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La ruse des immortels.

Rappel du premier message :



Il fait nuit noir. Après les nombreuses heures à suivre le convoi, la lune est enfin apparu et nous sommes près de l'île aux sables d'or. Sereinement, nous détournons la Lépreuse vers un endroit isolé. Vous avez 23 heures d'invisibilité devant vous, profitez-en. Vous devez prêtez une oreille partout et rester discrets, je compte sur vous les amis.

Moi, je me prépare dans ma cabine. Un katana à la ceinture, je me dirige vers Keel et Luka. Qui souhaite venir avec moi ? Je pourrais prendre les deux avec moi ou partir en solo à l'improviste, histoire de couvrir plus de terrain.

- Qui veut venir avec moi ?

A mon ombre qui s'accroche comme à un tissu une belote aux choses aux gens leurs contours tout simplement, à mon ombre qui parfois dangereusement s'approche du sol sans mon consentement. Aujourd'hui on n'a plus l'droit, ni d'avoir faim ni d'avoir froid, et si moi j'veux m'faire taire, si je n'y vois pas d'inconvénient, qui donc viendra m'apprendre à l'faire, quitte à tout prendre à opprimer, prenez mon lit mon disque d'or, ma bonne humeur, et même jusqu'à ma vie privée, je peux bien vendre mon âme au Diable, mais vous n'aurez pas, vous n'aurez jamais, ma liberté de penser.

Suis-je vraiment libre de penser ? Oppression mortel qui me prend soudainement attendant patiemment la réponse de mes deux camarades.


Dernière édition par Mizukawa B. Sutero le Mar 15 Déc 2015 - 2:09, édité 1 fois


    Sortant mon sabre de son fourreau, juste quelques centimètres pour le remettre là où il était. Oui, je m'impatiente et joue avec. Répétant le mouvement tout le long de la discussion. Je hais ce fin d'esprit qui joue avec mes nerfs. S'il a quelque à demander, qu'il accouche, j'ai pas que ça à foutre... ''Accouche vieux tas de brique...'' Ton agacé pour ma part, on sent bien que je suis poussé à bout, mais je ne perds pas mes moyens non plus et reste impassible. Ouais faut croire que j'ai le vin mauvais dans le sang... Nanohana, bientôt ville poussière si l'on commence à ce jeu là, toi et moi, prince des sables. Tomberas-tu comme les autres ?

    Je sors une clope de mon veston et me dirige vers la fenêtre. Prenant une bouffée fumante en attendant ce que souhaite l'homme. Jetant un œil sur ma montre à gousset, le temps défile vite, bientôt ils redeviendront visible...

    - Eh bien, que souhaitez vous ? Repris-je calmement. La cigarette apaise mes nerfs et me laisse entrevoir les nombreuses options.

    A - Me mettre à dos Alabasta et éradiquer l'île entière...
    B - Pactiser avec le sournois.
    C - M'en aller et creuser une autre piste.
    D - La réponse D.

      Palais du Gouverneur, Nanohana

      - « Je souhaite que vous faisiez ce que vous faites le mieux : semer le chaos. » susurre  Hahypet avec l'air de celui qui suce un bonbon. Il est mielleux, tellement collant que même lui le sait. Il fait exprès, pour une raison qui n'appartient qu'à lui. « Plus loin vers l'Est, il y a une autre ville. Eramulu. Mon frère tient cette ville, et disons qu'il ne me déplairait pas qu'un certain nombre d'accidents advienne dans ses rues. A cause d'un pirate. » Il te regarde froidement, et là, tu as affaire au Sournois. Tu as déjà vu une belette ou un glouton ? Oui. Alors tu as l'idée que ce prince là n'est pas aussi débile qu'il peut l'être. Ses yeux sont ronds, mais emplis d'une noirceur et d'une cruauté calculée. Contrairement à certains prédateurs qui ne tuent que pour consommer, lui aime le sang. Il est quelque part un pirate bien plus implacable que toi.

      - « Je sais déjà ce que vous allez me dire : pourquoi iriez-vous détruire Eramulu pour moi ? » Il dévoile alors un sourire empli d'auto-contentement. Il savoure ce petit moment de victoire. « Parce que ce n'est pas pour moi que vous irez faire du grabuge là-bas. C'est pour vous. Voyez-vous, un certain Alheïri Salem Fenyang y habite en ce moment. Vous avez sûrement entendu parler de lui. Il était dans la Marine, il était le capitaine du Lévianthan quand le navire a accosté au port. C'estt sur ce navire que Matsuya a été vu la dernière fois. Si vous voulez un témoin fiable, c'est lui qu'il faut aller voir. Sauf qu'il est toujours Marine et il ne discutera pas comme ça avec un pirate. Il va forcément avoir un combat. Et s'il arrivait pendant ce combat qu'une petite partie – plus ou moins petite d'ailleurs – de la ville devait prendre cher... Je serais alors de très bonne humeur, et je pourrais parfaitement vous venir en aide, avec la meilleure des volontés. »

