Rappel du premier message :
Mon entraînement sur shimotsuki était terminé depuis trois jours et ces trois jours, je les avais passés en mer.
Quelle était ma destination, le royaume de Goa, mon envie de devenir pirate grandissait de jour en jour. Je voulais défier la marine, défier mon père, mais pour un projet pareil, j’aurais besoin d’argent, rien que le bateau coutait cher, très cher.
J’arrivais donc enfin à Goa, après trois jours à bord d’un bateau, en tant passager clandestin, je descendais donc discrètement du bateau en déchargeant un sac au passage, après quoi je m’en allais, rejoindre un coin sympa de la ville.
Celle-ci était plutôt animée, même si on pouvait voir beaucoup de gens riche qui se pavanait dans les rues.
C’est à cet instant que l’idée me vint. Pourquoi ne pas les voler ? Ils ont déjà beaucoup d’argent et ils en gagnent sans cesse.
Je savais donc comment j’allais m’y prendre pour gagner de l’argent dans cette ville.
Mais avant cela, il me fallait trouver quelqu’un pour m’aider dans ma tâche et aussi un masque accessoirement, histoire de passer incognito.
Je me rendais donc dans une taverne du coin pour boire un coup et aussi trouver un complice pour m’aider.
C’est alors que j’aperçus quelqu’un entré dans ce lieu de beuverie. Une fille très jeune et je savais qu’elle serait la complice idéal.
Je m’approchais donc d’elle et m’asseyais en face d’elle avec mon verre de ruhm à la main.
-Bonjour jeune fille.
Elle se mit à me regarder bizarrement, à me dévisager, comme si j’étais une sorte d’alien, ou je ne sais quoi d’autre.
-Pas la pêne de me regarder comme ça tu sais, je n’ai pas l’intention de te faire du mal.
Son regard changea légèrement, pour devenir méfiant. C’était quoi son problème. Bon je suis sûrement plus vieux qu’elle, mais tout de même, une telle réaction.
-Bon, pour faire simple, j’ai un bon plan pour gagner de l’argent. Pas mal d’argent en fait. Qu’est-ce que tu en dis ? Je peux t’expliquer bien sûr, mais je serais embêter si tu décides de refuser et que tu dénonces mes intentions à la marine.
Je la regardais dans les yeux pour essayer de savoir quel genre de personne elle était, mais je n’étais pas doué dans ce domaine. Donc autant abandonner cette tentative de suite, je ne pense pas qu’elle soit le genre de personne qui dénonce à tout bout de champ. Je vais donc tenter ma chance.
-Très bien, voilà mon idée.
Je me penchais et me mis à chuchoter tout bas pour que personne d’autre n’entende.
-Je pensais m’introduire chez les riches habitant de cette ville pour… Comment dire, faire le ménage. Si tu vois ce que je veux dire. Lui dis-je en ajoutant un petit clin-d’œil à la fin. Je pense que l’on peut facilement gagner plusieurs millions de Bérrys, croit moi, ça vaut le coup, en plus j’ai besoin de toi, tu es plutôt petite et fine, tu pourrais te glisser chez eux et m’ouvrir. Alors, qu’en penses-tu ?
J'étais assez impatient de connaitre ça réponse et j'espérais, bien sûr, qu'elle serait positive, mais j'avais l'impression que c'était mal parti. Elle n'avait pas l'air très intéresser.
Ah les jeunes de nos jour. Ils ne savent plus reconnaître une opportunité.
Mon entraînement sur shimotsuki était terminé depuis trois jours et ces trois jours, je les avais passés en mer.
Quelle était ma destination, le royaume de Goa, mon envie de devenir pirate grandissait de jour en jour. Je voulais défier la marine, défier mon père, mais pour un projet pareil, j’aurais besoin d’argent, rien que le bateau coutait cher, très cher.
J’arrivais donc enfin à Goa, après trois jours à bord d’un bateau, en tant passager clandestin, je descendais donc discrètement du bateau en déchargeant un sac au passage, après quoi je m’en allais, rejoindre un coin sympa de la ville.
Celle-ci était plutôt animée, même si on pouvait voir beaucoup de gens riche qui se pavanait dans les rues.
C’est à cet instant que l’idée me vint. Pourquoi ne pas les voler ? Ils ont déjà beaucoup d’argent et ils en gagnent sans cesse.
Je savais donc comment j’allais m’y prendre pour gagner de l’argent dans cette ville.
Mais avant cela, il me fallait trouver quelqu’un pour m’aider dans ma tâche et aussi un masque accessoirement, histoire de passer incognito.
Je me rendais donc dans une taverne du coin pour boire un coup et aussi trouver un complice pour m’aider.
C’est alors que j’aperçus quelqu’un entré dans ce lieu de beuverie. Une fille très jeune et je savais qu’elle serait la complice idéal.
Je m’approchais donc d’elle et m’asseyais en face d’elle avec mon verre de ruhm à la main.
-Bonjour jeune fille.
Elle se mit à me regarder bizarrement, à me dévisager, comme si j’étais une sorte d’alien, ou je ne sais quoi d’autre.
-Pas la pêne de me regarder comme ça tu sais, je n’ai pas l’intention de te faire du mal.
Son regard changea légèrement, pour devenir méfiant. C’était quoi son problème. Bon je suis sûrement plus vieux qu’elle, mais tout de même, une telle réaction.
-Bon, pour faire simple, j’ai un bon plan pour gagner de l’argent. Pas mal d’argent en fait. Qu’est-ce que tu en dis ? Je peux t’expliquer bien sûr, mais je serais embêter si tu décides de refuser et que tu dénonces mes intentions à la marine.
Je la regardais dans les yeux pour essayer de savoir quel genre de personne elle était, mais je n’étais pas doué dans ce domaine. Donc autant abandonner cette tentative de suite, je ne pense pas qu’elle soit le genre de personne qui dénonce à tout bout de champ. Je vais donc tenter ma chance.
-Très bien, voilà mon idée.
Je me penchais et me mis à chuchoter tout bas pour que personne d’autre n’entende.
-Je pensais m’introduire chez les riches habitant de cette ville pour… Comment dire, faire le ménage. Si tu vois ce que je veux dire. Lui dis-je en ajoutant un petit clin-d’œil à la fin. Je pense que l’on peut facilement gagner plusieurs millions de Bérrys, croit moi, ça vaut le coup, en plus j’ai besoin de toi, tu es plutôt petite et fine, tu pourrais te glisser chez eux et m’ouvrir. Alors, qu’en penses-tu ?
J'étais assez impatient de connaitre ça réponse et j'espérais, bien sûr, qu'elle serait positive, mais j'avais l'impression que c'était mal parti. Elle n'avait pas l'air très intéresser.
Ah les jeunes de nos jour. Ils ne savent plus reconnaître une opportunité.