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L'ingénierie au service de tous - Ashlinn Widdershins [Terminée]

Ashlinn “Ash” Widdershins

Age : 26 ans
Sexe : Femme
Race : Humaine
Métier : Ingénieur, et sur un bateau en qualité de timonière/navigatrice
Groupe : Marine

But : Nous recherchons des traces de notre sœurs disparus lorsqu’elle avait 6 ans, nous voulons intégrer la brigade scientifique et devenir Vegapunk

Équipement : Nous avons construits deux gantelets qui décuplent notre force lors des combats. Nous possédons aussi un bagage avec le nécessaire, une photo de notre père et de feu notre mère, des outils variés pour entretenir nos inventions.
Parrain : Personne
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
Si oui, quel @ l'a autorisé ?
Codes du règlement :

Description physique

Nous sommes belle, indéniablement. Enfin, il serait de bon ton de dire que nous nous plaisons et que nous ne changerions en rien l’image que nous renvoyons. Mais cela ne concerne que notre avis. D’aucuns pourraient nous reprocher notre dégaine sortant de l’ordinaire.

À commencer par notre coupe de cheveux rose bonbon peu conventionnel. La partie gauche de notre crâne est rasée de près tandis que le reste est aménagé en une mèche nous barrant le front et retombant presque sur notre épaule. Une autre longueur à l’arrière, regroupé en rasta, est nouée au-dessus de notre nuque, ce qui laisse nos tresses arrivées en dessous de nos omoplates.

Notre visage se compose également d’yeux bleus profonds, contrastant bien avec notre spécificité capillaire. Divers piercings demeurent visibles sur notre tête. Notamment, deux manchettes d’oreille sur celle de gauche, un anneau à la narine du même côté, trois pics d’un demi-pouce sur le cartilage du pavillon de droite.

Nous possédons plusieurs tatouages, en particulier le « VI » sous notre pupille gauche, qui représente l’âge auquel notre sœur a disparu. Une subtile manière de lui rendre hommage. Des engrenages, pistons et rouages figurent sur notre cou, notre dos et l’arrière de nos bras, retranscription de notre plan pour l’exosquelette de notre invention, rapport à notre passion de l’ingénierie et de la science.

Nous ne sommes ni une des plus grandes perches du monde ni une des plus petites. Une taille idéale pour nous, 1,75 m. Svelte, nous ne brions pas par notre musculature impressionnante. Sans nos gantelets, nous ne sommes pas faible pour autant. Notre rapidité et agilité compensent notre force. Pourtant, notre véritable potentiel ne se révèle que lorsque nous nous équipons de nos poings mécaniques. Une puissance écrasante nous est attribuée par ces bijoux et nous broyons une kyrielle d’adversaires sur notre passage.

Nous ne machons pas nos mots. Ainsi, nous sommes capable de converser de façon très réfléchie, avec un niveau très riche. Pourtant, la plupart du temps, nous disons franchement ce que nous pensons, sans prendre de détour. Le seul tic que nous possédons dans notre langage, c'est la manie de nous faire référence à la première du pluriel. Pour le reste, nous pouvons dire que vous le subirez quoi qu'il arrive.

Notre façon de nous habiller dépend beaucoup de la situation. Dans le civil, quand aucun danger ne vient nous chercher, nous arborons des vêtements des plus communs, bien que nous conférant un style certain. Des lunettes de soudure sont en permanence vissé sur notre tête. Une courte veste en cuir rouge, nous arrivant au nombril et affublé d’une capuche, surmonte un débardeur blanc qui couvre une chemise noire sans manches.

En guise de pantalon, nous avons opté pour du lin à rayures clair et sombre. Une sous-ventrière en « V » matelassée le retient sur nos hanches où une double ceinture la couronne et tombe sur notre flanc. Des lanières de cuir consolident notre genou droit, tandis que le gauche est gainé par des bandes, résultat d’une vieille blessure, mais qui ne nous embarrassait pas dans nos déplacements. Une paire de bottes rafistolées et personnalisées complète notre allure. Nous apparaissons plus rebelle que féminine dans cette tenue.

