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Des voleurs à Goa ?!! Encore ?!!

Mon entraînement sur shimotsuki était terminé depuis trois jours et ces trois jours, je les avais passés en mer.
Quelle était ma destination, le royaume de Goa, mon envie de devenir pirate grandissait de jour en jour. Je voulais défier la marine, défier mon père, mais pour un projet pareil, j’aurais besoin d’argent, rien que le bateau coutait cher, très cher.

J’arrivais donc enfin à Goa, après trois jours à bord d’un bateau, en tant passager clandestin, je descendais donc discrètement du bateau en déchargeant un sac au passage, après quoi je m’en allais, rejoindre un coin sympa de la ville.

Celle-ci était plutôt animée, même si on pouvait voir beaucoup de gens riche qui se pavanait dans les rues.
C’est à cet instant que l’idée me vint. Pourquoi ne pas les voler ? Ils ont déjà beaucoup d’argent et ils en gagnent sans cesse.
Je savais donc comment j’allais m’y prendre pour gagner de l’argent dans cette ville.
Mais avant cela, il me fallait trouver quelqu’un pour m’aider dans ma tâche et aussi un masque accessoirement, histoire de passer incognito.

Je me rendais donc dans une taverne du coin pour boire un coup et aussi trouver un complice pour m’aider.
C’est alors que j’aperçus quelqu’un entré dans ce lieu de beuverie. Une fille très jeune et je savais qu’elle serait la complice idéal.
Je m’approchais donc d’elle et m’asseyais en face d’elle avec mon verre de ruhm à la main.

-Bonjour jeune fille.

Elle se mit à me regarder bizarrement, à me dévisager, comme si j’étais une sorte d’alien, ou je ne sais quoi d’autre.

-Pas la pêne de me regarder comme ça tu sais, je n’ai pas l’intention de te faire du mal.

Son regard changea légèrement, pour devenir méfiant. C’était quoi son problème. Bon je suis sûrement plus vieux qu’elle, mais tout de même, une telle réaction.

-Bon, pour faire simple, j’ai un bon plan pour gagner de l’argent. Pas mal d’argent en fait. Qu’est-ce que tu en dis ? Je peux t’expliquer bien sûr, mais je serais embêter si tu décides de refuser et que tu dénonces mes intentions à la marine.

Je la regardais dans les yeux pour essayer de savoir quel genre de personne elle était, mais je n’étais pas doué dans ce domaine. Donc autant abandonner cette tentative de suite, je ne pense pas qu’elle soit le genre de personne qui dénonce à tout bout de champ. Je vais donc tenter ma chance.

-Très bien, voilà mon idée.

Je me penchais et me mis à chuchoter tout bas pour que personne d’autre n’entende.

-Je pensais m’introduire chez les riches habitant de cette ville pour… Comment dire, faire le ménage. Si tu vois ce que je veux dire. Lui dis-je en ajoutant un petit clin-d’œil à la fin. Je pense que l’on peut facilement gagner plusieurs millions de Bérrys, croit moi, ça vaut le coup, en plus j’ai besoin de toi, tu es plutôt petite et fine, tu pourrais te glisser chez eux et m’ouvrir. Alors, qu’en penses-tu ?

J'étais assez impatient de connaitre ça réponse et j'espérais, bien sûr, qu'elle serait positive, mais j'avais l'impression que c'était mal parti. Elle n'avait pas l'air très intéresser.
Ah les jeunes de nos jour. Ils ne savent plus reconnaître une opportunité.
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Il fait beau, la ville est joyeuse, on est sur Ptyx, South Blue, ville natale de Kurumu. Celle-ci, était dehors en train de faire un tour.
*C'est tranquille, calme, le soleil brille. Dommage que Naoko ne soit pas là, on aurait pu rigoler un bon coup.*

Elle retourna chez elle pour se reposer. En rentrant, elle vit des chaussures qui ne lui était pas familier. Elle accourut dans le salon et vit son père.
-"Bonjour Kurumu, heureuse de me voir ?"
-"Papa ! Je t'aurais bien proposé quelque chose à faire, mais j'allais me reposer. Ma petite promenade m'a épuisé." dit-elle en étant accrochée au cou de son père.
-"C'est bien dommage, j'allais t'emmener dans une ville magnifique. Elle se situe dans East Blue. Cette ville n'est autre qu'un royaume. C'est celui de Goa. Mais puisque tu dois te reposer..."
-"Nan, finalement je suis en pleine forme. Bon on y va ? Je suis déjà prête."
-"Attend moi devant la porte, je vais arriver. J'ai deux choses à récupérer."

Kurumu était habillée d'un jean bleu, petites chaussures de marche noir, et d'un T-shirt couleurs vanille ( blanc légèrement jauni). Son père arriva mais ne montra pas ce qu'il avait récupéré.
Ils allèrent au quai, et prirent une caravelle. Elle était basique, à voile blanche avec un symbole rouge.

-"Pourquoi on ne prend pas le grand yacht, avec le volcan."
-"Je l'ai laissé sur une île pour, on va dire, des réparations. Le navire que tu vois, est à une connaissance. Il me l'a prêté en attendant. Mais je ne te croyais pas curieuse."
-"Je suis désolée."
-"Tu n'as pas à t'excuser. Bon tu montes ?"

Le voyage commença, et l'adolescente visita la caravelle. Ce n'était pas du grand luxe, mais c'était assez spacieux pour les dix personnes présentes sur le navire.
Kurumu commença à s'endormir dans une chambre. Les lattes étaient raides et le matelas peut confortable.
*Surement des lits pour matelot.*

Les heures passaient, Kurumu se fit réveillée par un matelos, qui lui dit que le Royaume de Goa était en vu.
L'adolescente se leva et alla voir son père. Au bout d'une dizaine de minutes, elle le trouva, puis le demanda :
-"Papa, j'ai un truc à te demander."
-"Je t'écoute, que veux tu tant savoir."
-"Comment tu as fait pour être riche ?"
Il éclata de rire.
-"Ne cherche pas, si tu veux être plus riche que moi, il faudrait que tu fasses du commerce illicite, et encore... A ton âge, j'avais déjà des milliers de millions de berrys. Les affaires, les échanges, et tout ce qui va avec." Il mit sa main sur les cheveux de sa fille, et les frotta. "Tu veux faire un pari ? On sera ici pour une temps indéterminé. Donc je te propose que tu te ramènes avec le plus de berrys possible. Tu as carte blanche. Si tu reviens avec énormément d'argent, je t'offre ce que tu veux, sans trop pousser."
-"Le Getoka d'un mètre édition limité ?"
-"Si tu veux, mais tu n'est pas assez grande pour cette grenouille ?"
-"Très drôle... Mais tu tiendras ton pari si j'arrive à amasser énormément d'argent ?"
-"Tu ne fais plus confiance en ton père ? Ah et tu as une semaine. Voire moins. Donc reviens au bon moment. Nous t'attendrons si tu as du retard, mais ne pousse pas le bouchon trop loin."

Kurumu attendit que le bateau jette l'ancre, puis parti en trombe. Son but : amasser le plus de berrys.
*Comment je pourrais faire ? Papa a abusé quand même. Son pari est quasiment irréalisable. Et je n'ai pas le moyen de trouver autant d'argent en sept jours. De toute façon, la précipitation me mènera à rien. Je vais me poser quelque part et réfléchir*

L'adolescente marcha assez rapidement, sans prêter attention à la ville qu'était Goa. Elle trouva une taverne et y entra. Elle commanda un jus de fruit, puis se posa sur une table inoccupée.
Elle sirota tranquillement son jus, quand un homme vint vers elle. Il était plus âgé que Kurumu. Il tentait de faire la conversation avec la jeune fille.
*Tu as de l'espoir, venir me parler. Je ne peux que te souhaiter bonne chance.*
L'adolescente le regarda bizarrement.
*Tu perds ton temps... Mais pourquoi tu tournes autour de moi ? Tu commence à me faire chier. Du balais minable.*

-"Bon. je t'ai écouté débité tes salades. Demande à quelqu'un d'autre."

