à Gruugius.
- Je t’ai sous-estimé le moucheron je vais en finir avec toi en un coup !
- Pareil je commence à être crevé.
Les deux hommes se mirent en position, et s’observe à n’en plus finir. Le temps semble s’arrêter les spectateurs retiennent leur souffle, on entend les déglutitions difficiles, on peut dire combien de mouche volent en ce moment même.
ambiance :
La douleur au ventre de l’un et au poing droit de l’autre rendait leur concentration difficile. Gruugius doit tenir coûte que coûte car s’il abandonne il perd ce duel et il en est pas question, il fit le vide dans ses pensées, la douleur n’est qu’un message nerveux, au bout d’un moment il ressentit une sensation de bien-être, son corps se détendit.
Le malfrat croit lui que c’est un relâchement de fatigue, il balançe toute sa rage dans un coup d’épée monumental qui fit voler de la poussière autour des deux combattants.
Tous les spectateurs sont sidérés, Gruugius est perdu. Le coup à fendit une bonne partie du ampadaire en bois.
C’est sans compter qu’il économisait en réalité ses forces jusqu’au bout. Sant la lame lui faire une égratignure, le coup de son adversaire, Grugru glisse entre les jambes de son adversaire.
Alors que ce dernier croit qu’il a gagné il entend derrière lui.
- Top lent…. TECHNIQUES ANCESTRALE DE L’ILE DU KARATE
Gruugius concentra toute son énergie dans sa canne, et mis toute ses forces dans un dernier coup, droit dans l’anus de son adversaire.
- SENNEN GOROSHI ! 1000 ANS DE SOUFFRANCES ! RHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !
Grugru poussa de toutes ses forces sur ses jambes et dans ses bras il envoya toute sa rage, dans sa canne : droit dans l’anus de son adversaire.
Empli de douleur celui-là pousse un cri qui illustre parfaitement le nom de la technique avant de s’envoler et de s’écraser deux mètres plus loin face contre terre, le visage exprimant une expression de douleur et d’horreur infini.
Le jeune vainqueur n’entendit pas les acclamations de la foule il s’évanouit sur le champ, son pantalon noir était devenu Marron. Grugru s’effondre dans sa propre flaque de sang.
II ème partie Hôpital et Décision.
5 jours après l’incident du port, dans un hôpital de Shelltown.
- Ha ben c’est pas trop tôt la marmotte se réveille enfin.
Les yeux qui s’ouvrent difficilement le jeune Bartholomew observent ce qui l’entoure. A sa droite un présentoir à roulette sur lequel lui est attaché une dizaine de poche de sang qui lui sont introjecter dans le corps un peu partout mais surtout au niveau des abdominaux inférieurs.
A sa droite lisant un journal le jeune officier qu’il avait aidé quelque temps plus tôt en train de le regarder d’un air soulagé. Lui aussi est couvert de bandelettes.
« Quoi tu veux ma photo ou quoi » pensa Grugru, « J’ai un grain de beauté mal placé au milieu du pif ? »
- Haaa ! Caporal c’est sympas d’être passez me voir !
- Désormais c’est sergent .Je le devais bien. Sans vous je serais mort embroché est deux femmes se serait faite violées devant les yeux de leurs proches. Ils ont d’ailleurs tenu à vous remercier. Le père est pharmacien il avait décidé d’arrêter de faire de la drogue, et les yakuzas voulaient lui administrer une leçon pour qu’il s’y remettent. Ils ont tenu en sécurité votre jar de saké en la remplissant et votre canne. C’est eux qui ont payé les frais d’hospitalisation aussi.
- Waaah ben félicitations pour votre montée en grade ! ça fait plaisir je suis content pour vous va falloir qu’on fêtes ça !
- Merci à ce propos le bestiau que vous avez mis KO avait une prime sur sa tête pas tellement conséquente mais ça vous fera un peu de sous tenez. Et puis l’adjudant de la base de Shelltown tenez à vous faire savoir qu’il était prêt à vous faire passer le BAN et vous nommer directement caporal d’élite.
Gruugius émit un sifflement admiratif.
- Et bien, bien caporal Gruugius Bartholomew ça sonne plutôt bien . . . . Zzzzihihiiihi …ziiihaaahahaïe, aïe , aïe foutu blessure si on peut plus rigoler maintenant
- Et bien pourquoi riez vous c’est très sérieux j’ai même les papiers officiels.