Quand le combat s’annonce, nous nous équipons en conséquence. Notre mise est constituée de la même veste en cuir et du même pantalon qu’à l’accoutumée. Mais nous revêtons un serre-taille renforcé à volant sur le côté droit ainsi qu’une armure de notre composition sur notre poitrine, la laissant un peu plus à la vue de tous, à la place de notre débardeur. Des plaques de protection métalliques par-dessus nos cuisses et des jambières dans un acier des plus solides prémunissent nos tibias de toutes agressions.

Nous nous parons aussi un exosquelette dans notre dos, sur nos épaules et courant sur nos bras, conférant à ces derniers une résistance notable. La partie arrière représente le point névralgique de notre art martial. Un moteur à charbon, relié par des tuyaux à nos gantelets, les alimente en énergie continuellement.

En parlant d’eux, nous pouvons dire qu’ils sont notre plus grande création à ce jour. Fleuron d’une technologie qui nous est propre, nous les avons pensés dans le moindre détail. Pistons et engrenages se marient dans un enchevêtrement complexe et sensible. Ils sont capables de reproduire nos gestes naturels à la perfection. Quand nous refermons les poings, d’une simple pression sur des boutons internes, leurs pleins potentiels sont déployés.

Description psychologique

Commençons par notre défaut majeur, et en même temps notre plus belle force, nous sommes imbue de nous même. Origine de notre manière de nous référencer. Attention, nous savons pertinemment qu’en cet instant, au début de notre vie, il y a bien meilleur que nous en ce monde. Cependant, à terme, nous siégerons au sommet, à un poste prestigieux, aux côtés des plus grands. C’est une certitude.

Nous avons une confiance aveugle en nos capacités techniques et scientifiques. Nous apprenons sur le tas, nous apprenons vite et nous n’avons pas peur de nous tromper. Certes, nos connaissances se révèlent imparfaites à ce jour, mais nous sommes assurée qu’elles se compléteront avec le temps. Nous nous intéressons à tout. Le monde est rempli de tant de possibilités, de tant de cultures différentes, de tant de choses à voir. Nous aimerions en découvrir davantage pour étoffer nos idées et notre savoir.

Justement, l’ingénierie et la science restent deux de nos plus grands moteurs dans la vie. Lors de nos temps libres, nous avons souvent un livre à la main ou des outils pour bidouiller des inventions farfelues ou innovantes.

En deuxième lieu, le combat nous anime également. Héritage de notre père qui y voit l’expression la plus pure des facultés physiques du corps. Nous n’hésitons pas à aller au front, voire nous le réclamons, par moment. Pourtant, bien que nous savons nous battre grâce à l’instruction de notre vieux, nous avons aussi nos imperfections dans cet art. Notre impulsivité, notre côté tête brûlée nous mettent souvent dans des positions tendues dans un combat. Malgré notre condition physique « normale », contrebalancer par nos gantelets, nous faisons montre d’une ténacité certaine.

Ce que nous ne supportons pas en ce monde, c'est l'injustice et l'inaction. La perte de notre sœur chérie, dans notre prime adolescence, nous a laissé un goût amer dans la bouche concernant l'efficacité des forces de marines. Ainsi, nous avons décidé de le changer de l'intérieur, de mettre à profit notre ingéniosité pour améliorer les capacités techniques et le champ d’intervention des soldats.

Notre tempérament impétueux et nos centres d'intérêt nous ont rendue malencontreusement solitaire, et ce n'est pas pour nous déplaire. Pourtant, nous ne refusons pas l'amitié quand elle vient. Nous pouvons être loyale et attentionnée tant qu'on ne nous place pas des bâtons dans les roues ou qu'on ne se joue pas de nous.

