Un crissement, un nuage de vapeur, la respiration de la machine, les trains se mettent en branle. Deux monstres d’acier surmonté de la gueule de cent canons. Une création grotesque, un train surarmé et blindé qui roule sur la mer. La base a morflé, elle a perdu ses canons et une partie de son mur. La flotte des pirates approche menaçante prête à envahir la base et refroidir tous les marins qu’ils croiseront. C’est en cet instant, où les pirates baissent imperceptiblement leur garde pensant achever une créature blessée, que les trains rentrent en scène. Avançant à une vitesse prodigieuse les deux trains arrivent de l’est et l’ouest, prenant la flotte en tenaille. Alors les canons déchargent un enfer de poudre et d’acier. Une tactique vieille comme le monde mais efficace. Après tout ne dit pas t’on que la voie la plus directe pour le cœur d’une femme c’est une balle de gros calibre ? L’attaque commence par les flancs, continuant leur course, les chevaux d’acier pilonneront l’arrière de la flotte sans que celle-ci puisse vraiment se défendre. Ils peuvent détruire les rails, mais cela ne servira à rien, ils s’exposeront juste plus au danger.
Tandis que moi ? Bah j’ai été pas mal trimbalé par la folle à la hache, j’étais déjà plus tellement frais en arrivant au G5, mais la je suis plus trop en état. Des soldats se sont joint à la bagarre, mais bon au plus elle mange au plus elle semble vénère. Mais bon soyons positif, j’ai une belle vue maintenant. Y’avait un mur un peu moche à ma droite maintenant y’en a plus et je vois le ciel. Bon seul bémol, y’a aussi des navires pas gentils sur la mer et ils vont pas hésiter à nous avoiner. J’ai même failli me manger un bout du dit-mur, il m’a surtout séparé de la tarée. Mais bon je dois avouer que je dois plus ma survie à la chance qu’autre chose la. La chute de débris a amené un nuage de poussière qui m’a aveuglé pendant quelque temps. Le hasard à voulu que sentant une démangeaison à la frontière de mon subconscient me conseille de faire un pas sur le coté et de tendre mon sabre. Bien m’en fut, la folle s’est empalée sur ma lame avant de me projeter hors du nuage d’un coup rageur.
Donc la, juché sur un débris, m’appuyant sur un fusil comme une canne, je le regarde approche, elle est pas en meilleur état que moi. Elle a récolté une série d’orifice saignant, mais pas de ceux qui se réveillent une fois de temps en temps. Elle continue sa marche vers moi indifférente de ses blessures, c’est une bête. Moi j’ai au moins pris le temps de m’improviser des bandages avec mes vêtements déchirés et de me faire une attelle pour ma jambe avec mon fourreau, mais bon, ça me tient juste debout. Je fais tourner ma lame de ma main valide et projette une double attaque contre mon adversaire. Tranchant la pire de « Same Kosho » je lui projettes des débris acérés au visage pour compléter ma lame d’air. L’attaque ne la fait pas ralentir au contraire. Je tenterai bien de me tirer pour la vaincre à l’usure, mais avec une patte folle ça sera pas possible. Bon il me reste toujours un atout sous le coude, mais l’utiliser nuirait à mon image de marque.
Tandis que moi ? Bah j’ai été pas mal trimbalé par la folle à la hache, j’étais déjà plus tellement frais en arrivant au G5, mais la je suis plus trop en état. Des soldats se sont joint à la bagarre, mais bon au plus elle mange au plus elle semble vénère. Mais bon soyons positif, j’ai une belle vue maintenant. Y’avait un mur un peu moche à ma droite maintenant y’en a plus et je vois le ciel. Bon seul bémol, y’a aussi des navires pas gentils sur la mer et ils vont pas hésiter à nous avoiner. J’ai même failli me manger un bout du dit-mur, il m’a surtout séparé de la tarée. Mais bon je dois avouer que je dois plus ma survie à la chance qu’autre chose la. La chute de débris a amené un nuage de poussière qui m’a aveuglé pendant quelque temps. Le hasard à voulu que sentant une démangeaison à la frontière de mon subconscient me conseille de faire un pas sur le coté et de tendre mon sabre. Bien m’en fut, la folle s’est empalée sur ma lame avant de me projeter hors du nuage d’un coup rageur.
Donc la, juché sur un débris, m’appuyant sur un fusil comme une canne, je le regarde approche, elle est pas en meilleur état que moi. Elle a récolté une série d’orifice saignant, mais pas de ceux qui se réveillent une fois de temps en temps. Elle continue sa marche vers moi indifférente de ses blessures, c’est une bête. Moi j’ai au moins pris le temps de m’improviser des bandages avec mes vêtements déchirés et de me faire une attelle pour ma jambe avec mon fourreau, mais bon, ça me tient juste debout. Je fais tourner ma lame de ma main valide et projette une double attaque contre mon adversaire. Tranchant la pire de « Same Kosho » je lui projettes des débris acérés au visage pour compléter ma lame d’air. L’attaque ne la fait pas ralentir au contraire. Je tenterai bien de me tirer pour la vaincre à l’usure, mais avec une patte folle ça sera pas possible. Bon il me reste toujours un atout sous le coude, mais l’utiliser nuirait à mon image de marque.