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Globalement Inoffensif

Rappel du premier message :

>> Canard Un


Globalement Inoffensif  - Page 2 En attente !

Pseudonyme : Le vieillard était autrefois connu par les pirates comme "Le Sale Con", un surnom dont il n'était pas peu fier.
Age: 67 ans
Sexe : Homme
Race : Humain
Rang : "Hé c'tait pas une légende lui ?"

Métier : Y a que les nazes qui se spécialisent
Groupe : Marine
But : Pouvoir prendre sa retraite

Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Canard maîtrisait autrefois le Haki de l'armement, chose qu'il est désormais incapable de faire. Perte de volonté et de foi en tout ce dont il croyait oblige.
Équipements : Un prototype d'armure de combat fabriqué par Vegapunk lui même afin de permettre au vieillard de combattre malgré son état.

Codes du règlement (2) :

Parrain : Brih ! Non Ging ! Non plutôt Munster ! En fait on va juste dire un canard.

>> Physique

Puisqu'il est hostile envers une grande partie du monde, vous avez plus de chance de croiser Canard avec son apparence la plus menaçante. Dans son armure. Effectivement, sans cette dernière, son apparence la plus menaçante est une grimace ronchonne qui, à part faire pâlir d'envie n'importe quel vieux campagnard, n'est pas très utile. L'armure d'un autre côté l'est diablement, utile. Rajoutant une trentaine de centimètres au vieillard courbé, elle participe activement à L'impression donnée par notre héros. L'impression est une théorie selon laquelle le premier regard permet de se faire un avis définitif sur une personne. Et même si l'habit ne fait pas le moine, l'armure, elle, lui colle un coup dans la tronche à ce donneur de leçon. Débarrassée de l'homme d'église, la machine peut s'occuper de faire fichtrement peur à quiconque l'approche. L'arme la plus efficace du marine, pour pouvoir frapper les prêtres et autres religieux, produit une très forte quantité de fumée, à l'aide de tuyaux habilement placés derrière la tête et aux jambes. Fait pas vraiment utile mais toujours sympathique à savoir, la fumée qui sort de notre héros n'a rien d'ordinaire. C'est en fait un mélange entre une fumée tout ce qu'il y a de plus normale dans un nid de mécanismes comme l'armure et une énorme quantité de tabac. Effectivement, afin d'apaiser le vieillard de ses nombreuses douleurs aux nombreux vieux os, une machine envoie continuellement de la fumée de tabac dans le visage de ce dernier -qui fume vraiment beaucoup-. Seulement Canard étant un vieil aigri, il n'accepte pas de partager autant de tabac avec tout ceux qui l'entourent. Ainsi il a recyclé un masque de soudeur pour bloquer la sortie de la précieuse fumée. Il n'avait pas prévu que l'élément en question s'entasserait avant de trouver une autre sortie, à savoir les tuyaux accentuant ainsi le nuage qui entoure le soldat. Voila pourquoi à première vue, lorsqu'on regarde l'ancien officier, on voit rien. Ou plutôt, on voit un milieu. Le haut et le bas du corps étant entièrement cachés par le nuage -lorsque le combattant ne bouge pas- seul son ventre est visible. C'est donc dans un effet des plus dramatiques qu'on ne peut apercevoir que l’emblème de la marine, dans un dense brouillard. Ce n'est peut-être pas très impressionnant tout de suite, mais imaginez lorsque l'emblème en question vous fonce dessus après avoir hurlé une quelconque insulte.

Maintenant nous allons aborder ce qu'il se passe une fois que la fumée s'est dissipée. Une mandale déjà. Ensuite vous aurez la chance de pouvoir jeter un regard sur l'armure dont on parle tant depuis le début de cette description. Grise et pleine de machins bidules. C'est tout ce qu'il y a d'important à savoir sur elle. Si vous êtes malchanceux vous pourrez peut-être aussi voir le type qui se cache sous la montagne de mécanismes. Un corps détruit par le temps et un visage détruit par les coups. Canard a ainsi eu le nez cassé tellement de fois, que ce dernier a évolué jusqu'à devenir un gros truc incassable qui déborde sur tout le reste. De la même façon les sourcils du soldat, après avoir compris qu'ils seraient toujours froncés, ont viré au brun pour être encore plus menaçants. Malheureusement la moustache n'a pas reçu le message et s'est contentée de se laisser tomber nonchalamment pour donner un espèce de pâté grisâtre dont la seule utilité est de piquer les narines. Les oreilles quant à elles n'ont rien à voir avec toutes ces conneries, le maître de notre héros les mordait juste violemment à chaque bourde. Finalement les lobes se sont agrandis jusqu'à s'incruster dans l'absence de menton du Un.

