Rappel du premier message :
-”Bon vous savez tous le plan. Joey, allas, je crains que vous laisser distraire Troc serait contre-productif si vous devez vous prétendre être notre sauveur plus tard. J’ai convaincu Jazz de jouer ce rôle alors… concentrez vous sur rafiner votre acte je suppose, nous avons quelques jours avant votre entrée en scène.”
Assis autour d’une des tables les plus discrètes du Baratie tandis qu’ils partagent un copieux déjeuner, le groupe hocha la tête à ces paroles de la part de Grimm.
Gwyn reprit la parole alors qu’elle posa plusieurs sacs sur la table.
-”Voici les tenues, 2 de servantes, une belle robe à votre égard Mme Shelby, et un costard sur mesure pour vous Monsieur. Veuillez en prendre soin jusqu’au moment venu je vous prie.”
Puis avant que le clown puisse les remercier d’une quelconque manière, les soeurs échangèrent un regard, puis Gwen se racla la gorge avec douceur, poing devant la bouche, attirant l’attention du clown.
-Et si ce n’est trop demander, un mot en privé avant que l’on se sépare Monsieur Wilson ? Veuillez me suivre un moment ?”
Car si bien le clown avait l’air plus calme, la sirène n’était pas dupée, n’avait pas oublié la rage infâme dans son regard.
Ainsi, Gwen sortit du restaurant un moment, prit appui sur son sceptre alors que ses yeux vairons percèrent son compagnon du regard.
-” Merci pour être venus, et mes excuses si cela peut sembler… insensible, trop direct, mais comment vous portez vous ? Votre agitation hier nous prèocupe mon cher vous… parliez de tuer quelqu’un.” Le regard dur de madame s’adouci à cela, remplacé par la préocupation. “ Voudriez-vous en parler ? Ça vous ferait peut-être du bien vous savez.”
Un petit tour de son sceptre entre ses doigts, puis Gwen attendant, examinant en détail chaque réaction de son interlocuteur, rien n'échappant son attention. Faut dire qu'elle avait beau toujours essayer de penser le mieux de quiconque... ses craintes au sujet du caractère de l'homme étaient là, et elle se devait de confirmer leur véracité.
Que me montrerez-vous Joey ? La même tristesse que hier ? Encore plus de colère ? Un faux sourire ? Un véritable esprit chevaleresque ? J'attends, montrez moi ce qui se cache vraiment en vous.
Après tout, selon sa réponse, ce qui sortait sur sa personnalité… ce qu’ils avaient tous prévu pourrait tout aussi bien aller pour le mieux que pour le pire.
-”Bon vous savez tous le plan. Joey, allas, je crains que vous laisser distraire Troc serait contre-productif si vous devez vous prétendre être notre sauveur plus tard. J’ai convaincu Jazz de jouer ce rôle alors… concentrez vous sur rafiner votre acte je suppose, nous avons quelques jours avant votre entrée en scène.”
Assis autour d’une des tables les plus discrètes du Baratie tandis qu’ils partagent un copieux déjeuner, le groupe hocha la tête à ces paroles de la part de Grimm.
Gwyn reprit la parole alors qu’elle posa plusieurs sacs sur la table.
-”Voici les tenues, 2 de servantes, une belle robe à votre égard Mme Shelby, et un costard sur mesure pour vous Monsieur. Veuillez en prendre soin jusqu’au moment venu je vous prie.”
Puis avant que le clown puisse les remercier d’une quelconque manière, les soeurs échangèrent un regard, puis Gwen se racla la gorge avec douceur, poing devant la bouche, attirant l’attention du clown.
-Et si ce n’est trop demander, un mot en privé avant que l’on se sépare Monsieur Wilson ? Veuillez me suivre un moment ?”
Car si bien le clown avait l’air plus calme, la sirène n’était pas dupée, n’avait pas oublié la rage infâme dans son regard.
Ainsi, Gwen sortit du restaurant un moment, prit appui sur son sceptre alors que ses yeux vairons percèrent son compagnon du regard.
-” Merci pour être venus, et mes excuses si cela peut sembler… insensible, trop direct, mais comment vous portez vous ? Votre agitation hier nous prèocupe mon cher vous… parliez de tuer quelqu’un.” Le regard dur de madame s’adouci à cela, remplacé par la préocupation. “ Voudriez-vous en parler ? Ça vous ferait peut-être du bien vous savez.”
Un petit tour de son sceptre entre ses doigts, puis Gwen attendant, examinant en détail chaque réaction de son interlocuteur, rien n'échappant son attention. Faut dire qu'elle avait beau toujours essayer de penser le mieux de quiconque... ses craintes au sujet du caractère de l'homme étaient là, et elle se devait de confirmer leur véracité.
Que me montrerez-vous Joey ? La même tristesse que hier ? Encore plus de colère ? Un faux sourire ? Un véritable esprit chevaleresque ? J'attends, montrez moi ce qui se cache vraiment en vous.
Après tout, selon sa réponse, ce qui sortait sur sa personnalité… ce qu’ils avaient tous prévu pourrait tout aussi bien aller pour le mieux que pour le pire.