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C'est un fusil ? Une arme secrète ?! Non, c'est un tapir...

Rappel du premier message :

- Et toi alors ? T'en penses quoi ?
- ...
- Nan sans rire tu la trouves pas mortelle celle-là ?!
...
- Moi elle m'a fait poiler !
...
- Nan mais toi t'as pas d'humour aussi... Splotch !




East blue. Mer calme et ciel azur. Seuls quelques nuages semblables à des petits moutons mouchètent le ciel. Le temps idéal où la chaleur du soleil lutte à arme égale avec une légère brise rafraichissante. Et au milieu de ce havre de paix maritime : une barque.

A un bout de cette petite barque sans voile : Popoye le pêcheur. Popoye, c'est un mec sympa. Ça on peut pas le lui enlever. Du genre optimiste de tous les jours, qui à part la pêche n'a qu'un hobby dans la vie : les blagues. C'est donc revêtu de la tenue typique des marins de la région qu'il déblatère sans cesse, ayant à son actif le record du plus grand nombre de blague à la minute. Faut bien dire que les métiers de la mer, en général c'est dur. Alors pour pas sombrer dans un alcoolisme ravageur, Popoye est tombé dans l'humour. "On y a pas gagné au change" pourrons vous dire ses voisins et confrères...

De l'autre côté de la barque, en face d'un popoye hilare... Un tas de poisson. Et devant ce tas de poisson, un tonneau qui lui sert à ranger ses filets lorsqu'il rentre au port. Mais pour le moment, ce fameux tonneau sert surtout de support à une baudroie que le vieil homme a placé là. Vu la tronche que tire l'animal, ça a plus l'air d'une potence que d'une estrade pour le vainqueur du dernier loto. Pas de bol pour Joséphine la baudroie, c'est son tour.

- Et toi alors ? Tu la connais la blague du [...]
...


Derrière Joséphine, le tas de poisson que vient de pêcher Popoye s’agglutine avec des airs de chiens battus, tout en sachant pertinemment que rien ne les sauvera d'une séance de blagues pourries, dont ils ne comprennent d'ailleurs rien. Faut dire qu'il y a que Popoye pour penser qu'une baudroie ou un mérou peut s'esclaffer à la énième annonce de la blague de "toto mange du concombre." Y a que lui qui est assez désespéré et chassé par ses pairs pour rechercher un public et/ou des amis dans ses filets. Quoique désespérés, ses pauvres proies le sont aussi pour le coup. Être péché et mangé passe encore... mais obligé d'écouter ça avant ?!... Que Davy Jones leur vienne en aide.

- Raaah mais c'est pas vrai ! La chute est pourtant énoOoorme !
- ...
- J'suis sûr que t'as pas bien entendu en fait ! Ça doit être ça sinon t'aurais rigolé c'est obligé !
- ...
- J'vais reprendre du début.
- ...




Horrifiée, Joséphine la baudroie commence à se demander combien de temps est sensée tenir son espèce hors de l'eau... Trop. Puis tandis que la terreur s'empare à nouveau d'elle quand le pêcheur recommence son dico des blagues pourries, un grand choc percute la barque ! Bam ! Aaaah... sauvée.

Aussi sec, Popoye se rue sur le bord de l'embarcation afin d'observer la tâche sombre qui rôde autour de sa barque ; avant de se saisir d'un grand harpon qu'il jette vigoureusement dans l'eau. A force de pêcher à la recherche de pitance et d'un poisson enfin doué du sens de l'humour, Popoye est devenu un fin pêcheur. Plus fin que ses blagues en tous cas. Ni une ni deux, le requin naïf qui n'en avait pas conscience se retrouve embroché et remonté sur le pont, mort. Les autres poissons le regardent alors presque avec envie, se disant qu'être trop petit pour le harpon est vraiment trop injuste. Maudit filet qui vous capture vif ! L'animal mort et le vieil homme se font face quelques longs instants... instants de silence salvateur... puis le naturel revient au galop.

- Tiens ! Ça me rappelle la blague du... BLAM !