Enfin parlons rapidement de l'état physique du sujet. En plus de la décadence naturelle due à l'âge, l'ancien Vice-amiral a récupéré une décadence due à un salaud qui lui colla son pied dans la colonne vertébrale. Ainsi Canard est incapable de bouger le bas de son corps s'il est séparé de son armure. Armure dont il doit se séparer régulièrement pour une remise à neuf. Les circuits d'époque, ça se bousille vite. En plus de la machine qui recréait un petit semblant de son ancienne force, notre héros porte des lunettes customisées. Une jumelle est installée sur l'oeil gauche bien plus abîmé que le droit -à cause d'un vieil ennemi nommé "Rayon-Man" qui pouvait émettre des rayons de lumière depuis son côté gauche après une sombre aventure dans un bol géant rempli d'un liquide inconnu-. Logiquement, comme tout appareil dispensable mais utile, la jumelle ne fonctionne pas parfaitement. Elle zoom en fait trop, et le vieillard voit donc plus loin avec un oeil qu'avec l'autre. Ça ne pose en soit que de légers problèmes de perspective et notre protagoniste n'a ainsi pas prit le temps de la faire réparer. Pour finir, le style de combat de Canard, avec ou son armure, consiste essentiellement à coller des mandales. Il possède aussi une forte affection pour les coups de pied aux culs. Oui, au pluriel.


>> Psychologie

Le fait est que Canard est un sale con. Même s'il possède de nombreuses qualités pour rivaliser avec ce principal défaut, on ne se souviendra de lui que pour ça. Une personne a beau être terriblement compliquée, au final, on ne la qualifiera souvent que par un détail de sa personnalité qui semble surpasser les autres. Ainsi certains sont simplement définis comme le Gentil, le Méchant, l'Abruti. Et évidemment, même si notre protagoniste possède un peu de ces trois qualificatifs, il est définitivement et irrémédiablement le Sale con. Antipathique et misanthrope, le soldat ne supporte pas les relations. Amicale dans un premier temps -mais de toute façon peu le voudraient comme ami-, mais aussi celle que l'on possède avec une némésis, de la famille ou un membre d'équipage. Le marine pense qu'il faut éviter de trop fréquenter une même personne, au point où l'on connaît des détails sur sa vie. Ces détails étant équivalents à la connaître la date de naissance. Ou au moins l'année. Lorsqu'il était jeune et admiré par quelques crétins, les idéaux de notre héros ce sont propagés en un mouvement Anarchisto-anti-anniversaire. Les fans du combattant n'ayant pas vraiment cernés le point, ils se contentaient d'être ronchon en se bouchant les oreilles lorsque la conversation s'approchait des dates de naissance. Bien sûr Canard lui, évite tout simplement ces conversations et même toutes les autres sortes. Incapable de trouver un intérêt dans la discussion, le vieillard possède de nombreux moyens pour l'éviter. A commencer par la traditionnelle insulte, en passant par le pied au cul, pour arriver à une méthode simpliste, quitter les alentours au milieu de la phrase de son interlocuteur. Un n'a ainsi pas besoin de parler à autrui pour s'occuper, seulement autrui lui semble penser le contraire. Effectivement, l'altruisme à comme défaut de pousser les gens à se mêler des slips des autres. Lorsque quelqu'un passe son temps seul, à boire et fumer des cigares, on suppose immédiatement qu'il est misérable et a besoin de compagnie. Evidemment lorsque l'on récolte un coup de poing dans le nez pour être trop collant envers le misérable en question, l'altruisme disparaît. Ce phénomène semble être encore plus fort sur un cuirassier, la camaraderie des fiers justiciers marines semblant multiplier l'intérêt porter aux marginaux. Même quand les marginaux sont des moustachus pas aimables.

Malgré un caractère abominable, un désintérêt total pour tout être vivant et une haine pure et simple et la conversation avec autrui, Canard possède un -contradictoire- puissant sens de la justice. Il ne supporte pas l'injustice -tout comme il ne supporte pas la personne à qui l'injustice est faite-. Ca pourra paraître illogique et ça l'est très certainement, mais notre protagoniste n'est pas quelqu'un de logique. C'est une personne qui agit selon ses idéaux et la justice en fait partie. Sans doute une transmission de valeur d'un parent, mentor ou une connerie du genre. Ainsi, même s'il vous insulter en passant, le soldat ne manquera jamais une occasion de vous sauver. Il est aussi possible qu'il vous frappe après, si vous continuez à parler malgré ses demandes de "Fermer le tas de fumier sécher qui vous sert de bouche". Si vous êtes un criminel, c'est une toute autre histoire. Le vieillard possède -sans pour autant qu'elle soit causée par un trouble psychologique dans son enfance- une puissante haine contre tout hors-la-loi. Que ça soit un tueur d'enfants ou un voleur de poulets. Même si notre héros ne pense pas que le système actuel soit parfait, il est prêt à tout pour le protéger. Selon lui, un système ne peut fonctionner que si tout le monde suit les règles. Ainsi, nous pourrons voir si le système est parfait et s'il ne l'est pas le modifier. Seulement, quant un quart des habitants décident de jouer les pirates on ne pourra jamais vérifier si -lorsqu'il est en marche- le système fonctionne. Nous plongeant ainsi dans ce que Canard appel "Une belle merde" -mais que nous qualifierons de cercle vicieux-. On ne suit pas le système car il ne fonctionne pas, mais on ne peut pas savoir si le système fonctionne puisqu'on ne le suit pas. La solution de l'ancien Vice-amiral consiste à cogner assez fort pour faire comprendre. C'est tout cela qui poussera le marine à frapper un père de famille à la rue volant de la nourriture pour ses enfants en lui criant qu'il "N'avait qu'à s'engager dans la marine et dégommer du criminel pour régler tout ça au lieu d'être un bon à rien feignant". Cela dit, le sale con n'acceptera pas tout acte contre quelqu'un qu'il juge innocent. Et même s'il a récemment perdu foi en la marine et sa justice, il ne s'arrêtera jamais d'attaquer les hors-la-loi.