Kurumu se leva de la chaise et quitta la taverne.
Sur le chemin, elle réfléchissait.
*Finalement, l'autre avait raison. Ça à l'air d'être une ville très riche. Et ici, le vol à l'air de payer. Je devrais aller le revoir, pour accepter sa demande. En plus, je pourrais réussir le pari, et avoir le Gekota édition limité.*

Le soir, elle retourna à la taverne, et attendit. Soudain le garçon qui l'avait interpellé se posa à une table, et Kurumu alla le voir.
-"Tu dois te souvenir de moi... Finalement j'accepte."


Dernière édition par Sound L. Kurumu le Jeu 19 Sep 2013 - 21:16, édité 2 fois
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-"Bon. je t'ai écouté débité tes salades. Demande à quelqu'un d'autre."

Sa réponse ne me surprit qu’à moitié, car je sentais bien qu’elle n’eût pas l’air intéressé lorsque je lui expliquais mon idée.
Tant pis pour elle.

-Tu sais pas ce que tu rates, mais bon tant pis, je respecte ton choix. Lui dis-je.

La fille se leva et quitta la taverne. J’étais désormais seul à la table avec mon verre à moitié vide. Il me fallait quelqu’un pour m’aider, mais si personne n’était intéressé, je me débrouillerais.

La taverne dans laquelle je me trouvais était presque vide, il n’y avait que trois clients en dehors de moi. Il y avait aussi un homme qui tenait le bar. Sûrement le propriétaire.

J’attendais donc là, peut-être que quelqu’un de plus raisonnable que la fille viendra, on ne sait jamais.

Plusieurs heures plus tard, alors que j’entamais un nouveau verre, cette fois-ci rempli de bière, la porte s’ouvrit, ce qui n’était pas arrivé depuis le départ de la fillette de tout à l’heure.
Je posai une main sur la garde de mon sabre au cas où. On ne sait jamais, la fille avait peut-être été voir la marine.
Je me tenais donc sur mes gardes, prêt à me battre s’il le fallait, mais la personne qui entra dans la taverne me surprit tellement que j’en lâchai le manche de Gōrudentaigā, qu’est-ce qu’elle revenait faire ici ? Je croyais qu’elle n’était pas intéressée par mes "salades".

Je finis ma bière et me levai pour déposer mon verre au bar et en profiter pour payer ma consommation.
Je retournais ensuite m’asseoir à une table, c’est à ce moment-là que la gamine m’aperçut. Elle s’approcha donc de la table où j’étais installé.

-"Tu dois te souvenir de moi... Finalement j'accepte." Me dit-elle.

-Comme si j’allais… T’oublier. Hehe, t’as crus que j’allais refuser hein ? Allez tu peux le dire. Ma proposition tient toujours. Je n’ai aperçu personne d’intéressant pour le job.

-On devrait peut-être se barrer d’ici, on ne sait jamais, les oreilles indiscrètes sont partout. Tu veux que je te paye un coup à boire avant ? Je peux sûrement négocier un truc gratuit. Avec tout l’argent que je lui ai fait gagner aujourd’hui, ça ne serait pas cool de sa part de refuser.

Et après un petit verre offert par le proprio, nous sortions de l’établissement pour discuter tranquillement de notre plan. Choisir notre première cible et bien sûr la date et l’heure de notre coup.

C’est alors que j’entrais dans un magasin de déguisement.

-Bonjour monsieur. Auriez-vous des masques ? Ainsi que deux grandes capes noires avec une capuche ? Lui demandais-je.

-Euh… Monsieur he he, sans vouloir vous offenser, je ne crois pas que ce soit de votre âge. Répondit-il.

-Bon écouter-moi bien. Moi et ma… petite sœur on est invité chez un ami et c’est une soirée déguisée. Donc nous aimerions avoir ce que je vous ai demandé.

-D’accord, après tout ce ne sont que des déguisements. Des masques et des capes vous m’avez dit ?

-C’est bien cela et la fête est pour aujourd’hui, pas pour demain.

Je n’aimais pas presser les gens comme cela, mais ce vendeur ne se montrait pas assez coopératif à mon gout.
Depuis quand un vendeur déconseille à ses clients d’acheter sa marchandise ?

-Ça ferrât 100 Bérrys monsieur. Je sais que ce n’est pas donné, mais ce sont des costumes de qualité supérieure, vous pouvez me croire.

-Très bien, vous avez de la chance. Je n’ai pas envi de trainer ici plus longtemps, donc je ne vais pas chercher à spéculer sur le prix.

Nous étions enfin sortis de cette boutique et nous avions avec nous les seuls outils nécessaires  pour nos petits travaux.
Avec cela, nous pourrons passer incognito.

masque et cape:

Je posais donc ma cape sur mes épaules, gardant le masque blanc à la main. Nous marchions dans la rue jusqu’au moment où j’aperçus un coin plutôt calme.

-Vien là et mets ton masque et ta cape, si on nous entend, il vaut mieux que l’on ne nous reconnaisse pas.

Nous étions désormais à visage recouvert et puisqu’il n’y avait personne dans la rue à ce moment-là, nous étions dorénavant réellement incognito.
Les choses sérieuses allaient bientôt commencer et j’avais hâte.

-Bon pour commencer, je pense qu’il vaut mieux se présenter, moi c’est Ozzuru. Ozzuru Bava. Et toi ? Comment tu t’appelles ?
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Kurumu accepta le verre offert par cet individu. Puis elle le suivit.
*Bon, où est ce qu'il m'emmène ? J'ai l'impression de passer toujours au même endroit.*
Quand elle arriva, l'adolescente fut surprise. En effet, elle se trouvait devant un magasin de costumes. Elle y entra avec le jeune homme.
Kurumu patientait en attendant qu'il fasse commande. Mais quand elle entendit le chiffre "deux", elle prit peur.
*J'espère qu'il ne va pas me demander de me déguiser. Car là, je refuse.*
Le garçon, visiblement plus âgé qu'elle passa sa commande. Quant-à elle, Kurumu avait les mains dans les poches et regardait les différents costumes. Il y avait beaucoup d'épées en plastique, mais elle continua sa visite. Elle retourna à l'accueil, en espérant qu'il ai fini.

-Bon écouter-moi bien. Moi et ma… petite sœur on est invité chez un ami et c’est une soirée déguisée. Donc nous aimerions avoir ce que je vous ai demandé.

*Sa petite soeur !! Comment ça "sa petite soeur" ?* Cela venait d'énerver Kurumu, mais ne dit rien, pour ne pas faire capoter le plan.

Une fois le déguisement acquis, il tendit un masque et une cape à Kurumu. Mais là, c'était la goutte qui faisait déborder le vase. Ils arrivèrent dans une ruelle, puis l'adolescente lui dit tout ce qu'il n'allait pas.
-"Déjà, je ne suis pas ta soeur. Même si c'était pour le plan. Tu aurais du trouver une autre justification. Ensuite, hors de question que je mette ta merde ambulante. Tu m'as pris pour qui ? Un clown ? Je ne mettrais ni ton masque, ni ta cape. Le carnaval c'est terminé. Au lieu d'acheter des costumes du bal masqué, tu aurais mieux fait d'acheter des pieds de biches, du ruban adhésif, des grappins et le truc où l'on peut mettre des choses et qui se porte... ah ouai un sac."

*Nan mais sérieusement... et dire que je vais faire équipe avec ce gars. Mais je ne dois pas perdre de vue mon objectif.*

Le jeune se présenta à elle, surprit par l'attitude de Kurumu.
-Bon pour commencer, je pense qu’il vaut mieux se présenter, moi c’est Ozzuru. Ozzuru Bava. Et toi ? Comment tu t’appelles ?
-"Tu es mon frère, tu devrais le savoir... Mais sérieusement, je ne te fais pas assez confiance pour te donner mon nom. Donc en attendant, appelle moi comme tu le souhaite, ça m'est complètement égale. Appelle moi comme tu le veux, ça m'est complètement égale Si le plan l'oblige, je mettrais le masque, mais hors de question que je mette la cape."