Dans une pluie fine de petites gouttelettes carmines, la moitié supérieur du requin est pulvérisée dans les airs ! Popoye bondit lui aussi vers les cieux sous l'effet de la surprise, et les autres poissons de même en espérant que l'dieu des poissons vient enfin les sauver ! Des petits bouts tombent encore dans toutes les directions tandis que Popoye se relève avec prudence... Médusé, il n'arrive pas à croire ou bien à comprendre ce qui vient de se passer. Ou encore ce que vient faire sur le pont de son embarcation ce fusil à canon scié encore couvert de sang et de tripes de requin.


    La langue pâteuse goûte à l'eau trop salée, trop ferreuse. Trop rouge. Tout mon corps supporte le coup reçu et la tentative ratée. Mais je ne me laisserai pas faire. Oh non. Prends garde à toi commandant Achab. Ce n'est que partie remise.

    Ma grande gueule s'ouvre et toute ma cavité aspire l'eau. Jusqu'à ne plus pouvoir respirer, jusqu'à gonfler mes joues déjà énormes. Puis mes immenses pieds se plient. Mes muscles se crispent et mon corps vole vers l’extérieur, impulsé par mes jambes.

    L'eau explose sous l'impulsion du corps dans un grand fracas bleu rougis. Et surgit de là, ma carcasse informe, boursoufflée par l'eau ingurgitée. Dépassant du pont sous les regards médusés de quelques marines, ma gueule explose.

    « Trop boire noie la mémoire. »

    Et sous la geyser d'eau qui s'en suit, les quelques marines aux regards médusés se laissent entraîner sous la puissance à l'autre bout du pont. Mais ça ne suffit pas. Oh non. Et malgré toute ma volonté, les pauvres mouettes ne veulent tomber alors j'ouvre mes gros bras. Je les ouvre et cours maintenant sur eux pour la grande accolade. Toujours sous le coup de l'eau trop chaude, trop baveuse et trop puissante pour eux, les marines ne réagissent que trop tard. Lorsque mes immenses mains les ont déjà enlacés. Lorsqu'ils se trouvent déjà à plonger avec moi dans l'eau glacée. Lorsque mes doigts viennent percuter leurs ventres trop faibles. Trop mous.

    Et alors qu'ils tentent péniblement de retrouver leurs respirations, que les souffles courts se perdent à tenter de respirer dans un milieu qui n'est pas le leur, je suis déjà de retour sur le pont.

    5 de moins.

    Mon nez renifle. Mon regard se perd. Et tout mon corps se tend à la recherche du commandant Achab. Mais rien n'y fait. Je n'entends que le râle de mouettes, que le fracas d’épées. Je ne sens que l'odeur du liquide rougeâtre, de la poudre incandescente et de l'écume de mers se fracassant sur le navire, faisant voler les gouttes d'eau jusqu'à mon nez. Je ne vois que le sang, encore lui, rougire le pont, mes amis combattre avec énergie. Le robot étrange, vouloir pourfendre mon frère de race.

    _  « Hmm... La bataille est perdue pour toi Robot. Rends toi. Ou meurs. Mais fait vite. Je suis las de me battre. »

    Alors que je palabre, mon oreille recommence à siffler. Violemment. Ma main se perd sur la cicatrice comme pour comprendre la raison et mon genou manque de plier à terre. Trop de violence. Trop de mort. Je suis las...

    _ « Hmm... Blake... Prends la barre. On s'en va. Monster, lance une barque pour les pauvres mouettes à l'eau. Ce bateau nous appartient. Quant à toi le Robot, quant à vous, marines resistant encore, je suis votre adversaire. »

    Les quelques hommes encore debout m'observent, les lames qui n'étaient pas encore sortis se sortent. Mon poings vient se perdre sur le pommeau de mon épée. Puis la valse recommence encore. 3 hommes se jettent sur moi et le fracas des métaux résonne sur la coque du navire. Mais cette fois, je ne fais plus dans le détail. Oh non. Le plat de l'arme cogne et les têtes tombent. Une, puis deux. Puis trois.