Après ça, il est difficile d'expliquer que Canard est quelqu'un de très logique. Il croit en ce qu'on peut lui prouver et, de toute façon, quand il n'y a pas de preuve, ça devient une simple discussion qu'il évitera. Très peu tolérant, le marine n'acceptera pas toute différence d'opinion, qu'elle soit sur le système, sa façon de vivre, la religion, la boisson et tout autre sujet qu'il peut supporter de parler à quelqu'un pendant une minute. Pour terminer sur une note plus légère, il est bon de préciser que le vieillard est capable de s'amuser. Il lui arrivera ainsi de rigoler à ses propres traits d'humour -sans pour autant avoir à les partager au commun des mortels-. Enfin, le combattant a la manie d'oublier qu'il porte son armure. Dans le feu de l'action, il aura tendance à s'allumer un cigare qu'il collera contre son casque, on se renversera un verre de whisky sur le masque.

>> Biographie



L'île natale de notre héros était un lieu merveilleux. Une société séparée du monde connu qui avait réussit là où toutes les autres avaient échoué. Vivre dans la richesse et l'égalité sans pour autant passer sa vie à travailler. Malheureusement les fondateurs perdirent la recette -l'inventeur l'avait écrit sur un post-it derrière sa liste de course- empêchant ainsi les autres brocolis de devenir de bons canards laquais. Puisqu'ils ne pouvaient plus partager leur savoir avec le reste du monde, ils décidèrent de faire tout le contraire, à savoir se fermer définitivement à ce reste du monde. Chose qui fonctionna admirablement bien. Les parents de notre protagoniste vivaient une relation des plus ordinaires, le genre de relation qui vous pousse à faire des pique-nique dans un parc sur une légère colline avec un vieux drap à carreaux. Seulement, puisque toutes les relations étaient ordinaires et parfaites dans cette utopie, les parcs étaient entièrement composés de légères collines. Bien sûr ce n'est qu'un problème mineur, mais avec le temps d'autres survinrent. Ainsi on découvrit le prénom mignon parfait et tout le monde commença à s'appeler de la même façon. Toutes les maisons étaient exactement les mêmes -intérieur comme extérieur- et finalement tous les habitants avaient exactement la même vie -parfaite-. C'est alors qu'ils courraient avec joie dans un champs de fleur -accompagnés de toute la population de l'île- que les parents du futur soldat percutèrent. Un caillou en premier lieu -ce qui entraîna le reste de la population à s'écraser sur le sol, parce que si quelqu'un le faisait, ça devait être génial et parfait-. Ensuite la vérité. Choqué par la réalité, le couple décida de se séparer de la masse. Tout d'abord ils donnèrent à leur nouveau né le nom le plus étrangement non-approprié pour un gamin : Canard. L'objectif était de stopper le fonctionnement de l'île. S'ils s'étaient contentés de donner un prénom qu'ils appréciaient différent du nom que portait tous les autres habitants ça n'aurait rien changé. Finalement le monde aurait évolué et tous les nouveaux habitants auraient pris cette appellation. Seulement en ne prenant pas quelque chose qu'ils appréciaient -et donc que le reste de la population appréciait, puisqu'ils avaient la même vie- mais le premier mot qui leur passait par la tête et qui n'était ainsi pas parfait -parfait pour les habitants-, la mécanique ne fonctionnait plus. Après la naissance, les parents élevèrent leur fils de façon contraire à la pensée commune, détruisant ainsi finalement le cercle vicieux.

C'est ainsi que Canard Un vint au monde. Le couple prévoyait d'appeler leurs autres enfants "Mot-qui-leur-passe-par-la-tête-à-la-naissance Deux" et ainsi de suite. C'était sans compter sur la terrible épidémie de baignoire qui frappa l'île quand notre héros eut treize ans. Effectivement, puisque plus personne ne travaillait, il n'y avait plus personne pour nettoyer les tuyaux des baignoires, ce qui provoqua un entassement énorme de la saleté, créant une toute nouvelle maladie qui tua un quart de la population. Un autre quart se suicida, pensant que si les autres mourraient, ça voulait dire que la mort était un truc super et absolument parfait. Le reste des habitants tomba dans une profonde dépression, ne comprenant plus comment vivre leur vie. La perte de sa famille ne choqua pas particulièrement le gamin, jugeant même plus tard qu'ils étaient "Des saloperies de hippies". Canard se contenta d'être sauvé à la dernière minute par un quelconque évènement scénaristique, disons un navire qui passait par là.

Recueillit sur un navire pirate, c'est là que le futur marine développa sa haine pour "tous ces abrutis qui sont pas capable de suivre une simple loi". Doté d'un sens de la justice très développé, le garçon ne pouvait s'empêcher d'attaquer ses "bienfaiteurs". Evidemment les forbans, aussi sympathiques qu'ils étaient, se lassèrent rapidement et le balancèrent sur une quelconque île. Finalement, trop turbulent pour être gardé dans un orphelinat -en partie parce qu'il ne pouvait supporter personne (à cause des valeurs contraires à celles de ses parents que ses derniers lui avaient enseigné) et d'autre part puisqu'il tabassait quiconque ne suivait pas les règles- on l'envoya au QG marine de l'île. On jugea qu'au moins là bas, s'il était trop chiant on pouvait le foutre dans une cellule pendant quelques heures. Même si le haut-gradé chargé du lieu n'approuva pas au départ, la foule de citoyen en colère ne voulait de toute façon pas le récupérer. Très vite on s'habitua à sa présence et Canard fut élevé par les nombreux soldats, de passage ou résidents. Un avenir dans la marine s'imposait, autant qu'un avenir sans aucun rapport avec l'entreprise familiale s'impose pour un fils -en tout cas dans toute fiction- quand son père souhaite qu'il hérite du travail "que mon père faisait et le père de mon père".