Malgré l’absence de nom, il commença à exposer son plan.
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-"Tu es mon frère, tu devrais le savoir... Mais sérieusement, je ne te fais pas assez confiance pour te donner mon nom. Donc en attendant, appelle moi comme tu le souhaite, ça m'est complètement égale. Appelle moi comme tu le veux, ça m'est complètement égale Si le plan l'oblige, je mettrais le masque, mais hors de question que je mette la cape."

Malgré le fait qu’elle ne me dise pas son nom, j’exposais mon plan. Il était simple, on s’introduisait chez les gens, on prenait tout ce qui était intéressant et on s’en allait.
Les masques était là pour protéger notre identité et les cape, pour pouvoir essayer de dissimuler notre butin.

-Écoute moi bien. Si le fait que je fasse croire au vendeur que tu es ma sœur te dérange, soit rassuré, ce n’était qu’un vulgaire mensonge et je n’ai pas l’intention de te prendre comme sœur adoptive. Tu aurais peut-être préféré que je lui dise que tu étais ma copine ? On aurait été très crédible. Lui dis-je d’un ton irrité mélangé à une pointe d’ironie.

Je la regardais en repensant à ce qu’elle avait dit à propos de son nom.

« Je peux l’appeler que je veux hein ? C’est bien ça ? Ha ha. » Pensais-je.

-Tu veux que je t’appelle comme bon me semble ? Très bien, j’opte pour fillette, ou gamine que préfères-tu ? Dis-je alors d’un ton moqueur.

-Et maintenant je vais t’expliquer quelque chose, tu n’es pas obligé de mettre ni masque ni cape, mais je te conseille de les porter, car le masque protègera ton identité et la cape peut nous servir à plusieurs choses, comme par exemple, rester discret. Ou encore cacher des objets, si tu portes un sac qui n’est pas trop volumineux sur ton dos, une simple cape peut le cacher et alors les gens n’y verront qu’une bosse. Bien sûr en pleine lumière, cela peut paraitre suspect aux yeux des gens, car ça ferra une sacrée grosse bosse, mais la nuit, certaine personne ne la verront peut-être même pas.

Je faisais une petite pause dans mon grand discourt, avant de reprendre la parole pour finir de parler.

-Alors ? Tu trouves ces déguisements toujours aussi inutile ? Tu as le droit d’avoir ton propre avis tu sais ? Mais si tu as des problèmes parce que tu ne l’ait as pas mis, j’aimerais que tu te taises à propos de mon identité.

Je la regardais. Elle aussi me regardait, me défiant du regard. Elle avait un sacré caractère la fillette. Un caractère que n’avait pas les filles de son âge habituellement.

-Maintenant si cela ne te dérange pas, je vais te dire qui sera notre première cible. Et je te rappelle qu’on a besoin l’un de l’autre. Ah et au fait. J’ai pris un sac au cas où, de plus, j’ai pris deux chambres dans la taverne de tout à l’heure, elle fait aussi auberge. Sauf si tu préfères dormir dehors, ça me fera des dépenses en moins.

Je jetais un coup d’œil autour de nous pour m’assurer qu’il n’y avait personne pour écouter. Ce qui avait l’air d’être le cas, la rue était déserte. Hormis nous deux, il n’y avait personne.

-Très bien. Notre première cible est un certain Oward Bims. Il n’habite pas loin d’ici. Alors, toujours partante ? On y va ?

Sans attendre sa réponse, je me mettais en route pour la résidence de ce cher Mister Bims. Et j’étais maintenant persuadé que la fillette suivrait, pourquoi serait-elle revenu si c’était pour abandonner seulement pour une simple histoire de masque et de cape qu’elle n’est même pas obligée de porter.
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Il faisait déjà nuit, mais la ruelle était éclairée par les lampadaires.
*Donc son plan est simplement d'entrer et de sortir des maisons les poches pleines. Tout le monde aurait pu y penser. Mais c'est vrai à plusieurs, c'est plus abordable.*

Kurumu entendit l'explication de l'homme du pourquoi il l'avait dit que c'était sa soeur. Mais quand l'adolescente entendit le mot "copine", elle commença à rougir.
-"Ne dis donc pas de connerie ! Si tu aurais dis que j'étais ta copine, j'aurai fait une scène dans le magasin et devant tout le monde. Il y avait d'autres possibilités, comme "nous sommes amis, nous venons de nous rencontrer". Ça aurait mieux passé. Mais ce qui est fait, est fait." dit-elle en détournant la tête.

Elle serra le masque dans ses mains puis lui dit
-"Hors de question de m’appeler gamine ou fillette. J'espère que tu as bien compris. Sinon, tu vas passer un sale quart d'heure. T'es peut-être plus grand que moi, sache que je n'aurais pas peur de te mettre la correction de ta vie. Le mieux est que tu m'appelles Chloé Activia Gingette."

Il parla ensuite des déguisements. Kurumu en avait rien à faire, mais l'écouta par politesse. L'adolescente allait seulement prendre le masque, mais la cape sera uniquement du bonus.

-"Sache que ton identité, je m'en fous. Compris ! Je ne suis pas une balance, n'ai crainte."

Elle ne baissa pas le regard quand Ozzuru Bava, son futur complice la regarda dans les yeux.
*J'espère que notre victime a beaucoup d'argent, je dois montrer à mon père que je peux réussir son pari.*
Kurumu suivait le jeune homme, bien que majeur. Ils marchèrent une dizaine de minutes, puis arrivèrent devant une petite maison. Il y avait un petit jardin, et elle jeta un coup d'oeil sur celui-ci pour tenter de voir si'il n'y aurait pas de den den de surveillance, ou même des alarmes. Finalement ce Oward Bims, pour un riche n'a peur des voleurs.

-"La voie est libre, grand. Aucuns objets pouvant avertir notre présence sont sur les lieux. Tu ouvres le bal ? Ou je suis la première à escalader le grillage."

*Honneur aux dames ? Comment ça ? Tu dois avoir peur, c'est la seule explication.*
Kurumu commença alors à enjamber le grillage. Au sommet, elle eu quelques difficultés, mais parvint à retomber sur ses pieds.
*Fais chier, je me suis sali.*
-"A toi ! Je t'attends."
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Je repensais aux réponses que m’avait donné ma partenaire de braquage.

« Elle avait dit quoi pour le coup de la petite sœur ? À oui que j’aurais pu dire qu’on venait de se rencontrer, qu’on était amis, tu parles. Bonjour monsieur, on vient de se rencontrer et pour une raison totalement inconnue on vient vous acheter des déguisements.  Non mais sérieux !!! » Pensais-je.

Pour le surnom, elle avait bien évidemment refusé les surnoms que je lui avais proposés, rien d’étonnant  à cela. Elle m’avait aussi certifié qu’elle ne me balancerait pas, ça au moins c’était une réponse rassurante.

Nous étions devant la maison de l’homme riche de la soirée, bien sûr, il n’était rien comparé au noble qui vivait dans Hoght Town, mais je gardais le meilleur pour la fin.
La maison était entoure de grillage et il y avait un petit jardin devant la demeure de ce Mister Bims. Il n’y avait aucune alarme visible, mais cela ne voulait pas dire que cette habitation n’était pas protégée.

-"La voie est libre, grand. Aucuns objets pouvant avertir notre présence sont sur les lieux. Tu ouvres le bal ? Ou je suis la première à escalader le grillage."

La jeune fille escaladait alors le grillage avant même que je ne réponde et elle réussit à passer sans trop de problème. Une fois arriver de l’autre côté, elle se tourna vers moi.

-"A toi ! Je t'attends."

-Ok, j’arrive. Dis-je tout bas.

J’escaladais sans trop de pêne le grillage pour enfin arriver de l’autre côté. Aucun piège ne c’était déclenché, mais il fallait tout de même faire attention.

-Bon, pour le moment on n’a pas fait d’erreur, donc il vaudrait mieux éviter d’en faire, à partir de maintenant, on fait attention à où on met les pieds.

Nous avancions tranquillement vers la maison, la traversée du jardin se déroula sans encombre. Une fois arrivé contre la façade de la maison, je réfléchis pour trouver une solution. Il fallait entrer discrètement.

-Est-ce que tu vois un passage ? Demandai-je à ma coéquipière.

