Coucou vous deux. C'est moi qui m'occuperai de votre rp taverne. Enfin, je veux dire de votre rp attaque nocturne de Nicolas Stroff/Nicolas Stross, selon les versions. On fait un rapide point de chacun à part sur la forme comme ça c'est débarrassé, puis on entame le fond. Kardelya, je n'ai pas trop chipoté de ton côté niveau fautes car elles ne dérangent pas la lecture. Aleister, par contre, t'as droit à ton petit pavé.
Aleister, tu fais beaucoup, mais vraiment beaucoup de fautes d'accord singulier/pluriel. Et même pas des trucs compliqués à voir, t'es du genre à écrire "les enfants sont formidables et petit." Sans raison, c'est le hasard tes accords. Faut te relire, te demander à quoi se raccorde ton adjectif. Je t'ai mis quelques exemples-là, trouvés comme preuves dans le coffre de Nicolas.
Cela ne fait que quelques jours que j'ai débarqués – débarqué
les informations données sont erronées ou totalement fausse - fausses
Je viens demander des informations sur la tache que vous m’avez confiée. - tâche, sauf si le Commandant a confié une tache de vin ou de café à ton personnage
L’homme me regarda durant quelques secondes, avant de tiré une latte de son cigare. - tirer bien sûr. Et tant qu'on y est, tirer une latte, c'est pour une cigarette. Sauf s'il fume son cigare aussi nerveusement qu'une cigarette, mais alors il faut souligner ses 20L de capacité pulmonaire.
le fait que nous récupérions des informations au près d’un criminel - auprès
Toquant à la porte, j'attends alors son autorisation pour entrer.
« Entré ! »
J’ouvre alors la porte, entrant, me mettant au garde à vous avant de prendre la parole. Sur le burau du commandant, une quinzaine de dossiers éparpillés un peu partout, il avait un cigare à la bouche.
Entrez et bureau côté fautes, puis c'est Commandant normalement, les grades prennent des majuscules quand on sait duquel on cause. C'est trop détaillé et répété, ton début sur le mec qui attend d'entrer, entend qu'on lui dit d'entrer, entre. Ca fait remplissage et le fait de nous évoquer les dossiers et le cigare habillent le descriptif de façon très pauvre. Il faut détailler un peu plus et songer à ta structure. Puis, ta phrase du bureau est incorrecte, tu changes même de sujet en plein milieu, ce qui induit que celui qui a le cigare est soit le bureau du Commandant, soit la pile de dossiers. Relis-toi bien.
Il se leva de sa chaise et sourit doucement, c’est un homme très chaleureux d’après les autres et n’ayant eu que très peu de rapport avec lui, je ne peux que confirmer cela, un visage calme et gentil, de quoi inspirer la confiance.
Et pourquoi pas:
Il se leva de sa chaise et sourit doucement. C’est un homme très chaleureux d’après les autres et, n’ayant eu que très peu de rapport avec lui, je ne peux que confirmer un visage calme, empreint d'une forme de gentillesse. De quoi inspirer confiance. N'hésite pas à mettre des points et séquencer tes idées. Tant que les tournures de phrases ne te seront pas évidentes, il vaut mieux simplifier son style et l'enrichir petit-à-petit. Ici encore tu avais dévié de ton sujet de base.
Attention, boss final.
Soudain, un bruit attira mon attention, une sorte de sifflement. Je me suis donc rapidement caché derrière une étagère attendant. Un homme ouvrir la porte avant de la fermer derrière lui. Il porte un fusil. Il s'avança pour chercher une boite de conserve. J'ai donc fait doucement le tour de celle-ci pour me retrouver derrière lui, donnant un grand coup du plat de la main dans sa nuque pour le neutraliser, Le cachant sous la trappe, tout en prenant soin de m'habiller comme lui et de prendre son arme avant. Sortant de la salle, la tête baissée, personne ne semblait me reconnaître, il ne me reste plus qu'à me rendre dans le bureau de Nicolas, comment faire.. Une approche bourrine ? Non, trop risqué pour le moment (le présent est sous-entendu) . Arrivant, une idée folle me prit et j'ai toqué à la porte. Une voix assez grave me dist d'entrer. Une fois à l'intérieur, un homme avec un cigare me faisait face, tout en comptant les billets. Il ne me regarda même pas et se contente de me demander ce que je voulais, j'ai donc inventé un mensonge sur la comète.