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C'est à ses dix-sept ans que la vie de Canard changea complètement. Alors qu'il était occupé à mépriser un soldat de trop bonne humeur, un invité se montra dans le hall du QG. Pas n'importe quel invité. Le genre d'invité qui, quand il apparaît, fait forcément un certain effet. Et ici, le fait qu'il possédait le Haki du roi n'y était absolument pour rien. Vice-amiral par hobby et vendeur de peaux de boucs de profession, Hector avait comme particularité d'être incapable de parler et se contentait de grogner en hurlant la plupart du temps. Chose qui aurait pu être un problème si le marine se souciait de ses relations sociales. Heureusement, les seuls relations que l'officier validait était celle des types qui défoncent du pirate avec lui. Ou au moins qui l'aident à chasser le bouc. Doté d'une force admirable, il passe sa vie à arpenter les mers en envoyant valdinguer ses adversaires à coup de bâton. La légende s'avança vers notre héros -qui était assit seul dans un fauteuil- avant de désarticuler :

-BWAAGAYUAHAAAYOGREERAA
-Si tu veux gueuler tu peux très bien le faire chez toi et si tu veux je peux t'y envoyer AVEC MON PIED COLLÉ DANS TON CUL ABRUTI


Ce fut la première expérience de notre héros avec le Haki. Hector, comme tout vice-amiral qui souhaite déglinguer des tronches, maîtrisait parfaitement le fluide -comme ils l'appellent sur une petite île hexagonale-. Canard quant à lui ne maîtrisait pas particulièrement le bâton enrobé dans le bide. La chute contre le mur non plus. Il ne maîtrisa finalement que le réveil à l'infirmerie. Aussitôt levé, le jeune soldat traversa la bâtiment pour coller un pain à son nouvel adversaire. Après s'être retrouvé une nouvelle fois dans les vapes, il décida que, s'il comptait tabasser les injustices, c'était une bonne idée de rester aux côtés de cet Hector, plutôt que de vivre dans un QG de branques au milieu de South Blue. Et c'est ainsi que le duo -au départ forcé, Canard continuait de suivre son "mentor" malgré les nombreux coups de bâton- commença à arpenter le monde. Même si le vendeur n'approuvait pas du tout la présence de notre héros à ses côtés, ce dernier devint connu, il était "l'apprenti", "le gamin qui a réussit à entrer dans la vie d'Hector sans s'y faire éjecter aussitôt, préférablement dans un mur".

Après plusieurs années -notre protagoniste était alors devenu colonel- Hector démissionna et embarqua sur un drakkar. Il ne laissa pas d'explication, en partie parce qu'il en était incapable, en partie parce qu'il s'en foutait royalement, notre héros quant à lui ne se posa pas de question. Il devait bien y avoir une raison, tant pis s'il ne la connaîtrait jamais. Selon les dires, la discussion avec l'Amiral-en-chef aurait duré plus de cinq heures, l'officier n'arrivant pas à faire comprendre qu'il donnait sa démission. On raconte qu'après quatre heures, le chef de la marine pensait toujours que son collègue l'invitait à prendre un brunch. Désormais seul, Un continua sa carrière en enjambant rapidement les échelons. Un sens de la justice de plus en plus développé, allié à une force non négligeable le porta jusqu'au grade de contre-amiral.

Concentrons-nous maintenant sur un passage important pour la vie du soldat. Canard se trouvait alors à Marin Ford pour célébrer son quarantième anniversaire, en compagnie des autres hauts-gradés -qu'il ne pouvait pas supporter évidemment-. Seulement il était écrit dans son contrat qu'il devait passer au moins un jour en compagnie de ses collègues pour socialiser et donner une bonne ambiance générale à la marine. Autant en profiter pour demander des cadeaux au passage. C'était sans compter sur l'absence d'imagination d'une grande partie de l'état majeur. Ainsi les sabres légendaires du pays des samouraïs volants s'empilaient avec les fusils à cinq canons pour former un beau bordel que notre protagoniste n'utiliserait jamais. Quand à ceux qui n'offraient pas des armes, ils se contentaient du quelconque machin acheté sur une aire marine -un service qui s'est très développé dans les années 1590, proposant aux marins de se reposer tout en dépensant inutilement leurs berrys-. Alors que la nuit s'avançait et que les hauts-gradés commençaient à être pompettes un grand bruit résonna dans la cité gouvernementale. Un second grand bruit résonna quand un cuirassé percuta la cité en question. Un troisième et quatrième bruits résonnèrent quand le vice-amiral Koulllalamorondibert péta et que le reste de l'assemblée -pompette l'assemblée- éclata de rire. Le terrible grand méchant à bord du cuirassé quant à lui ne fut pas très heureux d'être ainsi tourné en dérision, il décida donc de se révéler -et avec lui son plan machiavélique- pour reprendre l'attention générale.