      Quelque part à Rainbase

      Les bruits alertent un autre garde, Eutän étant en mission de patrouille. Les geôles alabastiennes ne sont pas du  5 étoiles, pour autant, il y a bien pire. Ici, c'est peut-être poussiéreux, mais il y a de la lumière, de l'air circulant et surtout, il n'y a ni rat ni insecte. On traite les prisonniers avec peu de respect – le pays pratique l’esclavage, rappelons-le-nous – mais jamais inhumanité.

      - « Qu'est-ce... Oh... » Le garde hésite. Eutän lui a parlé d'un prisonnier invisible. Étonnement que les menottes de granit marin n'aient pas ôter ce voile. C'est peut-être une malédiction ? L'un dans l'autre, il faut faire attention au « petit gars » qui se trouve là. Il a quelque chose de bizarre, ça ne tourne pas rond. Eutän souhaite l'interroger plus en avant à son retour de patrouille. Mais là, il semble être malade, l'homme invisible.

      - « Euh, ça va ? Je veux dire, si vous êtes malade, il faut qu'on te voit. Sinon, on ne peut rien pour toi... »

        La conversation prend une tout autre tournure quand j'entends le nom d'Alheiri. Si je le connais ? Oui, à cause de lui que j'ai une prime sur la tête, rencontré deux fois sur les blues, tenace adversaire. Et me mesurer à lui ne me réjouis pas sachant quel est mon but...

        - Voyez vous Mr le Prince, Alheiri est dans la marine et m'attaquer à lui serait contre-productif pour mon projet.

        Je m'arrête un instant après avoir marcher quelques pas, déposant le verre de vin sur le bureau. Observant alors par la fenêtre, cette bourrasque de sable s'éloigner vers l'horizon. Je reprends la discussion après avoir analyser en détails chaque mot de mon interlocuteur.

        - Pour la destruction partielle de la ville Eramulu, considérez cela comme déjà fait. Mais je ne m'engagerai pas dans un combat avec la marine, car je bosse avec le gouvernement... Ce serait mal vu pour un candidat comme moi, j'espère que vous comprendrez.

        J'attends sa réponse puis j'exécuterai le plan.

        Redevenant alors invisible, je brise la fenêtre de la garde du katana et m'envole vers l'est. Direction Eramulu...

          Tss, il peut pas rentrer pour m'enlever ce menottes, faut vraiment que je fasse tout par moi même. Par chance, ce n'est pas Eutän, et il à l'air assez crédule, une maladie? Pourquoi pas, ça m'arrange même.
          Je tousse au goût acre du vomi me brûlant encore la gorge, à l'avenir, j'éviterai de faire ce genre de chose. Je profite alors de sa présence pour faire les pauvres victimes innocentes et pour couronner le tout, rien de tel qu'une petite fille faible:

          J... j'ai froid, je ... je me sent faible... ces menotte sont lourdes... qu'est-ce qui m'arrive, j'ai des vertiges...

          Rien de tel qu'une sensation de froid dans une telle chaleur pour apeurer ma victime.

          Pourquoi tout le monde me déteste comme ça... -je tousse- Qu'ai je fait à ce monde?

          Et maintenant, la dépression:

          Ma famille m'a abandonné, mes amis sont tous mort et cela fait 3 ans que je ère dans les rues... -laissant couler quelques larmes et toussant à nouveau- Je n'ai plus rien à mangé... et ce matin quand j'ai senti la nourriture en ville, j'ai été tenté à volé un pauvre homme dans la rue, il m'a arrêté pour acte de vol et m'a enfermé ici...De plus... il y a quelque jour je me suis réveillée invisible sans savoir pour quelle raison, bouhouhou Fondre en larme J'ai envi de mourir...

          Avec tout ça, il ne peut pas me laisser dans cet état.
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          Palais du gouverneur de Nanohana

          - « Votre projet, hum ? Un candidat ? Retrouver Matsuya dit Envy.... » Le prince voit très bien où tu veux en venir maintenant. Tu lui as donné trop d'indices, et il sait désormais exactement ce que tu veux, et pourquoi tu veux. En soi, ça ne pose aucun problème, mais tu ne peux pas t'empêcher de sentir un courant froid te remonter le dos. C'est une mauvaise idée, que de faire affaire avec un sournois quand on n'a plus toutes les cartes en main.