Biographie

Notre histoire commença sur l’île du karaté dans la douleur, comme toutes les naissances, me lanceriez-vous. Mais la nôtre se caractérisa par une déchirure, une perte immense dont nous ne prîmes pas conscience immédiatement. Notre mère mourut en couche. Semblait-il, le travail s’était révélé trop épuisant, avec des complications certaines.

Il ne resta donc plus que notre père pour nous élever. C’était un homme bourru, mais aimant. Il faisait simplement de son mieux. Les premières années de notre vie ne furent pas des plus trépidantes. Enfin, d’un point de vue strictement enfantin, elles avaient été emplies d’aventures palpitantes. Sous couvert d’exploration de forêt de bambou ou d’imitation de quelque ninja quand notre père demandait de la discrétion lors de ses entraînements, nous nous amusions comme une folle.

Car oui, comme beaucoup d’hommes et de femmes sur l’île, notre géniteur était féru d’arts martiaux. Alors, quand il ne s’occupait pas de nous, il prodiguait sa science à des novices en quête de savoir, ou s’instruisait lui-même auprès de maîtres plus réputés que lui. Avec les années passantes, nous n’avions que du respect pour lui et pour son comportement. Toutefois, à l’aulne de nos 4 ans, nous n’y comprenions pas grand-chose.  

D’ailleurs, vers nos 8 ans, il considéra que le temps était venu pour commencer notre formation. Bien que réceptive à ses enseignements, préférant les enchaînements de coups de poing à toute autre forme de combat, cette philosophie de vie ne nous convenait pas sur le long terme pourtant. Elle soulageait, néanmoins, une trop grosse colère qui naissait en nous. Peut-être était-ce dû au manque de notre mère, ou à l’absence d’une figure maternelle.

Non, notre véritable passion s’imposa à nous vers nos dix ans. Lorsqu’un colporteur venu vendre ses breloques au village où nous habitions exposa un objet incongru. Pour nous qui n’avions jamais aperçu le moindre engin mécanique, voir cet automate inanimé se mouvoir après avoir été remonté par le marchand nous émerveilla. Observer ces rouages, ces pistons, ces engrenages se mettre en branle, cela possédait un côté magique. Ainsi, avec le peu de berry économisés, nous acquîmes auprès de lui quelques outils rudimentaires et une poignée de matériaux.  

En cachette de notre père, nous bricolâmes divers objets aussi farfelus les uns que les autres. Au début, nous n’y saisissions rien et rien ne s’anima. Mais là où l’échec se trouvait, la compréhension et la persévérance suivaient. À force de persistance, notre première machine fonctionna enfin. Une réalisation simple, un réveil tout droit sorti d’un tube en verre recyclé et aux engrenages apparents. Nous étions particulièrement fière du résultat.

Pendant les quelques mois qui succédèrent, nous fîmes de plus en plus d’inventions complexes. Si bien que nos nuits s’écourtèrent, que notre implication dans les arts que nous inculquait notre père diminua. Ce qui éveilla ses soupçons. Et évidemment, il trouva notre repère. A onze ans, nous n’étions pas aussi maligne que nous le sommes actuellement. Mais, au lieu des remontrances que nous nous attendions à recevoir, il s’intéressa à notre passion, posa d’innombrables questions. Et une fois sa soif comblée, il nous laissa là.

Nous restâmes dans l’incertitude deux jours entiers. Deux jours où nous ne l’aperçûmes presque pas. Au troisième jour, il revint vers nous, une apparente morgue dans les yeux. Il nous avait trouvé un maître en ingénierie, ici sur l’île. Sa seule condition pour que nous puissions nous instruire auprès d’elle était que nous ne devions pas arrêter les arts martiaux, choisir un dojo et que notre passion ne devait aucunement entraver nos entraînements quotidiens.