-TOUS LES MARINES SONT DES GROSSES PRECIEUSES ! C'est bon vous me regardez tous ? Parce que ça fait chier quand même je prépare tout un plan et finalement ce qui intéresse le monde c'est Koulllalamorondibert qui pète Ce dernier se contenta de roter bruyamment en guise de réponse, réponse qui fut accompagnée d'une nouvelle explosion de rire Ah Ah très drôle, très mature, en attendant moi j'ai un plan alors si tu pouvais arrêter deux minutes ce serait sympa, ET COMMENCE PAS A OUVRIR LA BOUCHE, SI TU VOMIS JE T'ECRASE AVEC MON GROS CUIRASSE Aussitôt le vice-amiral arrêta son geste, profondément déçu
-Hé... IL A DIT MON "GROS CUIRASSE" ! Heureusement un amiral -tombé dans un tonneau de rhum un peu plus tôt- était là pour rattraper l'erreur de son camarade et provoquer une troisième vague de rires.
-BON Y EN A MARRE ! ATTAQUEZ !

Aussitôt, et à l'étonnement général, une cinquantaine de Canard Un jaillirent du cuirassé et foncèrent vers la fête d'anniversaire. Les hauts-gradés bourrés se remirent très vite de la surprise et -en tant que marins complètement torchés- se lancèrent dans la bataille. Le plan de l'obscure investigateur avait une légère faille. Il avait supposé que la bande de soldats ne seraient pas en état de combattre. Au contraire, l'alcool réveillait leurs instincts les plus criminels et les poussait à taper sur tout ce qui bouge. La seule véritable menace était justement que les combattants aillent trop loin. L'amiral présenté plus tôt par exemple essaya une dizaine de fois de cliquer sur son escargophone doré pour provoquer un Buster Call -heureusement il loupa le bouton à chaque fois, cliquant à la place sur l'épaule de Miclodonnadir, le contre-amiral nain-. Ainsi, même si les fêtards maîtrisaient en grande partie la situation, des dizaines de destructions furent provoquées, non pas par l'armée de Canard mais par les hauts-gradés eux mêmes. On retiendra pendant des années la tentative du vice-amiral Keegan Fenyang de shooter dans un canon pour le propulser dans la tête du chef des forbans. Le canon traversa quasiment toutes les maisons de l'île avant de passer la mer pour se retrouver logé dans une montagne au loin. Finalement Canard -le vrai- arriva face à face avec l'investigateur et, après lui avoir collé une seule tarte qui l'envoya dégommer son propre mat, notre héros l'interrogea.

-Héhéhé, tu n'y comprends rien, hein ? C'est normal, personne si ce n'est moi n'aurait pu imaginer un plan aussi rusé et subtil... Il était évident qu'il mourait d'envie de l'expliquer et, après quelques secondes à lutter, il céda Tu ne te souviens pas de moi ? On s'est pourtant rencontré il y a plusieurs années, tu suivais Hector partout, moi j'étais un sous-fifre pour un capitaine pirate. Un quelconque sous-fifre parmi les sous-fifres... Pourtant je t'ai reconnu, j'étais dans le navire qui t'as sauvé de ton île natale ! Alors, en voyant que tu accompagnais un tel homme, j'ai deviné que ton avenir serait brillant... Mon génie m'a emmené à nouveau sur ton lieu de naissance. J'y ai trouvé tous les habitants, enfermés dans leur maison, tous recroquevillés dans un coin, ne sachant pas quoi faire. Alors je leur ai expliqué que je t'avais rencontré, toi le seul habitant de l'île qui ne passait pas son temps à désespérer. Ils désespéraient tous car quelqu'un s'était mit à désespérer au départ, mais maintenant ils savaient qu'il y avait quelqu'un qui avait fait autre chose avant ! Toi ! Ainsi ils supposèrent que la vie parfaite ce n'était pas de désespérer, mais c'était la tienne ! Je n'ai même pas eu besoin de les convaincre pour changer leurs apparences et leurs noms, ils se sont tous entraînés comme toi jusqu'à former une armée de contre-amiraux Canard Un !

Seulement le combat se termina avec les nombreux hauts-gradés victorieux, le chef des Canard tabassés et enfermés, rendant ainsi inutile toutes ces années de travail et ce monologue entier. C'est à la suite de cet évènement, que notre protagoniste avait su diriger -en étant le seul combattant à être capable de réfléchir à cet instant- afin de tourner la marine vers la victoire qu'il accéda au grade de Vice-Amiral. Les mois passèrent à nouveau alors que notre héros assurait son poste de la plus banale des façons.

Jusqu'au jour où Canard fut appelé de toute urgence à monter dans un cuirassé direction Grundignon. Une île de Grand Line, en apparence habituelle mais qui cachait un lourd secret : un rassemblement de capitaines pirates. Dans le plus grande ville du pays, dans la plus petite et obscure des tavernes de la ville, dix forbans, tous primés pour des sommes astronomiques se retrouvaient. Alors que la source de la marine avait parlé d'une réunion pour une future alliance contre le gouvernement, la vérité était toute autre. En réalité, ces hauts noms de la piraterie se rassemblaient pour savoir si, oui ou non, la jambe de bois devait être abandonnée de la tenue officielle du pirate car jugée offensante par des clubs de forbans estropiés. Au même moment, l'amiral-en-chef avait lancé un "Buster Call Surprise" sur l'île. La population était considérée comme complice, effectivement quasiment tout le monde était au courant de la présence des criminels sur Grundignon. Comme vous l'avez deviné, notre protagoniste était l'un des cinq vices-amiraux chargés de mener la flotte. Ce n'est pourtant que devant la cible qu'un contre-amiral -présent sur le navire de notre héros parce qu'il s'ennuyait à glander au QG- lui expliqua que la population n'avait pas été évacuée. Sans plus attendre Canard cria l'ordre de s'arrêter. Sans plus attendre l'amiral-en-chef l'appela.

