Demande d'Ozzuru Bava

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-Je paye le repas, c’est cadeau. Dis-je alors à John.
-Merci bien, c'est gentil. Me répond-il.
-Bonjour messieurs. Une table pour deux ? Nous demandait-il.
-Non, ce sera pour trois. Il manque quelqu’un, je crois qu’il n’est pas encore arrivé, mais il ne devrait pas tarder. Lui répondais-je.

-Et bien mon cher, tu n’as pas chaumé ! Je te présente mes deux amis, Alvin et Bart.
-Salut ! Disent-il.
-Salut ! Dit alors, John.
-Ravi de vous rencontrez. Leur dis-je

On pouvait voir des serveurs servir dans la salle, des plats raffiné et plutôt luxueux.

Un den-den muchi, ce moyen de communication presque uniquement réservé à la marine

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Hoy Ozzuru ! J’viens pour ton dernier solo.

Et on commence par un point forme :
« Je tenais la barre et rien n’était à signaler à l’horizon, pendant ce temps, John se tenait allongé, adossé sur le rebord de l’embarcation, en train de manger une de ces délicieuses mandarines. » >> Faudrait un point entre horizon et pendant, ou un point-virgule, pour marquer la cassure.
« qu’il ne se passait rien d’anormale » >> « d’anormal »
« Pas une seule d’original » >> « originale »
« le bruit des canons nous génèrent terriblement » >> « nous gêna » c’est LE bruit des canons.
« le nuage de fumée formée par les tirs » >> « formé », ici c’est le nuage qui est formé.
« Un soldat fit alors, son apparition » >> la virgule est de trop.
« notre inviter surprise » >> « invité »
« Qu’elle est ton plan » >> « Quel »
« on restera planquer » >> « planqués »
« Quand les soldats passèrent enfin, nous nous préparions à sauter » >> « préparâmes », t’as un quand, faut mettre ton action ponctuelle au passé simple, tu le fais plusieurs fois, fais attention.
« Mon meitou demeurait ranger dans son fourreau, » >> « rangé »
« John c’était débarrassé des autres soldats présent » >> « s’était débarrassé » « présents »
« Tuer les uns après les autres » >> « Tués »
« de simple soldat qui manquait sûrement d’entraînement » >> « de simples soldats qui manquaient »
« d’un ou deux soldats qui n’avaient pas suivies » >> « suivi »
« quatre soldats était déjà à terre » >> « étaient »
« Ce n’était pas suffisent » >> « suffisant »
« Pendant qu’il se remettait de ce coup. J’en profitais pour éliminer d’autres soldats. » >> Là, le point est en trop, il manque un bout à ta première phrase qui ne peut pas exister toute seule sinon.
Voilà pour le point forme, j’ai pas tout relevé, mais c’est quand même assez complet au niveau des fautes que tu fais. Aussi, t’as tendance à mettre l’imparfait à la place du passé simple et je pense que ça nuit à tes écrits, notamment aux moments des combats, on perd le caractère immédiat du passé simple et ça met un certain recul entre le lecteur et le combat, alors qu’on voudrait être au cœur de l’action. Bref, fais gaffe à ça.

Côté fond, je trouve que tout se déroule beaucoup trop rapidement et beaucoup trop facilement. Vous êtes deux, vous avez affaire à une caravelle de la Marine et vous réussissez quand même à les éclater en moins de temps qu’il ne faut pour le dire et sans vraiment de résistance, ni de recours à une quelconque forme de ruse. Tous les soldats sont tués avant qu’ils aient réussi à porter ne serait-ce qu’un coup, seul le lieutenant et un autre Marine parviennent à résister, et encore, pas longtemps… Du coup, je trouve ça quand même limite Gb.
Autres côtés du Rp, le calme pesant, c’est très cliché. En mer, c’est calme. L’intuition c’est bien beau, mais à moins de voir le navire, ça m’étonne qu’on remarque quoi que ce soit. Enfin bon. Aussi, je trouve qu’à partir du moment où vous avez repéré les Marines vous auriez du changer de cap, ça aurait été logique, là on croirait que vous foncez tête baissée vers eux alors que vous savez pertinemment que c’est pas une bonne idée. D’ailleurs, si vous êtes capables de les massacrer aussi facilement sur l’île, je ne comprends pas pourquoi il n’en serait pas de même sur le bateau…

Bref, côté points, je vais te filer 100 Dorikis et -10 PP/PI.

Au total, ça te fera 1130 Dorikis, -58 PP et -60 PI.

Valà ! Si t’as des questions ou des remarques, n’hésite pas !