Je sais qu'il ne faut pas mettre la peau de la charrue avant de l'avoir tué, mais là c'est soit inventer un mensonge, soit tirer des plans sur la comète. Mais même cette expression est limite dans le contexte. Broder à partir de rien ou faire avaler des couleuvres étaient plus indiqués. Et pas broder à partie de couleuvres hein ?
Mais surtout, qu'est-ce que tu fais avec tes temps toi ? C'est au
passé ou au
présent ton histoire ? Faut choisir et s'y tenir. Comme pour Kardelya, gaffe à l'emploi du
participe présent. Ce n'est pas un outil magique pour rendre une narration jolie, c'est de la matière grasse au fond d'une poêle. Un peu, c'est cool et peut améliorer le résultat final. Beaucoup, ça rend tout indigeste.
Cela dit ! Tu réussis mieux ta narration en phase infiltration. L'humour dans les égouts, ta façon de raconter la scène au bureau de Stroff, il y a moins de déchets et les informations apportées sont mieux gérées. Et pour t'avoir lu ailleurs, effectivement, tu as progressé et c'est tant mieux. Je suppose qu'une partie des conseils ne te sont du reste plus indispensables, tu dois déjà avoir ciblé les problèmes. Bon, juste, c'est déjà important en solo, mais capital en multi : passe au moins un correcteur sur tes posts. L'autre devra lire tes fautes, autant lui en épargner un minimum.
Kardelya, je vais chipoter sur une faute sans aucune importance, mais bon, c'est le genre d'erreur qu'on aborde rarement alors autant le faire ici.
Pianotant des doigts gauche sur ma table de bar
"des doigts de la main gauche", faut pas oublier de préciser la main. Des doigts gauches, ce sont des doigts maladroits.
Quand on parle d'une partie du corps qui n'est pas une simple unité, il faut la rattacher au corps pour la situer. L'oreille droite, le pied gauche, pas de souci. Les doigts gauches, les cheveux gauches ou les tatouages droits, c'est forcément par rapport à un référent qu'il faut indiquer. Les tatouages du flanc droit, c'est tout de suite plus clair. Ou alors, il faut au préalable avoir déjà abordé la main, là on sait que les doigts y sont forcément rattachés. Ca peut paraître absurde, mais c'est comme ça.
tapotant machinalement sur ma cigarette de l'index droit, pour faire tomber un peu de cendre dans un cendrier.
Alors que là ça marche, parce qu'un index est une unité à part entière. C'est rigolo hein ? Je n'ai pas l'explication pure du truc, je pense que la source c'est juste pour le confort du cerveau. Index, c'est clair on visualise, doigts, c'est aussi précis que tentacules. J'imagine que c'est la source du besoin de spécifier.
Attention à ton participe présent (verbes en -ant). Etant de base un emploi pratique et plaisant de la langue, son abus peut aboutir à l'exact effet inverse, alourdissant inutilement ta narration. Surtout que tu en places dans plus d'une phrase sur deux, se faisant très vite repérer et sortant le lecteur du récit car cette forme manque de naturel, devenant handicapante à la fluidité. Rappelant les traductions de versions latines, très friandes de cette forme, il faut veiller à en user avec parcimonie, constatant bien ici, avec l'emploi que j'en fais, que ça n'embellit pas tant que ça une écriture en fait. Ca ne la rend même pas plus fluide, rythmée ou littéraire. Comme je disais à Aleister qui a singé ton style à un moment, le participe présent, c'est comme l'huile dans un wok. Si ça évite à tes aliments de coller et améliore la texture, banco. Si ça baigne dans l'huile, on vomit à la fin du repas. Fiasco.
