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Opération pactole ! [PV Blanche]

Rappel du premier message :

Peu de temps après ma visite à Orange, avec l’équipage nous manquions d’argent. J’en avais marre d’être trop gentil, après tout merde je suis un pirate ! Avant j’avais des valeurs mais je me rends compte que ces valeurs faut les laisser de côtés. Il fallait faire un truc nous faire un petit pactole mais quoi ?!

J’allumais ma clope peinard, dans ma cabine, les pieds posés sur le bureau où j’avais mes cartes de navigation. Je réfléchissais à une idée pour gagner des tunes, fumer m’aidait à réfléchir. J’observais en même temps le ciel bleu dehors, c’était une bonne journée. « Par où nous pouvons aller, un coin où je pourrais me faire de l’argent… je sais ! On a qu’à braquer un commerçant ! » Je savais où aller !

Avec un sourire en coin, je sautais de ma chaise et je sortis de ma cabine en donnant un violent coup de pied dans la porte afin qu’elle s’ouvre. Je pris une grosse bouffé d’air afin de crier mais je m’étouffai, tout ça à cause de la clope que j’avais oublié. Du coup ça donna un mélange de cri et de toux.


- Les gars ! Kof kof ! Je … kof kof ! On va … kof kof !

En voyant tout le monde s’exploser de rire en m’entendant, je me raclais la gorge une fois pour toute. Une fois ceci effectué, pfiou ! Je me sentais vachement mieux j’arrivais à mieux respirer. J’enlevai la cigarette de mes lèvres afin de pouvoir crier mes ordres.

- J’ai enfin un cap ! Cap sur Shell Town !

Tous crièrent de joie et nous changions de destination. L’homme que j’avais recruté à Orange à l’accent prononcé j’avais appris qu’il s’appelait Dimitri. Dimitri me demanda ce que nous allions faire là-bas.

- Capitaine ! Qu’allons-nous faire là-baz ?!

C’est avec un grand sourire avec une pointe de machiavélisme que je lui rétorquais :

- Nous allons toucher le pactole !!

Je préférais leurs avouer mon plan une fois sur place. Après tout ils n’avaient pas réellement besoin d’en savoir plus. Je vis des petites étoiles dans ses yeux, il aimait l’argent. Tout comme moi d’ailleurs. Une fois qu’il répandit la nouvelle à l’équipage, tous exécutaient les ordres avec joie.

On avait navigué pendant une demi-matinée pour arriver à notre destination, Shell Town. On n’arborait aucun drapeau sur le navire. Je préférais rester discret encore avec ce navire. Après tout je commençais à être connu dans le coin.

On pouvait apercevoir l’île qui devait être à quelques kilomètres de notre position. Cette ville sur laquelle une base de la marine se tenait. J’étais satisfait. J’allais sans doute faire un braquage et en plus sans doute tuer des marines ! Oui m’attaquer à la marine était devenu ma spécialité. Je me retournais vers l’équipage afin de leur expliquer mon plan.


- Tout le monde ! Je vous ai promis de l’argent, des femmes et de l’action ! Voilà votre jour les gars ! Aujourd’hui nous allons braquer quelques magasins !

Dorénavant, sachant mes plans, mes fiers compagnons crièrent de férocité. Ils commençaient à libérer leurs instincts animaux.


Dernière édition par Daemon Wall le Mer 17 Juin 2015 - 19:25, édité 1 fois
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La nuit était passée vite. J’avais dormi comme un loir malgré que je dorme pour une fois parmi mes hommes.

En début de matinée, lorsque j’étais debout je cherchais à entrer dans ma chambre, je rentrais de manière très discrète, je m’approchais lentement et sans faire de bruit du lit dans lequel Blanche dormait paisiblement, en m’approchant je vis son visage angélique, elle avait l’air si douce lorsqu’elle dormait… je caressais des bouts des doigts son visage avant de m’en aller. Je ne souhaitais pas la perturber dans son paisible sommeil, elle avait déjà bien bossé hier… puis les femmes des moments sont chiantes car elles sont grognons.


J’avais réuni l’équipe qui allait venir avec nous, j’expliquai le plan à l’équipe, le fait que je voulais laisser des gens à l’extérieur pour nous alerter.

Nous étions réunis autour d’une table à laquelle nous étions assis. Quelques lumières du soleil arrivaient à s’infiltrer entre les planches. Sinon nous nous éclairions principalement avec des bougies.