          - « Ne détruisez pas toute la ville non plus. Et si possible, évitez de tuer des civils. Attaquez-vous donc aux villas des riches. Non seulement ça sera normal, mais en plus, ça s'inscrira parfaitement dans la grogne contre mon frère. » Il n'en pense pas moins qu'Alheïri devrait venir mettre son nez dans l'histoire, surtout si une mouche devait venir cafarder une information au creux de son oreille. « Je vais faire le nécessaire pour que tout soit prêt à votre retour. Mais utilisez donc un chemin normal s'il vous plait... et ne cassez plus de fenêtre, elles s'ouvrent très bien !! »
          Mais ces derniers mots sont emportés par le vent, et de toutes les façons, tu sembles peu te soucier des problèmes de carreaux.

          Eramulu est là, ville trapue et tapie dans son coin de désert, ni moche ni pouilleuse, mais certainement pas belle et opulente. Tu devines rapidement où est le beau quartier, qui entoure un palais bien moins ostentatoire que celui dont tu viens. Quelque part ici, Fenyang a la réponse à pas mal de tes questions. Et tu as aussi ta part du marché à faire.

          Prison de quartier de Rainbase

          Le garde est peu ému. Il en a vu, des cas, dans sa prison. Alabasta est un royaume riche, qui n'ignore rien de la pauvreté. Des malandrins, il y en a un certain nombre dans les rues, sans compter les nomades du désert. Et puis, il y a les pirates venus d'ailleurs. Et comme tu n'as pas l'accent du coin, le garde ne sait pas trop où tu mettre, si ce n'est dans la catégorie « à problèmes ».
          - « Bien sûr que les menottes sont lourdes. C'est du granit marin. On ne savait pas trop ce que tu étais, donc on a fait large. Apparemment, tu as un fruit du démon, et c'est pour ça que tu es si faible. Par contre, ne nous prends pas pour des idiots. Ça ne fait pas 3 ans que tu es ici, et ce que tu étais avant ne nous intéresse pas. Si tu avais faim, tu avais d'autres moyens de te débrouiller que voler. Et t'en prendre, à répétition, à un garde. Quant à tes problèmes, je vais te dire, chacun les siens. Moi, j'ai une belle-mère qui pue l'oignon et un gosse qui veut devenir chanteur. Par contre, devenir invisible, ça... Tu faisais quoi, avant ça ? Tu as touché un bijou particulier ? Tu as pillé une tombe ? Pourquoi es-tu venu à Alabasta, pirate ? Quels crimes as-tu commis sur notre sol ? Si tu te montres coopératif, on va pouvoir s'entendre. Sinon, tu restes silencieux, et si tu meurs, dis-toi bien que ça ne nous fait ni chaud ni froid. Ce n'était pas comme si on pouvait te voir, hein ? »

          Eutän était plutôt gentil. Ce nouveau PNJ, beaucoup moins. D'ailleurs, il n'a pas de nom, ça prouve bien que dans l'histoire, il n'est pas là pour rester de façon héroïque...
            *Tss, putains de garde alabastien, vous pouvez pas être con des fois. Tant pis, va falloir trouver une autre méthode... *
            Me triturant le crâne à chercher une autre échappatoire, le garde continue son monologue.
            Rha, ça m'agace d'être aussi impuissant, en plus de un il m'énerve plus que Eutän mais en plus de ça il fallait que ça voix soit aussi merdique, autant de son accent pourri d'alabastien très prononcé que de l'intonation prise ou encore du simple son résonnant tel le grincement d'ongle sur un tableau à craie. - Brrr, affreux -

            Bon, à ce que je vois tu est aussi crédule qu'un suricate, t'es vraiment pas marrant. On plutôt, tu m'es inutile devrais-je dire. De un, vois tu, t'es histoires familiale m'intéressent autant que de me faire arracher mes dents, de deux ta voix me saoule au delà des mots et enfin, j'en ai ras le cul de voir des gens qui on me tous des gueules chelou, mais regarde toi mec, Eutän c'est l'hippopotame et toi t'es l'oiseau qui lui cure les dents. Hé vieux, faut te nourrir toi, arrête de te faire piquer tes repas par Eutän, tu va dépérir.

            Rha la la, je veux bien être gentil, mais quand faut que ça sorte, faut que ça sorte. Bon, après, j'espère que ça ne l'a pas trop énervé, après tout, faudrai pas qu'il se barre et me laisse à mon sort.

            - Soupir - sinon le cure-dent, tu sert à quoi à part m'emmerder...