    Derrière, le robot observe le combat et lorsqu'enfin les 3 petits hommes finissent par se faire jeter à l'eau par mes immenses bras comme de vulgaires marionnettes, l'espace se crée. Celui de la bataille entre un monstre hideux et un robot incompréhensible.
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    -Technique secrète du clan Garcia : La chute du beignet de morue !

    Tentative d'esquive de Monster qui, dans un réflexe spontané pour se protéger, envoya de toute la force dont il disposait un de ses otages comme projectile à son asseyant. Malheureusement ce dernier, pris par la vitesse de son attaque, ne put réagir et frappa de toute sa force de robot le front du pauvre marin qui allait avoir une seconde grosse bosse. Comble de la malchance, l'attaque était destinée à l'Homme-Poulpe, et la malheureuse victime humaine fut propulsée en sa direction suite au coup qu'elle venait de recevoir. L'homme heurta Monster de plein fouet, celui-ci ne pouvant pas réagir au vu de la vitesse que le marin avait prit. Le souffle coupé, la créature aquatique fut propulsée sur plusieurs mètres pour être stoppée par une autre mouette, couverte de morve et se tenant les parties génitales à genoux. Celui-ci fut à son tour éjecté sur plusieurs mètres pour finir son vol dans un groupement de caisses en bois qui volèrent en éclat, déversant sur l'homme leurs contenus : des dizaines de poissons frais conservés dans des kilos de sel. Suivirent dans la foulées des dizaines de mouettes venant profiter du festin en piaillant et, accessoirement, en déféquant.

    Quoi qu'il en soit, Monster retrouva peu à peu ses esprits et se releva en faisant tout son possible pour respirer à nouveau convenablement. Quel choc ! C'est alors qu'il s’aperçut que, suite à l'attaque du cyborg, il avait involontairement lâché ses deux derniers otages. Une situation qu'il n'appréciait que très moyennement car il doutait vraiment de ses capacités à battre un homme de métal au corps à corps à la loyale. Un humain, il pouvait l'étouffer, mais une machine... De plus, il ne connaissait rien à l'anatomie des robots. S'il frappait à l'endroit où se trouvait normalement le cœur chez les créatures biologiques, allaient-il le tuer ?

    Mais la question ne se posa pas, fort heureusement. Grâce à l'arrivée d'Ishii qui le tira de ce mauvais pas. Grâce à l'arrivée d'Ishii... Qui le tira de ce mauvais pas... Grâce... Ishii...


    *Arg ! Pourquoi lui ? Pourquoi pas Blake ? Pourquoi c'était encore cette vulgaire créature qui venait à sa rescousse ?*

    -Monster, lance une barque pour les pauvres mouettes à l'eau.

    Il refusait d'obéir à un ordre d'un Homme-Poisson. Il décida de n'en faire qu'à sa tête, et de laisser le robot s'occuper d'Ishii pendant qu'il ferait ce qui lui semblait être le meilleur. Autour de lui, la bataille était presque terminée. La plupart des marines avait fini à l'eau. Hors de question, maintenant qu'ils avaient gagné, de les laisser se noyer. Il ne fallait pas gâcher la vie humaine, trop précieuse, sans contrainte d'urgence. Il décida donc de leur lancer une barque pour qu'il puisse dériver sans se fatiguer.

    Louant son propre sens de l'initiative, il s'effectua, tout en gardant un œil sur le sort funeste qui allait, il l'espérait, mettre enfin un terme à l'aventure d'Ishii.
    • https://www.onepiece-requiem.net/t4261-doc-monster

      Dans la confusion de plus en plus grande qui règne sur le pont, tout se déroule très vite...

      Suspendu à sa corde le commandant Achab ne peut rien faire pour éviter le fusil qu'une main perverse à balancé sur sa trajectoire et sous le choc il lâche prise un instant et descend d'un bon mètre. Mètre relativement providentiel puisqu’il lui évite de se faire emporter la tête par la double volée de plomb expulsé par le tapir qui tranche la corde au lieu de tuer l'officier.

      De nouveau soumis à la dure loi de la gravité, Achab n'a que le temps de serrer les dents avant de s'écraser à toute vitesse sur la coque du navire, puis de passer de la coque à l'eau dans un plouf discret.