Sautant évidemment sur l’occasion, avec l’approbation de notre père que nous ne pensions jamais obtenir, nous apprîmes rapidement à concilier les deux. Nous adoptâmes un dojo enseignant la boxe, ainsi que l’exigeait notre père. Un jour sur deux, nous alternions les deux aspects de notre vie. Nous évoluions vite sous la coupe de nos maîtres. La science et l’ingénierie nous venaient facilement. Avec l’expérience, un simple regard sur ce que faisait notre maîtresse, devenue par la force des choses notre figure maternelle, nous apparaissait comme limpide.

L’année suivante, notre existence fut à nouveau bouleversée. Notre père recueillit un bébé. Une petite fille qui n’avait plus de parent à la conclusion d’une bataille au large des côtes de notre île. Au début, nous avions eu du mal à l’arrivée de cette nouvelle personne dans notre concon familiale. Mais les mois passèrent, et nous nous laissâmes attendrir, la considérant comme faisant partie intégrante de la maison.

Les hivers s’enchaînèrent, notre résidence s’anima de plus en plus des cris de joie de la gamine et le sourire ne nous quitta plus. Naomi, ainsi avait-elle été baptisée, était devenu le cœur de cette maison, ravivant un peu la morosité du quotidien qui s’était installé entre notre père et nous. Nous étions tous heureux, entre notre père qui dispensait ses cours, nous qui suivions nos enseignements avec nos différents maîtres et nous deux qui essayions d’élever Noami.

Mais notre bulle de bonheur n’était pas conçue pour durer. Un mois après le sixième anniversaire de celle que nous considérions comme notre petite sœur, au crépuscule de mes 23 ans, un drame survint. Alors que nous étions tous réunis pour une nuit à la belle étoile, à l’écart du village, pour l’entraînement de notre père, des malfrats s’en sont pris à elle. En surnombre, nous en combattîmes et mis à terre certains, au prix de notre vie. Mais rien n’y fit. Qu’importe nos efforts, les bougres finirent par venir à bout de notre ténacité, nous arrachant la petite Naomi.

Les choses ne firent plus jamais les mêmes à la suite de cet évènement. Mon père, victime d’une nouvelle perte dans son existence, devint chaque jour un peu plus apathique. Quant à nous, la rage bouillonnante qui s’était estompée avec Naomi éclata de plus belle en un feu inextinguible. L’inefficacité de la marine ici en garnison, de notre propre force défaillante et des recherches infructueuses sur les îles voisines nous anima d’un but inédit.

Il fallait que les choses changent. Par notre ingéniosité, nous modifierons la marine de l’intérieur, la rendant bien plus fiable. Par notre savoir, nous ne faillirons plus à cause de notre apparente. Et en naviguant par le monde, nous posséderions plus de chance de retrouver Naomi. Notre destin n’était pas ici, plus maintenant. Mais, en l’état, nous ne pouvions partir. Alors pendant trois ans, nous travaillâmes sur ce qui serait notre chef-d’œuvre pendant longtemps tout en étant un support certain pour le moral de notre père.

Tandis que nous le remîmes sur le chemin des tournois martiaux, nous nous acharnâmes avec le concours de notre maître sur la création de nos gantelets de combat ainsi que le moteur-exosquelette dorsal qui leur fournissait de l’énergie. Une besogne d’endurance, de test, de raté, de persévérance, mais qui fut couronnée de succès. Et pendant cette période une seule pensée nous rongeait : "qui avait bien pu enlever notre sœur ? Ses vrais parents, un gang de badauds sans foi ni loi ?". Après trois ans, ils étaient enfin prêts, nos gants. Symbole de la fin de notre noviciat, ils étaient la porte vers l’indépendance, et un pas de plus pour réaliser notre objectif. Notre maître nous parla également de l’existence d’une division spéciale de la marine, orienté vers les progrès scientifiques. Ce qui correspondait parfaitement. Alors, sans réfléchir, sans donner le choix à notre père, nous décidâmes de nous enrôler.