- Donc on rentre, un d’entre nous reste à l’extérieur pour surveiller tout mouvement éventuel de la Marine. Un autre sera posté plus loin afin d’alerter l’équipage en cas de besoin de renfort, si on est surpris par la Marine ou quoi que ce soit de dangereux. Enfin nous nous endormirons les gens à l’intérieur grâce aux potions de Blanche, on prend le pognon et on se casse !

Je venais à peine de finir d’expliquer que j’entendis la voix de Blanche derrière moi.

- Oh je ne voulais pas perturber ton sommeil ! Tu arrives au bon moment ! On part pour le casse ! Prépare-toi, je t’expliquerai le plan en chemin.

Je passais à  côté d’elle je me dirigeais vers la terre ferme afin d’attendre les gars et Blanche pour pouvoir enfin entamer le casse. Nous allions devenir riche bordel ! Riche et puissant ! Eheh !
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Je clignai plusieurs fois des yeux et partis me préparer j'enfilais mes vêtements et rangeais rapidement ma mallette que je pris à la main en sortant. J'avais mis une dizaine de minutes. Je rejoignis Daemon sur le ponton en grimaçant. Mon estomac grondait et me réclamait à manger. Je soupirai et regardais le capitaine.

"Je vais avoir le droit à un compte rendu?"

Il m'expliqua rapidement. J'avais pour mission d'endormir les gérants et éventuels clients de la boutique. Les cinq hommes qui nous accompagnaient chahutaient un peu. Je me raclais la gorge et il me regardèrent. Je sortis de mon sac des masques à gaz que je leur tendis, même à Daemon.

"Bon, je vais envoyer ces petits flacons en entrant, vous aurez besoin de mettre ces masque pour ne pas vous endormir comme les autres, pour ne pas attirer l'attention vous entrerez sans, vous ne devez absolument pas respirer à l’intérieur, il faudra vous dépêcher de les mettre. Je ferai le gai je vous laisse porter."

Je regardais Daemon, pour savoir s'il approuvait, il acquiesça et nous nous mîmes en route. La boutique était tout à fait dans mon style. Si bien qu'on ne me regarda pas de travers lorsque j'entrai. Je fis mine de regarder. Je dépliais un mouchoir blanc épais que je plaquais devant ma bouche et mon nez et fis tomber une fiole à mes pieds, puis une autre plus loin, encore une autre, et une dernière pour être sûre, je respirai doucement, par saccade et sortis rapidement sans pour autant avoir l'air d'être pressée lorsque je sortis, j'avais au passage trouver une cheise charmante que j'avais attraper naturellement tandis que les quelques clients ainsi que les vendeurs s'étaient écroulé pris de fatigue soudaine.

Je fis un petit signe à Daemon qui était en train de discuter avec ses hommes sur le trottoir d'en face.

    Je m’allumais une clope, Blanche préparait ses affaires alors qu’on s’armait avec les autres. A l’intérieur de mon kimono je cachais un pistolet à silex afin de ne pas l’avoir en main pour n’éveiller aucun soupçon. Avec mes hommes nous allions partir tous séparément et à quelques minutes d’intervalles pour se retrouver enfin au point final qui était devant la boutique cible.

    Avant cette mission je dégustais ma cigarette. Je laissais mes hommes partir en premier. Je voulais être le dernier à partir, pourquoi ? Je n’avais pas fini de donner mes directives. Pendant mes récentes expériences et avec la précédente rencontre avec Blanche j’avais appris à beaucoup me méfier des personnes. C’est pour ça une fois Blanche qui s’était enfoncée dans la ville je chopais un de mes hommes, j’arrivais à la fin de ma cigarette. Je lui murmurais à l’oreille :


    - Hmm… ce n’est pas que je n’ai pas confiance en notre invitée mais  je préfère que mes hommes fassent le sale boulot, vient dans la ruelle de la boutique et si tu vois une quelconque activité de la Marine cri le nous.

    Je finis mon bout de mégot, je le jetais à l’eau et j’expirais la fumée sur le côté, de sorte que mon interlocuteur évite de se prendre la fumée dans la face. Enfin je finis mes ordres.

    - Prends un homme avec toi, en même temps tu lui donneras un signal si tu vois que la Marine est nombreuse pour qu’il aille chercher des renforts ici, sur le navire.

    Il acquiesça de la tête en me serrant la main pour me prouver que je pouvais lui faire confiance, je lui adressais un petit sourire et je partis.

    La boutique ne se situait pas très loin du port, je marchais assez vite, je ne voulais pas faire foirer mon plan. J’avais déjà pris un peu trop de temps pour donner mes dernières instructions. Je me mêlais parmi la foule, au passage j’avais réussi à rafler deux bourses, hélas, elles étaient assez maigres. Lorsque j’apparus dans la rue du magasin je venais juste de voir Blanche rentrer dans le magasin, c’était bon, je n’étais pas si en retard que ça. Je marchais dorénavant à allure réduite, je regardais de façon panoramique, je voyais mes hommes qui attendaient chacun dans leurs  coins, certains discutaient entre eux.

