Cool ! La maîtresse ne maillot de bain : )
Déjà deux heures que je viens d'atterrir sur cette île peu accueillante. Le climat est à priori plus tourner vers l'hivernale que l'estivale. mais c'était pas un problème. Mais le climat était en relation avec le nom de cette île: Glassonière. Une île peu accueillante, au climat frisquet mais bien sympa. Des champs à perte de vue, ça sent la tranquillité à plein nez. Pour une retraite ou une planque pour s'absenter un bon moment, cette île est parfaite. Là n'était pas le sujet malheureusement. Déjà deux heures que je marche et il commence à faire soif. Je dois trouvé un bar et vite, ma gorge réclame ce liquide doux et transparent qu'on appel Saké.
Bientôt trois heures et la ville montre enfin de compte, le bout de son nez. Il est pas trop tôt ... Arrivant en pleine ville, je remarqua une vieille dame assise sur un banc, observant la vie en métropole. Elle allait pouvoir me renseigner.
- " Bonjour madame, excusez moi mais je recherche un lieu pour pouvoir me désaltérer comme un bar. Sauriez-vous où il se situerait ? "
- " Oui tout à fait jeune homme. Vous continuez dans cette direction encore deux minutes et vous trouverez une banque. A ce niveau là, tourner la tête sur la droite, et le voisin de cette banque sera votre bar. "
- " Bien. Merci Madame. "
Enfin, quelque chose de positif dans cette journée. J'allais enfin pouvoir boire.
Les deux minutes sont passés et j'arrive au niveau de la banque comme prévu. Je tourne la tête à droite, et le sésame se présente, le bar. J'entre à l'intérieur sans plus attendre, laissant sonner la "clochette à client". Le barman, nettoyant un des verres avec un torchon, tout en tapant la discute avec un client, détourna son regarde sur moi et me demanda ce qu'il me fallait. La réflexion n'existe même pas, je lui répond un double saké. Trente secondes plus tard, il me les sert et en un instant, je les siffles. Le remerciant je quitte mon tabouret, ayant bu simplement pour me désaltérer. Le type me fixe avec un regard noir et me demande l'argent pour payé. Bien entendu, je regarde me poche et manque de bol, aucuns berrys à l'horizon. Je regardais alors derrière la vitrine de la boutique tout en cherchant mon argent et une idée me traversa l'esprit. D'un signe de la main, je lui dis:
- " Bouge pas de la je reviens ... "
La banque se trouvant en face, la voilà ma solution. Je quitte donc le bar pour la banque. Arrivée à l'intérieur, l'argent avait de l'importance ici et ça se voyait. Des colonnes plaqués or, des bureaux en bois laqué avec toujours cette petite touche de couleur, grâce à l'or. Et tout était de la même façon. C'était certes une petite île, mais une île bien riche. Je ne connais pas l'histoire ni même les commerces de la ville mais il est certains qu'ils savent y faire en affaires.Et au fond de la salle, se trouve le sujet de mon plan, le coffre aux trésors ... Une grosse porte en acier protège la salle avec deux gardes en avant. Un coup de poing pour l'un et un coup de pied pour l'autre, ils étaient neutralisé. M'armant de mes deux massues, j’enchaîne alors les coups contre la porte. Un salarié de la banque, déclenche alors l'alarme. Il aurait fallu s'en douter...
Bientôt trois heures et la ville montre enfin de compte, le bout de son nez. Il est pas trop tôt ... Arrivant en pleine ville, je remarqua une vieille dame assise sur un banc, observant la vie en métropole. Elle allait pouvoir me renseigner.
- " Bonjour madame, excusez moi mais je recherche un lieu pour pouvoir me désaltérer comme un bar. Sauriez-vous où il se situerait ? "
- " Oui tout à fait jeune homme. Vous continuez dans cette direction encore deux minutes et vous trouverez une banque. A ce niveau là, tourner la tête sur la droite, et le voisin de cette banque sera votre bar. "
- " Bien. Merci Madame. "
Enfin, quelque chose de positif dans cette journée. J'allais enfin pouvoir boire.
Les deux minutes sont passés et j'arrive au niveau de la banque comme prévu. Je tourne la tête à droite, et le sésame se présente, le bar. J'entre à l'intérieur sans plus attendre, laissant sonner la "clochette à client". Le barman, nettoyant un des verres avec un torchon, tout en tapant la discute avec un client, détourna son regarde sur moi et me demanda ce qu'il me fallait. La réflexion n'existe même pas, je lui répond un double saké. Trente secondes plus tard, il me les sert et en un instant, je les siffles. Le remerciant je quitte mon tabouret, ayant bu simplement pour me désaltérer. Le type me fixe avec un regard noir et me demande l'argent pour payé. Bien entendu, je regarde me poche et manque de bol, aucuns berrys à l'horizon. Je regardais alors derrière la vitrine de la boutique tout en cherchant mon argent et une idée me traversa l'esprit. D'un signe de la main, je lui dis:
- " Bouge pas de la je reviens ... "
La banque se trouvant en face, la voilà ma solution. Je quitte donc le bar pour la banque. Arrivée à l'intérieur, l'argent avait de l'importance ici et ça se voyait. Des colonnes plaqués or, des bureaux en bois laqué avec toujours cette petite touche de couleur, grâce à l'or. Et tout était de la même façon. C'était certes une petite île, mais une île bien riche. Je ne connais pas l'histoire ni même les commerces de la ville mais il est certains qu'ils savent y faire en affaires.Et au fond de la salle, se trouve le sujet de mon plan, le coffre aux trésors ... Une grosse porte en acier protège la salle avec deux gardes en avant. Un coup de poing pour l'un et un coup de pied pour l'autre, ils étaient neutralisé. M'armant de mes deux massues, j’enchaîne alors les coups contre la porte. Un salarié de la banque, déclenche alors l'alarme. Il aurait fallu s'en douter...