      -COMMANDANT !

      Alertée par le bout de corde fumant et sans capitaine au bout qui revient se balancer mollement sous ses yeux, Maya réagit immédiatement. Et au lieu de finir sa charge sur Lucio elle lui décoche un superbe coup de pied sauté en pleine mâchoire avant de l'utiliser comme tremplin pour faire un plongeon impeccable la poursuite du chef.

      -LIEUTENANT !

      Et comme un seul homme, les soldats à ses cotés suivent le mouvement et sautent dans le désordre par dessus bord.
      Quel manque de correction incroyable !

      Ah manifestement tu disposes de données internes sur le comportement humain et les notions de corrections et de respect d'autrui. Tu pourrais me télécharger ça vite fait dans la base de donnée ? Ca ne devrait pas être trop long.

      *Attention, une mise à jour est déjà en train d'être installée. Veuillez interrompre toutes les applications en route et réessayez ultérieurement. En cas de persistence du problème...*

      ...

      ...

      Je propose qu'on fasse comme si on n'avait rien remarqué et qu'on reprenne le récit normalement.

      Je suis parfaitement d'accord avec toi mon cher.

      Très bien.

      Donc, la personnalité Judge-C modèle punisher, est choquée. Manifestement, interrompre un combat au nom de la justice est quelque chose d'incorrect pour l'être humain moyen. L'hummanoïde difforme aux allures de baleine semble pourtant déterminé à recommencer si jamais l'idée nous venait de nous en reprendre à l'individu nommé Chtulu un peu plus haut dans mon récit.

      L'autre n'est pas particulièrement impressionné par la masse volumique de l'individu, ni par l'efficacité avec laquelle il s'est débarrassé des soldats. Pourtant, si j'en juge par ce qu'il a été enregistré dans mes donnée, et le fait que la lieutenant Maya effectue ce qui ressemble énormément à une charge vers l'arrière, l'être humain n'est en général guerre disposé à affronter un ennemi trop puissant.

      Je suis le plus haut gradé en état de combattre. Je ne peux pas les abandonner.

      En effet, tout autour de nous, les senseurs indiquent que les soldats qui n'ont pas rejoinds le lieutenant attendent nos instruction. Cela est très interressant. Ainsi, l'homme préfère se référer à un robot étrange qui fait des discours plutôt qu'à sa propre capacité de jugement ?

      Je commence à me dire que la soif d'intelligence artificielle des scientifique est principalement dut au fait que les soldats normaux n'ont pas d'intelligence du tout.

      Tu es un adversaire puissant Capitaine Môsh. Stoppons ce massacre inutile. Replie-toi, et laisse ces soldats pansé leurs blessures. Je serais votre otage et partirait avec vous comme preuve de notre bonne volonté.

      Euh loin de moi l'idée de vouloir t'interrompre dans ce qui semble correspondre à l'idée humaine du sacrfifice, mais il a juste demandé à partir, jamais il n'a mentionné la possibilité d'une prise d'ot...

      Loin de moi l'idée de vouloir te faire taire, mais t'y connait rien en formalité standard de la marine, donc contente toi de de meubler et de raconter l'histoire, ok ?

      Pisque c'est comme ça, je boude !

      Je dirais pas que tu ordonnes aux soldats de baisser leur armes et que tu tends les mains, comme si tu attendais qu'il te menotte. Et je ferais pas de petite phrase sensée faire rire le lecteur avertit.

      Mais...

      Ranafout !

      Oui joyeux ranafout si tu veux, mais on risque de perdre des lecteurs, voir des dorikis au moment des récompenses et...

      ...

      Euh...

      ...

      Bon je dois trouver une phrase de conclusion, ou bien un cliff hanger sympa pour la suite de notre récit.

      ...

      A suivre après la réaction d'Ishii ?

      Pff amateur...
        Ce gout de victoire. Cette odeur enivrante du combat gagné. Du sang coagulant déjà. Des plaies se refermant. Je le savoure. J'hume l'air avec aux lèvres, presque un sourire triste.