    Je m’approchais d’un et je fis semblant de parler de la vie de tous les jours avec lui, je m’inventais une toute nouvelle vie, nous étions en face du magasin.

    Nous attendions que Blanche ressorte pour intervenir, bien sûr j’avais glissé le masque à gaz en-dessous de mes vêtements.

    Lors de notre discussion un de troisièmes de mes hommes vint s’ajouter à nous, je profitais que les deux parlaient pour regarder si mes derniers ordres avaient bien été suivis. C’est en regardant en arrière que j’aperçus mon brave gaillard qui me fit un léger signe de la tête pour m’exprimer que tout était bon. Nous allions être vraiment riches !

    Alors que je pensais déjà quoi faire de tout l’argent, je vis mademoiselle Blanche sortir, c’était le moment venu. Je relançais un autre sujet dans la discussion.


    - Eh les gars ! Je trouve cette boutique sympa, ça vous dit de rentrer ?!

    C’est comme ça que nous nous retrouvions à même à rentrer. Nous devions retenir nos respirations du moment que nous rentrions jusqu’à mettre les masques à gaz. J’attendais d’être légèrement caché dans l’échoppe pour enfiler ce fameux masque.
    En rentrant et m’enfonçant dans le commerce je pouvais apercevoir les personnes inanimées sur le sol. C’était tout bon ! Je laissais un homme à l’entrée pour réceptionner ceux qui souhaitent rentrer dans ce magasin. J’avais pris trois sacs, je me mis derrière le comptoir, je passais un sac à un de mes compagnon pour qu’ils puissent le remplir de son côté. De mon côté je fouillais pour essayer de trouver une caisse, un coffre caché.

    C’est en fouillant pendant cinq bonnes minutes qu’enfin je trouvais ce maudit coffre accompagné de liasse d’argent et de quelques pièces à côtés. Je l’avais trouvé dans l’arrière-boutique, caché dans une sorte de bibliothèque, le problème maintenant, c’est de trouver le code. Je sifflais de mon endroit pour attirer l’intention de mon partenaire qui me rejoignit. Je lui montrais le verrou, il sortit alors un pied de biche de ses habits et il essaya de forcer le coffre.
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    Je les regardais rapidement entrer dans la boutique et secouai la tête en voyant un des gars se mettre à l'entrée pour faire barrage. Etaient-ils idiots? ils attireraient bien plus l'attention comme ça, d'autant que le premier qui rentrerait s'endormirait aussi profondément que les belles au bois dormant déjà dans la boutique.

    En parlant d'attirer l'attention... Un homme en uniforme de la marine approcha. je frissonai de dégoût et lui plantai une petite aiguille dans le bras lorsqu'il me frôla, il ne sentie apparemment rien, mais s'écroula quelques mètres plus loin après avoir tituber comme un ivrogne. Et justement c'était le but, cette plante, don j'avais extrait le jus, avait pour particularité de reproduir les effets de l'alcool en trop haute dose.

    Une femme avait hurler en voyant ça.

    "Du calme, je suis médecin."

    Je m'étais approché et l'avais manipulé quelques instants, éocuter son coeur, compter les pulsations...

    "Cet homme est saoul."

    Et oui, si ce n'était pas du grand art ça, salir la réputation de la marine tout en tentant de protéger un casse. Seulement je n'avais pas prévu que son supérieur viendrait le chercher après quelques coups de fil. Pile au moment où les hommes sortaient de la boutiques en s'esclaffant. Je secouais la tête en me demandant ce qui leur prenait à rire aussi fort. Je tapotai ma cuissarde afin de m'assurer que mon holster était toujours là et levais les yeux au ciel lorsqu'ils se firent interpeller.
      Le coffre fut forcé au bout de quelques minutes, j’avais aidé mon gars afin de finir ce casse plus vite. Lorsque le coffre s’ouvrit une montagne de berrys se dressait dedans, des centaines et des centaines de liasses d’argent. Mes yeux ne voyaient que les berrys, éblouissant à cause de leur beauté !

      Je décidais de presser un peu le pas, il ne fallait pas après rester immobile devant une telle somme d’argent, il fallait aussi la prendre. Nous nous dépêchions de faire glisser toutes ses liasses dans les sacs, bientôt nous allions être riches ! Non ! Nous étions riches ! Emerveillé devant une telle montagne, je m’empressais de vider le coffre.

