Rappel du premier message :
Shimotsuki, quel choc culturel pour l’argent Tarentule. Aucun mendiant, mais du labeur et de l’austérité absolument sur tous les visages. Est-ce le prix à payer pour chasser l’indigence ? Absence d’empathie, ennuie et morosité. Leur attachement à la tradition de l’arc et de l’épée donne une impression d’archaïsme burlesque. La jeune femme en a ri, mais sait, à présent, à quel endroit elle ne veut surtout pas finir sa vie. Elle est assez déçue d’avoir fait un tel voyage pour un tel cadre, mais son travail mérite bien ce sacrifice. Et puis, elle trouvera bien un moyen d’apprécier sa mission. Son déplacement dans cette île d’East Blue a été commandité par son nouveau chef d’équipe du Cipher Pol 4. Ce n’est qu’une simple prise de température, d’une durée de quelques jours, à cause de quelques rumeurs de trafics d’armes qui impliqueraient des petits grades de la Marine.
L’agent adopte sa tenue classique. Il est préférable de jouer les touristes dans un milieu aussi différent de ses inclinaisons. Débarquant, seule la Colonel de la 9e Brigade sait qu’un agent du CP interviendra, il lui a été demandé de faciliter son accès à certaines informations. Son exemplarité induit une certaine confiance, mais, en réalité, cette technique est courante au CP 4 pour déceler une éventuelle dissidence dans le haut du panier. L’agent Tarentule est presque envoyé comme un appât à ce stade. Mais cela ne la dérange pas, on l’envoie collecter des preuves et des commentaires, elle fera du zèle et bien plus ! Ainsi, la blonde ne compte pas se présenter à la Colonel Hawk tant que ces recherches personnelles n’ont pas aboutis.
En se promenant dans le village portuaire, Nagara, elle remarque la fréquence des patrouilles exemplaires. Dans tous ses flux, on pourrait comparer cette organisation mesurée à une véritable fourmilière. N’étant pas une native, les passants semblent perturbés par ses sourires trop expressifs. Il lui faut une stratégie plus adaptée. Trainer autour de l’armurerie ne fera qu’instiller le doute sur les bons officiers. Les suspects sont pourtant forcément le personnel fréquentant ces lieux. Cependant, si cette rumeur est fallacieuse, l’agent Tarentule veut en trouver l’origine. Elle va devoir s’intéresser au marché des armes. Probablement, aura-t-elle plus de chance à Honnoji, la seule ville de l’île.
En commençant une marche joviale, elle interpelle tous les passants pour leur poser des questions au combien ennuyeuse sur les sabres et les ateliers. Cela parait être une passion commune en ces lieux. On lui répète souvent l’existence du Marteau et de son prestige, les ateliers existants comme le Yamamoto forge & co. Des pistes qu’elle balaie rapidement. Elle doute que le Marteau soit impliqué par son caractère élitiste, et qu’un atelier, appartenant à un grand nom de la Marine, aussi proche de la Division Katana puisse faire du trafic d’arme illégal en toute discrétion. Il ne lui reste que les Yakuzas d’Honnoji pour appréhender le réseau.
Arrivé en ville, en fin d’après-midi, il semble que nombreux sont les commerçants exhibant à dessein des armes en tout genre. Les nouvelles vont vites. L’agent Tarentule discute avec quelques-uns, négocient et marchandes jouant presque avec les pauvres vendeurs espérant conclure un accord alléchant.
« Oh ! Cela m’a l’air d’être d’une grande qualité ! Le fer travaillé avec les techniques adéquats, même son affutage mérite un peu plus attention. Son équilibre est parfait, on pourra croire au prolongement de mon bras. Haha !
-Vous avez l’œil, madame. Voul…
-Son prix est, cependant, gênant. Est-ce ouvert à la négociation ?
-Euh… bien entendu, mais…
-Combien en avez-vous ?
-De sabre… ?
-Oui, de la même facture, la même qualité, le même équilibre ! Tout pareil !
-Euh… eh bien… lui, c’est le seul mais d’autres similaires…
-Quelle déception ! Vous m’envoyez navrer, mon cher. J’ai cru une seconde avoir trouver mon bonheur. Mon estomac se creuse, à présent. Je vous laisse à vos activités, merci de vos réponses ! »
Sans que le commerçant puisse répondre, l’agent s’éloigne. Souriante, elle pense avoir jouer l’appât parfait. Presque toute la ville sait qu'une étrangère dure en affaire est intéressée par des armes en nombre. Plus qu’à attendre qu’un receleur l’interpelle éventuellement. La jeune femme décide de patienter dans une sorte taverne où, après avoir commander un bol de ramen dans la soirée, elle commence à tricoter sur une table dans un coin. L’ambiance change de l’esprit de travail du jour. Les habitués se rencontrent, discutent et jouent. L’établissement bat son plein.