En attendant sa réponse, je scrutais le mur de la demeure pour trouver une issue.
J’aperçus alors une grille au bas du mur, ce passage menait sûrement à la cave ou quelque chose du genre.

-Eh ! Chuchotais-je.

Elle se retourna alors vers moi, l’air de dire « quoi encore », je lui montrais alors le passage que j’avais découvert.

-On peut essaimant l’ouvrir, cependant, tu es la seule à pouvoir passer, donc je te propose d’entrer et de m’ouvrir un passage. Bien sûr, tu me dis lequel pour que j’y aille, mais ça c’est pour plus tard, entre et trouve déjà un passage à ouvrir. À oui, j’allais oublier. S’il se trouve que tu te retrouves coincer à l’intérieur et que tu ne peux pas remonter par là, je viendrais te chercher, cela ne sera pas discret, mais au moins, tu ne te feras pas attraper.

J’attendais désormais à côté du grillage, je l’attrapais à deux mains et tirais dessus pour dégager l’entrée. Celle-ci était juste assez grande pour mon équipière, mais moi, je n’avais aucune chance de passer par là.
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Ils étaient dans le jardin. Pour l'adolescente, c'était une première de s'infiltrer chez les gens et de les cambrioler. Elle trouvait ce petit jeu assez palpitant.
Kurumu chercha si une entrée était évidente, mais il n'y avait rien. Toutes les fenêtres de la maison avaient les volets fermés, sauf l'une d'entre elles. La jeune fille alla vers celle-ci.
*Évidement, elle est verrouillée...*

Après quelques minutes de recherches, Ozzuru l'interpella discrètement. Elle se retourna avec un air de "fout moi la paix", puis il expliqua à Kurumu le plan qu'il venait d'avoir.

-"Je ne me ferais pas chopper, ne t'inquiète pas. Et j'ai fait le tour de la maison. Sur la façade opposée à celle-ci, il y a une fenêtre sans volet. Donc tu pourras passer par là."

Elle avait enfin mis les pieds dans la cave de la maison, mais ne voyait pas grand chose. L'adolescente marchait en bougeant ses mains et ses bras pour savoir ce qui ce trouvait autour d'elle. Kurumu parvint à reconnaître des meubles, et autres trucs inutiles. Elle trouva et les escaliers et monta en essayant d'être la plus discrète. Elle jeta un coup d'oeil dans le salon. Celui-ci semblait vide. Elle s'accroupie et continua d'avancer. L'adolescente vérifia dans la cuisine et les autres pièces du rez-de-chaussée si'il y avait de la vie.
*Bon au moins, tout le bas est vide, je regarde dans les pièces du haut si il y a des gens. Après j'ouvre à Ozzuru, et tant pis s'il m'attend.*

Elle alla au premier et dernier étage toujours en étant la plus discrète possible. La première chambre était vide, pareil pour les autres. Les fenêtres des pièces du haut étaient cependant sans volet. Peut-être que ces bourgeois ne craignent pas les voleurs venant du ciel... En entrant dans ce qui semblait être la chambre du propriétaire, elle vit sur les chevets, des bagues et colliers en or. Elle les mis dans sa poche sans chercher à comprendre.
*De toute façon, on mettra tout ce que l'on a en commun pour faire un partage équitable. Je devrais lui ouvrir maintenant.*

Elle retourna en bas, puis alla au lieu de rendez-vous, et ouvrit la fenêtre.
-"J'ai vérifié la maison, et celle-ci est vide. Mais évitons de faire trop de bruit. D'ailleurs je pense que nous avons du champ libre. On est a Goa, il doit surement y avoir une petite fête."

Kurumu chercha avant tout un sac, même si son complice en avait un. Le sac en sa possession, elle retourna sur les lieux de son premier bijou volé. La jeune débutante ouvrit les tiroirs, mit des liasses de berrys dans le sac, et continua les fouilles.
Elle retourna les oreillers, mais rien. En revanche, sur le bureau se trouvait une montre, des objets sans importances, et un calepin. Elle le feuilleta et trouva des contacts. A la dernière page, il y avait un code à six chiffres.
*Il doit y avoir une coffre quelques part ! J'en parlerais à Ozzuru pour savoir si'il a vu quelque chose. En attendant, je continue de fouiller et de prendre toutes les choses ayant de la valeur. Tu verras papa, je vais te montrer que je peux amasser beaucoup d'argent.*
Elle continua à fouiller d'abord par fouiller la chambre, histoire de ne pas passer à côté de quelques choses pouvant valoir cher.
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-"Je ne me ferais pas chopper, ne t'inquiète pas. Et j'ai fait le tour de la maison. Sur la façade opposée à celle-ci, il y a une fenêtre sans volet. Donc tu pourras passer par là."

-C’est parfait, beau travail, tu as déjà trouvé l’entrée alors que tu n’es toujours pas à l’intérieur, bien jouer.

J’étais sincère, je ne m’attendais pas à ce qu’elle trouve un passage pour moi aussi facilement.
Elle entrait donc dans ce qui devait être la cave en passant par le trou dans le mur laissé par la grille que j’avais enlevée. Je replaçais ensuite la grille comme elle était à l’origine avant d’aller devant la fenêtre et d’attendre qu’elle m’ouvre.
Plusieurs minutes passèrent et toujours rien, la fenêtre était toujours fermée et aucune trace de la fille.

« Qu’est-ce qu’elle fait bon sang ? » Pansais-je.

La fenêtre s’ouvrit après plusieurs minutes d’attente. La fille se tenait dans l’encadrement.

-"J'ai vérifié la maison, et celle-ci est vide. Mais évitons de faire trop de bruit. D'ailleurs je pense que nous avons du champ libre. On est a Goa, il doit surement y avoir une petite fête." Dit-elle après avoir ouvert la fenêtre.

J’entrais donc par le passage qu’elle venait de me débloquer. Nous étions donc désormais à l’intérieur de la demeure, dans une pièce qui avait l’air immense. Je ne voyais quasiment rien, mais mes yeux s’habituaient à la noirceur de la nuit et petit à petit, une salle imprécise se dessinait.

Je voyais suffisamment à présent pour me mettre au travail. Je restais dans la pièce où je me trouvais actuellement et commençais à dérober tout ce qui pouvait se vendre, ou avait de la valeur.
Je remplissais donc mon sac de colliers en tout genre, ainsi que quelque bracelet que je trouvais par-ci par là.

Après avoir fait le tour de trois pièces, j’entrais dans une nouvelle et quatrième pièce, il s’agissait d’une bibliothèque, qui faisait également office de bureau.
Je me mis donc à fouiller les étagères à la recherche de livres de grande valeur, mais il n’y en avait pas, je préférais donc laisser les livres à leur place.

Je me penchais désormais sur le bureau, pour voir ce qu’il pouvait bien cacher. J’ouvris un premier tiroir remplis de dossier important, c’était sûrement très important et d’une valeur que je ne pouvais évaluer, mais je ne pillais pas les maisons de ses riches personnes dans le but d’avoir encore du boulot par derrière pour gagner mon argent. Je laissais donc les dossiers à leur place également.

Le tiroir suivant fût plus intéressant, puisqu’il était rempli de Bérrys et joyaux en tous genre. Je vidais donc le tiroir dans mon sac. Avant de passer à un autre tiroir qui cette fois, était rempli d’autre chose, mais je ne voyais pas bien de quoi il s’agissait, dans le noir, ce n’était pas évident.
Je plongeais donc ma main dans le tiroir pour en sortir un sachet.
Je fus très surpris, puis amusé de voir ce qu’il contenait, il était rempli de plusieurs sachets de chamallow.

-Mais c’est quoi ce bordel ? Chuchotais-je, sans cacher ma surprise.

Le contenu de ce tiroir n’avait aucune valeur, mais je ne pus m’empêcher de le prendre. Dévoilant ainsi mon faible pour cette friandise spongieuse.
Mais je ne pouvais m’arrêter là, il me restait encore beaucoup de salle à visiter et à vider de leur richesse.