      Voyant la boîte quasiment vide, j’ordonnais à mes hommes de partir les premiers. Le temps que je vidais le coffre et j’arrivais. Cependant je ne pus réellement finir mon action, un cri grave semblant éprouver de la peur m’angoissa. Je fermais le sac et je le prenais sur mon dos tout en courant sur la porte, que c’était-il passé ?!

      C’est en poussant la porte que je vis un gradé de la Marine, il tenait un de mes frères d’armes par le cou, il resserrait son étreinte qui empêchait à mon gars de pouvoir respirer.

      Un de mes premiers réflexes fut de sortir mon flingue que j’avais caché dans une poche intérieur, je le sortis, je visais droit dans la tête du Marine qui me montrait son profil, sa chevelure blonde m’horripilait ainsi que son bouc. J’appuyais sur la gâchette, la balle fusait.

      L’homme me jeta un regard et il recula brusquement sa tête, coup de chance ? Je ne pensais pas. C’était après tout un soldat expérimenté. Il relâcha mon homme qui ne manqua pas de s’écrouler sur le sol reprenant son souffle en pompant le plus d’air qu’il pouvait.

      Le Marine dont je n’apercevais les yeux qui étaient cachés par l’ombre de sa casquette, m’adressait un grand sourire, il craqua son cou et il accompagna le tout ensuite avec ses poignets et des doigts. Il rigolait doucement, cet homme dégageait une assurance sans limite, les civils autour avaient déjà désertés les rues, des soldats de la Marine laissait agir leur supérieur et regardaient la scène.
      Je lançais un regard circulaire, je lâchais un énorme soupir. Le combat allait être inévitable. Je regardais mon futur adversaire, je lui envoyais quelques piques.


      - Que me vaut l’honneur de recevoir un chien galleux de la Marine ?

      A la fin de ma phrase je donnais mon sac d’argent à un de mes hommes afin qu’il le prenne et qu’ils fuient tous ensemble jusqu’au navire.

      - Allez au navire, Blanche, vas avec eux, ils te protégeront.

      Le Marine rigola à gorge déployée.

      - AHAHAHAH ! Crois-tu vraiment qu’on va laisser vraiment partir tes hommes comme ça ?!

      A peine la phrase fut terminée qu’il s’élança sur moi avec une telle vitesse qu’il me surprit. Vu son gabarit imposant il semblait être vraiment lent mais ce n’était pas tout ainsi. Il semblait parfaitement se maîtriser. Il m’asséna d’ailleurs un coup de poing dans le ventre, je finis par l’esquiver de peu en faisant plusieurs pas sur le côté. Je finis par retirer mon masque à gaz. J’y voyais clairement mieux et j’arrivais à mieux respirer. Je remis mon pistolet dans ma poche cachée, c’était à moi de jouer. Je fonçais à mon tour sur ce colosse qui recopia mon idée.

      Nous étions arrivés au corps à corps, beaucoup d’échanges ce furent, nos poings s’entrechoquèrent provoquant des légers vents. Il semblait que nous étions à égalité à ce niveau-là. Enfin sans que je n’utilise mes techniques. J’attendais que mon adversaire soit le premier à révéler son pouvoir. Je ne voulais pas déjà tout user sur lui pour à la fin être épuiser et ne plus rien pouvoir faire.
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      Pendant plusieurs minutes le Colonel et moi-même, nous étions échanger plusieurs coups de poing plus ou moins virils. Mes hommes partaient au loin et lui s’enrageait de de plus en plus, souhaitant les arrêter dans leurs courses.

      De mon côté se lisait l’excitation du combat et une joie immense, quoi de mieux que se fritter contre un soldat ?!

      Je sentais en moi cette excitation allumer la flamme qui était en moi. Ainsi je trouvais en moi une grande source de force à puiser. J’étais tellement dans l’extase que lorsque le Colonel me donna un coup de poing dans les côtes je n’en pris pas compte. Comme ça je réussis à continuer mon assaut sur lui et à lui porter un coup de poing directement dans sa face de cake !

      Ce coup lui valut une perte d’équilibre et il tomba de sa hauteur. En tombant il voulut se rattraper avec ses coudes mais il aurait mieux fait d’éviter car un gémissement de douleur qui semblait assez forte s’échappa de sa bouche. Grâce à cet exploit je m’avançais devant l’homme à terre, avançant avec beaucoup de détermination et de fierté. Les habitants nous regardant semblait avoir le souffle coupé, le soldat me regardait impuissant me rapprocher de sa poire. Lorsque je fus a portée de ses jambes je ne compris plus rien.