-Vice-amiral reprenez immédiatement votre poste !
-Désolé boss mais vous pouvez allez vous faire foutre
-Vice-amiral quitter cette attaque sera considéré comme une trahison, de votre part de de celle de tous vos hommes...


Canard qui venait de prendre la barre pour faire demi tour s'arrêta soudainement. Il ne bougea pas plusieurs minutes, se contentant de froncer les sourcils, puis raccrocha le combiner. Aussitôt il lança à nouveau le gouvernail pour faire un tour complet, et sans plus attendra quitta la passerelle pour rendre sa place au navigateur. Assit dans sa cabine, buvant un vieux whisky qu'il gardait toujours avec lui, accompagné d'un cigare, le marine ne bougeait plus.


Puis il releva la tête. Canard lança son verre, dégomma la porte d'un coup de pied et se précipita sur le pont du cuirassé. Sans faire attention aux appelles et cris des subordonnés, le soldat se projeta dans l'océan. Immédiatement tous ses marines et ceux du navire le plus proche se collèrent aux rambardes. Pendant plusieurs secondes rien ne se passa. Pendant plusieurs secondes des bulles atteignirent la surface. La seconde d'après le vice-amiral jaillissait de l'eau, portant le cuirassé sur ses épaules. Quant aux secondes qui suivirent, elles virent un navire gigantesque percuter son voisin dans un bruit digne du Buster Call qui aurait du arriver. En s'attardant sur un morceau de seconde au milieu de toutes les autres, on pouvait aussi voir le vice-amiral Mont-Victoire Eustache se masser les paupières dans une pose des plus stéréotypés de l'homme s’apprêtant à faire quelqu'un chose qu'il n'apprécierait absolument pas. Mais au présent Canard Un était sortit de l'eau pour grimper, d'un bond, sur le pont du navire en partie détruit. Il enchaînait les coups de poing, collant des pains à quiconque s'approchait, avant d'attraper le mat pour propulser au loin les soldats aussi facilement qu'un lion propulse ses dents contre une antilope malade blessée et décédée. Sans attendre d'être surpassé en nombre notre protagoniste bondit sur le navire d'à côté, le mat toujours porté fièrement au dessus de sa tête. Plus pour très longtemps puisqu'il le planta violemment au milieu du bâtiment avant de se prendre les balles des nombreux fusils pointés dans sa direction. De son côté le futur amiral Kindachi Tetsuda donna finalement l'ordre de bombarder le bateau troué qui commençait déjà à couler. Après avoir esquivé une partie des puissants boulets dans un saut sous-marin Canard grimpa sur un nouveau cuirassé pour se retrouver face à face avec les quatre vices-amiraux. Les marines se regardèrent plusieurs secondes, puis foncèrent tous en avant dans une course des plus synchronisées. Ils levèrent tous leurs poings et armes. Certains arboraient un sourire, d'autres une expression profondément navrée. Puis il y eu un choc. Et ainsi se termina la bataille.

-Vous avez trahi la marine, vous avez détruit trois cuirassés aux prix exorbitants, vous avez blessés des dizaines d'hommes et plus que tout vous avez fait passer le gouvernement pour une joyeuse bande de barbares n'écoutant ni lois ni ordres... Expliqua l'amiral-en-chef avant de s’asseoir derrière son bureau en plaçant calmement sa main devant son visage, les yeux fermés, dans une expression d'intense réflexion.
-Vous prêchez un convaincu
-Mais vous avez fait de grandes choses, pour notre organisation et pour le monde... Vous n'êtes pas n'importe quel soldat, vos talents sont indéniables... Ecoutez j'ai réussit à arranger quelque chose. Vous ne serez plus vice-amiral c'est certain et plus question d'être un "combattant du grand public". Vous pouvez devenir un agent du gouvernement, chargé d'arrêter les grands forbans comme vous le faites aujourd'hui, mais en moins... officiel.
Canard ne répondit rien. Il regardait devant lui. Il avait une seconde chance, une possibilité de continuer à agir pour la justice. Puis il repensa à la justice qu'il avait vu plus tôt. Alors notre héros se leva et dit très calmement
-Mon cher amiral-en-chef, cette seconde chance je vais l'accrocher sur mon pied pour pouvoir vous la coller au cul Et l'ancien haut-gradé quitta la pièce.