Je sortais donc du bureau dans lequel je me trouvais, pour continuer ma visite de la maison.
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Dans la pièce où se trouvait Kurumu, des peintures y étaient entreposées. Elle ne savait pas trop si c'étaient des oeuvres pouvant valoir des millions.
*Bof, ce n'es que du papier, ça ne va pas être lourd à porter.*
Elle prit donc les peintures en laissant les cadres vides. En bougeant les tableaux, l'adolescente espérait trouver le coffre. Malheureusement, ce n'était pas la cas et oublia cette idée de coffre, en se disant qu'il y aura d'autres maisons.

Ensuite se fut au tour de la pièce d'à côté. Celle-ci était plus petite et ne comportait pas énormément de meubles. Les seuls placards étaient sans intérêts, puisque l'intérieurs était rempli de vêtements. Kurumu parti de la chambre, puis alla à la salle de bain. Il y avait une baignoire spacieuse, qui pourrait faire entrer au moins quatre personnes. Dessus, il y avait des shampoings et parfum reconnu par les nobles et coûtant plus de cinquante milles berrys. Si les tiroirs des bureaux, des armoires des autres pièces étaient replis d'argent et d'objet de valeur, ceux de la salle de bain étaient normaux. On pouvait y trouver des brosses à dents, des gants de toilette et autres objets pour le bain, tel le petit canard jaune qui couine.

Dans le couloir menant à la dernière pièce se trouvait un buffet. Dessus, il y avait une montre à gousset en argent, avec quelques pierres précieuses, telles des rubis, saphirs, et émeraudes. Sans réfléchir, elle la mis dans le sac. La pièce final du haut était fermé à l'aide d'un cadenas à chiffre.
*Je l'ouvre, je ne l'ouvre pas. Qu'est ce que je fais ? C'est une perte de temps ! D'autant plus, que je n'ai pas que ça à faire à chercher des clés.* Elle réfléchit quelques minutes puis avança sa tête vers le cadenas.
-"C'est génial ! J'ai plus qu'à retourner dans la première chambre, prendre le code et ouvrir cette porte."
Kurumu couru alors jusqu'au calepin avec le code et retourna à la porte, elle tourna la roulette ou se trouve les chiffres et composa le code.

Clic

Derrière la porte, se trouvait une petite pièce avec un petit placard. Des toiles d'araignées suspendaient au plafond, et quelques petits couinement s'entendirent. Kurumu eut quelques frissons, mais se rappela que c'était pour la bonne cause. Elle ouvrit le seul et unique tiroir. A l'intérieur, il y avait une collection de pièces anciennes.
*Je suis déçu pour le coup, mais j'y prend, après tout ce sont des pièces anciennes.*

Aussitôt dit, aussitôt fait, la collection était dans le sac.
*Bon je bouge, je ne sais pas si Ozzuru a fini, mais on ne peut pas s'éterniser ici. Il y a d'autres maisons et j'ai moins d'une semaine.*

Au rez de chaussé, son complice venait de sortir d'une pièce. La jeune ado alla le voir.
-"Bon on y va. Les autres maisons nous attendent. On devrait prendre que les bijoux et les autres objets pouvant se revendre à bon prix qui sont évident à trouver et à voir. Je pense qu'on a déjà pas mal de choses, et que nous devons envisager de changer de bâtisse."

Il n'était pas du même avis, mais dit à la jeune fille qu'il faisait encore une pièce avant de partir. Kurumu l'attendit donc dans la cuisine pour manger un petit quelques chose.
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Je sortais de la pièce au même moment où ma complice descendait de l’étage. Elle se dirigea vers moi.

-"Bon on y va. Les autres maisons nous attendent. On devrait prendre que les bijoux et les autres objets pouvant se revendre à bon prix qui sont évident à trouver et à voir. Je pense qu'on a déjà pas mal de choses, et que nous devons envisager de changer de bâtisse." Dit-elle alors.

-Je fouille une dernière pièce et on y va. Euh, on peut faire une exception pour ça ? Lui dis-je en sortant le sachet de guimauve de mon sac.

Elle m’ignora et partit en direction de la cuisine, en attendant que je finisse de fouiller la dernière pièce.

J’entrais donc dans la salle, une salle quelconque, qui n’avait rien de spécial à première vue. On pouvait même dire que sa simplicité la rendait spécial finalement, elle avait l’air trop simple par rapport aux autres pièces de cette maison.
Je fouillais donc partout, mais ne trouvais rien.

Puis, un objet m’intrigua, il s’agissait d’une vase à première vue. Il était posé sur une petite table au milieu de la pièce et son positionnement dans la pièce me parut plutôt suspect. Je m’approchais donc de ce dernier pour vérifier qu’il s’agissait bien d’un simple vase sans valeur.

Je remarquai immédiatement quelque chose, habituellement les vases sont fait en terre cuite, en verre ou bien en porcelaine pour les plus précieux.
Mais celui-ci était en métal, je ne savais pas lequel avait servi à sa fabrication, mais il s’agissait bien de métal, j’était sûr.

Il était lourd et je ne pouvais pas l’emmener, car il était bien trop encombrant. Mais je le soulevai de la table pour le poser par terre.

-Bingo !

Le vase servait à recouvrir une cachette, c’était plutôt astucieux, mais le vase attirait sûrement trop l’attention.
La cachette en question, avait la forme d’un bol  creusé dans la table et était rempli de pierres précieuses et autres colliers de perles.

-On dirait que j’ai eu l’œil sur ce coup.

Je replaçai ensuite le vase à sa place, recouvrant à nouveau la cachette.
Puis, je sortis de la pièce et me dirigeais vers la cuisine.

-C’est bon, on peut y aller.

Nous ressortions donc par la fenêtre pour nous retrouver à nouveau dehors, dans le jardin.
Je me dirigeais donc discrètement vers la grille qui était censé empêcher d’entrer, toute personne qui n’y serait pas invité.
Je jetais un coup d’œil à la rue, avant d’escalader la grille, avec le sac rempli sur le dos, la tâche était devenue plus difficile.

J’étais finalement arrivé de l’autre côté du mur. Prêt à partir, je n’attendais plus que ma collègue pour nous en aller vers la prochaine cible.
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La jeune adolescente ouvrit les placards et prit des gâteaux. Elle a tout de suite repensé au paquet de bonbon qu'Ozzuru avait en sa possession.
*Mais qu'est ce qu'il foutait avec ça ?*

Elle regarda son sac et mit les premiers bijoux qu'elle avait récupérés dans celui-ci. Malgré son énorme fierté, son orgeuil démeseuré et son caractère de cochon, Kurumu ne voulait pas profiter de son complice, et donc, d'avoir plus de berrys que lui. L'adolescente voulait qu'il y ait un partage équitable. Une fois fait, elle mangea les biscuits pour patienter. Ensuite, elle eu soif. Sans se gêner, la jeune fille se servit un verre de lait et le bu d'une traite.

Ozzuru avait fini. Il semblait content de sa trouvaille et prévint l'ado qu'ils pouvaient y aller. Kurumu passa par la fenêtre puis se retrouva dans le jardin. Son allié était déjà bien loin. Elle arriva devant le portail avec son sac légèrement lourd.
*Et ben... Ça ne va pas être de la tarte ! Mais je suis la meilleure.*

La jeune adolescente lança son sac par dessus le grillage, puis commença à l'escalader. Elle eu un peu de mal, mais réussi tout de même à passer par dessus.
-"Quelques mots pour toi. On a environ une semaine pour voler et vendre les bijoux. Car je préfère avoir des billets. Maintenant bougeons nous, la nuit se fait courte. Déjà qu'on a mis près d'une bonne heure pour fouiller cette maison."

Kurumu prit la tête de marche et trouva une nouvelle maison à quelques pas de celle fraîchement cambriolée. A première vu, il n'y avait pas de portail. Seulement un mur caché par d'épais buissons.  En revanche, des lampadaires pouvaient être visible et éclairaient le jardin de cette maison.
*Mais où elle est l'entrée ? Je ne vais pas passer aux travers des buissons.*

Finalement, ce fut Ozzuru qui trouva un portillon. La jeune adolescente alla le voir et le regarda de bas en haut. Le portail devait faire dans les un mètre quatre vingt. Du fil barbelé était posé dessus, et le portail ne comportait aucunes prises pour pouvoir mettre ses pieds ou ses mains.