Shimotsuki, quel choc culturel pour l’argent Tarentule. Aucun mendiant, mais du labeur et de l’austérité absolument sur tous les visages. Est-ce le prix à payer pour chasser l’indigence ? Absence d’empathie, ennuie et morosité. Leur attachement à la tradition de l’arc et de l’épée donne une impression d’archaïsme burlesque. La jeune femme en a ri, mais sait, à présent, à quel endroit elle ne veut surtout pas finir sa vie. Elle est assez déçue d’avoir fait un tel voyage pour un tel cadre, mais son travail mérite bien ce sacrifice. Et puis, elle trouvera bien un moyen d’apprécier sa mission. Son déplacement dans cette île d’East Blue a été commandité par son nouveau chef d’équipe du Cipher Pol 4. Ce n’est qu’une simple prise de température, d’une durée de quelques jours, à cause de quelques rumeurs de trafics d’armes qui impliqueraient des petits grades de la Marine.
L’agent adopte sa tenue classique. Il est préférable de jouer les touristes dans un milieu aussi différent de ses inclinaisons. Débarquant, seule la Colonel de la 9e Brigade sait qu’un agent du CP interviendra, il lui a été demandé de faciliter son accès à certaines informations. Son exemplarité induit une certaine confiance, mais, en réalité, cette technique est courante au CP 4 pour déceler une éventuelle dissidence dans le haut du panier. L’agent Tarentule est presque envoyé comme un appât à ce stade. Mais cela ne la dérange pas, on l’envoie collecter des preuves et des commentaires, elle fera du zèle et bien plus ! Ainsi, la blonde ne compte pas se présenter à la Colonel Hawk tant que ces recherches personnelles n’ont pas aboutis.
En se promenant dans le village portuaire, Nagara, elle remarque la fréquence des patrouilles exemplaires. Dans tous ses flux, on pourrait comparer cette organisation mesurée à une véritable fourmilière. N’étant pas une native, les passants semblent perturbés par ses sourires trop expressifs. Il lui faut une stratégie plus adaptée. Trainer autour de l’armurerie ne fera qu’instiller le doute sur les bons officiers. Les suspects sont pourtant forcément le personnel fréquentant ces lieux. Cependant, si cette rumeur est fallacieuse, l’agent Tarentule veut en trouver l’origine. Elle va devoir s’intéresser au marché des armes. Probablement, aura-t-elle plus de chance à Honnoji, la seule ville de l’île.
En commençant une marche joviale, elle interpelle tous les passants pour leur poser des questions au combien ennuyeuse sur les sabres et les ateliers. Cela parait être une passion commune en ces lieux. On lui répète souvent l’existence du Marteau et de son prestige, les ateliers existants comme le Yamamoto forge & co. Des pistes qu’elle balaie rapidement. Elle doute que le Marteau soit impliqué par son caractère élitiste, et qu’un atelier, appartenant à un grand nom de la Marine, aussi proche de la Division Katana puisse faire du trafic d’arme illégal en toute discrétion. Il ne lui reste que les Yakuzas d’Honnoji pour appréhender le réseau.
Arrivé en ville, en fin d’après-midi, il semble que nombreux sont les commerçants exhibant à dessein des armes en tout genre. Les nouvelles vont vites. L’agent Tarentule discute avec quelques-uns, négocient et marchandes jouant presque avec les pauvres vendeurs espérant conclure un accord alléchant.
« Oh ! Cela m’a l’air d’être d’une grande qualité ! Le fer travaillé avec les techniques adéquats, même son affutage mérite un peu plus attention. Son équilibre est parfait, on pourra croire au prolongement de mon bras. Haha !
-Vous avez l’œil, madame. Voul…
-Son prix est, cependant, gênant. Est-ce ouvert à la négociation ?
-Euh… bien entendu, mais…
-Combien en avez-vous ?
-De sabre… ?
-Oui, de la même facture, la même qualité, le même équilibre ! Tout pareil !
-Euh… eh bien… lui, c’est le seul mais d’autres similaires…
-Quelle déception ! Vous m’envoyez navrer, mon cher. J’ai cru une seconde avoir trouver mon bonheur. Mon estomac se creuse, à présent. Je vous laisse à vos activités, merci de vos réponses ! »
Sans que le commerçant puisse répondre, l’agent s’éloigne. Souriante, elle pense avoir jouer l’appât parfait. Presque toute la ville sait qu'une étrangère dure en affaire est intéressée par des armes en nombre. Plus qu’à attendre qu’un receleur l’interpelle éventuellement. La jeune femme décide de patienter dans une sorte taverne où, après avoir commander un bol de ramen dans la soirée, elle commence à tricoter sur une table dans un coin. L’ambiance change de l’esprit de travail du jour. Les habitués se rencontrent, discutent et jouent. L’établissement bat son plein.
Dernière édition par Agent Tarentule le Mar 14 Nov 2023 - 8:57, édité 2 fois