        Tu es un adversaire puissant Capitaine Môsh. Stoppons ce massacre inutile. Replie-toi, et laisse ces soldats pansé leurs blessures. Je serais votre otage et partirai avec vous comme preuve de notre bonne volonté.

        Les mots sortent du robot. Comme si l'être humain s'y cachant, l’intellect, pouvait sentir la tristesse de tout ce sang coulé inutilement. Alors j'humecte l'air. Je renifle, bruyamment. J'observe Blake, Monster, le dormeur et l'arme étrange profiter du court moment de répit. Mon cigare fumant se fait écraser par les mots du robot, mâché par mes grosses mâchoires.

        _Hmm... Sais tu robot, j'ai tué. J'ai volé. J'ai fait toutes les bassesses du monde pour réussir à arriver haut. Mais à l'instant où je me suis remis dans le droit chemin... Au moment où j'ai décidé de ne plus faire violence, de ne plus être un Hors La Loi. Où j'ai décidé de vivre comme un simple voyageur à la recherche d'une île où je ne serai plus jugé sur mon immonde physique mais sur mon âme. Alors à cet instant la marine m'a pourchassé comme jamais elle ne l'avait faite. Je ne comprends pas...

        Le vent d'Est vient frapper les voiles déchirées dans un craquement sinistre pour nous amener loin. Quelque part.

        _Hmm... Tu me dis capitaine? Tu me considères comme Pirate? Soit ! Reste avec nous alors. Et tu comprendras que d'homme poisson pirate, je ne suis qu'homme. Tu ne seras pas otage, tu ne seras pas prisonnier. Tu seras notre invité, notre compagnons, le témoins de notre droiture mais prends garde ! A la moindre traîtrise, tu finiras comme tous tes hommes. Dans un barque à cahoter au milieu de l'océan. Seul.

        Le tapir crachote quelques résidus de poudre dans une toux sinistre. Les mats continuent à craquer sous les coups portés mas au milieu, Blake apparaît un sourire enjoué aux lèvres avec à ses deux bras deux bouteilles de gnôles. Mon nez renifle cette odeur enivrante, ce bon gout du saké d'East. Ces drôles de souvenirs.

        _Hmm... Blake a raison. Trinquons à la victoire et surtout, fêtons la Liberté.
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          Dans la barque abandonné par les pirates et ou se sont réfugiés les marins, Le lieutenant Maya termine de ranimer un capitaine Achab a moitié noyé sous les regards inquiets de tout les marines de l'équipage...

          -Pffou ! Que le grand Cric me croque, qu'est ce qu'il s'est passé ? J'ai l'impression d'avoir bu la moitié de l'océan...
          -Vous étes tombés à l'eau capitaine... Et on a du plonger pour vous chercher...
          -Quoi ! Et le Karaboudjan ? Et les pirates ?
          -Ben... Ils se sont enfuis avec Capitaine...
          -Enfer et damnation !


          D'un bond le capitaine est debout à la proue, agitant un poing vengeur vers la caravelle qui s'éloigne pour lui déverser une bordée d'injures.

          -Trafiquant de chair humaine ! Cercopithèque ! Moussaillon du diable ! Pirate d'eau douce ! ISHI MOSH ! Tu peux toujours courir je te retrouverai ou que tu ailles ! Je t'aurais Ishi Mosh, méme si je dois te poursuivre jusqu'en enfer pour ça ! Et que le diable me mange la barbe si je mens !
          -Euh Capitaine je me demandais...
          -Quoi encore ?
          -Pourquoi vous n'avez pas utilisé votre fruit du démon ? Je veux dire, tout à l'heure...
          -Et bien je... Je n'y pensais plus voila tout... Ce sont des choses qui arrivent...


          Et pendant que les marins secouent la téte de consternation, Achab hausse les épaules et reprend le cours haibituel de sa vie en main...

          -Bon, c'est pas tout ça mais il est temps de se remuer. Aux rames messieurs, ne les laissons pas prendre trop d'avance...Maya, inventaire des vivres, il y a surement de l'alcool à bord, trouvez moi ça...
          -Aye Aye sir !

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