-"Tu crois qu'on y va quand même ? Je n'ai pas peur, c'est seulement le fait se sera la première fois pour moi d'entrer dans des maisons à haute surveillance. Mais elle doit receler de bijoux en tout genre."
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J’attendais donc ma coéquipière de l’autre côté de la grille, c’est alors qu’un sac passa par-dessus cette petite muraille pour atterrir de l’autre côté, à moins d’un mètre de moi sur ma gauche.

« Et bien, elle ne fait pas dans la finesse. » Pensais-je.

Et quelques instants après, c’était la fille qui arrivait de l’autre côté du mur après avoir d’escalader le mur.

-"Quelques mots pour toi. On a environ une semaine pour voler et vendre les bijoux. Car je préfère avoir des billets. Maintenant bougeons nous, la nuit se fait courte. Déjà qu'on a mis près d'une bonne heure pour fouiller cette maison."

-Une semaine ? C’est d’accord. De plus je suis également d’accord avec toi pour ce qui est des billets. Cependant. Il va falloir être très discret, les vols que nous allons faire ne seront plus secrets très longtemps, ce qui implique que notre tâche deviendra de plus en plus compliquer. Sans oublier le fait que nous ne pouvons pas vendre tout d’un coup, ni le vendre dans cette ville. Sinon nous risquons d’être démasqué et je ne veux pas prendre le risque de tout faire rater si près du but, il faut donc trouver plusieurs endroits où nous pourrons vendre notre butin pour passer inaperçu.

Nous partions ensuite en direction de la maison suivante. La fille marchait devant, moi derrière je portais bien sûr mon sac dans le dos, par dessous ma cape.
Nous étions désormais arrivés, un grand mur de pierre recouvert de plante grimpante, on apercevait également des lampadaires qui éclairaient le jardin qui se trouvait bien sûr derrière le mur.

Après quelques minutes de recherche, je trouvais enfin l’entrée du domaine. Un portail d’un mètre quatre-vingts lui aussi recouvert par les mêmes plantes qui recouvrait le mur sans oublier le fil barbelé.

-"Tu crois qu'on y va quand même ? Je n'ai pas peur, c'est seulement le fait se sera la première fois pour moi d'entrer dans des maisons à haute surveillance. Mais elle doit receler de bijoux en tout genre."

-Je vais voir ce qu’il y a dans le jardin, ça permettre aussi de voir si on peut escalader ce mur. Répondis-je.

L’escalade paraissait impossible, du moins pour le portail à cause du fil barbelé, mais le mur pouvait être escaladé grâce aux plantes qui le recouvraient.
Un détail restait à éclaircir, qu’est-ce qu’il se trouvait de l’autre côté du mur ? Par quoi la maison était-elle protégée ?
Et le fait d’escalader le mur nous donnerait un premier élément de réponse.

Je commençais donc l’ascension du mur, je grimpais lentement, pour éviter de tomber, car je savais que la végétation grâce à laquelle j’escaladais le mur n’était pas très solide et il ne valait mieux pas casser les branches ou autres appuis.
J’étais désormais assis sur le mur, regardant attentivement le jardin pour essayer de déceler le moindre piège.

Le mur côté jardin était lui aussi recouvert par les plantes et les lampadaire éclairait le jardin, me permettant ainsi de regarder attentivement tous les recoins sans avoir à descendre de mon mur.

-Je crois que c’est bon, il y a moyen de repasser le mur de l’autre côté et je ne vois pas d’escargophone de surveillance. Fait attention en montant, les prise sont fragiles.

Pendant ce temps je descendais du mur pour finalement arriver dans le jardin. Aucune alarme ne retentit, c’était calme, mais je ne sentais pas de tension, ce qui me laissait penser que ce calme n’était pas un mauvais signe.
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Pendant que le complice de la jeune apprentie voleuse réfléchit à comment passer par dessus. Il trouva des prises et commença son ascension. Pendant qu'Ozzuru jouait au chimpanzé, Kurumu était pensive.

*Il a raison. Le mieux est que nous nous séparions pour vendre petit à petit le stock de bijoux que nous allons avoir.*

Il lui fit signe qu'elle pouvait à son tour grimper tout en faisant attention. L'adolescente ne pouvait pas jeter son sac par dessus, car le mur était trop haut.  Elle ne savait pas comment faire pour passer cet obstacle avec le sac. Heureusement que celui-ci n'était pas lourd. La jeune voleuse attacha la cape autour de ses hanches, puis attacha le sac à la cape. La jeune ado posa sa main droite sur le mur. Elle grimpait assez facilement, et n'avait pas tenu compte des préventions d'Ozzuru. Cet entêtement lui coûta une chute. Kurumu venait également d'arracher du lierre. Un peu énervée, elle ne put s'empêcher de dire à Ozzuru :
-"Tu n'as rien vu ! Compris !"

Elle se relava et retenta son coup, mais en faisant plus attention. L'escalade se passa se passa pour le mieux, jusqu'au moment où un cafard lui monta sur la main. Elle lâcha prise mais se retint de crier pour ne pas faire foirer le braquage.
*Putain ! Mais ça fait chier. Foutu cafards. Dernière fois que je tente, après je le laisse fouiller la maison tout seul. Il ne va pas me les briser lui aussi.*

Le troisième essai fut le bon. Kurumu était enfin parvenue à se retrouver dans le jardin.
*Je le savais. Je suis la meilleure.*
-"Évite de passer vers les zones éclairées par les lampadaires. Je te laisse réfléchir du pourquoi."

Le jardin était assez grand, et il y avait pas mal de mètres avant d'atteindre la porte d'entrée. En plus de cela, les lampadaires éclairaient une très bonne partie du jardin. Le seul moyen de s'approcher de la maison était de longer les murs. Ni une, ni deux, Kurumu se colla au mur et avança prudemment. Ce longement dura près d'une dizaine de minutes, mais ça a payé. L'adolescente était devant la maison, mais alla dans un petit chemin sombre entre les buissons et la façade. Elle savait que la façade principale (celle avec la porte) était inutilisable. Le jardin de derrière, était beaucoup plus petit et non éclairé par la lumière des lampadaires. Des outils étaient posés sur le sol, tels des sécateurs et cisailles mais également une échelle, ainsi que d'autres outils de jardinage.
Il fallut peu de temps à l'adolescente pour avoir une idée. Kurumu prit l'échelle et la posa contre la façade de la maison. Elle grimpa et se retrouva sur le toit. Une fois devant la fenêtre, elle laissa faire son complice.
-"Je ne vais pas tout faire. Donc débrouille toi pour briser la vitre."
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-"Évite de passer vers les zones éclairées par les lampadaires. Je te laisse réfléchir du pourquoi."

-Haha, prend-moi pour un con. Au fait, toi évites de tomber, ça pourrait alerter les gens avec tout le bouquant que tu fais. Lui dis-je sur un ton ironique.

Le jardin était très spacieux et assez bien éclairer et il fallait traverser pour atteindre la porte, les extrémités du jardin était cependant plongé dans le noir.
Je suivais la fille qui longeait le mur.
Cela dura un certain temps, mais nous arrivions enfin devant la maison et aucune alarme n’avait été déclenché.

Elle s’engouffra ensuite dans un petit chemin qui menait sûrement derrière a maison, je la suivis pour finalement arriver dans un second jardin, bien plus petit que le premier, mais celui-ci n’était pas éclairé, ce qui était parfait pour nous.

Il y avait divers outils rependus un peu partout sur le sol, mais rien de très utile, à part celui que mon équipière venait de trouver. Une grande échelle qu’elle plaça sur la façade de la maison.
Nous montions l’un après l’autre sur le toit grâce à cette merveilleuse échelle. Une fois en haut, je la rejoignis à côté d’une fenêtre.

-"Je ne vais pas tout faire. Donc débrouille toi pour briser la vitre."