- Je suis fatigué, je crois que je n’ai pas l’esprit à tout ça. Retrouvons nous quand je serais rétabli chez la personne que nous avons tout les deux sauvé.
- Très bien vous devrez être remis complètement sur pieds dans trois jours on se voit d’ici là.
Le dernier combat avait profondément marqué Gruugius, lui qui avait vu la marine brimer les élans de liberté du peuple, voilà que la vision d’un marine courageux luttant seul pour la survie d’une famille venait hantait sa mémoire. On ne pouvait pas mettre tous les marines dans le même sac. Il y en avait qui réfléchissent avec leur cœur.
Tout cela le travaillait, il se retourna plusieurs fois dans son lit, eu des démangeaisons au crâne, on dut même lui donner de l’aspirine tellement sa boite crânienne chauffait.
C’est vrai qu’être un marine d’élite apporte plus de liberté qu’un marine normale, plus libre d’agir où et quand on veut, du moment qu’on est efficace on ne nous dit rien. Puis sans cesse la phrase du Dojo de son maître lui revenait, une citation du très célèbre pirate Gol D Roger : « La passion et les rêves sont comme le temps, rien ne peut les arrêter, et il en sera ainsi tant qu'il y'aura des hommes prêts à donner un sens au mot "liberté". » .
S’il s’engagerait dans la marine d’élite il pourrait trouvait aussi un maître qui enseigne le Haki plus rapidement, il aurait accès à une foule de documents. Tout cela le travaillait. Sans compter qu’intégrer un équipage d’élite c’est atteindre plus rapidement Grand Line aussi. C’est avoir moins de tracas d’être traqué …
Une évidence se faisait le monde à besoin de la Marine, pour le protéger des actions destructrices de la sombre nature de l’être humain. Mais qui protègent la marines des ses propres démons, qui protègent les gens ordinaires de l’ombre de la marine, seuls les révolutionnaires et les pirates le peuvent. Ce sont le yin et le yang. Les Tenryubitos et les 5 étoiles sont les seuls à créer les chaines qui entravent la liberté et la créativité des êtres humains. Ce sont eux qu’il faut éliminer. Ces gens là n’ont de respect qu’entre eux.
Pour ça Grugru doit devenir un pirate célèbre le plus terribles des pirates, et il devra écrire un CODE pour les pirates une sorte de code morale sur lequel chacun devra jurer. Oui Gruugius deviendra un des 4 empereurs, où sera proche d’un pour faire connaître dans toutes les îles le code des pirates.
Et pour ça Gruugius est prêt à tout tenter : devenir pirates, être traquer, et de mourir s’il le faut car même si l’homme meurt ses idées reste impregnées dans le cœur des gens, alors il doit imprégner le plus de gens. Et quiconque se mettra sur son chemin, s’il s’y oppose par les armes, Gruugius lui montrera ses armes à lui.
Trois jours plus tard se réveillant dans sa chambre d’hôpital Gruugius se réveille s’étire, plus de bandage ni de perfusion massive de sang. Une infirmière vient lui faire signer un document officiel comme quoi il est libre de partir. L’adresse en main des personnes qu’il avait sauvées, Gruugius sorti d’un pat décidé vers la maison du pharmacien.
- Domo, domo, domo, domo, domo, do . . .
- Oui ça va j’ai compris relevez-vous tout de même je vais être gêné à force, et puis c’est moi qui devrais vous remercier pour avoir garder mes affaires… Allez sakééééé pour tout le monde !!! Nhyyaaahhahahaaaa ça fait du bien de rire à nouveau jhijhiihihihiiii !
Gruugius ouvre sa jar et se met à distribuer généreusement le saké au sergent et au pharmacien, pendant que la femme de ce dernier apporta un repas digne de ce nom un banquet phénoménal on pourrait croire que toutes leurs économies y sont passées.
Trois bouteilles vidées par personne plus tard, alors que le pharmacien sombre sur la table sa bouteille à la main. Gruugius prend la parole.
- Je t’ai pas demandé ton nom caporal ?
- Marcus.
- Marcus j’ai bien réfléchit à ta proposition et je la refuse. C’est vrai que j’ai appréciais de me battre à tes côtés. Toute cette histoire tu vois, m’a bien travaillée. Avant de te rencontrer je voulais devenir pirate, pour foutre une raclée à tous les marines que je croiserais !!! Mes je me suis rendu compte que dans la marine il y a des gens qui se servent de leur cervelle pour vraiment permettre au gens de pouvoir vivre en paix et dans une relative tranquillité. Mon regard sur la marine à changer.