Vingt-sept années passèrent. Canard, après avoir refusé l'offre de son supérieur, avoir rejoint une île gouvernementale, il était chargé d'enseigner ce qu'il savait aux futurs soldats d'élites. En tout cas la théorie, puisque notre héros, en plus d'avoir atrocement vieillit sans se tenir en forme, était en fauteuil roulant depuis son départ de Marin Ford. Aussitôt après avoir quitté le bureau de l'amiral-en-chef, Kindachi Tetsuda et deux autres vices-amiraux présents au Buster Call tombèrent sur notre protagoniste. Ils n'avaient pas particulièrement apprécié le comportement et l'attaque direct à leur personne du Un. Ce dernier se retrouva donc la colonne vertébrale déplacée et dans un fauteuil aimablement offert par le gouvernement. En tant que vieux professeur aigri qui ne pouvait supporter un seul de ses élèves, Canard n'avait pas accepté que ces derniers quittent l'île pour la soirée afin d'aller voir un concert d'une certaines volaille. Ainsi, pour bien leur faire comprendre qu'il ne fallait pas le prendre pour un con, le vieillard -alors âgé de 67 ans- les attendait devant la porte. Il fut légèrement surprit de voir arriver un petit navire, entièrement noir, à peine visible dans la nuit. Deux hommes en descendirent. L'un se tenait éloigné afin de cacher son visage derrière des feuilles, l'autre devait avoir une vingtaine d'années et arborait de somptueuses lunettes de soleil à l'aspect futuristique. Tout deux portaient des costumes noirs assortis.

-Bonjour vice-amiral Canard Un Articula celui caché derrière les branches
-Professeur
-Désolé... votre réputation vous précède
-Pas la votre, j'suis supposé savoir comment vous deux petits rigolos vous appelez ?
-Je suis... Je m'appelle comment déjà ?
-Nos noms... n'ont pas d'importance
-Ouais, c'est pas mal ça aussi
-Et j'peux vous demander ce que vous foutez devant moi les deux inconnus ?
-Bien sûr
-Non il ne peut pas
-Ah il peut pas ?
-Enfin on va lui expliquer de toute façon, mais... ce n'est pas à lui de poser les questions
-Donc... Qu'est-ce qu'on fait ici déjà ?
-Vous vous souvenez de vos élèves professeur Canard ? Ils ne seront bientôt que des souvenirs... si vous n'acceptez pas de nous suivre
-Saloperie de gamins abrutis qui peuvent pas s'empêcher d'être des incapables crétins et saloperie de sens de la justice
-Hm ?
-Je disais : saloperie de sens de la justice


C'est lors du voyage en navire qu'on expliqua à notre héros que les deux hommes étaient des agents du gouvernement. Le but du kidnapping était encore inconnu, mais il devint plus clair lorsque le bateau arriva à destination. Le laboratoire de Vegapunk.

-Vous connaissez certainement le scientifique Vegapunk... Il a récemment inventé un prototype d'armure mécanisée. Une armure permettant de combattre malgré une situation... comme la votre. Un moyen de servir la justice, pas avec votre force d'autrefois, mais en tout cas avec plus de capacité qu'actuellement. Nous avons besoin, pour la tester, de quelqu'un d’expérimenté. Quelqu'un qui n'en est pas à son premier combat. Il y aura très certainement un lent d'adaptation, plus ou moins loin, mais avec le temps l'armure devrait vous permettre de récupérer vos anciennes capacités et ce malgré votre âge et blessures. Nous vous avons fait entrer dans la marine... Canard Un vous allez repartir au front.
-Pourquoi moi ? Ne me dites pas que vous n'avez pas trouvé un estropié plus motivé, en tout cas un estropié que vous n'avez pas besoin de faire chanter.
-Nous avons... nos raisons.
-Qui sont ?
-Quel intérêt de vous les révéler maintenant ? Où serait l'effet dramatique ? ... Que dites vous de passer à l'habillage ?


Spoiler:

Son histoire oubliée, un vestige d'une autre époque, un sale con en armure mécanique, seulement connu des hauts-gradés qui ne peuvent pas le supporter, Canard est de retour.




>> Test RP

Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation.
Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.

Visible ça veut dire en rose fluo ?


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Informations IRL

Allez voir sur un canard bande de feignants !


Dernière édition par Canard Un le Mar 30 Oct 2012, 02:08, édité 4 fois
    Yeah, ça, c'est fait. Héhé.

    Bon, je fais court : c'est bon.

    Peut-être un peu laborieux pour la mise en bouche, je sais pas si c'est d'avoir fait ça en tant de fois (il fallait que je le rappelle) ou si c'est simplement ta façon de prendre en main le personnage, et je ne peux pas comparer avec ta présentation de l'autre Canard parce que je ne l'avais lue que rapidement de mémoire, pour trouver ça drôle et c'était marre. On sent des différences de fluidité entre les descriptions, entre les descriptions et l'histoire, entre l'histoire et le test. Quelques fautes çà et là, irrégulières, parfois moches car si les fautes d'inattention n'étaient pas souvent les plus moches le monde n'irait pas bien.

    Il ne va pas bien ? Mh.

    Bon, sur le fond, c'est cool d'utiliser les PNJ du forum, ça met dans le bain. Un bon point, même si niveau grades c'est toujours un peu compliqué faute d'historique de faire intervenir tout le monde. Tu parles de Kindachi Tetsuda en vice-amiral il y a plus de 27 ans, par exemple, et vu sa tête ça m'étonnerait que ç'ait pu être possible... M'enfin, mettons.