En plus, ce n'est pas très compliqué à changer et tu as le niveau pour pouvoir facilement palier au problème. Par exemple:
Je fais le tour de l'entrepôt, cherchant une issue et jetant quelques coups d’œil par la grande baie vitrée au centre du toit. Je vois quelques silhouettes faire ce qui s'apparente à une ronde, au milieu de caisses, de grandes étagères, s'éclairant avec des lanternes
Plutôt qu'un participe présent tout moche et mal placé en fin de phrase, pourquoi ne pas mettre " Je vois quelques silhouettes éclairées à la lanterne faire ce qui s'apparente..."
Encore une fois, c'est normal d'en utiliser, mais une phrase sur deux c'est trop. Exactement comme le serait une forme négative. C'est correct aussi, mais surexploité, c'est moche. Pense-y.
Côté fond, histoire, tout ça tout ça. Bon, vous avez galéré et ça se voit. On va tâcher de décortiquer un peu la bête.
1: Nicolas Strossff
Vous avez opté pour une structure classique, mais efficace. L'un a sa mission officielle, l'autre façon underground. C'est vu et revu, mais toujours grisant, car ça permet de connaître un tas de trucs sur vos persos, leur vision de leur boulot, leur façon d'aborder les obstacles, tous ces trucs-là. Et déjà là, on a des soucis.
Kard, tu te rends à ta mission sans même savoir si tu dois arrêter ou tuer ta cible. Tu sautes de toit en toit pour assommer un garde alors que t'as l'air de pouvoir te viander sur un toit d'entrepôt sans déclencher le moindre bruit. Tu ne pouvais pas juste l'éviter ? Surtout que ton perso n'est pas sûr que Nicolas entube la révo. C'était obligatoire l'opération Splinter Cell pour obtenir des réponses ?
Et Aleister, j'ai rien pigé à ton plan. En gros, un Commandant confie une mission secrète, tu décides d'y aller seul. Bon ok, c'est que t'es un pro. Sauf que non, pas du tout, y a rien de vraiment préparé. Tout sent l'impro totale sitôt à l'intérieur, on aurait dit moi dans mes premières parties de Payday2. De plus, toi non plus tu n'es pas sûr que Nicolas est un traître. Et si t'es déjà un peu moins dans le doute que Kard, c'était quoi cette tactique d'assommer pour fouiller les items de quête dans le tiroir à côté ? Il est assez bête pour conserver des traces de son double-jeu à portée de chaise de bureau Nicolas ? Avec ses sept à vingt (selon la version de l'un ou l'autre) gardes contre toute une révo et la marine ? Il est confiant dis donc, surtout qu'on a vu que ses mercenaires engagés étaient la crème.
Ca ne tient pas, le zig était un pnj très con d'un premier niveau de jeu vidéo. A aucun moment on n'a peur pour vous, je crois que vous risquiez plus gros dans un squat de fumeurs de meth. Et c'est dommage, parce que l'idée d'aller par les airs pour l'un, les égouts l'autre, pour vous rejoindre au bureau et dans une situation de tension, ça fonctionnait bien, c'était bien joué ça.
2: La rencontre
Aleister, tu as commis deux grosses erreurs dans ce rp. Ta première, c'est ton post quand Kard entre et braque ton perso. Parce qu'en un post, tu réponds, apaises, appelles les renforts, poses un ultimatum. Pendant ce temps, Kardelya, c'est une amibe, elle te braque sans bouger. Désolé, mais non, c'est mauvais comme idée.