- Alors pourquoi refuses-tu ! N’importe quel marine rêverais d’avoir cette proposition pourquoi décides-tu devenir forban ! Tu vas devenir comme ces malfrats !!!!
- Je veux être pirate car je veux libres de me rendre où je veux et quand je veux, et je voudrais que tous les hommes de cette terre puissent l’être aussi. Hors si je suis marine, même d’élite je n’aurais aucune liberté, je devrais répondre et obéir à des supérieurs. Si ton supérieur te dis que tu dois tues quelqu’un tu le feras. Même si cette personne est innocente.
- Mais les marines ne tuent pas des innocents !
- Tu es bien brave Marcus mais je sais ce que j’ai vu, quand des boulets de canon fracassent tout un quartier parce qu’il y a soit disant quatre révolutionnaires, au final les autres familles en pâtissent.
- Et tu ne crois pas que les pirates font de même des fois !
- Bien sûr qu’il y en a mais là on rentre en réalité dans des questions profondes et nébuleuses de la nature de l’être humain. C’est pour ça que je veux devenir Pirate, je vais établir le CODE de la Piraterie, ce sera un code de liberté et d’honneur. Et puis une dernière chose les pirates sont moins pris par l’emprise des Tenryubitos.
- Mais ce sont ces derniers qui ont décrétés les lois d’ordres et de justice qui régissent notre monde pourtant.
- Sur quoi sont basées ces lois alors que leurs soi disant créateurs pratiquent le commerce d’esclaves et refusent de respirer le même air que nous, nous considèrant comme inférieur.
Marcus ne trouva rien à dire à cela. Un silence se mit à régner dans la pièce comme un air nostalgique. Tout en souriant au jeune sergent, il se lève prend sa canne épée son éventail qu’il met dans une poche. Il prend sa jar de Saké bien allégée après cette fête mémorable.
- Deviens fort Marcus. Et un jour tu m’arrêteras.. ou pas… J’hyaaaahaaahahahahaa. Je veux vivre en homme libre, même si la marine a des types qui réfléchissent avec leur coeur et peut faire de belle chose, je renverserais quiconque se mettra en travers de mon chemin : marine, révolutionnaire, Tenryubito . . . Parce que rien n’arrête la liberté ! La liberté et la créativité sont la vraie nature de l’homme, rien ne devrait la contraindre. Et si un jour tu veux rejoindre mon équipage d’homme libre tu seras le bienvenu hahaahahaa !
- Merci pour tes paroles qui me touchent profondément, je te promets de devenir plus fort et de ne jamais m’arrêter !!!
- Jyyhaaaaahahahahaha voilà un bon esprit ! Remercie nos hôtes maintenant « chacun sa route, chacun son chemin, chacun son destin » comme le dis un viel adage. Et n’oublie jamais que tu es libre de créer ton propre destin, rien n’y personne ne peux t’en empêcher jyyyyhahahahaahaaaa. A notre prochaine rencontre hahaha j’ai hâte !
- Moi aussi !
Gruugius quitte la maison familiale et repartit à la recherche d’un équipage de pirate qui voudrait bien de lui. . .
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[/b]
Informations IRL
Prénom : Thibault
Age : 26 ans
Aime :les arts-plastiques, la nature, la musique, faire la fête
N'aime pas :le jugement ou les apriori.
Personnage préféré de One Piece : Shanks le Roux/ Sabo Adulte
Caractère : sympas, à l’écoute, compréhensifs, sociable, tolérant
Fait du RP depuis : 8-9 ans comme joueur et MJ :
-L5A (master et joueur)
- Scion Héros, Demi-Dieu, Dieu (master, joueur)
- Cœur de Dréanne (master, joueur, beta-testeur).
- Retro-Futur (Joueur).
- Z-CORPS (joueur)
. . . . . .
Disponibilité approximative : 5j/7 plus dispo le soir.
Comment avez-vous connu le forum ? on cherchant si un rpg on line one piece existait ^^
Quand vous estimez avoir terminé vos descriptions et votre biographie, signalez-le par un nouveau message et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation par la mention [En attente de Test RP]. Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs ne vous loupent (ce qui n’arrive pas très souvent).
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Dernière édition par Gruugius le Lun 15 Déc 2014 - 19:37, édité 16 fois