Les affres du passé de la Cloque

J'tenvois par le fond garçon avec suffisamment de poudres pour que tu fumes jusqu'aux portes des enfers.

Je… Je pense que je vais couper…

Derrière ses mystères et son genre de « je m’excuse et je m’en veux », c’est une salope. Descendant en ligne direct d’un marquis de je ne sais qui, supposé noble et supposé médecin. Certains prétendent qu’il devint Médecin lorsque lors d’un abordage qu’il subissait à bord d’un bâtiment civil, alors qu’il n’avait que dix-sept ans, l’un des pirates perdit une jambe. Alors que le capitaine comptait tuer tous les civils, il se défendit de savoir comment sauver l’un de ses hommes. Le capitaine le laissa faire et par un coup du sort, l’homme fut sauvé. George devint donc médecin pirate. Il passa d‘équipages en équipages et n’eut qu’une chance, la lecture. Il en apprit plus qu’un véritable doc’.
Presque toujours aussi dégoutté de couper un membre et pourtant on en jurerait qu'il adore ça.  Jamais là pendant les combats, toujours entrain de couper des pattes à ceux qui se prennent les premières balles. Risque d'infection oblige.

Rumeur Rouge pour la position actuelle : A editer.

Ta gueule.

Un homme-poisson n’est jamais une personne à qui tourner le dos, jamais une valeur sure. Bylly le savait, c’est pourquoi il avait fait de Bik’ le cambusier de son équipaqe. Dans l’ombre du navire, toujours dans un coin sombre des cales, dans une pièce, dans un recoin, entrain de chasser les rats, compter les stocks et construire les tonneaux à vivre. Dès que le bâtiment touchait terre, il ne fallait pas une demi-journée pour que cette saloperie de Bik’ ait trouvé de quoi nourrir trente hommes pendant dix jours. Des fois il revenait avec des esclaves, juste assez pour gagner un mois de nourriture en les revendant sur l’île suivante. Lors des combats maritimes, il plongeait sous le navire adverse et tuait tout les hommes sous le pont adverse. Les cales devenaient un vrai champs de morts.
Il tenait les stocks, il tenait le navire et il ne pointait jamais sa sale tronche sur le pont principal. Fou ? En tout les cas, aucun mousse de Bylly ne revenait s’il s’égarait dans les cales sordides du Fâcheuse. Jamais.

Rumeur Rouge : A editer.

C’est de la merde ? Et Alors ? Si je le bouffe, tu le bouffes.

A l’époque de Bylly, Boll était le cuisinier qui opérait à bord du Fâcheuse Destinée. Vulgaire, sale et agressif, le cuistot de l’équipage de la Lame Sombre était le pire cuisinier de ce bas monde. Aucun goût, aucun mariage de saveur, juste de quoi remplir la panse de la plus horrible des manières. Le gras se couple avec le gras et les patates ne méritent même pas d’être épluchées. Le mouton a le même goût que le rat et rien ne prouve que c’était du mouton à la base. Une vraie salope au combat, armé de ses couteaux et de ses hachoirs, il fendait les adversaires de part en part. Certains prétendent qu’il en servait des morceaux à l’équipage. Ca ou du rat. Lorsque la tête de Bylly est tombée, l’équipage entier est passé sous les ordres de Jangoto le Baffeur. Boll a déserté comme une gros lâche puant dès qu’il eu un sabot sur Shabaondy pour ne plus faire parler de lui ensuite.
On prétend qu’il aurait ouvert une taverne dans les bas-fonds de Bliss où on y sert la plus horrible des bouffes.
 

Dorikis : 1000
pp et pi : 150
Pouvoirs : Laser dans la bouche, corps en acier renforcé, flash lumineux puissant dans les yeux.