Elle te braque, c'est la fin de son post. C'était là qu'il fallait faire vos interactions, pour négocier, vous expliquer, etc. Créer du jeu quoi. Qu'est-ce que tu lui offres comme jeu, outre un "tire-toi cocotte mes potes seront là dans 20 secondes" ? J'ai envie de dire que ça valait bien la peine de prendre 2-3 tours pour arranger votre rencontre. Je passerai outre le fait que ton gars offre des infos à une révo comme ça, au calme. Je rappelle que la Marine veut savoir si Nicolas traite aussi avec la révo et qu'elle veut l'inculper pour ça. La révo est ton ennemie, pourquoi tu collabores ? Parce que t'es gentil ? Qui te dit que Kard l'est, elle ?
Bref, ça a ruiné le point d'orgue de la mission. Je ne suis pas non plus fan du twist qui consiste à dire que le Commandant était de mèche. Déjà, ce n'est plus exploité par la suite cette idée, mais en plus si c'était le cas, il serait le dernier des débiles, le Commandant, de confier à un marine intègre la mission d'aller fouiner dans des documents de malversations soigneusement conservées par un bandit qui traite avec lui. Que Stroff soit assez bête pour monter tout son dossier de condamnation dans son tiroir pourquoi pas, mais entre la révo qui dépêche un agent sans briefing clair et un Commandant qui se saborde lui-même en envoyant les chiens renifleurs sur sa planque de drogue, ça devient une sacrée collection de guignols dans ce patelin. J'y pense, vrai que le Commandant n'avait pas apporté plus de précisions à Aleister quand il lui en avait demandées. Hmm...tout ceci était-il volontaire ?
Pensez mieux vos PNJs. Plus ils feront vrais, plus votre univers semblera vivant.
3: La taverne
C'est là qu'on voit le plus que vous avez galéré. La raison qui vous a ramenés à boire un verre en papotant, on passe, je ne vois pas bien comment vous auriez pu faire autrement vu le souci lors de la mission. Ce que je retiens de votre échange, c'est Kardelya qui menace de tabasser Aleister à tous les posts, de façon orale ou en pensée, et Aleister qui veut se taper Kardelya parce qu'il aime les filles qui tirent la tronche. Voilà, c'est à peu près tout.
Vous passez votre temps à lancer la même conversation qui n'évolue jamais. C'est "je ne suis pas méchant, le monde est en nuances de gris" des deux côtés et voilà. Alors, je comprends l'intérêt de cet échange, c'est bien entendu un sujet majeur entre un marine et une révo qui discutent dans un lieu indiqué pour ça. Mais justement, c'est le passage classique de l'échange. Faut l'accomplir sans que ça ne soit bateau. D'un côté comme de l'autre, ça reste au ras du sol, vos deux personnages parlent comme un bureaucrate à lunettes et un loubard bardé de piercings qui partagent 10 minutes de voyage en train et tentent de tuer le temps en critiquant le symbole que représente l'autre. Ils ne sont plus des personnages, mais des camps. Personne ne parle de lui, d'humanité, de choses de la vie, tous les deux ne sont que des représentants de commerce pour leur société respective. Et c'est ennuyeux au possible, d'autant que le débat ne décolle pas.
Enfin,si, il décolle au tout dernier tour. Quand Aleister met enfin Kardelya face au hic de critiquer le GM tout en appartenant à un organisme lui aussi gangréné de corruption. Là ouais, là je me suis dit ah, enfin on a du grain à moudre. J'étais bien, j'avais même ouvert mes popcorns.
Sauf que....sauf que Aleister se casse au même post où il lâche enfin l'élément utile et constructif de l'échange. Deuxième erreur Al, et la même que la précédente. Tu as fermé toutes les portes à Kardelya. Alors que c'est ton perso qui l'invite à boire un verre à la base, normalement c'est à elle de se tirer avant toi. Kardelya le dira dans son post, qu'elle est surprise que l'entretien finisse aussi sec. Et je suis d'accord, c'était pile le moment où il fallait la débuter, votre conversation.