Pourtant, la fatalité nous réserva une dernière surprise. La veille de notre départ, nous tombâmes sur un chien abandonné sur le bord d’une plage aux seuils de l’agonie. D’instinct, ne pouvant rester sans réagir devant cette adversité, nous le ramenâmes auprès de notre maître. Il y avait un moyen de le sauver, le seul en vérité vu l’état dans lequel nous le trouvâmes. Il fallait en faire un cyborg. Un être moitié organique, moitié mécanique. Elle nous enseigna grossièrement ce qu’elle savait sur cet art, nous donna une kyrielle de livres traitant du sujet et nous déclara que cette expérience serait notre baptême du feu en tant qu’ingénieure émérite. Elle n'interviendrait nullement.

Une boucherie. Voilà un mot qui résumait bien ce que représentaient les heures à bidouiller l’animal. Plus d’une fois, la peur de le perdre sous nos doigts se manifesta en nous. Pourtant, au bout d'un âpre combat contre le temps lui-même, 3h durant à prélever, réorganiser et mécaniser l'intérieur totalement détruit de ce pauvre chien. Nous réussîmes à le sortir du pétrin. Son existence n'était plus menacée, mais pour autant, il restait encore beaucoup à faire pour qu'il soit complètement remis. Sa patte avant droite devait être intégralement reconstruite, idem pour une bonne partie de la zone orbitale droite. Son dos avait été amputé d'un gros morceau.

Comment pouvait-on laisser un animal dans un tel état ? Une pareille injustice nous fit bouillir de rage. Pendant l'année que réclama la réparation d'Électron, comme nous l'avions nommé, nous y pensions souvent. Même si jamais nous n'aurons la réponse. Un lien fort se créa entre nous deux. Il ne nous quittait plus, sans doute reconnaissant de l'aide que nous lui avons procurée. C'était une compagnie fort agréable et salvatrice.

Quand nous fûmes sûre que son état s'était stabilisé et qu'il était capable de se déplacer, nous reprîmes ce que nous avions mis en pause. Nous embarquâmes sur le prochain navire en direction de Koneashima. Paquetage sur le dos, nos deux gantelets accrochés aux hanches, Électron à nos côtés, notre vie en dehors de l'île du Karaté commençait enfin. Nous serions l'avenir de la marine scientifique, nous en étions convaincu.

Informations IRL

  • Votre prénom / pseudo : Un mec lambda
  • Êtes-vous majeur ? oui
  • Vous aimez / n'aimez pas : J’aime PAS les escaliers ; Pourquoi ? ; C’est un peu sa kryptonite (c’est juste pour la référence, les escaliers m’ont rien fait x’D)
  • Votre personnage préféré (de One Piece) : Euh
  • Vous vous définiriez comme : Geek, nerd, otaku…
  • Vous faites du RP depuis : J’écris depuis 13 ans en tant que romancier amateur, et je fais du rp depuis 2016
  • Vos disponibilités (approximatives) : Selon la semaine, mais plus ou moins tous les jours
  • Comment avez-vous connu le forum ? je l’ai connu il y a 5 ans via topsite, toujours inscrit avec l’autre compte xD Mais des membres m’ont convaincu de réessayer.


Dernière édition par Ashlinn Widdershins le Jeu 5 Mai 2022 - 4:26, édité 6 fois
  • https://www.onepiece-requiem.net/t24160-ashlinn-widdershins-fich
  • https://www.onepiece-requiem.net/t24104-l-ingenierie-au-service-de-tous-ashlinn-widdershins-terminee#253563
Salut Ashlinn o/

Tu en es ou ? Si tu as besoin d'un coup de main surtout n'hésite pas, et si tu as fini n'oublie pas de up le sujet pour le signaler

A bientôt
  • https://www.onepiece-requiem.net/t17349-red
  • https://www.onepiece-requiem.net/t2638-red-termine
Coucou Red !