      Il me chopa ma jambe droite en l’entourant avec les siennes et il força sur l’arrière de mon genou ce qui me contraint à être jeté au sol à mon tour. Le Marine en un instant de seconde avait renversé la tendance, il s’était assis sur moi et essaya de me mitrailler le visage de coup de poing.
      Encore heureux que j’eus le réflexe de protéger ma bouille de séducteur en parant ses coups avec mes avant-bras sinon je serais déjà en piteux états.

      En attendant qu’il finisse de se déversé tel un torrent je me préparais pour le bon moment.
      Enfin lorsqu’il se calma c’était là que je lui bondis avec mes deux mains sur son cou, le serrant de toutes mes forces.

      Il essaya tant bien que mal de me frapper au visage mais dommage pour lui je ne lâchais pas prise. J’encaissais ses quelques coups hasardeux qui pour certains atteignirent mon visage.
      Les secondes passaient et je reprenais du terrain, j’avais réussi à me redresser et à m’asseoir à mon tour sur lui et de continuer ma strangulation.

      Il se mit à chercher tant bien que mal un objet autour de lui mais c’était con, il ne semblait rien avoir. Tout du moins jusqu’à que je me prenne ce coup de pierre dans la tempe ce qui me sonna comme il fallait. Je me roulais à côté de lui me tenant le crâne à cause de cette douleur vive et intense.

      - Ahhhhhhh !!!

      De son côté il reprenait son souffle qui fut couper pendant bien une minute. Suite à ça je le sentis m’agripper par l’arrière du col et me traîner.

      Cette douleur indescriptible me faisait tellement souffrir que je n’arrivais pas détourner mon attention de cette vilaine blessure et en plus lorsque j’observais mes mains une était tâchée de sang. Je pissais littéralement le sang.

      Je finis par me faire jeter par terre, en regardant dans le ciel je pouvais voir l’homme qui brandissait quelque chose et qui semblait l’abattre sur ma tronche.

      Par pur instinct je fis plusieurs roulades sur le côté pour m’échapper de sa portée. La douleur était déjà devenue plus supportable mais j’y voyais flou. Lorsque je regardais l’homme finir son action qu’il avait entrepris je vis l’énorme massue qu’il avait saisi défoncer le sol et même le craqueler. Là il en était à un fil et j’avais la tête qui éclatait comme une pastèque. Je me relevais avec quelques difficultés. Pendant ce temps l’homme enragé se ruait déjà sur moi de nouveau.

      Il ne me restait plus que quelques secondes pour agir, il fallait que je fasse quelque chose sinon c’en était fini, le combat aurait été dans qu’un sens.

      Je m’appuyais donc sur mes mains et je fis tournoyer mes jambes en l’air comme une toupie ! C’était une technique que j’avais improvisé ! D’ailleurs je lui donnais un nom à ce moment-là.


      - Spinning top !

      Grâce à cette posture il se prit de plein fouet mon pied accompagné de la sandalette dans sa gueule ! YEAH !

      Il fut projeter sous la puissance du coup plusieurs mètres au loin et même finit sa course dos au mur. Je me remis sur pied et voilà qu’on en était comme tout à l’heure, debout devant lui. Je décidais de mettre fin à ce combat. Je sortis mon pistolet dans ma poche cachée et pointais son canon sur lui.

      Il me regarda sonné, il même à moitié désorienté il savait très bien ce que j’avais sortis. Mon doigt était prêt à appuyer sur la gâchette et là il me lança la phrase à ne pas me dire.


      - Lâ…lâche ! Voilà dont tout ton courage ?...

      Suite à ces mots plusieurs bruits de tires résonnèrent à travers le silence qui nous entourait. Un nuage d’oiseau s’éleva dans les airs et partit dans la direction opposée des tirs. Je m’approchais près de la dépouille du Marine et je mis mes doigts sur son pouls, il vivait encore mais il était sans doute plongé dans le coma. Avant de partir je lui avais chuchoté à l’oreille.

      - Lâche ?! Mais voyons… je suis un pirate ! Un gars sans pitié et sans vergogne.

      Je finis par me casser de la ruelle et rejoindre l’équipage assez vite.

      Une fois sur place l’équipage me regarda, Blanche n’était pas avec eux.
      - Où est-elle ?

      - Elle est partie avec un sac rempli d’argent… .

      Un sourire s’arracha de mon visage. Non, je n’exprimais ni colère ou haine envers Blanche car comme je venais de dire au soldat on est des « Pirates ».

      J’ordonnais du coup à mes hommes de lever l’ancre et nous finîmes par partir de cette île avec un fameux butin !
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