Rappel du premier message :
Convois 2 : Bullets for Valentine
-Amiral !
-Oui commandant ?
-Rapport du Foudre de la lieutenante colonel Fenyang, la mer semble libre de tous navire mais une tempête menace. Elle nous recommande de quitter le voisinage de Dead End au plus vite pour pouvoir l'affronter en haute mer.
-Et somme nous prêts au départ ?
-Oui Amiral !
-Alors signalez a Monsieur Sans Honneur que nous prenons le large, et informez le Vigilant que nous prenons la tête de l'escadre.
-A vos ordres amiral !
Confortablement installé dans le salon de sa cabine, le Vice Amiral Fuku Teitoku n'a guère la tête à la manœuvre de routine qui se déroule à l'extérieur. Pour lui, ce convoi n'est jamais qu'une péripétie mineure qui l'a un temps retardé sur la route de Marijoa et du grand gala de la marine qui va s'y dérouler le mois prochain. Un gala qu'il est hors de question de louper au vu du temps qu'il a passé a préparer la tenue qu'il portera la bas. Un uniforme personnalisé, comportant tout les éléments rendus obligatoires par le régalement tout en étant furieusement à la mode. De quoi faire frémir les vieux grisons de l'amirauté tout en s'attirant l'admiration de tous les jeunes officiers de la ville. Ou en tout cas de ceux ayant assez de gout pour apprécier la mode...
Et pendant que les deux cuirassés sous le commandement du Vice Amiral quittent l'un dernier l'autre le port de Dead End pour se diriger vers le large et le grain qui s'y prépare et commence a boucher l'horizon, le vice amiral se replonge dans son hobby préféré, et entreprend de feuilleter avec minutie la dernière gazette de mode de Marijoa, à la recherche des tendances qui marcheront demain, et de celles qu'il faudra a tout prix éviter de porter pour rester à la page... Parfaitement indifférent au sort funeste que réserve l’arrivée à Marijoa aux passagers qu'il transporte, soigneusement mis aux fers à fond de cale. Mach, Perry et Sysiphe, trois pirates dont le seul tort à été de déplaire au maitre de l'ile sur laquelle ils séjournaient. Et dont la seule perspective d'avenir est maintenant de mourir noyé en mer plutôt que pendu sur un quai de la capitale.
Convois 2 : Bullets for Valentine
-Amiral !
-Oui commandant ?
-Rapport du Foudre de la lieutenante colonel Fenyang, la mer semble libre de tous navire mais une tempête menace. Elle nous recommande de quitter le voisinage de Dead End au plus vite pour pouvoir l'affronter en haute mer.
-Et somme nous prêts au départ ?
-Oui Amiral !
-Alors signalez a Monsieur Sans Honneur que nous prenons le large, et informez le Vigilant que nous prenons la tête de l'escadre.
-A vos ordres amiral !
Confortablement installé dans le salon de sa cabine, le Vice Amiral Fuku Teitoku n'a guère la tête à la manœuvre de routine qui se déroule à l'extérieur. Pour lui, ce convoi n'est jamais qu'une péripétie mineure qui l'a un temps retardé sur la route de Marijoa et du grand gala de la marine qui va s'y dérouler le mois prochain. Un gala qu'il est hors de question de louper au vu du temps qu'il a passé a préparer la tenue qu'il portera la bas. Un uniforme personnalisé, comportant tout les éléments rendus obligatoires par le régalement tout en étant furieusement à la mode. De quoi faire frémir les vieux grisons de l'amirauté tout en s'attirant l'admiration de tous les jeunes officiers de la ville. Ou en tout cas de ceux ayant assez de gout pour apprécier la mode...
Et pendant que les deux cuirassés sous le commandement du Vice Amiral quittent l'un dernier l'autre le port de Dead End pour se diriger vers le large et le grain qui s'y prépare et commence a boucher l'horizon, le vice amiral se replonge dans son hobby préféré, et entreprend de feuilleter avec minutie la dernière gazette de mode de Marijoa, à la recherche des tendances qui marcheront demain, et de celles qu'il faudra a tout prix éviter de porter pour rester à la page... Parfaitement indifférent au sort funeste que réserve l’arrivée à Marijoa aux passagers qu'il transporte, soigneusement mis aux fers à fond de cale. Mach, Perry et Sysiphe, trois pirates dont le seul tort à été de déplaire au maitre de l'ile sur laquelle ils séjournaient. Et dont la seule perspective d'avenir est maintenant de mourir noyé en mer plutôt que pendu sur un quai de la capitale.