« Tout faire ? Mais pour qui elle se prend là petite ? »

-Qu’on soit bien clair, on n’est pas dans une cour de récréation. Alors, y a pas de c’est à ton tour de faire ceci parce que j’ai fait cela. Ok ? Donc s’il y a des trucs que tu n’ais pas capable de faire, il n’y a pas de problème, mais on n’est pas là pour chercher qui a trouvé le plus d’idée et qui a défoncé le plus de porte. Ce n’est pas un concours. Lui dis-je en lui lançant un regard noir.

Je dégainai ensuite mon sabre. Les contours de la fenêtre étaient en bois et j’étais largement capable de trancher le bois. Ce qui nous permettrait de créer une ouverture.

Quelque coup d’épée suffire pour trancher les parties en bois qui rattachaient la fenêtre au toit, je tenais bien sûr cette dernière pour éviter qu’elle ne tombe. Ce qui réveillerait les potentiels habitants.

Je posais donc la fenêtre quelque part sur le toit, avant de passer la tête dans le trou que je venais de créer pour m’assurer que rien ne nous gênerait et que nous pourrions remonter pour partir.

Il n’y avait aucun problème, il nous suffirait d’utiliser le tabouret qui se trouvait dans la pièce où nous allions entrer pour sortir après avoir vidé la maison.
Je passais donc par la fenêtre pour entrer.

Comme tout à l’heure, il me fallut quelques minutes afin de m’habituer à la pièce sombre. Une fois habitué, je me mis à regarder un peu partout, mais cette pièce ne semblait rien contenir d’intéressant.
Je me dirige donc vers la porte pour visiter les autres salles, mais quelque chose m’arrêta, de la lumière.
J’aperçus de la lumière sous la porte que je m’apprêtais à ouvrir.

-Si on veut partir d’ici discrètement, c’est maintenant ou jamais. Chuchotais-je à la fille qui venait de descendre. Je ne sais pas comment ils ont fait pour ne rien entendre lorsque j’ai découpé la fenêtre, mais il y a du monde ici et il vaut mieux les éviter.
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Ozzuru venait de rejoindre l'adolescente sur le toit. Kurumu ne prêta pas attention aux paroles de son complice d'un soir, et attendit qu'il ouvre la fenêtre. Ça y était, le passage était enfin ouvert. Le jeune homme passa en premier. Alors que la jeune adolescente s'apprêtait à entrer dans la pièce, des lumières s'allumèrent. Elle avait déjà ses jambes à l'intérieur, et les enleva sans réfléchir.
*Finalement, je n'y vais pas ! Si je me fait chopper, c'est mon père qui risque de ne pas être content. Il m'a peut être donné carte blanche, mais si'il apprend que je vole...*
-"N'oublie pas de remettre la fenêtre ! Sinon ils vont prévenir les marines."

Kurumu se rendait prudemment vers l'échelle, et descendit en évitant de faire trop de bruit. Elle arriva dans le jardin et ne savait plus quoi faire. Soit elle se cachait ici-même en attendant que ça se calme, soit elle quittait cette maison. Après une petite réflexion, elle opta pour la fuite. Sa liberté avait une valeur inestimable. Sans attendre son allié, elle refit tout le chemin inverse. Dans la précipitation, elle renversa un nain de jardin en porcelaine.
*Foutue nain !!*

Elle le prit avec elle, le mit dans le sac, et se retrouva devant l'obstacle ultime : le fameux mur sur lequel elle était tant tombée.
*Il n'y aucune raison pour que je me loupe. En plus, si je n'y arrive pas du premier coup, l'autre guignol va encore me faire une remarque. Heureusement que je ne l'écoute pas, sinon je l'aurais déjà frappé.*

Derrière le mur, des personnes étaient en train de parler de la pluie et du beau temps. "Et la tante Josianne par çi, le père Marcus par là, la fugue de Jean-Jacques-Pierre-Paul De Lanoé,..." Kurumu n'en pouvait plus. Déjà entendre parler Ozzuru c'était difficile, mais être obligée d'écouter des vieilles parler, étaient la goutte qui venait de faire déborder le vase. Malheureusement, l'adolescente retenait sa colère, et attendit patiemment. Cependant, elle ne put s'empêcher d'avoir des pensées négatives.
*Putain ! Mais ils vont la fermer ! On s'en fout de ta vie ! Mais je dois réussir du premier coup. Je n'ai pas de temps à perdre ici.*

Le temps passa, et les bourgeois continuait de parler. Une bonne minute passa, et les deux commères retournèrent chez eux. Ni une, ni deux, elle franchit le mur en un essai, attendit qu'Ozzuru fasse la même chose. Une fois à ces côtés, Kurumu prévint le jeune homme :
-"Allez direction la maison suivante. Mais allons ailleurs pour notre sécurité."

Kurumu marcha tranquillement sans savoir où aller et sans adresser la parole à Ozzuru. Sa destination était un autre quartier, un peu plus éloigné du dernier. Ils marchèrent pendant un bon quart d'heure, et se retrouvèrent devant un lotissement privé. Il se nommait "Les Charmilles".
Il y avait sept maisons, et une parcelle d'herbe au milieu. Il n'y avait aucuns lampadaires, aucuns chats. C'était calme, et ce silence ne dérangeait Kurumu plus que ça. Les maisons étaient individuelles  et chacune avait son propre grillage. Elles ne différaient seulement par leur niveau de sécurité. C'était au tour d'Ozzuru de choisir la maison à piller.
-"Bon c'est quand tu veux !"
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-"N'oublie pas de remettre la fenêtre ! Sinon ils vont prévenir les marines."

-On s’en fout de la fenêtre, de toute façon elle est cassée, si je la remets, elle tombe et on est grillé.

J’attrapais donc le petit tabouret et remontais sur le toit. Une fois dessus, j’avançais lentement vers l’échelle  pour éviter une chute qui serait mortelle à une telle hauteur.
Je descends donc l’échelle prudemment, une fois en bas, je suis le même chemin que nous avions emprunté, mais dans l’autre sens cette fois.

J’arrivais au pied du mur, ma collègue n’étant pas là, j’en déduisis qu’elle était déjà passée.
J’escaladais le mur à mon tour et j’arrivais de l’autre côté sans problème.

-"Allez direction la maison suivante. Mais allons ailleurs pour notre sécurité."

-Je suis d’accord.

Nous nous dirigions vers un autre quartier de la ville. Un bon quart d’heure plus tard, nous atteignions enfin un lotissement assez éloigné du quartier où nous étions avant.
Le lotissement s’appelait "les Charmilles". Le coin était très calme et n’était pas éclairé.

-"Bon c'est quand tu veux !"

-Celle-là. Elle fera l’affaire je pense.

Je me dirigeais donc vers la maison que je venais de désigner. Les maisons étaient toutes de la même taille, elle n’avait qu’un étage, leurs murs étaient blancs et un petit jardin se trouvait devant chacune d’elles, protégé par de simples grillages.

-Ces grilles ne sont pas difficiles à escalader, on devrait y arriver facilement.

Je commençais donc à escalader ce petit mur de ferraille pour atteindre notre nouvelle cible.
Une fois dans le jardin, il n’y avait rien d’exceptionnel, il n’était pas éclairé, mais aucun outil ne trainait par terre.
Je m’avançais donc vers une fenêtre pour voir s’il n’y avait pas là, un moyen de s’introduire dans la maison.
Puis, je me tournais vers ma coéquipière.

-Petit détail. Si tu trouves un grappin, prend-le, on aura besoin d’un grappin muni d’un immense corde et d’un bon pistolet pour envoyer le grappin par-dessus la muraille qui sépare Town center à Hight Town, comme ça, on pourra escalader cette muraille et passer dans la ville des nobles, il y a sûrement plus de choses de valeur à voler là-bas.

Le contour de la fenêtre était en bois, ce qui me permit de l’ouvrir d’un coup de sabre. J’entrais maintenant dans la maison et commençais à chercher tous les objets ayant de la valeur.
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Kurumu suivait Ozzuru qui venait de choisir la maison à voler et escalada le grillage sans trop de problème. Une fois dans le jardin, son complice lui expliqua ses objectifs. La jeune adolescente n'était pas d'accord avec ce qu'il venait de dire, et elle le lui fit remarquer.
-"Hors de question mon grand ! Déjà qu'il y a pas mal de marines dans les rues, alors me retrouver avec tout un régiment, c'est mort. Utilise ta tête un peu. Si tu veux y aller, alors fait cavalier seul. On aura qu'a se retrouver à la taverne où l'on s'est rencontré la première fois."

