Rappel du premier message :
Au centre de l'iceberg il n'y a plus âme qui vive dans la salle qui servait jusqu'ici de centre de commandement à la bataille en cours. La grande table est brisée, le sol jonchée de cadavres, et au centre de la pièce, une étrange plante à élu domicile, un bulbe violacé et difforme de plusieurs mètres de large, étrangement palpitant, une corolle béante et menaçante, des racines qui s'enfoncent dans l'iceberg tout autour de l'étrange bulbe, et qui sont autant d’extrémités au bouts de lesquelles se trouvent les monstrueuses têtes qui s'attaquent aux ennemis de Teach.
Et au centre de la plante, dans une sorte de cocon translucide, un corps martyrisé et blessé régénère lentement au fur et à mesure que les hydres avalent la vie d'innombrables ennemis pour soigner l’hôte de la plante.
Le Malvoulant est blessé, mais pas encore mort.
Et pendant qu'il se soigne, d'innombrables racines aussi souples et agiles que des serpents rampent vers les corps qui jonchent la salle, et un par un, les corps des pirates se relèvent, et entreprennent de se trainer vers les portes de la salle pour en interdire l’accès, et offrir à l'empereur ce dont il a maintenant besoin, du temps.
Au centre de l'iceberg il n'y a plus âme qui vive dans la salle qui servait jusqu'ici de centre de commandement à la bataille en cours. La grande table est brisée, le sol jonchée de cadavres, et au centre de la pièce, une étrange plante à élu domicile, un bulbe violacé et difforme de plusieurs mètres de large, étrangement palpitant, une corolle béante et menaçante, des racines qui s'enfoncent dans l'iceberg tout autour de l'étrange bulbe, et qui sont autant d’extrémités au bouts de lesquelles se trouvent les monstrueuses têtes qui s'attaquent aux ennemis de Teach.
Et au centre de la plante, dans une sorte de cocon translucide, un corps martyrisé et blessé régénère lentement au fur et à mesure que les hydres avalent la vie d'innombrables ennemis pour soigner l’hôte de la plante.
Le Malvoulant est blessé, mais pas encore mort.
Et pendant qu'il se soigne, d'innombrables racines aussi souples et agiles que des serpents rampent vers les corps qui jonchent la salle, et un par un, les corps des pirates se relèvent, et entreprennent de se trainer vers les portes de la salle pour en interdire l’accès, et offrir à l'empereur ce dont il a maintenant besoin, du temps.
TORESHKYYY !! P’TIT ZIZIIII !!