Encore, deux personnages qui ne se comprennent pas, ça aurait pu matcher. Le souci, c'est qu'alors que vous ne vous livrez pas tellement à l'autre, vous finissez sur un semblant d'amitié, ou neutralité, selon les points de vue. Et je suis un peu étonné de voir que vos personnages sont surpris de découvrir que les gens du camp adverse ne sont pas tous des enfoirés sans coeur. Si c'était logique avec votre background il aurait été plus créatif de le faire comprendre ça. Parce que le résultat donne l'impression d'avoir deux ados bien binaires dans leur façon de voir le monde et qui ont un gros handicap social. Alors qu'encore une fois, vous aviez pu vous retrouver dans une situation de base intéressante.
Souci d'affinité entre vos persos, de niveau aussi peut-être, vrai qu'Aleister débute et toi Kardelya je ne pense pas que tu sois habitué aux rps intercamps. En tout cas, on sentait la galère.
Au final, c'est un rp qui n'est pas déplaisant, mais très basique, un peu ennuyeux et qui loupe ce qui en état l'intérêt majeur. C'est pas grave, ça arrive. J'espère surtout que vous allez tirer de l'expérience de cet épisode. D'une façon générale, ne forcez pas vos intentions de joueur en collant vos persos dans des situations qui les coincent. Lâchez-vous, osez des trucs qui ne sont pas les carcans bien convenus des scènes créées. A la taverne, vous arrêtiez de vous parler comme des camps épinglés pour dire quel bateau vous préférez, ce que vous pensez des monstres marins ou du pire jour de votre vie, j'étais bien, je savourais vos façons de livrer vos persos. N'hésitez pas à rendre vos personnages vivants. Et les PNJs qui les entourent aussi. Ca enrichira votre univers. Et si vous cherchez une des meilleures scènes de discussion entre deux personnages opposés, mais qui se respectent, je vous recommande la scène entre Pacino et De Niro dans le film Heat. Pas les 2 minutes qu'on trouve sur youtube, la scène complète. Et tout le film si vous ne connaissez pas, c'est un des meilleurs de sa décennie.
Pour répondre à ta question Kardelya, je n'ai pas vu d'incohérence dans la façon de penser de ton personnage, ni de contradiction. C'est surtout que les tirades restent sommaires et manquent de personnalité. Je bosserais plutôt ça à ta place, niveau cohérence de propos pas de souci rien ne m'a choqué.
Aleister, on laisse bien du jeu à ses partenaires hein ? Une règle assez primordiale en rp, qu'on soit PJ ou MJ, c'est toujours laisser une porte de sortie à l'autre, toujours et ce qu'il soit allié ou ennemi. Pour la petite info personnelle, je ne me prive jamais de changer l'issue du post de l'autre joueur s'il m'a emprisonné dans un rp comme si c'était une cinématique de jeu vidéo. Parce que ce n'est plus du rp à ce moment-là et que parfois se faire empêcher d'incarner son perso, c'est comme se le faire diriger par l'autre. Astuce perso, vous en faites ce que vous voulez. Mais je n'aurais jamais reproché à Kardelya de ne pas se faire avoir par le timer, l'entourloupe de l'escargophone etc.
Enfin, n'oubliez pas non plus que vous pouvez causer hrp, c'est important quand on joue avec quelqu'un aussi. Et ça ça ne dépend pas que d'Aleister, le rp multi est toujours un gage de complicité. Vous devez travailler dans ce sens quand vous partagez un topic. Via les mps, la cb, peu importe. Mais communiquez.
Kardelya: 3046 Dorikis--->
3150 Dorikis (+104/320)
Je ne change pas tes PP/PI car tu as tout fait façon ninja et 'nas rien demandé de ce côté de toute façon.
Aleister 375 Dorikis--->
500 dorikis (+125/520)
Popularite 0------>
5 PP (+5 pour l'aide à la capture d'un criminel)
Intégrité 0-------->
5 PI (+5 pour la même raison)
N'hésitez pas si vous avez des questions ou autre, je suis ouvert à la discussion. Que le post soit avec vous.