Ozzuru trancha la fenêtre et ouvrit la voie. Kurumu entra puis alla directement au premier étage en essayant de rester la plus discrète. Les escaliers grinçaient à chaque pas de la jeune fille.
*Foutues marches ! C'est des gens riches et ils laissent leur escaliers défaillant. De vrai avares.*

L'étage était calme, mais cela ne voulait rien dire. Les propriétaires pouvaient aussi bien dormir qu'être dehors. Il y avait quatre pièces dont la porte était fermée. Kurumu les ouvrit une par une. La première, celle qui se trouvait en face des escalier était une chambre. Celle ci était meublée d'un lit, de deux vitrines en verre, d'un bureau et d'une petite bibliothèque, ainsi que d'un placard. La seconde pièce était perpendiculaire à l'escalier. Ce n'était qu'une salle de bain basique, avec une étagère. Un peu plus loin, c'était les toilettes. La dernière pièce, se trouvait en face de la salle de bain. C'était une seconde chambre avec lit, table basse et un bureau.

Les pièces du hauts étaient vide, et la jeune fille commença à fouiller la salle de bain. Si ça se trouve, il y a une petite bague. Elle regarda sur les deux planches constituant l'étagèrent. Il n'y avait rien, seulement des serviettes de bain et des gants de toilettes. Le meuble, où était posé le lavabo était lui aussi vide.

Kurumu a donc passé près de dix minutes sans rien trouvé, mais se rendit dans la chambre qui était en face des escaliers. L'intérieur était tout blanc, mais  l'ado ne voulait pas perdre de temps avec les détails.  Le bureau n'avait pas de tiroir, et était recouvert de feuilles blanches, avec des notes un peu de partout. Le placard n'avait que des vêtements, le lit était vide, de même l'une des vitrines. Pour la seconde, Kurumu eu plus de chance. En effet, la vitrine renfermait une gourmette en or, et une bague avec un petit diamant dessus.
*Mouai... On aurait pu trouver plus de choses. De toute façon, il ne me reste qu'une pièce avant de redescendre.*

Elle alla alors dans la dernière pièce de l'étage. Dès son premier pas, elle fut choquée. Sur le lit était entreposée une peluche Gekota. L'adolescente accourut vers celle-ci, les yeux pleines d'étoiles.

Des voleurs à Goa ?!! Encore ?!! 1378742169-xperience-mascot-gekota

*Je l'ai ou pas ? Je crois que je ne l'ai pas celui avec la moustache. Je le prend. Mais il faudrait que j'évite de le montrer à l'autre. Et hop, c'est dans le sac.*

Elle ouvrit le tiroir du bureau, qui était le seul endroit à fouiller. A l'intérieurs, que des trucs de filles. Mais tout de même quelques bijoux qui finirent dans le sac de Kurumu. Celle-ci avait fouillé l'étage, excepté les toilettes, et descendit pour voir où en était son collègue.
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Le collègue ? Le collègue lui a de vrais problèmes. Des problèmes qui font clic.

CLIC

Dans le silence de la maison qu'Ozzuru n'a nullement troublé en posant un pied sur l'épais tapis qui recouvre le coin, le cliquetis métallique qui retentit juste derriére lui fais un vacarme d'enfer. Réflexe de pirate oblige le voleur se retourne d'un bond et se retrouve soudain nez à nez avec le canon évasé d'un énoooorme tromblon.

Des voleurs à Goa ?!! Encore ?!! 9701476-cartoon-hunter-with-a-blunderbuss-stalking-isolated-on-white_imagesia-com_beke_large

Tromblon tellement énorme qu'a l'opposé du canon le petit vieux au casque colonial qui tient l'engin a l'air encore plus petit. Sauf que petit ou pas il braque quand même Ozzuru avec une lueur féroce dans le regard.

-Plus un geste fripon !

Et avant que le pirate ait le temps de dire quoi que ce soit et pressentant probablement qu'il ne va pas pouvoir tenir bien longtemps son lourd fusil dans les mains, le petit vieux pose un doigt tremblant sur la détente et envoie un bon kilos de clous se ruer vers la tête de sa cible dans une détonation apocalyptique.
    Chloé, puisqu’elle m’a dit de l’appeler comme ça, était déjà monté à l’étage pour fouiller et voler tout ce qui pouvait avoir de la valeur.
    Moi j’ai seulement regardé la pièce, pour essayer de repérer quelque chose.
    Mais quelque seconde plus tard.

    CLIC

    Ce bruit, il vient de derrière moi, il faut rester calme, le plus possible en tout cas. Je me retourne et me retrouve en tête-à-tête avec un fusil et un homme aussi, il a l’air plutôt âgé et il tremble en portant son fusil.

    -Plus un geste fripon ! Me dit-il en me menassent avec son arme.

    J’ai alors une petite idée, elle n’est pas extraordinaire, mais peut avoir son petit effet et si ça peut m’éviter un tir en pleine tête de son tromblon, je vote pour.
    J’ôte donc discrètement mon masque et le tien devant le fusil. Moi, je suis désormais sous le canon, je ne suis pas caché, vu l’épaisseur de l’arme, cela serait impossible, mais il n’a peut-être pas fat attention.

    Un tir retentit, mon masque est bousillé et je ressens une douleur à la main gauche, j’ai été touché, ça va être chiant pour passer le grillage maintenant.
    Les choses sérieuses commencent papi. Je ne veux pas te tuer, mais je n’ai pas le choix maintenant, je dois te rendre inconscient.

    D’un coup vif, je dégaine mon sabre et frappe dans la foulée. Frappant avec le côté non tranchant de la lame pour éviter de le blesser grièvement.
    Le coup le touche, mais il ne suffit pas pour l’assommer, il lui en faut plus. Je m’élance donc sur le vieil homme et le frappe à la tête avec le pommeau de mon sabre.

    Le vieux s’écroule et reste à terre. Je m’assure qu’il soit bien vivant puis, je l’attache avec une corde que je trouve dans un coin, je ne sais pas ce qu’une corde fout là, mais elle tombe bien.

    « Il faut partir maintenant, à cause de ce fou qui tir n’importe comment. »

    Il y a des meubles sur le côté, trois au total, j’ouvre leur vitrine où sont exposés des bracelets, des colliers et autre bijoux.

    -Chloé, on se casse. Dis-je inutilement bien sûr, puisque je me doute déjà qu’elle se mette en route pour partir.

    « Il me faut les clefs de la porte et vite. »

    Je n’avais plus le choix, mon visage à découvert il me fallait les clefs pour ouvrir la porte du grillage, ne pouvant escalader ce dernier.
    Mais peut importe où je cherchais, je ne trouvais rien.

    Puis une idée me vint à l’esprit.

    -Eh ! Je peux pas escalader le grillage, donc tu vas me laisser ton masque et partir avec les deux sacs, pendant ce temps, j’attends la milice, il seront obligé d’ouvrir la porte, sauf que si je me bats contre eux, sans mon masque, je suis à découvert, toi tu parts avant qu’ils arrivent, donc tu en as moins besoin que moi. On se retrouve à la taverne.

    Elle retira son masque en soupirant, puis elle le tendit vers moi.

    -Je te remercie. Maintenant il faut que tu partes, tu n’as plus beaucoup de temps. En plus, tu dois prendre les deux sacs.

    Mon acolyte était parti, je restais donc seul ici. Je mettais le masque qu’elle m’avait donné avant de sortir dehors dans le jardin. Je restais là assis sur l’allé qui reliait la porte du portail à celle de la maison.

    J’attendais la milice.

    J’attendais mon ennemie.

    J’attendais mon combat.

    J’attendais…


    Dernière édition par Ozzuru Bava le Mar 10 Sep 2013 - 13:59, édité 1 fois
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