[D]emande de récompense de Lilou ~

[S]alut. Oui je réponds le jour même, un problème ? J’ai réservé, j’ai zieuté, j’ai pas pu m’arrêter.

Petite anecdote puisque j’ai que dalle à dire pour cette petite introduction qui me tient à cœur, j’ai lu ton RP avec cette musique de Yael Naïm. En boucle, en boucle. Ça collait tellement. Sinon, c’est de l’émouvant, j’aurai même versé une larme si j’avais pas ma foutue fierté débile ! Alors je me suis contenté d’imaginer, que je pleure. Je dois quand même respecter mon schéma et tu me poses un sacré problème… Je vais voir ce que je peux faire.

Les langoustes moins bonnes que les autres :

Fallait bien trouver un titre. Ben écoute, il y a cinq fautes. Je le sais parce que je les ai compté, mais je les ai oublié, j’étais trop plongé dans la lecture pour les noter et pour décrocher. Il y a « se faire la male », ben je crois que c’est malle. Voilà. Oui j’ai que ça à dire, ne te moque pas, vil.

Les excellentes langoustes :

Bizarre ? Oui. Vu comme c’est construit. Au début, donc, on a du mal à comprendre sauf si comme moi, on est des experts en bizarreries. Un moment qui m’a laissé perplexe c’est quand tu es au présent et que tu passes en forme « là où je vais raconter la suite de l’histoire » mais que c’est quand même du présent. Là je me suis dit, la princesse c’est toi, le dragon c’est lui. J’ai bon ?

L’amour. Comme tu décris l’amour, c’est pas seulement bien, c’est ça. Comment elle en vient à l’aimer. Dans les deux récits même si celui de la princesse est moins expliqué, normal vu que tu ne nous racontes pas que ça et que ce n’est pas le but, que j’ai adoré. Je le redis encore une fois, que j’ai adoré.

Ta troisième personne. Je dis pas « la », parce qu’elle est vraiment à toi. D’habitude j’ai du mal à cerner un personnage avec la troisième, j’en suis plutôt allergique mais tu fais partie de ceux qui l’utilisent à la perfection. Tu me narrais vraiment l’histoire car pour moi c’est ça la définition de la troisième, c’est comme si tu avais quelqu’un devant toi qui te racontait un évènement. Là, j’étais avec Lilou et toi, et tu me disais tout ce qu’elle faisait, tout ce qui se passait dans sa tête. Tu me disais, oui. Mais avec tellement de douceur, parce que oui, c’était d’une légèreté. Pour ça que j’ai pas décroché un seul instant sauf pour remettre la musique au début. (Elle colle tellement, je te jure.)


PUIS ! J’attendais qu’elle lui dise ENFIN « A toi. » ! Quand elle lui a dit, j’étais content. Haha, une autre façon de dire que j’étais vraiment dans l’histoire, comme spectateur. C’était super. Je suis content que tu l’aies repris, ce solo, qu’il soit comme ça, avec ces mots et ces sentiments là.

Et puis progressivement on comprend pourquoi elle en vient là. Le passage vers la fin avec Savanah nous ramène au début. Tu sais, on pourrait lire uniquement les passages en police normale qu’après « Rien. Juste la mer. » on revienne au début et qu’on ne lise uniquement ceux en grande police. Tout collerait sauf pour le passage que j’ai cité au début. Pour ça qu’il me laissait perplexe, mais ça dans la bizarrerie du truc et ça le rend encore plus intéressant.

Je crois que je vais m’en arrêter là. Je suis content d’avoir réservé. Voilà. J’arrête.

Après ce succulent dîner :

Rien du tout, oui.
220, le maximum, donc qu’on divise par trois, ça fait 73.333333∞ Kyoshi me dit mais comme moi je m’en fous de ses maths, j’arrondis à 75, ça fait :

5912 dorikis, pp et pi inchangés.

Prob ? Viens me voir là où tu me trouves. Oui je suis un putain de taré mais je travaille pas, héhé, réaction ?

[04:09:17] @ Kiril Jeliev : Je la récompense juste 4h après haha.
[04:10:26] Lloyd Barrel : T'es un fou Kiril ! Un fou furieux !

[D]es bisous.

Salut langouste.

Un bon et beau RP qui soulève un problème de société et une réponse. Le racisme, la tolérance. Ces deux mots dans une phrase la rendent tout de suite plus jolie, non ?

Les langoustes qui manquent de goût:

Sinon, toi c’est comme Ishii, j’ai rien remarqué de gên…

« Il sentait la petite main de la Gamine se pressait sur son genou… »

Oh.

Ensuite je le dis parce que tu en parles rarement, peut-être qu’une fois en fait quand elle s’interroge sur la violence. Avant, on n’a pas l’impression que Lilou ait souffert. On le devine parce qu’elle vit avec un truand mais sinon non. Mais c’est vrai et je pense plutôt que tu as voulu le jouer jusqu’au bout, c'est-à-dire qu’elle n’en parle pas. Et sur tes troisièmes personnes, une Yumen, une toi, peut-être difficile d’en parler. Je vais utiliser une image pas très propre mais c’est comme fermer les yeux sans paupières… Elle ne laisse rien transparaître, en fait un chouïa trop et c’est ce chouïa qui nous dit que quelque chose ne va pas.

Les langoustes que j’ai dévoré:

La façon de narrer. On est dans la véritable troisième personne vu que le personnage qu’on lit rapporte vraiment les actes indirectement. Mais c’est direct. Tu suis ? Et c’était bien joué de le faire comme ça. De plus, normalement Yumen devrait être le personnage principal pourtant c’est Lilou. C’est bizarre comme forme, un peu. Tant que c’est bien.

Y a l’innocence de l’enfance très bien joué, les questions débiles, le regard curieux, les interrogations semi-sérieuses-enfaitcestpasgrave. Je le dis en connaissance de cause, c’est exactement ça. Quand Yumen lui dit que personne ne veut de son flan, elle croque dedans. Quand il est sur le point de le frapper, elle intervient. Un enfant arrêterait pour un temps mille bandits, comme je dis. Soit ainsi.

Après le dîner :

-Don inférieur à 500 000 Berrys :Niveau II (3-5 +/-PP&PI) 1pp.

180/3 = 60. +1pp.

6092dorikis, 409pp et pi no change.

Cordialité pour faire plaisir : viens me voir si problème, je répondrai à tes questions avec joie et langoustitude.
Des bisous.

Salut langouste.


Langoustes :

Une Lilou d’il y a longtemps, ça se sent. Rien que pour ton introduction un peu longue du début. Ce « Bref », aussi. Je déteste ce mot, il peut vouloir dire plein de choses. J’aime pas mais je préfère « Enfin » qui veut déjà en dire moins, par exemple.

Vide, vide. Puis. Vide. Et on passe donc à l’argumentaire que je ne pourrais appeler autrement. Difficile d’intervenir quand Gharr propose en ne proposant pas. Alors rien que pour l’avoir fait. Rien que pour. C’était bien. Et tu as plus parlé que Rik. Encore une fois, tu nous prouves que les femmes parlent plus. Et je veux pas faire le macho, hein, mais Rik a plus convaincu... Enfin, j'dis ça, j'dis rien. Hm.

Dis, t’en as fait des fautes. Je les relève pas parce qu’elles datent de longtemps et que je sais que tu ne le feras plus mais y en a eu, sache.

Après le check-langouste :

1 pp parce que « t’en as » comme dit Gharr en Musk. Pour le courage, quoi.
140/4 = 35 me dit Kyo.
De rien.

6127 dorikis 410pp et pi no change.


Bonnes vacances.
Des bisous.