    Niveau humour, j'ai bien aimé, on te retrouve assez dans ton absurde quotidien même si je crois que je préfèrerai encore Un Canard à Canard Un pour ça, sûrement parce que le concept est plus ultime d'un côté que de l'autre, et que des vieux séniles on en a au moins un autre (Pludbus) si ce n'est deux (Fosco). Ca n'enlève rien aux trouvailles de narration et au rocambolesque de tes histoires, cela dit. Le concept de l'île des gens qui veulent être tous pareillement parfaits m'a particulièrement plu, par exemple, et les ours sont très sympas de leur côté. Idem, les dialogues ne sont pas à regretter, ils participent beaucoup au rythme de ton test.

    Je vais dire 800 customisables à 1000 sans souci si les autres sont okay, ou 1000 customisables à 800 si les autres ne sont pas okay, c'est selon, parce que tu passes quand même plusieurs fois au présent sans qu'on sache pourquoi et que j'ai dû plusieurs fois m'arrêter pour relire la même phrase en essayant de trouver la subtilité que je n'avais pas vue.

    Bon jeu avec ce compte, en espérant que tu n'oublieras pas le premier. Au plaisir.


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    Bien le bonjour Canard, j’viens pour donner mon premier avis, deuxième pour toi !

    Donc, globalement niveau forme c’n’est pas trop mal si on passe sur les quelques oublis de mots et les phrases parfois bizarres… Je pense notamment à celles-ci dans la psychologie :
    Antipathique et misanthrope, le soldat ne supporte pas les relations. Amicale dans un premier temps -mais de toute façon peu le voudraient comme ami-, mais aussi celle que l'on possède avec une némésis, de la famille ou un membre d'équipage.
    Alors j’ai eu beau relire plusieurs fois, j’ai toujours un doute sur ce qu’est le « celle », même si je pense que c’est « les relations », du coup, ce s’rait « celles »… Mais y’a pas que ça, parce que si tu vires ce qu’il y a entre tirets, la phrase est toujours bancale. Et me semble que c’est pas la seule de ce genre, mais j’ai pas tout relevé.

    Bon sinon, j’ai trouvé ça un peu long et malgré quelques accrochages, ça se lit assez bien.

    Bref, j’vais m’arrêter là pour la forme sinon ça va faire redite avec s’qu’il y a au dessus, voyons le fond.

    Bon, Physique et Psycho sont bien complets, j’vais pas rev’nir dessus, par contre, la bio, y’a quelques trucs qui m’ont gênée/surprise… Déjà, la réaction de Canard face à la perte de sa famille qui fini même par les « insulter ». Okay il a été élevé selon des « valeurs contraires à celles de ces parents», mais du coup, p’t’être qu’une petite précison de ces valeurs aurait été pas mal. Et puis même, tu dis qu’il a un sens développé de la justice, mais si justement, il a des valeurs « contraire à la perfection de ses parents » on peut penser que justement, il n’a pas la notion de justice… Bon après oui, ton île natale a surement des notions bizarres de la perfection ou autre. Bref, juste pour dire que ça aussi, je trouve que ce n’est pas très clair.

    Autre chose, à la fin, Canard redevient marine, il est d’ailleurs, avant ça, prof pour les jeunots marines. Vu son acte de rébellion face au Buster Call, ça me surprend un peu que les chefs lui « permettent » d’enseigner, et aussi que Canard ait accepté le post vu sa misanthropie et son aversion pour le dialogue.
    Fin bref, ça me semble bizarre qu’il soit encore autorisé à servir la marine alors qu’on sait qu’il peut « retourner sa veste » et faire capoter une mission.

    Sinon, j’en arrive au Test Rp que j’ai particulièrement aimé, surtout la deuxième moitié. J’ai eu un p’tit peu de mal à m’accrocher au début, p’t’être parce que ça commençait à être bien long, mais en général, les dialogues sont vraiment cools.

    Donc pour les dorikis, je suis quand même plus sur du 800, j’étais même à moins avant le test, donc monter à 1000 j’suis moyen pour mais si le dernier est convaincu du 1000, je chipoterai pas.

    Voili, voilou, sur ce, bon jeu avec ce nouveau perso !


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    30 Août - 26 Novembre pour cette présentation, on a fait fort ^^. C'est parti pour la dernière voix !

    Ça va être beaucoup plus court que mes deux collègues. Déjà parce que je suis d'accord avec eux sur presque tout, et d'autre part parce que je n'ai pas eu le courage de me retaper en intégralité la première partie de ta fiche. Cela dit, elle m'avait déjà laissé une bonne impression. J'ai l'humour facile, et pour le coup on peut dire que j'ai souvent ri en te lisant. Moi qui n'ai que très peu lu Un Canard, je n'ai pas souffert de la comparaison si elle a lieu d'être.

    J'ai particulièrement aimé ton île natale. Et encore plus l'explication de ton nom. Le test RP est aussi de bonne qualité même si ça a été un peu long a démarrer et que je ne voyais pas trop où tu voulais nous emmener avec toutes les différentes scènes (j'ai parfois été un peu largué). Mais bon, j'me suis marré quoi.

    Ya quelques fautes par-ci par-là. Ya aussi parfois des longues parenthèses qui nous font un peu sortir du truc. C'est un peu ça qui m'a fait hésiter entre 800 et 1000, même si j'aurais bien penché pour la seconde note. Mais vu que les autres se sont plus prononcés pour 800, on va rester dans la même valeur pour montrer comment dans le staff, on est tous carrément sur la même longueur d'onde.

    Validé pour 800 Dorikis, donc.
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