            Soudain, tel un éclair pourfendant le ciel, illuminations, pourquoi je n'y ai pas pensé, je l'ai pourtant fait sans le vouloir, il n'y a qu'une solution avec ce genre de type, chercher la merde, et par chance, je me trouve à l'intérieur d'un expert. Le seul problème, c'est de le réveiller.
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            Prison de quartier de Rainbase

            Le seul problème, c'est de TE réveiller. Tu ne sais pas pourquoi, mais tu as très mal à la tête. Pourtant, tu ne te rappelles pas avoir bu, et encore moins assez pour te taper une gueule de bois aussi intense. Ah, il faut te faire à l'évidence, tu as mal, et uniquement mal. Et si tu as mal, aux dents, aux bras, au ventre, un peu partout, c'est parce qu'on t'a passé à tabac, et pas qu'un peu. Tu as une épaule démise, plusieurs côtes pétées, peut-être même un poumon perforé. Et vu comment tes ta cheville est enflée, elle est plus que foulée.

            Tu as perdu plusieurs dents, et si c'est noir autout de toi, ce n'est pas parce que tu es inconscient, c'est parce que tes yeux sont tellement gonflés que tu ne peux pas ouvrir les paupières. Enfin si, tu peux, mais ça ne fait pas une grande différence. En plus le soleil éclatant t'éblouit. Et le vent chaud te ramène du sable par poignée, en plein dans la tronche. Et c'est comme du sel, à s'incruster dans tes plaies, la moindre des entailles qui constellent ton corps. Et ce vent, il n'est pas chaud. Il est brûlant et tout autant poisseux. Il se colle à toi et aspire ton eau.
            Tu n'as plus de menotte, tu n'es plus invisible, tu n'es plus en prison. Ça pourrait être bien, si tu n'étais pas laissé en plein milieu du désert, avec des dunes à perte de vue et la mort à l'horizon.

            A trop ouvrir sans grande gueule, on se la fait massacrer.
            C'est peut-être ça, le goût de la liberté...
              Bon, ce n'était pas vraiment ce que j'avait prévu... Quelle chance que je ne ressente pas la douleur physique. Le truc, c'est que c'est Keel qui va déguster... bien fait pour lui, il avait qu'à pas se mettre dans une telle merde. C'est à ce moment là que Keel se réveille:

              HouaaaaAÏE PUTAIN CON c'est pas agréable le sol d'une pris-ouaaaah sa mère on est sorti. WAÏE! BORDEL CA FAIT MAL PUTAIN!!!!

               Il observe alors les multiples lésions se trouvant sur tout son corps:

              What? Chui somnambule maintenant? Je me fait mal tout seul. Washa... ça devient grave là.

              *La chose qui est grave la, c'est ta situation*

              Ben Quoi?

              *Vieux! Tu te rends compte qu'on est en plein milieu du désert et qu'il n'y a absolument rien aux alentours?*

              Ouai, c'est comme une grande plage quoi, sauf que...bah y a pas d'eau.

               Même dans la pire des situation possible, un crétin reste un crétin, donc Keel reste... ...indéfinissable. Keel tente, tant bien que mal, de se relever. Par chance, ses poumons ne sont pas perforés et ce ne sont que ses dent de sagesse qui ont volée. La cheville foulée et la tête au carré, Keel continue néanmoins à ne penser qu'à une seule chose:

              Il faut que je retrouve Luka, elle est en grave danger sur une île aussi sableuse.

               Mettant de côté son instinct de bouffeur premier du nom, chose m'impressionnant énormément, il s'obstine à rechercher un pauvre petite fille perdu n'importe où, alors qu'il est lui même perdu au milieu de nulle part.
              Par chance, le "sort" d'invisibilité que Mizukawa nous avait mis s'est évaporé, cela rend déjà les recherches plus simple, mais celles-ci restent malgré tout très ardue voire quasi impossible sur une si grande surface.
              Keel ramasse alors ses affaires, éparpillée un peu partout dans le sables puis vérifie quand même la validité de son pouvoir. Il attrape un bâton dans son sac et l'embrase aussitôt.

              Nickel. Rha ces putain de menottes, si j'avait pu les casser ces saloperies.

               Ses poignés sont en effet marqués d'une trace rouge tout autour.

              Et pour couronner le tout, ces crétins de soldat de mes deux savaient même pas choisir la taille des menottes, j'espère que ces traces partirons facilement...

              Après cela, le silence prône pendant un certain temps de marche. Mon hôte boite et souffre, il sent sa 6éme côte droite en partant du haut bouger et cela lui procure un mal de chien, mais il ne veut pas abandonner pour si peu, qui sait, sa pauvre petite Luka est surement recroquevillée sur elle même attendant désespérément qu'on vienne la chercher.

              Luka, attend moi, j'arrive.
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