Ma fiche avance un peu tous les jours, je te rassure. Il me reste un bon gros quart de ma bio et j'ai fini je dirais. Désolé si je prends trop de temps.

A bientôt sur les mers !
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Coucou ! Et encore bienvenue sur OPR !

Tu t'en doutes surement mais je suis là pour te valider ! L'ingénierie au service de tous - Ashlinn Widdershins [Terminée] 3966657152

Alors, déjà, je vais commencer par l'important, c'est une très bonne présentation. Au début j'étais dubitative sur l'utilisation de la première personne du pluriel, mais j'ai aimé que tu en fasses mention dans la psychologie. Ça donne vraiment une dimension plutôt hautaine au personnage, après tout on croire rarement des gens qui parle en "nous". Et souvent quand c'est utilisé dans les animes/film/autre, c'est toujours chez des gens de la haute société qui ont été éduqué avec une trop haute estime d'eux.

Et finalement, je dirai que c'est ça le point négatif de ta présentation : malgré le fait que tu dises dans ta présentation qu'Ashlinn a une haute estime d'elle pour parler de la sorte, finalement rien dans l'histoire ne le justifie. Elle est fille d'un maître de dojo de l'île du karaté, à finalement une enfance sans histoire, ne fait pas partie de la haute société, n'a pas croisé de noble pour lui apprendre à parler de la sorte... Bref, a mon sens, un tel tique de langage ne vient pas tout seul et n'est clairement pas anodin, j'aurai donc apprécié une explication la dessus, car c'est quand même quelque chose qui va être marquant dans tes RPs, et ça risque dans interpeller plus d'un.

Hormis ce point, bah j'ai pas grand chose à dire en vrai. La présentation se lit très bien, c'est fluide, j'ai juste relevé un petit "pour mes 23 ans" qui m'a fait sourire parce que je suppose que l'exercice du nous n'est pas forcément naturel au joueur derrière. Au niveau de l'histoire ça reste classique et sans gros gros rebondissement mis à part l'enlèvement de la sœur, et je trouve l'idée de vouloir intégrer la marine pour les faire se bouger les fesses intéressantes.

Pour Electron, je suppose que tu as vu avec Doppio avant de reprendre le concept de son reroll abandonné ? Si ce n'est pas le cas, peut être juste changer le nom qui était le sien, après un chien cyborg, c'est un chien cyborg. Faudra juste le poser en PNJ dans ta fiche, soit en mascotte soit en PNJ dépendant de tes dorikis, selon la puissance que tu veux lui mettre.

Et pareil, bien sûr, tu dois aller faire valider tes gants en invention, note que ça équivaudra surement à la capacité cyborg ce genre de technologie, même si ce ne sont pas des prothèses intégré à ton corps. Mais tout ça sera vu plus en détail en FT.

Bref, je m'arrête là, et te valide officiellement dans la marine. D'ailleurs, tu n'as pas mis le grade que tu voulais ni si tu souhaitais commencer directement dans la brigade scientifique.
Comme je te valide à 760 Dorikis tu peux être soldat ou ingénieur de la brigade scientifique, ou alors commencer dans la régulière ou l'élite... Je te laisse aller voir les différents grades ici : https://www.onepiece-requiem.net/t7479-3-groupes-du-forum#marine et mettre ton choix sur la FT pour qu'on te mette ton rang.

Il ne te reste qu'à aller poster ta fiche technique, renseigner les différentes cases de ton profil et passer dans le sujet de recensement d'avatar.


Peluuuuche et bon jeu sur OPR ! L'ingénierie au service de tous - Ashlinn Widdershins [Terminée] 1807881144


L'ingénierie au service de tous - Ashlinn Widdershins [Terminée] 1425067977-izya-sflagopr L'ingénierie au service de tous - Ashlinn Widdershins [Terminée] Zps1 L'ingénierie au service de tous - Ashlinn Widdershins [Terminée] 1lmh
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